Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Cité Verte : une nouvelle grue dans le ciel de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 décembre 2018 Commentaires fermés sur Cité Verte : une nouvelle grue dans le ciel de Québec

Le bloc A qui sera érigé bientôt vient de permettre au ciel de Québec de se dote d’une nouvelle grue.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Écoquartier, Projet - Cité verte.

Cottage Ross : rénovations à la façade

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 décembre 2018 Commentaires fermés sur Cottage Ross : rénovations à la façade

En regardant la photo sur cet article d’octobre, vous pourrez constater qu’on améliorer la structure du bâtiment en reprenant le parement de la façade. Reste à savoir l’utilisation qui sera faite du bâtiment à partir de cet été; est-ce que ce sera relié aux jardins communautaires qui seront situés à l’arrière ?

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Projet - Cité verte.

Pas d’affaires en or grâce au 3e lien, prévient un économiste

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 décembre 2018 24 commentaires

Louise Boisvert
Radio-Canada

Le troisième lien ne remplira pas toutes les promesses de développement économique que formulent ses promoteurs, prévient un professeur de l’Université Laval.

Il y aura un « déplacement de l’activité économique, mais pas de création nette à l’échelle de la région métropolitaine », a soutenu l’économiste Jean Dubé lors d’une conférence présentée mardi devant l’Association des économistes québécois

Pour le professeur à l’Université Laval, il ne fait aucun doute que l’argument économique défendu par le maire de Lévis exige quelques nuances. Il est vrai que Lévis va profiter de la construction d’un nouveau pont, mais probablement au détriment d’autres villes de la Rive-Sud.

« De manière rationnelle, un troisième lien ne peut pas être la manne fabuleuse qu’on peut le croire. » (Jean Dubé, professeur en développement régional, Université Laval)

Des municipalités se retrouveront avec des installations vides et des revenus en moins, souligne le professeur Dubé

L’économiste estime aussi que l’activité économique de la grande région de Québec va se maintenir, peu importe la construction ou non du troisième lien.

Quand une entreprise prend une décision de localisation, elle se pose la question : « Est-ce que je vais dans la région métropolitaine de Québec? » Pas est-ce que je vais à Québec ou à Lévis? » Jean Dubé, professeur en développement régional, Université Laval

Il n’existe pas d’études sur les coûts de la congestion dans la grande région de Québec. Difficile d’établir avec certitude si le troisième lien pourrait améliorer la productivité.

Amplifier le problème

Il existe plusieurs exemples en Amérique du Nord qui démontrent que l’ajout de nouvelles voies ne règle pas le problème de congestion.

Jean Dubé cite le Katy Freeway, à Houston, une autoroute de 26 voies inaugurée en 2008. Il n’aura fallu quelques années avant que les automobilistes renouent avec les bouchons de circulation.

Plus près de nous, l’autoroute 30 dans la région de Montréal, ouverte à la circulation en 2012, devait permettre aux automobilistes de contourner l’île. Trois ans plus tard, la congestion fait partie du quotidien des automobilistes. Les résidents de l’agglomération montréalaise perdent 50 heures par année dans la congestion.

« Québec sera l’exception à la règle, peut-être », laisse tomber le professeur sur un ton sceptique.

Jean Dubé se demande si le troisième lien est la solution pour régler les problèmes de circulation.

« On envisage une solution permanente pour de la congestion qui survient aux heures de pointe essentiellement », affirme-t-il.

Il rejette du revers de la main l’idée selon laquelle l’infrastructure permettrait de détourner le trafic des poids lourds.

« Ce ne sont pas eux qui causent la congestion. Leurs déplacements tiennent déjà compte des heures de pointe. »

Et c’est sans compter tous les autres enjeux tels que la pollution, l’émission de gaz à effet de serre ou encore l’étalement urbain qui ne sont pas pris en compte dans les coûts liés à la construction du troisième lien.

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Voir aussi : Projet - Troisième lien.

Le 155 Grande Allée Est: état de la location

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 décembre 2018 Commentaires fermés sur Le 155 Grande Allée Est: état de la location

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.

Deux parcours et 135 autobus par jour pour l’aéroport de Québec en 2019

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 décembre 2018 3 commentaires

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

Le RTC offrira finalement deux nouveaux parcours d’autobus au lieu d’un, à l’été 2019, pour desservir l’aéroport Jean-Lesage 7 jours sur 7, aux 30 minutes.

Le président du Réseau de Transport de la Capitale, Rémy Normand, en a fait l’annonce, vendredi, en marge de l’étude du budget 2019 de la société de transport qui relève de la Ville de Québec.
À l’heure actuelle, seulement cinq autobus par jour se rendent à l’aéroport de Québec. Le service est donc pratiquement inexistant pour les travailleurs et les touristes qui arrivent par la voie des airs dans la Vieille Capitale.

Avec l’ajout des parcours 76 et la modification du parcours 80, il y aura désormais 135 autobus par jour qui se rendront à l’aéroport de Québec (YQB). «C’est une bonification assez phénoménale de la desserte de l’aéroport», s’est félicité M. Normand en point de presse à l’hôtel de ville.

Le parcours 76 sera lancé en juin. Il offrira un lien direct vers les gares routières ou ferroviaires de Sainte-Foy en passant l’autoroute Duplessis, le chemin Sainte-Foy, la route de l’Église et le boulevard Laurier. Le parcours 80 – qui remplacera le parcours 78 – permettra quant à lui de connecter le centre-ville de Québec à l’aéroport dès le mois d’août.

Le fameux parcours 6, annoncé en mars dernier, ne verra donc jamais le jour. «Les gens ont fait des analyses assez pointues et en sont arrivés à la conclusion que ça serait un parcours très inefficace» en raison du trop grand nombre d’arrêts, a indiqué M. Normand.

(…)

Aucune modification ne sera cependant effectuée sur les autobus afin de faciliter le transport des bagages imposants pour les voyageurs.

«Pour l’instant, ça va être des bus réguliers. Ça aurait requis des investissements importants de modifier des bus juste pour ça alors que ce qu’on vise, c’est d’intégrer ces parcours-là à des parcours réguliers. On verra à l’usage», a répondu M. Normand, qui a toutefois ouvert la porte à des «ajustements» dans le futur.

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Voir aussi : Transport en commun.

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