Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Rapailleries

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 mars 2010 46 commentaires

Pierre-André Normandin
Le Soleil

(Québec) Présenté comme une star du marketing aux États-Unis, Clotaire Rapaille a d’abord cultivé l’art de se vendre lui-même. À lire tout ce qu’il dit de lui-même, le Français d’origine aurait assisté au débarquement de Normandie, écrit LA référence du monde publicitaire français, vécu son «rêve américain» en devenant consultant auprès des plus grandes multinationales et serait passé à un doigt de mourir dans les attentats du 11 septembre 2001! Mais qui est vraiment Clotaire Rapaille? Le Soleil a enquêté à la frontière entre le mythe et la réalité

La suite

Révélations sur Rapaille: ébranlé, Labeaume exige des explications

Québec, la ville canon François Bourque, Le Soleil

Mise à jour: M. Rapaille va s’expliquer lundi A suivre. On dirait un téléroman ! :)

Le vrai fumiste n’est pas Rapaille Yves Boisvert, La Presse

Un billet précédent

Voir aussi : Conférences / évènements, Québec La cité.


46 commentaires

  1. Yvan Dutil

    28 mars 2010 à 08 h 52

    Il semble que nous étions plusieurs à avoir flairé la supercherie? Le maire serait-il entouré de yesmen à l’esprit critique douteux?

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    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      28 mars 2010 à 17 h 12

      bon bon bon les suiveux et renineux de pet sont au rendez-vous…

      Moi seul a eu le courage de déposer une plainte le 29 janvier quand j’ai vu que personne n’osait agir. J’ai demandé à ce que le comité exécutif suive la loi qui est qu’un contrat de plus de 100,000$ doit passer par l’appel d’offre. Labeaume a manigancé qu’il paye pour…

      J’attends toujours la réponse du Ministre des Affaires Municipales. Mais avec les événementrs qui se passent, je ne suis pas pressé, làma plainte prend du poids et de la valeur…

      Labeaume a été charmé par le beau parleur français qu’il a rencontré sdans un événement mondain à New-York quand le team Aubut-Labeaume s »est rendu rencontrer Garry Betman.

      Au fait ce voyage à New-York, le DGE a obligé Labeaume à le rapporter dans ses dépenses électorales. Est-ce que le contrat de Rapaille en fait partie car il l’a rencontré et engagé en pleine élection ???

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  2. davedeux

    28 mars 2010 à 09 h 24

    Lors de son engagement, j’avais moi-même dénoncé Rapaille
    comme étant un illusionniste. Malheureusement les Labeaumesucker
    de ce forum c’étaient porter a sa défense et ce malgrès les nombreuses mises en gardes disponibles sur le net.
    Autrement dit, ce qui a fait la manchette dans le Soleil hier (bravo
    au journaliste) était déjà fort connu en Europe.
    En ce qui concerne Labeaume, malgrès les mises en garde, il
    semble que le Premier Magistral est fait de l’aveuglement volontaire. Et là quand je vois mon Régis faire semblant d’être
    irrité. Quel spectacle pathétique.
    Toujours en restant poli, je rajouterais que malgrès les « égarements » historiques de Rapaille lors de la première
    conférence de presse (Ah j’aimais bien écouté Félix Leclerc durant
    l’occupation Allemande) et ce en présence du Maire, ce dernier
    avec son grand sourire béat, gobait les paroles du « King du
    matketing ». Et je passerais sous silence la blague douteuse
    de Clotaire sur les gens âgés, blague qui a bien fait rire Régis.

    Ne parlons pas des journalistes qui avaient tout les outils en main
    pour faire leurs enquêtes (internet) et qui malgrès tout ont
    accourus comme de brave petit pitou aux conférences de presse
    pour boire la parole divine. Amen

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  3. LouisL

    28 mars 2010 à 09 h 37

    ..si tou cela est vrai…qu’elle honte pour le Maire !!!

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    • Pier Luc

      28 mars 2010 à 09 h 39

      Un charlatent, merde!
      Comment ça se fait que la ville l’a engagé?

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      • Yvan Dutil

        28 mars 2010 à 10 h 44

        Parce que cela flattait l’égo du maire d’engager un expert internationalement reconnu. De plus, l’idée selon laquelle changer l’image de la ville règlerait bien des problèmes à Québec collait à l’idéologie du maire: une solution rapide et facile aux problème de la ville.

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  4. Marc

    28 mars 2010 à 10 h 15

    Ce n’est pas la ville qui l’a engagé,c’est le maire lui-meme avec son impatience coutumiere…

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  5. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    28 mars 2010 à 10 h 20

    Rappaille rit…Labeaume pleure..

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  6. Yvan Dutil

    28 mars 2010 à 10 h 41

    Si vous voulez mon avis tout à fait personnel, le maire Labeaume est un autre de ces petits boss qui polluent le Québec. Le genre de boss qui entre dans une compagnie et disant que tout est croche sans prendre le temps de regarder ce qui marche pas. Il chamboule tout et place son sa gang de yesman. La réflexion c’est une perte de temps et d’argent ce qu’il faut c’est de l’action, c’est à cela que l’on reconnait les vrais leaders!

    Tout à l’air beau pendant 2-3 ans après les bons employés s’écœurent d’être pogné avec un énergumène et quittent l’un après l’autre l’entreprise. Ensuite, le type se fait sacrer dehors. Le gars rajoute une ligne à son CV. Il a donc plus d’expérience encore comme gestionnaire, se trouve une place dans une autre entreprise et le manège recommence ailleurs.

    Le pire c’est que le québécois moyen aime ce genre de clown et en redemande.

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    • LouisL

      28 mars 2010 à 10 h 54

      Le bilan de Labeaume, même avec Rapaille, reste positif tout de même….mais disons que le regard des citoyens risque d’être un peu plus critique à l’avenir…

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      • Yvan Dutil

        28 mars 2010 à 12 h 30

        C’est quoi le bilan de Labeaume. Il surfe sur le 400e qui a été essentiellement de travail d’autres personnes. Il s’est pogné avec les pompiers, les policiers, les cols bleus. Il change d’idée 2 fois par semaine sur le transport en commun.

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      • Réal Utilisateur de Québec Urbain

        28 mars 2010 à 13 h 06

        On aura compris, relativement à ce bilan dit positif par ses supporteurs, que tout ce qu’a fait ce maire à date se résume à des gros shows pour amuser et distraire la population, jouant même à être promoteur de combats de boxe au Colisée.

        Mince comme bilan.

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      • Patrice Utilisateur de Québec Urbain

        28 mars 2010 à 16 h 47

        J’ai comme la facheuse impression que le maire Labeaume n’est lui-même que funesterie. C’est même à se demander si ça tourne rond dans sa caboche. Et je dis ça sans sarcasme ou provocation. Il s’est littéralement empêtré concernant les négociations avec les différents employés de la ville. Il dit une chose, et son contraire, le lendemain (le plus bel exemple demeure le transport). Il n’a aucune réalisation à son actif. Il surfe sur les restants du 400ème. Aucun projet concis, toujours des idées garochées à « vas-y comme je te pousse ». Toujours des projets floues, des « grosses affaires qui se préparent », du flan. Jamais rien d’officiel, de la poudre aux yeux, suivant les idées populistes à la mode comme le nouveau Colisée, le retour des Nordiques, les Olympiques.

        Je ne suis pas contre ces projets mais encore là rien de concret, rien que des belles paroles. Encore du bla-bla. Ou bien il nomme quelqu’un pour voir si ça une chance de fonctionner, comme Rousseau pour les JO. Quelle est sa vision à court, moyen et long terme pour la région? Que veut-il léguer comme héritage? Au moins, si lui-même en avait une petite idée…

        C’est vraiment à se demander s’il y a un pilote dans l’avion. Le maire Lallier avait des détracteurs mais il a osé et fait avancer la ville de Québec comme jamais. D’ailleurs c’est toujours un peu suspect de voir Labeaume s’inspirer du maire Lamontagne, qui fut à l’origine de bien des dégâts pour la ville…

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  7. Humanité inc.

    28 mars 2010 à 10 h 54

    Pour un vendeur d’image, il fallait s’attendre justement que la plus raffinée et la plus étudiée soit la sienne! Depuis le début, on sent que tout est calculé.

    Chapeau à ce qui semble être un excellent travail journalistique. Il reste à savoir ce que (Gilbert!) Rapaille va sortir pour sa défense.

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  8. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    28 mars 2010 à 11 h 51

    ce que je trouve drôle c’est que lorsqu’il a travaillé pour Chrysler…tout était beau, le ciel était bleu….et, bang il débarque à Québec, et c’est la 3e guerre mondiale…sil est vraiment ce qu’il dit et bien Labeaume n’a pas à rougir…et sil ne l’est pas et bien la carrière se sera terminé grâce à Labeaume…un imposteur de démasquer

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  9. Pier Luc

    28 mars 2010 à 11 h 59

    Peut être qu’il est un spécialiste de la menterie et que Chrysler l’a aimé parce qu’il lui a permit de mentir à ses clients, de montrer une image de la compagnie que les clients voulaient voir. Mais, est-ce qu’on a envie de tomber dans les affaires croche, que le monde pensent que Québec c’est une ville de crosseurs?

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    • Manu

      28 mars 2010 à 19 h 51

      En fait, c’est plutôt que dans le cas de Chrysler (et dans tous les autres cas en fait0, on voulait décoder les « clients » pour permettre à Chrysler de leur vendre de la marchandise. Dans ce cas, il est tout à fait approprié de trouver le « code » des clients potentiels pour bien les cibler.

      Toutefois, ici c’est le contraire, on veut décoder la « marchandise » (la ville de Québec, qu’on souhaite vendre) mais cela ne permettra pas de cibler les « clients » potentiels .

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      • Pier Luc

        29 mars 2010 à 16 h 24

        Vous marquez un point. En décodant les clients, on pourrait savoir dans quelle direction aller avec la ville et pas seulement au niveau de la pub. On pourrait développer la ville dans le sens qui permettrait d’attirer des entreprises étrangères et des immigrants.

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      • Nestor

        29 mars 2010 à 16 h 53

        Une ville à vendre? Qui va en payer le prix, si ce n’est ses habitants (tout particulièrement les sans-voix et les sans-droits)? Une ville n’est pas un paquet saucisses à hot-dogs, enlève toi ça de la tête.

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  10. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    28 mars 2010 à 13 h 02

    Avec le style du maire, il fallait bien s’y attendre! Il n’aime pas perdre son temps à faire des vérifications sommaires avant de mettre en pratique ses géniales idées. Et bien voilà ce qui se produit.

    Le maire aime les solutions McDo : Fast and Easy. Je crois qu’on va voir ce genre d’erreurs se multiplier jusqu’à la prochaine élection. À ce moment-là, j’espère que l’électorat saura voter de façon plus prudente.

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  11. Un lecteur assidu

    28 mars 2010 à 13 h 12

    COMMENTAIRE SUCCINCT:

    Oui, moi aussi j’ai été non seulement littéralement estomaqué mais également « blessé », ……pour ne pas dire plus ( ! ), de lire les articles du journaliste du Soleil, ( qui, manifestement, semble avoir fait un vrai travail de bon journaliste ) au sujet de « Monsieur » ( ! ) Rapaille.

    J’ai alors jugé que c’était peut-être à notre tour de maintenant crier « WOW » !

    Ceci dit, à cette étape, je ne me sens pas prêt à me comporter comme un chacal et à « sauter » sur notre Maire.

    Ça m’apparaitrait trop facile, pour ne pas dire trop « prématuré » et facilement démagogique.

    Je préfère d’abord attendre de connaitre tous les tenants et aboutissants pour ensuite me faire une opinion éclairée et finale.

    À ce moment « ici » ( pour rappeler une expression souvent employée d’un ancien Premier ministre toujours vivant ), je me permets de vous laisser avec la citation qui suit :

    « Il ne faut pas juger un homme sur ses fréquentations.
    Ne perdons pas de vue que Judas avait des amis irréprochables.»

    Ernest HEMINGWAY

    Bonne réflexion.

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    • davedeux

      28 mars 2010 à 13 h 24

      Votre point de vue ce défend très bien. Par contre faut avouer que
      les informations sur Rapaille étaient abondantes et que plusieurs
      avaient actionné le voyant rouge. Autrement dit, Labeaume avait
      la possibilité de prendre en note toute l’info sur le bonhomme et
      non pas boké comme un enfant.
      S’il ne faut pas effectivement juger un homme sur ses fréquentions, il n’en n’est pas de même sur ses fixations.

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    • Yvan Dutil

      28 mars 2010 à 13 h 56

      On ne blâme pas le maire pour cette erreur. Le problème c’est qu’elle est tout simplement trop représentative de son mode de gestion pour passer par dessus.

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  12. Réal Utilisateur de Québec Urbain

    28 mars 2010 à 13 h 15

    Cet exercice de théories fumeuses et de décodage d’évidences élémentaires, grassement payé à même nos taxes, aura au moins réussi à faire rire de la ville de Québec dans toutes les chaumières du Québec. Une façon comme une autre de se mettre sur la sacro-sainte et vénérée Map.

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  13. davedeux

    28 mars 2010 à 16 h 13

    Le cas de Rapaille est tellement commune a plusieurs ville de
    petite et moyenne importance qui cherche a avoir leurs places
    sur l’échiquier des grands, qu’il y a même un épisode des
    Simpsons qui est consacré a ce phénomène des élites prêtent
    a tout pour jouer dans les grosses équipes. Pour cela, il existe
    des marchand d’illusions, grassement payés,ils sont sollicités tant pour leur « connaissance » que pour leur CV bien « remplis ». A les
    entendre, leurs tableaux de chasse suscitent biens des jalousies.
    Comme pour le chamanes des temps préhistoriques, les
    Rapailles modernes ne font que adapter leurs discours aux
    espérances de ceux qui les engagent. Car c’est bien là leur génie,
    savoir ce que veulent les gens et faire en sorte d’avoir le même
    discours et déclaré « Je vous ai compris ».
    Voilà le lien pour l’épisode des Simpsons (Saison 4, 12 épisode
    du 20/11/93 , Le vendeur de monorail.

    http://www.youtube.com/watch?v=OC56hnyiP_s

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  14. Jeff M

    28 mars 2010 à 17 h 09

    J’espérais trouver des critiques à l’égard de Rapaille sur la méthodologie de ses travaux, ce qui ne s’est jamais réellement fait. Même si tout ce débat s’est déplacé sur des conjectures, j’avoue que là c’est lourd à porter. Rapaille a été très imprudent de dire des faussetés sur lui même, mêmes anodines, tout en attirant l’attention sur lui à l’occasion d’un contrat accordé par le secteur public. Ca semble s’expliquer en partie par le fait que ce soit sa première expérience du genre, trop habitué à travailler avec le privé avec des compte à rendre essentiellement à un conseil d’administration. Sa personalité semble aussi entrer en ligne de compte.

    Si on veut utiliser cette histoire pour faire du Labaumebashing, je ne suis pas d’accord. J’ai un respect pour le risque et l’essai-erreur qui permet d’ouvrir des portes. Pour quelque chose qui ne revient même pas à 1$ par habitant, je trouve franchement qu’il y a pas de quoi à jouer les vierges offensées.

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    • davedeux

      28 mars 2010 à 17 h 30

      Si vous trouvez que mentir sur un supposé diplôme et sur
      contrats fictifs est anodins, et bien je part à la course refaire
      mon CV. Tenez je crois me souvenir d’avoir travaillé pour
      Universal Studio comme conseillé en stratégie d’image auprès
      de la guilde des acteurs et actrices oscarisés.
      Blague a part, si j’ai bien compris votre intervention, les « petits »
      mensonges sont excusables du fait que le Monsieur vient du
      privé. Vous avec une belle image du privé surtout des conseils
      d’administrations. Vous nous confirmez que les CA du privé surf
      sur le mensonge. Belle mentalité.

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      • Jeff M

        28 mars 2010 à 19 h 58

        Mentir sur son CV est inexcusable.
        Ce sont plutôt les exemples du genre les chansons de Félix Leclerc durant la guerre que je trouve de l’ordre du blablatage. Mais peu importe, il est responsable de son malheur.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        30 mars 2010 à 14 h 42

        « Mentir sur son CV est inexcusable. »

        Disons qu’enjoliver un CV, y en a un maudit paquet de monde qui font ca. Mais entre vanter les mérites de ses jobs passés et s’inventer des employeurs, il y a une marge. Normalement un « employé » qui se fait pogner avec d’aussi gros mensonges dans son CV a intérêt à avoir un bon syndicat…

        Un peu comme ça a du faire l’affaire du premier ministre du Nouveau Brunswick de voir l’accord contreversé d’achat de sont réseau élecrique par Hydro-Québec déchirée par Charest plutôt que d’avoir l’odieu de devoir revenir sur sa propre décision, je crois bien aussi que ca doit faire l’affaire de Labeaume que Rapaille lui serve cette occasion sur un plateau d’argent de pouvoir revenir sur ses propres décisions fortement contreversées sans passer pour le gars qui change d’idée. Depuis que celui-ci nous a traité publiquement de sado-masos névrosés etc, Labeaume devait avoir très envie de rompre le contrat, l’histoire du CV falsifié ne pouvait pas mieux tomber…

        Labeaume avait l’occasion de s’en sortir honorablement mais il a manqué sa shot devant les médias…

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    • Réal Utilisateur de Québec Urbain

      28 mars 2010 à 18 h 00

      Si j’ai bien compris, il faudrait s’abstenir de toute critique des décisions et actions d’un élu qui engagent des fonds publics. Drôle de notion de démocratie …

      Tant qu’à Rapaille, quand ça marche comme un canard, cancanne comme un canard et ressemble à un canard, pour moi c’est un canard.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        30 mars 2010 à 14 h 56

        Difficile compromis entre laisser suffisamment le champ libre à quelqu’un pour qu’il accomplisse avec succès la tâche qu’on lui a confiée et le bloquage systèmatique qui empêche toute évolution. Le bloquage systématique on en a eu un parfait exemple à l’époque de la mairesse Boucher, c’est probablement pourquoi on (la population) a décidé de lui (Labeaume) donner un mandat fort…. pour que ca « avance »… au risque d’avancer dans la mauvaise direction!

        La solution démocratique aux petits napoléons dont les résultats sont inférieurs à nos attentes, ca s’appelle des « élections » dont faut profiter aux 4 ans.

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    • Yvan Dutil

      28 mars 2010 à 19 h 26

      La méthode Papaille est basée sur la psychanalyse. Or, la psychanalyse c’est une pseudoscience. Ce simple fait aurait dû soulever un doute dans l’esprit de la population. Sans compter les avertissements de nos propres faiseurs d’image dont on a écarté du revers de la main l’opinion.

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      • Jeff M

        28 mars 2010 à 19 h 55

        Nos propres faiseurs d’images veulent des contrats. Et ce ne sont pas tous qui se sont opposés à lui. Tous ça n’est pas clair. Pour critiquer la psychiatrie (et c’est une science, mais pas la psychanalyse), il faut bien la connaître, on critique quelque chose que la plupart des gens connaissent mal, dont moi-même, sans jamais aller dans les détails. Ça aussi ça peut nous faire gober n’imprte quoi.

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      • Yvan Dutil

        28 mars 2010 à 21 h 55

        Quand les gens soulèvent des questions, c’est le minimum d’examiner leurs arguments. Il ne fallait pas gratter beaucoup pour voir qu’il y avait des problèmes. Le Devoir a contacté un autre spécialiste de l’image, qui a conclu que ce genre d’exercice est totalement futile. Ce genre de recherche ce n’est pas compliqué à faire.

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      • Yvan Dutil

        28 mars 2010 à 22 h 00

        Rapaille utilise selon ses propres mots la psychanalyse pas la psychiatrie. Dans un autre blogue, un spécialiste en neurobiologie, nous a confirmé que l’idée du cerveau reptilien est caduque depuis belle lurette. Si tu veux valider la pertinence des recherche de quelqu’un tu vas sur Google Scholar et tu tapes son nom. N’importe qui a fait un tant soi peu de recherche apparait.

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      • Jeff M

        28 mars 2010 à 23 h 58

        Merci pour le tuyau Yvan. Ce que j’en retiens pour le moment, c’est que sa méthode semble falacieuse pour plusieurs. Mais il est quand même respecté par bon nombre de spécialistes dû à ses succès passés. Par exemple:
        http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/RDI2/RDIEnDirect201002031100_4.asx&epr=true

        Entk, pour l’intant, je vais me taire et regarder la suite des choses.

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  15. Manu

    28 mars 2010 à 20 h 00

    Outre le fait que M. Racaille (aucun lapsus…) ait la grandiloquente habitude de romancer son passé, ce qui en fait un personnage qui colle bien au travail qu’il fait, pourrait-on aller jusqu’à parler de « fausse représentation ». Si c’est le cas, on pourrait toujours demander à se faire rembourser, et on lui remettra volontier tout la marchandise… Mais il n’y avait probablement aucune clause contractuelle sur les prétentions de M. Racaille à son propre sujet, car en bout de ligne, c’est pour le résultat qu’on le paye.

    Je suis encore curieux de voir avec quel résultat il peut arriver, et qu’on ait engagé un clown à fort prix n’est pas nécessairement une mauvaise chose si le résultat y est. Mais y sera-t-il?

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  16. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2010 à 10 h 04

    Jeff je ne donne pas grande crédibilité à Radio-Canada moi qui sait les préjugés qu’ils ont et l’admiration sans borne envers notre maire. Ce sont des renifleux de pet de première…

    J’ai déposé une plainte pour non respecty de la loi des Cités et villes articles 29.5 à 29.7 inlusivement et le fait que le maire retient un paiement de 125,000$ (voir JdeQ du 29 mars page 5) démontre que la ville avait autorité sur plus que 100,000$ la limite pour ne pas aller en appel d »offres. Labeaume n’a même pas présenté au conseil de Ville une résolution pour faire approuver la décision du Comité Exécutif. À force de vouloir tout régenter, Régis n,a plus besoin d’un conseil de Ville pour décider. Drôle de démocratie où on élit 27 spectateurs payés et un maire dont le cabinet prend du volume de façon exponentielle…

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    • Johnny

      29 mars 2010 à 16 h 54

      Je ne suis presque jamais d’accord avec vous Fern, mais dans ce dossier vous visé juste sur toute la ligne. Je tient a vous féliciter pour la plainte déposée.

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  17. Simon Bastien

    29 mars 2010 à 16 h 16

    Beau texte de Martineau là-dessus, svp bien le comprendre au deuxième niveau le propos plein d’ironie : http://www2.infopresse.com/blogs/actualites/archive/2010/03/29/clotairelemagicien.aspx

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  18. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2010 à 16 h 31

    Rapaille ne rira plus…

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