Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Début des travaux du Domaine Marigot

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 novembre 2004 26 commentaires

Il semble bien que la construction du golf et du domaine Marigot soit commencée. Hugo Comtois me mentionne en effet que la coupe des arbres le long de l’autoroute 73 entre le Jardin zoologique et le marché aux puces Jean-Talon soit débutée.

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Commercial, Condo, Projet - Condos et golf marigot.


26 commentaires

  1. Francis Lacasse

    29 novembre 2004 à 19 h 43

    Effectivement, les travaux sont commencés!! Non seulement, il y a abattage des arbres mais il y a drainage des marais environnant.

    Encore un fois, étant incapable de s’émerveiller devant la nature il nous faut se créer un environnement artificiel, sur mesure, sans goût, des titi châteaux pour les gens en mal de divertissements.

    Bande de cave.

    Francis

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  2. Maxime L.

    29 novembre 2004 à 20 h 09

    Ils assèchent le marais ??! C’est scandaleux!

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  3. Jean Cazes

    29 novembre 2004 à 22 h 19

    Et bien sûr, on construit un golf, encore: sport élitiste par excellence et un non sens au plan écologique!!

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  4. Sébastien

    29 novembre 2004 à 23 h 00

    Ben oui y drainent les marais!! Et personne pour empêcher ce nouveau massacre de nos éco-système!!

    J’y suis allé prendre des photos pour la Division urbanisme, j’y suis resté bouche-bée devant ce saccage de mon terrain de jeux d’enfance!

    Y a même eu un ruisseau de détourné! Ce qui est totalement illégal! Je ne sais pas ce qu’il en est advenu depuis qu’on a fait parvenir les photos à l’Arrondissement…

    Lorsque j’y suis allé j’ai vu des traces de chevreuil… j’ignorais qu’il y en avait aussi près des milieux habités!

    On vois comment nos dirigeants ne sont intéressé que par une chose: encore plus de belles taxes foncières!!! Hey! C’est moi qui a fais l’analyse de conformité au Plan d’urbanisme et au Schéma pour cette cochonnerie! TOTALEMENT NON-CONFORME, tant au niveau du schéma qu’au niveau du plan!! Qu.à cela ne tienne! On va modifier le plan et le schéma! That’s it, that’s all!

    Pendant ce temps-là ces banlieusards d’Orsainvillois s’en câlissent ben comme faut!

    Mon collègue à la Ville demeure sur une des rues perpendiculaire au boulevard du Jardins et va accoter le futur golf. Ils n’ont jamais entendu si fortement les bruits de l’autoroute Laurentienne!! Ils voient même les voitures depuis qu’ils ont rasé les arbres!!

    Ben tant pis pour vous autres à les banlieusards de Charlesbourg! Vous allez l’entendre astheur le Laurentien! Dans le fond c’est bien mérité!

    Bye!

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  5. Martin Paré

    30 novembre 2004 à 07 h 55

    C’est vraiment triste tout ça! À quand un parti municipal vert à Québec? Ce genre de chose ne devrait jamais avoir lieu. À quoi ça sert des règles si elles ne sont pas respectées. C’est vraiment un SCANDALE! Nos élus municipaux devraient avoir honte. C’est facile de critiquer les politiciens. Nous, on a rien fait non plus. :-(

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  6. Daniel Chouinard

    30 novembre 2004 à 08 h 59

    Tant et aussi longtemps que la principale source de financement des municipalités va demeurer les taxes foncières, nous allons assister à cette forme de développement qui sacrifie les derniers milieux nos développés en région urbaine. En effet, c’est pas rentable pour les finances d’une ville d’avoir de grand territoire en « friche » dans sa cour… Un financement différent aiderait à diminuer la pression du développement à outrance. Les gouvernement supérieurs devraient mettre en place des incitatifs à cette fin et des « punitions » fiscales aux municipalités qui détruiraient sciemment des milieux à grande valeur environnementale.

    Les décideurs sont sensibles aux pressions de toutes sortes. Celle des promoteurs qui est appuyée par des moyens ($$$) et celle de certains médias fort écoutés ou lus localement qui ne pensent pas beaucoup à la diversité biologique et aux conséquences à long terme de voir disparaître différentes zones encore à l’état presque « sauvage » ou des terres agricoles de bon potentiel.

    Alors aussi longtemps que ceux qui souhaitent préserver ce qui nous reste de diversités biologiques ne seront pas regroupés au sein d’un nombre limité de lobby aussi puissants, ça va je pense continuer comme c’est parti. C’est malheureux, mais comme ça. Tant qu’une réelle pression n’amènera pas les décideurs publics à prendre des actions concrètes pour faire du vrai développement durable, la pression ne viendra pas de ceux qui sont bien dans leur confort actuel (voiture, centres d’achat, etc…).

    Ce serait intéressant de voir comment évolueraient à moyen et long terme les décisions des décideurs publics si un plus grand nombre de ceux qui pensent réellement développement durable, préservation de l’environnement et de la diversité biologique investissaient régulièrement les assemblées publiques d’arrondissement et de ville en grand nombre. Sur place, s’ils pouvaient avoir un discours solide et articulé, ça finirait certainement par avoir de l’impact. Depuis deux ans, j’assiste de temps en temps aux assemblées publiques de mon arrondissement. Les interventions qu’on y entend et auxquelles répondent les élus sont loin des préoccupations qui nous intéressent ici. C’est la plupart du temps des récriminations de citoyens dont les préoccupations s’arrêtent aux trottoirs et la rue devant leur maison, aux feux de circulation avec passage de piétons qu’ils voudraient voir disparaître car cela les empêche d’aller plus vite… misère. Donc si ces interventions étaient banalisées par plusieurs plus songées, pourrait-on espérer voir les choses changer?

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  7. JT

    30 novembre 2004 à 15 h 48

    Je suis parfaitement d’accord avec vous.

    Si vous êtes convaincu de ce que vous avez écrit, je vous invite tous à faire un téléphone au 641-6004. Vous demandez à faire une plainte parce que vous pensez qu’il n’y a pas eu de permi pour la coupe d’arbre, la construction d’un golf…

    Une fois qu’une plainte est faite, elle est vérifiée par un inspecteur. Les problèmes trouvés sur place, même s’ils ne faisaient pas parti de la plainte, seront traités.

    Stratégiquement, il faudrait étaler les plaintes dans le temps pour éviter que l’inspecteur soupçonne le complot… Si c’était le cas, la plainte serait traitée comme une autre, soit d’après son ordre d’enregistrement. Ce qui peut prendre jusqu’à 1 an et demi ou 2 ans.

    La multiplication des plaintes sur un même sujet, par différentes personnes, aide à ce que le dossier soit traité plus rapidement.

    Pour ce qui est du ruisseau, il faudrait vérifier auprès du ministère de l’environnement si c’est de leur responsabilité. Le numéro des plaintes est le suivant : (418) 644-8844. (Ils sont à Charlesbourg !)

    À moins de cas extrème, un dossier n’est pas traité s’il n’y a pas de plainte.

    En fait, ce serait bien que l’on puisse avoir une influence là dessus. Mais le problème c’est que les entrepreneurs ont sans doute obtenu un permi.

    J’achète la carte de membre de celui qui partira un parti qui défendra ces idées là.

    Longue vie au parti !

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  8. Jean Cazes

    1er décembre 2004 à 08 h 47

    Cette fois, j’endosse complètement le commentaire de Sébastien, de même que les propositions de JT: je compte sur vos contacts, votre gros bon sens et vos expériences pour fonder un parti vert à Québec, dans lequel j’embarquerai à pieds joints!

    Beau sujet à développer dans le Forum…

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  9. Martin Paré

    2 décembre 2004 à 13 h 17

    J’embarque aussi. Vivement un parti vert à Québec!!!

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  10. Philippe

    13 janvier 2005 à 14 h 16

    Wow !! Une bande de gens non informés !!

    En passant, ce que vous appeller « Marais » c’est en fait 2 sorties d’eau de la ville de Charlesbourg qui avec les années a formé un marais artificiel … pis en plus de tca … avez-vous déjà vu des épinettes pousser dans un vrai marais ??? Parce que durant l’abattage ils en ont trouvés en quantité industrielle …

    Donc messieurs, la désinformations règne !!

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  11. Sébastien

    15 janvier 2005 à 19 h 50

    C’est pas la zone au complet qui est un marais!! Y a un espèce de plateau, au bout de la rue des Blaireaux, qui servait autrefois de dépôt à neige pour la ville de Charlesbourg, qui divise les deux zones marécageuses: celle accotant le zoo, et l’autre au sud accotant la rue Périgord! Dans la partie où sont situés le ruisseau Laurentien et Des Marais, y a plusieurs buttons où poussent des énormes épinettes blanches!… dans la partie sud, sur le bord de l’autoroute Laurentienne, y a un massif boisé composé surtout d’épinettes noires, de mélèzes laricins et de bouleaux blancs, qui sont des espèces (surtout l’épinette noire(!) et le mélèze!) poussant très bien en milieu humide! Cette zone n’est pas à proprement dit un marais, mais elle est entourée de marais où rien n’y pousse excepté des quenouilles, des fougères et du carex.

    Pour le reste vous n’y trouverez pas grand chose que des essences poussant en milieu humide: Mélèze, épinette noire, saule, aulne, érable rouge et peuplier!

    Même le boisé, lorsque j’y allais il était impensable d’y aller sans bottes, à moins de revenir le bas des jambes complètement détrempé!

    Ce secteur est une cuvette naturelle! Normal qu’il s’y rammasse de l’eau! Les ruisseaux Laurentien et Des Marais ainsi que la rivière du Berger contribuaient déjà à drainer en partie le terrain! C’était, en grande partie, un milieu humide à l’origine, excepté la partie centrale, située à peu près entre les rue des Biches et des Martinets, qui était autrefois agricole!

    Désinformé toi-même!

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  12. JT

    22 janvier 2005 à 10 h 03

    Création de l’homme ou pas, un milieu humide reste un milieu humide. La richesse écologique du milieu ne serait pas moins importante parce que l’humidité viendrait de canalisations…

    Pour suivre le projet : http://www.lemarigot.com/

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  13. J

    30 janvier 2005 à 23 h 46

    Ce projet viendra revigorer un Nord de Charlesbourg qui ne cessait de perdre ses atouts. Le projet du Marigot est selon moi très bienvenu. Pour ce qui est du terrain, eh oui, il faut installer ceci sur des bases naturelles, mais restant près de là-bas, je peux vous dire que l’état de ce boisé (et le mot est exagéré) était en décripitude constante d’année en année. Notez qu’un des milieux les plus humides de l’endroit (vers Périgord) est préservé dans son entièreté.

    Vivement que ce projet obtienne un franc succès.

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  14. jean-francois

    10 février 2005 à 01 h 41

    La region de Quebec est en manque de gros projets et lorsque quelqu’un veut creer du nouveau et des emplois, tout le monde chiale a propos de tout, mes arbres, ma riviere, mon marais, ma foret,etc.

    Ayant travailler dans l’industrie du golf pendant plus de 7 saisons, je crois que les effets sur l’environnement sont tres minimes tout dependament de la facon dont sera construit le terrain.

    L’architecte devra tenir compte des espaces a garder intacts et la facon dont le drainage sera construit.

    L’autre chose a tenir compte est l’utilisation raisonnable de pesticide,fongicide et l’engrais dans l’entretien du terrain dans les annees a venir.

    Ca fait longtemps que la region avait besoin de projets de golf comme celui la, comme le projet la Tempete a Breakeyville.

    Je pense que la construction du terrain lui-meme va aider a drainer le marais de meilleure facon et a attirer de nouveaux locataire du marecage dont de nouvelles especes d’oiseaux, petits rongeurs,etc.

    Tout depend en fait de l’architecte, de la construction, du drainage et de la facon dont sera maintenu le terrain dans les annees a venir, donc quelqu’un devra jeter un oeil attentif sur le projet.

    Bonne chance tout le monde

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  15. Maxime L.

    10 février 2005 à 15 h 18

    O.K., Je ne suis pas golfeur et ce marais n’a peut-être pas une valeur écologique exceptionnelle, mais croire qu’un golf a des « effets minimes sur l’environnement » relève d’une ignorance assez importante. Aussi, « …la construction va aider a drainer le marais de meilleure facon… » : ce qui peut bien arriver de pire à un marais (ou milieu humide)c’est bien de faire drainer!

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  16. Jean Cazes

    11 février 2005 à 12 h 16

    « La region de Quebec est en manque de gros projets et lorsque quelqu’un veut creer du nouveau et des emplois, tout le monde chiale a propos de tout, mes arbres, ma riviere, mon marais, ma foret,etc. »

    Je ne sais pas quel âge que tu as, JF, mais Dieu sait qu’en 30 ans, j’en ai vus, des milieux naturels de grande richesse écologique se réduirent comme peau de chagrin ou carrément disparaître dans la région immédiate de Québec au profit du sacro-saint « développement », que ce soit pour du résidentiel, des grandes surfaces ou pour des projets inutiles et élitistes comme le golf: battures de Saint-Augustin, tourbières du secteur de la base de plein-air de Sainte-Foy, boisés autour du lac Saint-Augustin et au sud du Zoo…

    Bref, il est temps d’arrêter ces folies et de consolider enfin les nombreux terrains vagues qui pullulent au voisinage du centre-ville!! À ce titre, des immeubles du type Marigot auraient très bien pu s’intégrer dans le secteur de la Pointe-aux-Lièvre, par exemple…

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  17. J

    16 février 2005 à 17 h 02

    Bien sur, un golf à la Pointe-aux-Lièvres. Quelle pertinence !

    Québec a besoin de projets importants. Le Marigot en est un. Et en plus, ça va alimenter les gens de Charlesbourg. Nommez-moi un projet d’envergure à Charlesbourg dans les dernières années à part l’échec lamentable du zoo.

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  18. N

    2 avril 2005 à 21 h 09

    Enfin un projet qui sera profitable pour les jeunes qui pourront y travailler et se dirvertir, les plus vieux qui sortiront pour manger ou pour faire un peu de sport et la ville qui en retirera une source de revenu supplémentaire.

    Soyez heureux chères banlieusards, sa donnera de la valeur à votre terrain.

    Québécois = il ne faut pas être chialleux…

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  19. Frédérick Desjardins

    8 octobre 2005 à 15 h 53

    Je suis assez déçu des commentaires lus sur ce site. En tant que résident limitrophe du développement je considère que les promoteurs ont fait un très bon travail en consultant et en laissant choisir les voisins immédiats du type d’aménagement qu’ils désiraient avoir près de leur demeure.

    De plus, ceux qui s’insurgent contre l’assèchement du ¨marais¨ soyez informés que depuis quelques années le surplus d’eau sur ce terrain causait de sérieux inconvénients comme l’écoulement difficile des eaux de pluies.
    Somme toute je crois que ce projet mérite plus que ces commentaires mals intentionnés et subjectifs.

    Notez bien que je serais l’un des premier à applaudir la création d’un parti municipal dit ¨vert¨, cependant la protection de l’environnement doit se faire dans une optique d’accroissement du gâteau collectif et non de régression de notre richesse commune.

    ¨¨Vivre et laisser vivre, voici le vrai défi!¨

    Frédérick Desjardins
    Étudiant à l’université laval (B.E.A. Économique)

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  20. Sébastien

    8 octobre 2005 à 20 h 45

    « De plus, ceux qui s’insurgent contre l’assèchement du ¨marais¨ soyez informés que depuis quelques années le surplus d’eau sur ce terrain causait de sérieux inconvénients comme l’écoulement difficile des eaux de pluies. »

    Les inondations qui ont eu lieu à l’Ancienne-Lorette et Lac-Saint-Charles sont due en grande partie à l’imperméabilisation du sol et à la disparition des zones tampons, ou tout autre secteur qui contribuait à la rétention des eaux de pluie. Le secteur du Marigot, je le connais bien pour l’avoir fréquenté durant presque 20 ans. C’était une cuvette en partie marécageuse (tellement qu’au arbre ou arbuste ne poussaient dans les secteurs les plus mal irrigué!) Bref un immense bassin de rétention pour les eaux de pluie, en plus d’un milieu écologique très riche!

    L’écoulement des eaux de pluis, avec les remblais qu’il y a eu sur ce terrain, n’en sera que plus difficile en passant! Lors de grosses averses, L’eau risque de s’écouler vers la rivière du Berger, en passant par le nouveau développement à l’ouest de la rivière du Berger. La rivière donc, et le ruisseau Laurentien verront leurs débit s’accroître lors de ces grosses averses, aggravant le risque d’inondation en aval!

    Les propriétés qui doivent subir l’effet néfaste des eaux de pluie doivent être les résidences des nouveaux développements en question! J’avais 12 ans et je trouvais complètement loufoque l’idée de construire dans ce marais!! Les événements récents (l’enfoncement de certaines maisons) donne raison au ti-kid de 12 ans que j’étais! La faute en reviens donc aux promoteurs, à la Ville et aux acheteurs, pour avoir fait fi de ces aléas!!

    Ne dénigrez donc pas ceux qui se montrent en désaccord avec ce projet!

    Sébastien Dumas (Technicien forestier de formation et urbaniste de profession, ancien résident du secteur Orsainville)

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  21. Lisette

    8 octobre 2005 à 21 h 59

    Monsieur Dumas,

    Lors de votre stage en foresterie ou durant votre carrière, avez-vous eu l’occasion de travailler comme guide forestier au Manoir du Lac Brûlé, ou au Club Corporatif du Lac Portage ou bien au Domaine Chabanel ?

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  22. Sébastien

    9 octobre 2005 à 14 h 00

    Lisette,

    J’ai déjà passé une entrevue téléphonique pour le manoir du Lac Brûlé mais je n’ai pas été engagé… C’était en 2001 si je me souviens bien!

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  23. Lisette

    9 octobre 2005 à 16 h 40

    Ah oui, si tu avais rencontré Dave Craig je suis certaine qu’il t’aurait engagé, il est toujours à la recherche de bons prospects. Par le fait même, nous nous serions rencontré à mon endroit favori, j’adore la pêche, le bois et je suis allée à multiples reprises au Lac Brûlé. Mon beau-père était d’ailleurs le président de ce club de pêche au nom de L’Anglo, la Reed et de la Daishawa.

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  24. Sébastien

    10 octobre 2005 à 13 h 22

    Bonjour Lisette,

    J’habitais à St-Ferréol autrefois, et je me suis souvent aventuré sur les terres du PSQ… à mes risques et périls!!!

    Personnellement je trouve un très dommage que tout ce territoire (de St-Adophe à St-Tite, sois une frange de près de 80km ceinturant Québec) soit interdit à la population! Ce territoire est vraiment riche en attrait, par exemple qui sait ici que le sixième sommet au Québec se situe dans notre cour arrière (Mont Raoul-Blanchard, 1166m)? J’ai gravi cette montagne qui rappelle au loin le sommet d’une montagne rocheuse du BC, la vue est spectaculaire! Malheureusement seul quelques privilégiés (ou téméraires) y ont accès!

    Si vous vous y aventurez, trouvez-vous une bonne excuse, parce que les propriétaires de clubs privés du coins n’entendent vraiment pas à rire avec les intrus!

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