Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Plan de mobilité durable de Saint-Sauveur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 mars 2014 3 commentaires

À l’automne 2010, la Ville de Québec déposait une version préliminaire de son Plan de mobilité durable (PMD) et tenait une série de consultations publiques. D’emblée, très favorables aux orientations contenues dans ce plan, c’est avec beaucoup d’intérêt que les membres du Conseil de quartier de Saint- Sauveur et ceux du Comité des citoyens et des citoyennes du quartier Saint-Sauveur ont étudié le document, suivi les discussions et participé activement aux échanges.

Si, pour les deux organisations, la pertinence d’un tel plan ne faisait nul doute, ce n’est pas sans croire que sa réalisation puisse avoir des impacts considérables sur le développement et la vie dans les quar- tiers. Par exemple, le projet d’implanter une ligne de tramway qui traverserait le quartier implique un important changement dans les habitudes de déplacement ainsi que dans la vie de quartier en générale.

C’est dans ce contexte de transformations majeures au niveau de l’urbanisme et des transports sur l’ensemble du territoire de la Ville de Québec que nous avons soulevé, dès l’automne 2011, l’idée d’un Plan de mobilité durable du quartier Saint-Sauveur (PMDQ)

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Publications & ressources Internet, Tramway à Québec, Transport en commun.


3 commentaires

  1. Michel Beaumont

    24 mars 2014 à 07 h 11

    Ma foi, que de travail à effectuer dans ce quartier qui a été manifestement oublié sur bien des points.

    Les citoyens ont été assez patients jusqu’à maintenant. Le temps est venu de recevoir.

    Entre vous et moi, sans me tromper, la mobilité durable n’est qu’un point parmi plusieurs, mais plusieurs autres. Ce quartier, loin d’être huppé ou cossu, peine depuis longtemps sur un manque d’installations de loisirs digne de ce nom. Il n’y a pas d’aréna, les centres de loisirs sont vétustes et la revitalisation visuelle aurait besoin d’un lifting depuis longtemps.

    Personnellement, je suis ouvert à toutes les possibilités d’amélioration que la Ville peut apporter prochainement.

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  2. marc guy

    24 mars 2014 à 09 h 37

    la vrai mobilité durable passe par la mobilité de logement il faut que les citoyens demeure a distence de marche de leur travaille a Quebec actuellement les parc industriel sorte les emplois du centre ville et les gens le suive dans les banlieux ou que le travaille revienne dans le centre ville

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  3. Philippe Lehoux

    26 mars 2014 à 09 h 12

    Bravo pour le travail colossal! J’espère que la ville écoute et investira dans un quartier trop longtemps négligé ( négligé depuis toujours? ).

    J’habite la rue Carillon et voici les plus gros problèmes selon moi:

    1. Les trottoirs sont impraticables l’hiver à pieds. Les obstacles (poteaux de téléphones, bornes fontaines, marche pied) empêchent le déneigement. Avec une poussette on doit circuler dans la rue. Je ne crois pas qu’une personne en chaise roulante puisse utiliser les trottoirs. C’est très dangereux de se promener le soir avec les enfants.

    SOLUTION: A) Enfouir les bateaux. B) Élargir les trottoirs.

    2. La vitesse excessive des voitures à l’heure de pointe. La rue Carillon et plusieurs autres rues à vocation résidentiels sont utilisées comme voix de contournement et d’évitement par des voitures n’ayant pas comme destination le quartier ou par des gens de l’extérieur qui se stationnent gratuitement dans la les rues pour éviter de payer un parking au centre ville. Un afflux de gens stressés et pressés qui en ont rien à cirer du quartier et de sa qualité de vie.

    Solution: A) Réduire la largeur des rues, ajouter des `bumps` dans les rues résidentiels à chaque intersection (ou autres mesures plus temporaires, mobilier urbains comme des pots de fleurs en béton). Créer des culs de sac comme dans St-Sacrement.

    B) Instaurer des vignettes de stationnements à la grandeur du quartier.

    C) Transformer une place de stationnement sur 10 en espace vert (jardin, arbre et autres). Double bénéfice de combattre les ilots de chaleurs et le manque indécent de végétation.

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