Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les Suites de la Colline: état des travaux (3)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 septembre 2014 18 commentaires

Suites de la Colline Suites de la Colline Suites de la Colline

Un billet précédent

Les Suites de la Colline

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.


18 commentaires

  1. Jean François Côté

    10 septembre 2014 à 16 h 29

    J’aurais aimé que ce projet atteigne de dix à douze étages.
    Tant qu’à creuser un trou dans le roc qui prend des mois, pourquoi pas monter la structure un peu plus haute ?

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  2. Jean François Côté

    10 septembre 2014 à 19 h 21

    C’est vrai qu’à Québec, c’est compliqué et parfois insupportable tout ce que l’on peut entendre pour compromettre un projet.

    Vous avez entièrement raison pour tout ce qui est invoqué .

    La meilleure demeure le vent, l’ensoleillement est aussi une perle….

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  3. Franks Utilisateur de Québec Urbain

    10 septembre 2014 à 19 h 47

    Une autre raison à ajouter : Les gens ont une grande gueule, ils ne peuvent tout simplement pas s’empecher de chialer après toute sorte de choses pour se sentir important.

    En effet, on aurait pu monter bien plus haut ! On viens encore de gâcher un terrain extrêmement bien situé dans le voisinage des plus hautes tours de la Capitale. Alors que pendant ce temps on construit jusqu’à 12 étages à St-augustin de desmaures. Expliquez moi donc ça !

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Louis M.

      10 septembre 2014 à 20 h 19

      «Alors que pendant ce temps on construit jusqu’à 12 étages à St-augustin de desmaures»: Parce ce que ce qui se fait à St-Augustin-de-Desmaures est nécessairement bien?

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • Franks Utilisateur de Québec Urbain

        10 septembre 2014 à 20 h 40

        De grâââce, ne me dites pas que vous vouliez un autre parc ou une COOP d’habitation !

        C’était pour illustrer l’absurdité de bâtir en 2014 un 6 étages au pied du Complexe G (134m) au cœur du Centre-ville d’une Capitale de 800 000 habitants alors qu’en banlieue on monte jusqu’à 12 !

        Et puisque vous me demandez si c’est bien… je vous répond : oui !
        N’importe quel édifice en hauteur contribue à densifier la ville et à limiter l’étalement urbain en se concentrant à l’intérieur du périmètre urbain.

        Comprenez-vous ce principe fondamental ?

        Je n’ai personnellement rien contre les édifices de 6 étages car nous avons besoin de toutes les gradations possibles dans une ville. Mais l’endroit choisi n’est clairement pas le bon cette fois-ci.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Louis M.

        10 septembre 2014 à 21 h 24

        Combien de fois devra-t-ont répéter qu’hauteur n’égale pas densité, et encore moins bonne densité. Ce n’est pas en parsemant des tours ici et là (à 10-15km du centre-ville…), surtout lorsque celle-ci sont bordées de stationnements, que l’on obtient de la densité permettant la présence de commerces de proximité, de limiter les déplacements automobiles et de rentabiliser les infrastructures.

        Et qu’avez-vous contre les coop d’habitations? Si vous êtes un apôtre de la densification comme vous le dites, je ne vois pas qu’est-ce que vous pouvez avoir contre une mixité de type de logement et de mode de tenure.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        10 septembre 2014 à 22 h 47

        En passant, auriez-vous svp un exemple de ce qui constitue « une bonne densification » et ce, en haute-ville ? Merci.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • denisb

        11 septembre 2014 à 08 h 04

        Le problème, c’est qu’il ne restait que très peu d’espace disponible dans le centre-ville. Alors dans ce contexte, c’est assez difficile de voir comment on peut densifier sans mettre des édifices en hauteur.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
    • Sébastien Roy

      11 septembre 2014 à 12 h 14

      Alors je vous explique Franks! Avant de parler de densification de façon aléatoire en se fiant uniquement à la hauteur, fait le calcul!

      Ce minuscule terrain d’à peine 594m² accueillera 31 logements sur 6 étages, ce qui donne une densité de 521u./ha brute.

      En comparaison, le 4901 Rue Lionel-Groulx, un de ces fameux 12 étages de St-Augustin possède un terrain d’une superficie de 15 158 m² (donc 25,5 fois plus grand) et accueille 156 logements. Ce qui fait une densité de 103u./ha brute. La densité de cette fabuleuse tour est donc 5,77 fois INFÉRIEURE!!!

      Pourquoi cette différence? Eh bien les villes où la voiture est maître doivent construire en hauteur pour compenser l’espace dédié à l’automobile. Et ce, sans même jamais atteindre le cinquième de la densité des quartiers centraux. Pourtant, dès qu’on voit une tour de plus de 20 étages pousser à Ste-Foy, ont dit que le centre-ville se déplace…. Cette tour n’équivaut pourtant qu’à un 4 ou 5 étages en haute-ville!

      P.s. : Pour ce qui est des possibilités d’ajouter des étages sur cet immeuble en conservant le même taux d’occupation au sol, je vous rappel que le terrain ne fait que 594m², le stationnement sous-terrain est donc limité et ce n’est pas au quartier d’assumer les inconvénients afin qu’un promoteur fais plus d’argent (d’où la densification intelligente et contrôlé).

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • Simon Bastien

        11 septembre 2014 à 13 h 47

        La différence que vous expliquez ici vient du fait de la présence de terrain autour et la grandeur des unités. C’est un peu boîteux comme comparaison; il faudrait plutôt la faire à partir de la surface occupée par l’édifice.

        À hauteur équivalente, une tour à Saint-Augustin ou au centre-ville n’apportent pas la même densité à cause du terrain utilisé, soit. Mais ça ne contredit absolument pas le fait que bâtir plus haut en ville = plus de densité.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

        11 septembre 2014 à 17 h 46

        Si je comprends bien c’est donc ça le fameux calcul emberlificoté qui a permis, dans le cadre du débat sur l’îlot Irving, de prétendre que Saint-Jean-Baptiste est déjà d’une densité quasi intenable, une des plus élevées au pays, bien que le quartier ne cesse de voir sa population décroitre…

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Sébastien Roy

        11 septembre 2014 à 17 h 47

        La comparaison se devait d’être « boiteuse » puisqu’elle utilisait l’exemple « boiteux » de Franks qui contemplait les 12 étages à St-Augustin. Cette intervention visait à démentir le mythe très généralisé que la hauteur des bâtiments indique automatiquement la densité (preuve à l’appui).

        Pour le cas précis, l’absence de stationnement de surface permet d’avoir un taux d’occupation du sol plus élevé, contrairement à St-Augustin où les stationnements abaissent la densité. Mais j’ai bien mentionné qu’un terrain d’une si petite superficie, soit de 594 m², a ses limites. On pourrait effectivement ajouter 6, même 12 étages à se bâtiment et la densité serait doublée ou triplée, mais il faut également penser fonctionnalité. Je ne suis pas certain que le promoteur s’engagerait à creuser 6 étages de stationnement souterrain … ce qui serait peu pratique et excessivement coûteux car les accès aux différents niveau prendraient toute l’espace.

        Pour ma part, un 6 étages fera très bien la transition considérant que le quartier à l’ouest est constitué que d’immeubles à 3 étages. Et dans tous les cas, je crois qu’avec un projet de 521u./ha, la densification sur se terrain est bien réussie.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Sébastien Roy

        11 septembre 2014 à 18 h 05

        jfr1954 : Il s’agit d’un phénomène que tous les quartiers qui n’ont pas augmenté le nombre de logements dans les dernières années ont vécu, puisque le nombre de personnes par logement a sans cesse diminué dans les dernières années. Dans ce cas, l’ajout de logements permet de maintenir sa population. Il ne faut pas confondre densité de logement et densité de population.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

        12 septembre 2014 à 09 h 00

        @Sébastien Roy Justement; le type de développement favorisé ces dernières années dans Saint-Jean-Baptiste (petits immeubles d’une couple d’étages comme ceux des coops voisines) n’a en rien freiné la dépopulation du quartier qui a perdu 375 résidents en à peine 5 ans (de 2006 à 2011), perte qui s’ajoutait au déclin amorcé depuis longtemps. Et même avec l’ajout des deux seuls projets importants en cours dans le quartier (celui-ci et l’îlot Irving éventuelement), en tenant compte du nombre moyen d’habitants par logement, on ne freine absolument pas la tendance.
        Qu’on le veuille où non, en l’absence de terrains à développer, on aura pas le choix de pousser en hauteur quelque part sinon le quartier continuera sur la pente descendante dans laquelle il est engagé.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
  4. Franks Utilisateur de Québec Urbain

    11 septembre 2014 à 08 h 31

    Tout à fait ! Il aurait fallu maximiser le peu d’espaces restants !

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  5. Jean François Côté

    11 septembre 2014 à 09 h 19

    De la Couronne serait l’endroit idéal pour une prochaine densification en hauteur (dix étages).

    Car les bâtiments entre du Roi et des Commissaires côté est et ouest sont devenus taudis ou en voie de le devenir.

    Avec l’amphithéâtre qui est à proximité et le futur terminal du RTC sur du Roi et peut être un jour le tramway, ce quatre cent mètres de rue pourrait être très payant…

    Et il n’y a pas d’arbres à couper, ni de vieux bourgeois de Sillery et de St-Sacrement pour appeler les journalistes pour confesser leurs névroses.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler