Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’îlot Lapointe, un secteur sous tension

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 janvier 2013 45 commentaires

Pierre Couture
Le Soleil

(Québec) Les terrains des résidences de l’îlot Lapointe, situé en bordure du boulevard Laurier en face de Place Ste-Foy, sont plus que jamais convoités. Certains promoteurs immobiliers sont d’ailleurs prêts à mettre le gros prix pour remporter la mise.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.


45 commentaires

  1. mallette cossette

    17 janvier 2013 à 11 h 25

    «On se sent pris dans un étau.» ….. C’est parce qu’on t’offre une couple de centaine de milles de plus que ce que vaut réellement ton bungalow…pourriez-vous arrêter d’essayer d’avoir l’air pris en otage par les méchants promoteurs ?

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    • thomasj

      17 janvier 2013 à 11 h 35

      Exact, à ce prix là, vendez-les vos maisons!

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    • Manu

      17 janvier 2013 à 12 h 17

      Effectivement, ce doit être absolument horrible d’être coincé entre deux montagne d’argent.

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    • Nestor

      17 janvier 2013 à 13 h 15

      La situation n’est pas aussi rose qu’elle en a l’air. Ces propriétaires font face à des requins qui ont les dents longues. Ce que dit aussi l’article, c’est qu’on leur a fait miroiter des promesses d’achat pour des projets qui n’ont jamais vu le jour. Je ne dis pas qu’ils sont à plaindre, mais simplement que depuis une dizaine d’années, beaucoup d’incertitude plane au dessus de leur tête. Leur force, c’est de ne pas se laisser acheter un par un.

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    • Pier Luc

      17 janvier 2013 à 16 h 24

      Avec les montant qu’ils donnent, ils seront capable de s’acheter de belles maisons dans le Mesnil ou dans les Méandres.

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      • Nestor

        17 janvier 2013 à 21 h 15

        Quelle belle perspective!

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      • jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

        17 janvier 2013 à 22 h 50

        Pour des gens qui ont toujours vécu sur le boulevard Laurier, près de tous les services (à pied dans bien des cas), la perspective d’aller « s’exiler » dans Le Mesnil ou Les Méandres ne doit pas être réjouissante. Et à l’âge qu’on la plupart de ces résidents, installés à cet endroit depuis les années 80, je ne suis pas certain qu’ils aient envie de recommencer ailleurs. Il ne leur restera plus, au fond que la perspective du condo, formule qui ne convient pas à tous non plus.

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    • pc

      31 mars 2013 à 16 h 40

      Quand tu saura de quoi tu parles une foi dans ta vie, tu parleras…

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  2. Jean Cazes (Monlimoilou)

    17 janvier 2013 à 13 h 03

    Encore et toujours…

    Il est frappant de constater le manque de sensibilité de plusieurs intervenants à l’égard de résidents et de familles qui ont grandi dans des quartiers menacés par le développement immobilier à tout prix. Mais évidemment, comme ils n’habitent pas en ces lieux…

    Cela dit, en préparant des projets d’articles pour Monsaintroch, je suis tombé sur cet excellent reportage relatant la renaissance du quartier et mettant en vedette, cette fois, des intervenants CRÉDIBLES…

    http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/CBF/SansDomicileFixe201205261108_1.asx

    Parmi ces personnes ressource, un maire visionnaire, Jean-Paul L’Allier, qui rappelait le plan d’urbanisme de Paris comme exemple à suivre pour densifier les quartiers de Québec.

    Si c’était à recommencer, j’aurais personnellement rêvé, pour le boulevard Laurier (et par extension, René-Lévesque sur la Colline parlementaire), une vision « Champs Élisée » : de larges trottoirs, du 5 à 8 étages avec commerces aux rez-de-chaussée, des arbres, des bâtiments serrés, et non des immeubles en hauteur « pas rapport » et séparés par des foutus stationnements!! Cela n’aurait pas empêché du développement en hauteur sur Hochelaga ou le site du canadian Tire, plus en retrait.

    Dans les années 70, on déplorait la défiguration de Québec « garochée » aux touristes qui empruntaient le traversier. Et la première entrée de Québec, maintenant? Un boulevard Laurier à l’américaine!

    PS : étant jeune, j’ai déjà « trippé gratte-ciel », mais vient un temps ou l’on devient adulte. Et en voyageant, on se rend compte que Paris, Lyon ou Genève sont entre autres de beaux modèles à suivre pour un nouvel urbanisme à l’échelle humaine…

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    • Lajoie

      17 janvier 2013 à 19 h 27

      Jusqu’à maintenant dans cette discussion, personne n’a parlé qu’ils rêvaient de voir pousser des édifices de 50 étages dans l’îlot Lapointe. Personnellement, j’aimerais mieux avoir sur le Boulevard Laurier 10 édifices de 4 étages qui viendraient boucher des trous (stationnements extérieurs, terrains innocupés, commerces qui prennent énormément d’espace à la Canadian Tire ou Dial Textile, etc.), que d’avoir 1 édifice de 40 étages.

      Sa fait au moins 15 ans que ces gens voient le Boulevard Laurier se faire densifier, et sa fait au moins 5 ans qu’ils savent qu’ils devront déménager dans un avenir plus ou moins rapproché, c’est presque inévitable. Il aurait fallu avoir des oeillères pour ne pas avoir vu sa venir. Avec les sommes d’argent mises sur la table par les promoteurs, désolé mais je ne trouve pas qu’ils sont à plaindre… C’est mon bien humble avis.

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    • Matrix

      17 janvier 2013 à 20 h 11

      Wow Jean, un si long poste et pourtant, complètement hors sujet du début jusqu’à la fin.

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  3. gp

    17 janvier 2013 à 13 h 47

    Tant que la SSQ détient 10 propriétés aucun développement n’est pas possible sur cet Ilot.

    Pensez-vous que la SSQ va allez laisser un compétiteur s’installer à côté d’eux …..pas si c’était moi en tout cas….. Ils contrôlent donc le potentiel de cet ilot et ils ont le projet Le 3000 Laurier à développer.

    Malheureusement pour les propriétaires ils ont raté leur coup quand la SSQ leur a fait une offre…. Trop tard maintenant……

    C’est un damier ou vous devez avoir toutes les pièces du puzzle pour que ça fonctionne. En baissant la densité sur cet ilot les valeurs ont baissés tout autant. Comme disent les économistes, Toutes choses étant égale par ailleurs…. Comme le terrain dans ce secteur ne vaut pas 10 $ du pied carrés mais bien 10 $ par étages….les propriétaires ont donc en moyenne perdu de 30 % à 40 % de leurs valeurs avec le nouveau zonage et l’ilot est loin d’être assemblé et détenue par un seul propriétaire pour articuler un développement rentable.

    Pour ce qui est des promoteurs qui ont les dents longue, vous ne pouvez pas survire 6 mois dans le domaine de l’immobilier si vous n’êtes pas robuste et imaginatif. C’est complexe et les sommes impliquées sont énormes. Il y a bien plus d’appelé que d’élues. Dessiner un immeuble sur un bout de papier ou de discuter d’un concept n’est en aucune mesure comparable aux efforts et tracas qu’il faut affronter pour le réaliser.

    Bonne chance aux résidents de l’Ilot Lapointe, personne ne leur a expliqué tout ca ?

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    • nietnietniet

      17 janvier 2013 à 18 h 09

      « C’est un damier ou vous devez avoir toutes les pièces du puzzle pour que ça fonctionne »

      :)

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      • gp

        17 janvier 2013 à 21 h 12

        J’suis pas certain que vous ayez compris mon cher et c’est pourtant très simple.

        Les propriétés que possède la SSQ sont éparpillées dans l’îlot. Peut importer qui veut acheter plusieurs propriétés il aura toujours une propriété qui empêche l’assemblage des lots de façon à pouvoir réaliser un projet viable au prix mentionne ici.

        Allez tout simplement consulter le site interactif de la ville et vous le constaterez très rapidement.

        Je ne détiens pas la science infuse, mais s’il vous manque des pièces dans votre puzzle vous ne pouvez pas le finir.

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      • bloomerang

        17 janvier 2013 à 22 h 55

        c’est une stratégie que j’utilisais au Monopoly, tout comme mes concurents d’ailleurs.

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      • nietnietniet

        18 janvier 2013 à 16 h 51

        @gp

        Votre point était tout à fait valide, c’est la tournure de phrase que me faisait sourire (le jeu de dame et le puzzle mélangé). Ne soyez pas susceptible svp !

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      • gp

        19 janvier 2013 à 23 h 10

        Pas de problème ……

        Mais il est vrai que de faire un puzzle sur un jeux de dames ca dois etre asse complique…. Tout autant que de réaliser un projet sur l’Ilot Laponte ……

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    • Matrix

      17 janvier 2013 à 20 h 10

      Très bien résumé gp.

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  4. Elvis

    17 janvier 2013 à 23 h 20

    Démolissez moi tous ces horribles bungalows.
    Ça n’a AUCUN SENS sur le boulevard laurier.

    Direction: nouvelles hauteurs.

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  5. Louis-Nicolas

    17 janvier 2013 à 23 h 26

    On devrait priorité la construction sur les terrains de l’armée près de Hochelaga. Ça beaucoup plus de sens a mon avis, ces maisonnettes sont hideuses… Je ne sais pas ou en est rendu se dossier. Quelqu’un sait si le fédéral veut encore vendre les terrains et relocaliser ce mini-quartier?

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  6. KarlDerGroße

    18 janvier 2013 à 09 h 04

    Je peux comprendre que certains citoyens puissent se sentir brusquer, mais il ne s’agit pas ici d’expropriations alors peut-être on peut ranger nos mouchoirs. Si fallait attendre que tout les gens dans ces bungalows meurent ou décident de vendre, ça prendrait au moins 50 ans avant de pouvoir mener un projet de développement à bout.

    Je vous laisse sur les sages paroles de François Picard tirées du journal Le Soleil ce matin:

    «C’est pour ça que je suis écoeuré de la maudite politique! Avec des gens comme ça qui viennent juste critiquer au lieu d’amener des propositions intéressantes. Restez chez vous, tout simplement!»

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    • Jean Cazes (Monlimoilou)

      18 janvier 2013 à 09 h 23

      François Picard s’exprimait pour le PPU D’Estimauville (dossier que je connais bien), et non pour celui du Plateau de Sainte-Foy!

      Pour ce dernier programme (qui comprends l’îlot Lapointe), à ma connaissance, les citoyens, jusqu’à présent, se sont exprimés de façon civilisée en proposant des mesures d’atténuation (comme une gradation des hauteurs en bordure des zones résidentielles de basse densité).

      Je crois avoir entendu, sur les ondes de Radio-Canada, M. Picard reconnaître la justesse des interventions citoyennes.

      « Nous avons entendu les citoyens qui sont venus s’exprimer au cours de la consultation publique, a mentionné le vice-président du comité exécutif responsable de l’aménagement du territoire, M. François Picard. Voilà pourquoi nous avons décidé de modifier le PPU avant de l’adopter. Cette planification présente une vision et des orientations contemporaines en plus de refléter les préoccupations des citoyens qui habitent le secteur. Il s’agit d’une combinaison porteuse d’avenir! »
      – Source :
      http://www.ville.quebec.qc.ca/actualites/fiche_autres_actualites.aspx?id=12335

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        18 janvier 2013 à 10 h 31

        François Picard qui est écoeuré de ceux qui ne font que critiquer …

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      • KarlDerGroße

        18 janvier 2013 à 10 h 33

        Premièrement, c’est pas parce que M. Picard a dit quelque chose dans un contexte particulier que ça peut pas être appliqué dans un autre. Il a pas du  »s’écoeurer » avec seulement le projet de d’Estimauville, ça doit plutôt être le résultat d’une accumulation sur plusieurs années. Deuxièmement je parlais du fait qu’il y a des commentaires qui semblent dire que les propriétaires font pitiés parce que des méchants promoteurs proposent d’acheter leur maison pour un montant bien au-dessus de leur valeur marchande. C’est noble de vouloir défendre les citoyens, mais parfois il faut savoir prendre du recul et se demander si vous ne récomfortez pas des gens qui se plaignent le ventre plein.

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      • Nestor

        18 janvier 2013 à 12 h 03

        Se plaindre le ventre plein? Le plein de quoi? De promesses de promoteurs? De ne pas savoir si tu vas habiter au même endroit l’an prochain? Si tu vas investir des sous pour rénover ta maison alors que d’autres rêvent de la jeter à terre? De ce que le PPU va imposer comme nouveau zonage sur ta rue? De l’inquiétude d’être le dernier des mohicans à résister alors que tes voisins s’en vont? Je n’ai pas l’impression que vous avez déjà été plongé dans un conflit de la sorte.

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      • Carl Utilisateur de Québec Urbain

        19 janvier 2013 à 20 h 28

        Quelle épreuve quand même que d’être poursuivi par tant de gens qui veulent vous arroser d’argent alors que vous avez fait vœu de pauvreté…

        De quoi se plaignent-ils, exactement? De ce que leur téléphone sonne un peu trop fréquemment? On n’est pas exactement devant une situation comme dans « Up », quand même.

        « ne pas savoir si tu vas habiter au même endroit l’an prochain? » – pourquoi donc? On ne par pas d’expropriation, ici.

        « Si tu vas investir des sous pour rénover ta maison alors que d’autres rêvent de la jeter à terre? » Pourquoi? Je viens de mettre des milliers de $ en rénos sur me propre maison. Si je la vends demain et que l’acheter décide de tout crisser à terre, c’est son choix. Je m’en balance – je l’ai vendue, ma maison.

        « De ce que le PPU va imposer comme nouveau zonage sur ta rue? » Encore une fois, tant que ces gens ne vendent pas leurs propriétés, ça ne change absolument rien, que le zonage n’autorise qu’un parc ou que des édifices de 15+ étages.

        « De l’inquiétude d’être le dernier des mohicans à résister alors que tes voisins s’en vont? » Donc Mme Tartempion devrait se voir empêcher de vendre parce que cela sera traumatisant pour M. Labruti?!?

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    • KarlDerGroße

      18 janvier 2013 à 13 h 07

      Pleins des promesses des promoteurs et de ne pas savoir si tu vas habiter au même endroit l’an prochain? Franchement. Les promoteurs font pas des promesses, ils offrent concrètement d’acheter ces maisons pour un prix plus élevé que ce qu’offre le marché, alors on va arrêter de dramatiser la situation. Si les propriétaires veulent pas vendre, ils ont qu’à répondre non à l’offre des promoteurs, c’est tout. Rangez vos mouchoirs Nestor.

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  7. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    18 janvier 2013 à 12 h 46

    Pour ou contre les projets,ces maisons n’ont plus rapport dans le coin et c’est pour ça qu’on appelle ça un ILOT !! Anyway ils doivent tous garder leurs fenêtres fermées à l’année longue à cause du bruit du boulevard Laurier. Là ils peuvent vendre leur bungalow des années 50 et 60 au double(minimum) de leur valeur, je trouve ça un bon deal!

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    • Louis M.

      18 janvier 2013 à 16 h 12

      «c’est pour ça qu’on appelle ça un ILOT !!»

      îlot: la moindre recherche vous aurait mener là: http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Elot_urbain

      Une recherche plus sérieuse vous aurait donné ceci: «C’est la plus petite unité de l’espace urbain, entièrement délimitée par des voies. […] L’îlot lui-même est divisé en parcelles […]»: Merlin, Pierre, & Choay, Françoise. (Eds.). (2005) Dictionnaire de l’urbanisme et de l’aménagement. Paris: Quadrige.

      De rien.

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      • jeand Utilisateur de Québec Urbain

        18 janvier 2013 à 16 h 36

        Et c’est quoi le problème Louis M? On sait tous ce qu’est un ilot, avoir su que vous aviez besoin de la définition… Le point est bien sur que dans cette zone hyper-commerciale les bungalow sont destinés à disparaitre, mais au moins dans ce cas-ci les proprios vont faire de superbes affaires donc c’est gagnant-gagnant.

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      • Louis M.

        18 janvier 2013 à 17 h 30

        «On sait tous ce qu’est un ilot»: votre premier commentaire laisse croire le contraire.

        Sur le reste, je ne vous contredit pas.

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  8. jac

    18 janvier 2013 à 19 h 43

    A la loterie Olympique du maire Drapeau, il y avait 3 prix:
    1er = $1 million
    2ieme= $ 50,000
    3ieme= $5,000
    3 personnes avaient les mêmes chiffres et attendaient dans un antichambre le tirage au sort qui allaient départager leur rang…
    Ils se sont dits:  » concluons un pacte pour que peu importe qui gagne le gros lot, nous partagerons le tout en 3 part égales… Ainsi , il n’y aura pas de perdants! »

    L’ilot Lapointe me semble le même genre de pacte: tout le monde veut sa part du gros lot et personne ne veut être laissé sur le carreau!
    C’est une solidarité qui les honore et c’est « Humain » avec un grand H

    Mais de la à dire qu’ils défendent un quartier ou bien qu’ils luttent contre le néo-libéralisme ou qu’ils luttent pour un « urbanisme-a-visage-humain » ; je n’y crois pas trop!
    -L’ilot Lapointe est sous spéculation depuis 25 ans; ils veulent un bon réglement qui va les avantager et c’est normal!
    -Ca n’exclut pas un attachement à son Home et à sa localisation en face des centres d’achat!

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  9. Jean François Côté

    18 janvier 2013 à 22 h 16

    Pour ce qui est de d’Estimauville ,convaincu que Picard a entièrement raison. Ce secteur est un horreur ,une verrue urbaine ,je crois que c’est pire que le St Roch et le vieux port des années 80.

    Qu’un comité populaire décide de vouloir s’immiscer dans le processus est une pure perte de temps et surtout d’énergie.

    Un com pop est constitué d’éternel chialeur en quête de visibilité .

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      19 janvier 2013 à 00 h 11

      Il n’y a pas grand monde qui aura réussi à faire perdre le self-control de François Picard. Ce citoyen avait déjà publié dans le journal Le Soleil ses émotions, en invoquant (les délais) ce qu’il a répété devant l’élu. Ayant observé à plusieurs reprises l’écoute de M. Picard lors de telles consultations, et les propos tenus par des citoyens, je suis plutôt content qu’il ait enfin réagi. La patience et la bonne foi ont des limites.

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  10. Jeff M

    19 janvier 2013 à 09 h 17

    600 000$ pour un bungalow… Les résidants aussi ont étiré les délais dans cette histoire pour obtenir le gros prix.

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  11. Jean François Côté

    19 janvier 2013 à 09 h 35

    Je crois qu’il n,est pas exagéré d’affirmer que toutes constructions (développement )de deux étages et plus à Québec est devenu compliqué.

    Le principal écueil de l’administration Labaume ne sont pas les syndicats mais les comités populaires.

    La preuve ils ont eu raison d’un élu François Picard .

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  12. Jean Cazes (Monlimoilou)

    19 janvier 2013 à 11 h 33

    Il faut réécouter cet entrevue tiré d’un média crédible avant de dire n’importe quoi, encore et toujours, sur le dos de l’ENSEMBLE des « comités populaires » dont je fais en général la défense, d’autant plus que j’habite les quartiers centraux depuis 1991:

    http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2013/CBV/RadioCanadacetapresmidi201301181633.asx

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  13. Jean François Côté

    20 janvier 2013 à 11 h 04

    Moi aussi ça fait longtemps que j’habite les quartiers centraux.

    Le n’importe quoi est selon moi de préserver un trou à rats comme l’îlot Irving,proposer des parcs ,des parcs et des plans d’eau en lieu et place d’une densité normal d’un centre ville.
    Le n’importe quoi c’est aussi la peur de voir arriver de nouveaux voisins et un peu plus de trafic.

    La crainte de tout ce qui est haut et un peu gros. Le désir de demeurer petit et la crainte de perdre le soleil en milieu d’après midi.

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  14. dan

    14 mars 2013 à 10 h 01

    Qui sont les promoteurs ?

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  15. dan

    14 mars 2013 à 10 h 06

    De gros projets viendront assurément, seulement le temps les retarde ou bien la ville.

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