Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


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Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 octobre 2012 13 commentaires

Yvan Larose
Le Fil

Des villes comme Seattle, Curitiba ou Zurich démontrent qu’il est possible de relever les défis du transport urbain durable

Dans le dossier des gaz à effet de serre responsables des changements climatiques, le transport urbain représente un enjeu majeur. Pourquoi? Parce que ce secteur est celui où le contrôle de la progression s’avère le plus difficile.

La suite

* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Transport en commun.


13 commentaires

  1. J M Utilisateur de Québec Urbain

    17 octobre 2012 à 22 h 59

    Je confirme que Zurich et Singapoure sont des exemples remarquables. Se déplacer en voiture au centre ville est presque gênant. Le stationnement coutait 40$ par jour. (60$ si on perd le billet). Ironiquement, ce sont les stationnements les plus impressionnants que j’ai utilisé. De l’autoroute, des panneaux indiquent le nombre de places disponibles dans les stationnements du centre-ville. Il suffit de suivre les indications. Une fois dans le stationnement, des panneaux indiquent où sont les places libres. Chaque espace comporte un détecteur. Rouge s’il y a une voiture, vert si la place est libre. Quel charme.

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    • Maria Gracias

      18 octobre 2012 à 08 h 47

      Un système d’affichage des places disponibles existe aussi dans le centre-ville de Montréal, ce système n’est pas si exotique si on le retrouve au Québec. C’est effectivement une bonne idée pour simplifier la recherche de stationnement au centre-ville, même si on doit toujours chercher à encourager les autres alternatives de transport.

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  2. pbegin Utilisateur de Québec Urbain

    18 octobre 2012 à 07 h 12

    Pour la pertinence de la comparaison avec Québec, on repassera S.V.P :

    Population approximative:
    Seattle, 600 000 au centre, 3 700 000 greater
    Zurich 380,500 au centre, 1 à 2 million greater
    Curitiba 1 70 000 au centre, 3.2 million greater
    Bogotá 7 300 000, 7 900 000 greater
    Singapour 5 000 000

    On peut rêver, mais l’argent ne pousse toujours pas dans les arbres malgré toute les manipulations génétiques modernes!

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    • Maria Gracias

      18 octobre 2012 à 08 h 48

      Étant donné que l’automobile est le moyen de transport le plus cher pour la société, je ne comprends pas votre point. Le luxe est le tout-à-l’auto.
      Si l’argent ne pousse pas dans les arbres, encourageons les gens à marcher ou à faire du vélo, c’est pratiquement gratuit ça.

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  3. Denisb

    18 octobre 2012 à 08 h 07

    En tout cas comme rigueur journalistique on repassera car selon l’article, Seattle est en Californie….

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  4. Brouilleur

    20 octobre 2012 à 03 h 36

    On a souvent à lire ça des gens qui répètent des mentras qu’on a pensé à leur place comme « l’automobile est le moyen de transport le plus coûteux pour la société » avec une tonne d’arguments tous pré-mâchés répétés tel le petit catéchisme.

    Le fait demeure que ce pourquoi certains détestent l’automobile… c’est parce qu’ils détestent la liberté des autres.

    Seattle, Zurich, n’ont RIEN À VOIR AVEC QUÉBEC. Que ce soit pour la densité de population, ou encore plus important, pour le climat.

    D’ailleurs, si l’on veut faire que Québec soit un bon endroit pour élever une famille, faudrait cesser d’attaquer les familles… Parce que le travail, les courses, la garderie en autobus… par obligation coercitive des pontifs ayatollahs de Gaïa… ça devient une raison de s’en aller ailleurs.

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  5. Jeff M

    20 octobre 2012 à 17 h 35

    Quand on voit des exemples tels que Curitiba ou Boggotta, j’ai du mal à voir le tramway comme la solution de l’avenir. Ces cas ont montré qu’on peut concevoir une ligne d’autobus aussi efficace qu’un tramway à un prix 10 fois mondre, avec un temps d’implantation et de dérangement 10 fois moindre. De plus, on ne reste pas prisonnier des rails: si un accident survient sur la ligne, on peut détourner les véhicules. Si on veut plus tard modifier le tracé pour une raison ou pour une autre, on peut le faire à un coût et dans un délai raisonnable. Bref, on a plus de flexibilité. Les rails, c’est un paquet de troubles.
    Pas étonnant qu’en Europe de plus en plus de gens veulent calcquer sur ce modèle.

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    • denisb

      21 octobre 2012 à 16 h 33

      Je suis effectivement d’avis qu’on peut faire beaucoup plus avec l’autobus que ce qu’on fait actuellement, et ce en investissant seulement une fraction du prix d’un tramway, Rajouter quelques autobus et quelques voies réservées ne coûtent pas si cher.

      Imaginez que si un coup le tramway implanté on s’aperçoit que la le circuit n’est pas si populaire, il n’est pas si facile que ça d’en faire des modifications, sans compter les coûts majeurs que ça engendreraient.

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      • Jeff M

        21 octobre 2012 à 17 h 09

        Ce n’est pas seulement d’ajouter des bus et des voies réservées. Par exemple, avez vous vu les stations d’embarquement? Elles sont organisées comme dans un métro: on paie l’entrée à la porte de la station et on circule librement après. À l’autobus, on peut entrer par n’importe quelle porte. L’embarquement se fait donc plus rapidement.
        Aussi, il faut s’organiser pour les bus s’arrête le moins souvent possible dans la circulation avec, bien sûr, les voies réservées, mais aussi un suivi GPS qui commanderons certains feux de circulation à l’avance.
        Bref, on fait une fraction de ce qui est possible de faire.

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  6. Brouilleur

    23 octobre 2012 à 01 h 52

    On en fait a$$ez pour le transport en commun, et la « coercition » doit cesser immédiatement. Jamais la population n’a donné de mandat à quiconque en ce sens.

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