Source: Marianne White, Le Soleil, 25 mai 2007.

Plusieurs coopératives d’habitation de la région fêtent ces temps-ci leur 20e, 25e ou même 30e anniversaire de fondation. Mais elles n’ont pas toutes les raisons de se réjouir. Les coops vont devoir investir des sommes importantes pour rénover leurs immeubles vieillissants, alors que l’État s’apprête à mettre fin à son aide financière. Et ce sont les locataires les moins biens nantis qui risquent d’écoper. (…)

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Le fil conducteur de ce sujet? Encore et toujours le « syndrome pas-dans-ma-cour »…

Source: François Bourque, Le Soleil (rubrique), 5 mai 2007.

(…) Un quartier de boomers et de retraités, occupés à jouir de la vie et inquiets qu’on puisse attenter à leur bonheur et faire de l’ombre sur leur piscine.

Leur histoire est celle de tous les citoyens qui découvrent un beau matin que leur voisin veut construire en hauteur dans leur cour.

Aujourd’hui, c’est le projet de la Champenoise, une résidence pour personnes âgées à faible revenu, qui veut construire un bâtiment supplémentaire pour loger une cinquantaine de locataires de plus.

(…) C’est ici que l’histoire devient moins jolie. Vous écoutez parler certains résidants de la Cité Bellevue et vous découvrez que ce n’est pas seulement le projet d’immeuble qui les dérange. Pour plusieurs, c’est aussi ceux qui l’habitent.

Ils parlent avec condescendance des « cage à poules » où logent leurs voisins, de ce « mouroir » pour « vieillards peu fortunés ». (…)

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Source: Pierre Couture, Le Soleil, 25 avril 2007.

Le complexe résidentiel Samuel-Holland passe dans le giron du géant GE Capital. La société américaine vient de mettre la main sur les 809 logements du quartier Saint-Sacrement pour la rondelette somme de 88 millions $. (…)

Il faut dire que pour GE, la transaction du Samuel-Holland pourrait être stratégique. Il faut se rappeler qu’à l’époque (2002) où elle en était propriétaire, la SSQ prévoyait construire pour la somme de 20 millions $ quelque 150 logements dans l’ancien édifice de la GRC [ci-bas].

Le projet avait toutefois soulevé le mécontentement du voisinage, notamment de résidants du Samuel-Holland, qui craignaient de perdre leur vue. Depuis, le projet a temporairement été mis sur la glace. (…)

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Ici, une vue en direction SO sur le chantier.

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Source: René Barry (Comité de sauvegarde du site de la Maison Gomin), Québec Hebdo (« Tribune libre »), 20 mars 2007.

Ayant carrément recours à l’intimidation, le promoteur et propriétaire du site de la Maison Gomin, monsieur Michel Boutin, a brandi la menace de ce qui pourrait survenir si jamais les citoyens décidaient de s’opposer à lui.

Dans un dépliant d’une arrogance peu commune, distribué dans les quartiers St-Sacrement et Saint-Thomas d’Aquin, et intitulé Connaissez-vous bien les enjeux de votre quartier? L’homme d’affaires Michel Boutin manipule non seulement la menace mais également la désinformation: il y fait en effet miroiter que des bénéfices reliés à son projet de changement zonage du site patrimonial de la Maison Gomin, tout en décrivant le scénario catastrophe qui surviendrait si jamais les citoyens décidaient d’exercer leur droit de se prononcer par référendum sur son projet. (…)

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Merci à Gérald Gobeil pour cette information!

Pour faire suite au billet précédent, cette vue sur la transformation en cours de la Maison Gomin avec, en arrière-plan à gauche, la « Résidence Côté Jardins » en construction.

Malgré plusieurs « accommodements raisonnables » du promoteur, de l’incertitude persiste concernant la construction d’une phase de six étages en bordure du boulevard René-Lévesque…

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Plusieurs mois ont passé depuis mon passage dans ce secteur: surprenant, l’impact visuel de cet imposant immeuble en « U » en construction (Résidence Côté Jardins), au nord de la Maison Gomin [billet], en lieu et place du défunt Centre jeunesse Tilly…

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Un projet « PACTE Myrand » dénaturé en vue, à l’exemple du plan original du secteur du Campanile?

Source: Radio-Canada (Québec), 12 mars 2007.

Des promoteurs lancent deux autres projets d’habitation en bordure du chemin Sainte-Foy, près de la rue Mayrand.

La semaine dernière, l’Université Laval a dévoilé son projet PACTE Myrand qui prévoit la construction de 1500 logements ainsi que l’aménagement d’espaces publics et commerciaux dans le secteur nord-est du campus.

Cette fois, les promoteurs souhaitent implanter un projet de cohabitation, une formule d’habitation conviviale et écologique développée au Danemark.

Michel Desgagné, qui caresse ce projet depuis des années, explique qu’il s’agit de la construction de 35 maisons en rangée et en copropriétés avec des aires et même une maison communes. Selon lui, le projet se veut écologique, intergénérationnel et convivial et faciliterait le bon voisinage.

Par ailleurs, une coopérative d’habitation serait située dans le même secteur. Le projet comprendrait 180 logements, dont la moitié serait réservée aux étudiants.

Les promoteurs donneront plus de détails concernant leur échéancier l’automne prochain.

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Depuis ce billet de Francis, on fait grand état de ce stimulant projet au coeur de Sainte-Foy: ça promet, et un champ, enfin, servira à autre chose qu’à construire des mégaentrepôts, des bungalows dispersés ou de gigantesques cinémas déficitaires!!

Pour le dossier complet, à consulter, le site de PACTE Myrand.

Source: Marie Caouette, Le Soleil, 28 février 2007.

D’ici deux ans, les premiers immeubles du nouveau quartier résidentiel de l’Université Laval devraient surgir de terre, le long de la rue de la Terrasse prolongée jusqu’à l’avenue Myrand. L’immense chantier de 1500 logements, évalué entre 120 et 150 millions $, pourrait durer jusqu’en 2030. (…)

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Source: Le Soleil

Le Conseil d’administration de l’Université Laval a accepté en principe le plan d’aménagement d’un nouveau quartier dans le secteur nord-est de son campus, près de l’avenue Myrand.

Du même coup, le Conseil a accepté le principe de la réalisation d’une première phase constituée par la construction de 150 unités de logement pour étudiants dans ce quartier, sous forme d’appartements. L’université pourrait ainsi répondre aux besoins des étudiants-parents, par exemple, ce qui ne lui est pas possible de faire présentement avec ses quelques 2300 chambres réparties dans ses quatre résidences.

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