Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Rapailleries: La fin

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 mars 2010 62 commentaires

Radio-Canada *Québec*

La Ville de Québec met fin au contrat du consultant en marketing Clotaire Rapaille, engagé pour refaire l’image de la ville.

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Voir aussi : Conférences / évènements, Québec La cité.


62 commentaires

  1. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2010 à 17 h 49

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    • Alex Caron

      30 mars 2010 à 17 h 25

      Un excellent article de Nathalie Petrowski sur l’incident Rapaille:

      http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/nathalie-petrowski/201003/30/01-4265568-decoder-rapaille.php

      Contrairement aux autres journalistes, elle a une opinion intéressante sur le phénomène Rapaille et nous rappelle que les journalistes de Montréal avait préalablement sanctifié Rapaille. Les autres journalistes se sont surtout acharnés aujourd’hui à se lécher la blessure faite par la charge menée contre eux par le maire Labeaume. Horreur, un épouvantable crime de lèse-majesté… On a osé s’en prendre aux roi-journalistes.

      Quand il a entre autres rabroué la journaliste de la SRC qui lui lançait qu’elle représentait les citoyens et qu’elle avait donc droit à des réponses, j’ai trouvé tout à fait approprié qu’il lui réponde que c’est faux. Effectivement, elle représente son employeur et non les citoyens, contrairement à Labeaume qui lui a été choisi par les citoyens. On sait bien que le choix des nouvelles couvertes par les médias est d’abord guidé par leur aspect « accrocheur » que par un intérêt vital du citoyen.

      D’accord, le maire n’y est pas allé avec le dos de la cuillère, mais les journalistes ont intérêt à se calmer l’égo aussi. Les deux parties devraient tirer une leçon de cet affrontement qui, somme toute, m’a fait bien rire… Monsieur Labeaume devra apprendre que la politique n’est pas comme la « business », on doit davantage ménager les susceptibilités, pourtant il aurait déjà dû tirer des apprentissages à travers les relations tendues avec les employés de la ville.

      Gardons le sourire !

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      • Réal Utilisateur de Québec Urbain

        30 mars 2010 à 18 h 37

        « Quand il a entre autres rabroué la journaliste de la SRC qui lui lançait qu’elle représentait les citoyens et qu’elle avait donc droit à des réponses, j’ai trouvé tout à fait approprié qu’il lui réponde que c’est faux. Effectivement, elle représente son employeur et non les citoyens, contrairement à Labeaume qui lui a été choisi par les citoyens. »

        Dans toutes les démocraties, il doit y avoir équilibre entre ce qu’on appelle les quatre pouvoirs:
        1- le pouvoir central (pouvoir législatif, pouvoir exécutif et pouvoir judiciaire) ;
        2- le pouvoir local délégué par le pouvoir central
        3- le pouvoir associatif (lobbies, syndicats, etc)
        4- la presse écrite et parlée

        L’un ne va pas sans l’autre pour une démocratie qui fonctionne bien. Mais si on veut laisser le champ libre à n’importe lequel débordement, oui, muselons la presse.

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      • Alex Caron

        30 mars 2010 à 20 h 12

        Réal, mais mon propos n’allait surtout pas dans le sens de museler la presse. Je ne pense pas avoir écrit quelque chose qui donne à penser cela.

        Ce que j’ai voulu exprimer, c’est que les DEUX parties (le maire et les journalistes), avaient besoin de se ratatiner l’ego un peu. Les journalistes ont le pouvoir d’élever et de rabaisser les politiciens, étant donné que beaucoup de citoyens se limitent à ce que les journalistes émettront comme opinion pour baser la leur. Comme tout pouvoir, celui-ci aussi doit être exercé avec circonspection.

        Je considère que les médias (libres) sont absolument vitaux pour l’existence d’une démocratie. Je prêchais seulement pour un peu plus de retenue…

        Quand je regarde les bourdes commises par les politiciens provinciaux et fédéraux qui nous coûtent des millions, quand ce n’est pas des milliards et qui s’en sortent parfois sans trop de heurts, je me dis que le maire Labeaume ne mérite quand même pas de monter sur le bûcher.

        Sans égard aux réalisations ou non-réalisations du maire (les opinions variant passablement sur le sujet), il a tout de même le mérite d’avoir permis que les citoyens de Québec soient fiers de leur ville comme ils ne l’ont jamais été. De ce fait, il a aussi insufflé une volonté d’aller encore plus loin, d’ou la démarche Rapaille. Moi, j’ai encore envie de ramer dans le même sens que lui…

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  2. davedeux

    29 mars 2010 à 18 h 00

    La fin, vraiment? Attendez la suite, c’est pas fini.

    Mon opinion, la voici par le biais du journaliste Yves Boisvert
    de Cyberpresse

    http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/yves-boisvert/201003/28/01-4265181-le-vrai-fumiste-nest-pas-rapaille.php

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    • Réal Utilisateur de Québec Urbain

      29 mars 2010 à 18 h 27

      Ouf oui ….
      Cette conférence de presse nous a offert une prestation du maire qui a affiché son manque de classe: arrogant, méprisant, querelleur et imbu de lui-même. Ça en devient gênant de se savoir représenté par un tel maire: l’image de la ville de Québec vient d’en prendre un coup !

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      • Jacques

        30 mars 2010 à 04 h 31

        Vous avez appris quelque chose sur la personnalité de Labeaume en regardant sa conférence de presse ? Ah bon !. Où étiez-vous depuis le décès de la Mairesse Boucher ?. Vous ne l’avez pas vu aller, ce Labeaume ? Dès le premier jour de sa campagne pour devenir maire, ces traits de personnalité existaient. Mais les citoyens de la ville l’ont choisi à 80%. Déjà, dès le premier jour, je me suis dit: Jamais !. Je ne voulais pas de clown mal appris, de « bum » de ruelle comme maire. Mais je dois le subir… Vous commencez à regretter votre choix ? Réal, je ne vous désigne pas ici, je parle des électeurs en général. Et des journalistes qui ont reçu un « char de m…. » hier.

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      • Réal Utilisateur de Québec Urbain

        30 mars 2010 à 08 h 18

        @ Jacques

        Avant même qu’il ne se présente aux élections municipales, je connaissais le personnage et mon idée sur lui n’a pas changé: il n’a jamais eu l’étoffe pour occuper la position de maire d’une ville comme Québec ( … à L’Ancienne-Lorette, peut-être :-) … )

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  3. Rémi

    29 mars 2010 à 18 h 30

    Ok Régis Labeaume a fait une erreur. S’il ne fait que des erreurs je ne voudrai plus de lui aux prochaines élections, c’est sur.

    Il a le droit d’en faire des erreurs. Il a du succès depuis le début. Il commet une erreur. Il fera mieux la prochaine fois. Moi je suis prêt à vivre avec.

    J’aimerais bien qu’on arrête de condamner l’erreur au Québec. Tout le monde fini par en faire des erreurs. Ca fait parti de l’apprentissage et qu’importe la position, on en fini par en faire.

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    • Éric

      29 mars 2010 à 18 h 35

      J’avoue que personne n’est parfait et tout le monde peut faire des erreurs. Même Régis.

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      • Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

        29 mars 2010 à 18 h 40

        personne n’est parfait, et je n’ai rien contre ses erreurs…mais ses crisettes..c’est autre chose…

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      • Johnny

        29 mars 2010 à 19 h 17

        Pareillement pour moi, les erreurs une fois affirmer on peut les tolérer mais son attitude méprisante envers les journaliste qui ont fait un travail impeccable là je ne peux accepter ça. Un de mes amis à deja eu la chance de servir au restaurant sa majesté le Maire il y a 2 ans, son seul commentaire : Quel T*** de C**. Il m’avait dit a quel point cet homme était désagréable à servir, à l’époque je ne le croyais pas…mais là je comprend ce qu’il voulait dire.

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      • davedeux

        29 mars 2010 à 19 h 45

        Eh oui, tout le monde peut faire des erreurs.
        Mais quand on fait conjointement une conférence de
        presse avec l’ami de la vieille capitale Clotaire Rapaille et
        que ce dernier remanie a sa façon des faits historiques et
        ce avec le sourire de Régis, ce n’est pas une erreur mais
        de l’aveuglement volontaire (Plusieurs diront de la complicité).

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      • Orbitale Utilisateur de Québec Urbain

        29 mars 2010 à 20 h 14

        Les premiers temps, on aimait bien qu’il se choque un peu, c’est pratique pour faire passer des messages… Mais on voit bien après quelques mois que c’est tout simplement inné de sa personnalité et qu’il agit en homme d’affaires plutôt qu’en politicien.

        Il devrait sérieusement songer à changer son attitude.

        (Et j’excuse son erreur pour Rapaille…)

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  4. Jeff M

    29 mars 2010 à 20 h 14

    C’est la première grande gaffe à Régis. Ça va nous rester en mémoire un bout de temps… jusqu’à la prochaine histoire, bonne ou mauvaise.

    Image de Québec ternie? On parle tellement des moindres épisodes avec Rapaille que ca fini par faire écho à l’extérieur. Est ce que c’est assez intense pour marquer durablement la perception de Québec qu’on les gens de l’extérieur? Franchement, je me permet d’en douter, c’est pas la première histoire de contrat du secteur public qui tourne mal et ce ne sera pas la denière. Par contre, si on fait le calcul, la quantité d’exposition de cette affaire dans les médias est extrêmement forte pour 125 000$ déboursés… signe que cette affaire est très émotionelle. Je ne sais trop comment l’expliquer, mais depuis le début que cette affaire est du crunch pour les médias. Rapaille doit être très habile à quelque part après tout. Il est peut être pas un vrai scientifique, mais je crois qu’il est un grand artiste.

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  5. Carl Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2010 à 21 h 21

    Que d’indulgence! Mais qu’est-ce que Labeaume a bien pu faire de remarquable, depuis son arrivée, pour mériter toutes ces courbettes? Il est là depuis la fin de 2007. Il a remis les fêtes de 2008 sur leurs rails – en changeant le DG. On a donc la preuve qu’il sait mener un party. Ça peut être utile, mais il est maire, pas président du Carnaval ou du Festival d’été.

    La première véritable décision Labeaume sur un sujet touchant plus ou moins l’avenir de la ville – ça même étant douteux, car à part Labeaume, qui est vraiment préoccupé du fait que le surnom de Québec (en français seulement, et au Québec seulement) soit « La Vieille Capitale »? – fut prise de manière viciée, avec les résultats que l’on sait.

    Jusqu’à maintenant, c’est un amuseur public de fort calibre. Pour ce qui est d’un administrateur urbain… ça reste à voir.

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  6. AlainQc Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2010 à 21 h 50

    Labeaume a profité de ce qui avait été mis en place par son prédécesseur, le maire L’Allier, qui pendant 16 ans, a fait un travail remarquable pour corriger certaines erreurs du passé: la laide autoroute Dufferin-Montmorency, le disgracieux boulevard René-Lévesque, l’affreux mail St-Roch, la rivière St-Charles bétonnée, et j’en passe. Labeaume a profité d’un bon concours de circonstance qui ont donné l’impression qu’il avait sauvé les Fêtes du 400e, pour en faire quoi: un gros festival d’été qui s’est poursuivi tout l’été. Peu ou pas d’événements commémoratifs de ce que devait être le 400e. Je ne nie pas le succès des grands événements mais ce n’étaient que des spectacles. Le maire Labeaume continue à faire du spectacle et se disqualifie par son manque de classe, son aspect un peu « colon », sa grande boîte et son pseudo-style déterminé. Quand je le vois, j’ai presque honte de le savoir maire de la capitale du Québec. Et puis, Québec n’avait pas besoin d’un clown pour refaire son image puisqu’elle était déjà belle et attirante, et son surnom de « vieille capitale » avait le mérite d’attirer les touristes désireux de voir la seule vieille capitale en Amérique du Nord.
    Qu’on en finisse au plus vite avec ce cirque orchestré par Rapaille dont les méthodes et la démarche ressemblent davantage à une dynamique de groupe destinée aux enfants en quête de leur identité.
    Et puis le maire Labeaume devrait se tourner la langue 7 fois avant de parler et d’agir impulsivement comme une poule pas de tête.

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    • Manu

      29 mars 2010 à 22 h 06

      En passant, les « vieilles capitales » sont dans l’ordre (avec certains rebondissements surtout vers la fin) : Québec, Montréal et Kingston… et la capitale actuelle est Ottawa. Québec est la vielle capitale du (Bas-)Canada…

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      30 mars 2010 à 09 h 55

      Ton maire Lallier que tu sembles avoir en estime passait son temps à casser du sucre sur une partie de ses électeurs. C’est pourquoi on l’a crissé dehors (non c’est pas vrai, il a été assez intelligent pour se retirer juste à temps plutôt que d’essuyer une effroyable défaite quand il a sentit le vent tourner), puis comme les restants de son parti politique continuait à agir dans la même lignée, on a dû les exterminer eux aussi. Le prix à payer pour faire un tel ménage était connu, soit de donner un mandat fort à Labeaume, qui même si on savait que c’était pas le candidat parfait, n’a pas le le vilain défaut de son prédécesseur, en prenant même le risque de voter pour ses conseillers plutôt que pour des indépendants, question de s’assurer que les candidats du RMQ se fassent tous écraser.

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      • Patrice Utilisateur de Québec Urbain

        30 mars 2010 à 11 h 00

        « On l’a crissé dehors », « (le RMQ) on a du les exterminer eux aussi »…

        Bravo pour tes superbes arguments de « ti-X ». Quand Régis Labeaume aura autant fait pour Québec que Jean-Paul Lallier, on pourra comparer leur héritage. D’ici là, on peut donner la chance au coureur mais pas encore très logtemps… Ben beau surfer sur le party du 400ème mais il faut en revenir.

        Quelle est la vision de Labeaume pour Québec??? Ça serait intéressant de le savoir car, à ce jour, rien. À part faire des entrevues au FM93…

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      • Yvan Dutil

        30 mars 2010 à 11 h 25

        Qui est ce que Lallier méprisait?

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      • Réal Utilisateur de Québec Urbain

        30 mars 2010 à 12 h 25

        Rappelons, pour ceux qui ont la mémoire courte, que Labeaume s’est présenté à la direction du RMQ, ou pour emprunter à l’élégant discours d’Erick, … »à la direction des restants du RMQ … »

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  7. Manu

    29 mars 2010 à 22 h 03

    Je parie un caribou que dès cet été, lorsque le chaud soleil et les festivals nous berceront, cette histoire nous semblera déjà bien loin et qu’elle ne reviendra plus qu’en clin d’oeil caricatural si jamais le sujet de l’image de Québec refaisait surface d’une manière quelconque (lors de l’acceuil d’un grand événement ou d’une grande personnalité par exemple).

    Tout le monde continuera dès lors sa petite vie tranquille de sado-maso, prêt à élire le maire qui semble le plus dérangeant, question d’avoir plus de raisons de le rabrouer une fois élu.

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  8. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2010 à 22 h 19

    J’arrive d’une soirée du Tribunal de l’Histoire au Palais Montcalm. L’affaire Tourangeau. Une histoire de maires de la Ville de Québec. C’était passionnant. Les gens étaient captivés. Une des meilleures soirées du Tribunal de l’Histoire. A date.
    Et je pensais en sortant aux péripéties de la mairie 2010. Les historiens vont avoir de quoi écrire plusieurs livres …
    Il y a une question légitime qui se pose toutefois: Est-ce que notre maire saura en tirer une leçon ? On verra.
    Et il faut souligner le travail remarquable du journaliste P.A. Normandin du journal Le Soleil. Il a fait la recherche que l’opposition Bussières-Guérette n’avait pas mis à son agenda.

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  9. Orbitale Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2010 à 22 h 42

    Avez-vous vu l’attitude de Labeaume face aux journalistes dans sa conférence de presse ?!

    La réponse est NON, il n’a pas tiré de leçon.

    Il est toujours pareil et tant que nous n’arrêterons pas de l’idolâtrer ça va se poursuivre longtemps… Vivement le retour d’une opposition à l’hotel de ville, peut importe son idéologie politique. Ce sera toujours mieux qu’un régime monarchique.

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  10. Louis

    29 mars 2010 à 22 h 56

    WOW! Tout un dénument! Ce triste sire aura réussi une sortie encore plus spectaculaire que son entrée.

    Mais je trouve que Labeaume a encore l’air plus fou que Rapaille. Je n’en reviens pas d’avoir embauché un tel « expert » sans la moindre vérification. Inquiétant…

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  11. juju

    30 mars 2010 à 00 h 09

    À part LE journaliste qui a sorti les faits, pour les autres,
    votre Maire visait dans le mille avec ses attaques. Mais un personnage publique ne peux se permettre de tels montées de lait…

    Quand on tente sa chance, on peut se petter la gueule, ensuite les vautours attendent que la viande leur tombe tout cru dans le bec.

    C’est l’expérience qui rentre pour Régis…Il est fier mais il devra changer sa réaction face aux échecs…

    Moi aussi, connaissant Power Corp, en plus que c’est les Power Corpeux de Québec… J’aurais petté ma coche…

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    • Nestor

      30 mars 2010 à 07 h 57

      Euh??? Isabelle Porter, qui était la cible de ses attaques les plus agressives sur un ton paternaliste, travaille pour Le Devoir. Pas exactement Power Corp! C’est une très bonne journaliste, consciencieuse et professionnelle d’après ce que je peux en juger.

      Rends toi à l’évidence, Labeaume ne prend pas de se faire mettre le nez dans son caca.

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      • Jacques

        30 mars 2010 à 09 h 51

        Gilbert Lavoie, ce matin, nous apprend – chez Christiane Charette -qu’isabelle Porter est la fille de John Porter (Musée des beaux Arts de Québec jusqu’à l’an dernier) et la fille de Martine Tremblay, chef de cabinet de René Levesque et surtout qu’à cause de leurs allégeances politiques, ils ont fréquenté Régis Labeaume et son entourage tout au long de l’enfance et de l’adolescence d’isabelle Porter. Ce qui rend plus odieux encore ce qui s’est produit hier.

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  12. rrobitaille

    30 mars 2010 à 08 h 11

    Quel spectacle pathétique de notre standup-comic.
    Je reste sans voix devant un tel déni.
    Le Devoir résume assez bien (Mme Chouinard) le navrant
    spectacle d’hier.
    A lire ce matin dans Le devoir

    Et dire qu’il y a encore des labeaumesucker sur ce forum pour
    le défendre. Nous sommes vraiment rendus très bas.
    Des demi-civilisés

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    • Matrix

      30 mars 2010 à 09 h 12

      Si on pouvait ajouter le mot « labeaumesucker » dans le filtre de modération, étrangement il n’y aurait plus aucun commentaire de Rrobitaille qui apparaîtrait sur ce site…

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  13. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    30 mars 2010 à 08 h 28

    S’il y a un métier que je respecte – quand il est fait bien sûr par des gens consciencieux, cultivés et formés -, c’est bien le métier de journaliste.

    Or, je viens d’entendre sur les onde des Radio-Canada l’extrait de la réplique du maire à l’égard d’Isabelle Porter: navrant! Ce genre comportement est en effet un accro à la démocratie qui me rappelle l’un des comportements détestables des conservateurs!

    Juste une remarque au sujet du « cv gonflé » de Rapaille: est-ce vraiment un scandale? Selon ma petite expérience, j’en vient à croire

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  14. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    30 mars 2010 à 08 h 37

    (suite)

    … j’en vienS à croire (vivement une fonction « éditer »!), je disais, que c’est un phénomène courant, entre autres, dans le domaine des communications, hélas. L’honnêteté, vraiment payant?

    Bref, je suis déçu de l’attitude du maire qui est tombé, en me fiant à cet extrait d’entrevue, dans un excès de langage typique de ce que toute personne sensée et cultivée condamne justement en matière de « nuisance d’image » de Québec!!

    Julie Lemieux ne doit pas être trop à l’aise dans cette situation…

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  15. Matrix

    30 mars 2010 à 09 h 10

    Ouff… le maire l’a échappé d’aplomb hier.

    Vraiment trop émotif, il n’avait aucune raison de s’emporter avec l’article de Isabelle Porter. Il devait simplement admettre son erreur (même s’il ne doit pas être le seule responsable) accepter une partie du blâme. Et passer à autre chose

    La population de Québec l’a élu à 80% en sachant bien sont tempérament, on savait qu’il y avait un risque de ce genre, l’autre côté de la médaille. Hors la population aurait préféré des excuses franche et sincère pour ensuite passer à autre chose.

    Mais il a préférer mettre la faute sur les journalistes qui n’ont fait que leur travail. On va plus difficilement lui pardonner maintenant que s’il avait fait son mea culpa

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      30 mars 2010 à 10 h 00

      Tout à fait!

      En affaires c’est normal de se petter la gueule une fois sur dix ou une fois sur cinq, l’important c’est de ne pas avoir plus d’échecs que de réussites.

      Mais faut aussi être capable de reconnaitre ses erreurs, et là-dessus, Labeaume vient de manquer une chance de sortir la tête haute malgré son erreur.

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      • Matrix

        30 mars 2010 à 10 h 17

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      • Yvan Dutil

        30 mars 2010 à 11 h 24

        Règle numéro un en affaire: le patron ne reconnait JAMAIS ces erreurs.

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      • ELalonde

        30 mars 2010 à 14 h 16

        Qu’on cesse de dire « en affaires ». Labeaume utilise ce terme à tout vent pour avoir l’air d’un homme d’affaire aguéri alors qu’il a passé une bonne partie de sa vie (et fait fortune) dans le public et parapublic.

        Quoi qu’il en dise, Régis Labeaume est un administrateur public, pas le « boss de la shop ». Ça impressionne peut-être le petit monde qui disent « eille yen brasse tu des affâres notre Régis » sauf que dans le concret, ça ne veut rien dire.

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  16. FredBM

    30 mars 2010 à 10 h 23

    Le maire Labeaume a fait une gaffe monumentale lors de la conférence de presse. Il a agit comme un jeune gamin fâché d’être en punition. Je crois qu’il aurait du admettre son erreur et répondre correctement aux questions des journalistes.

    Néamoins, je crois que Clotaire Rapaille détenait jusqu’à maintenant une partie de la vérité. C’est vrai que les gens de Québec sont « sado-mazos » et je crois qu’ils le savent très bien. Ils refusent seulement de se le faire dire par un Français. Québec c’est ça et ça restera toujours ça: se définir par rapport à notre subordination que nous cultivons contre Montréal. Je ne dis pas qu’ils auraient continuer de faire affaire avec ce Français, mais je crois tout de même qu’il avait5 raison jusqu’à présent.

    Pour ce qui est des commentaires que je peux lire ici, j’ai plutot du mal à les comprendre. À en croire les propos de certains, la Ville sous la tutelle de Mme. Boucher était un paradis sur terre…. ce que je trouve plutot contradictoire pour des gens surfant sur un site d’urbanisme. Oui la Mairesse aimait sa Ville et était intègre. Elle a aussi redressé les finances de la Ville ce qui est une très bonne chose. Côté vision et projets on repassera! Visiblement, la seule et unique chose qui semblait la préoccuper était de bien s’occuper des rues et des trottoirs de la Ville (j’exagère mais reste qu’une ville geré par la mairesse, c’était platte rare!).

    D’ailleurs, il est évident que le Maire Labeaume a gagné ses première élections grâce à la fameuse mairesse… Les gens ont voulu changer la ligne directrice de la Ville trop abruptement. Dans les deux scénarios, une ville geré par M. Labeaume et par Mme. Boucher, la Ville se trouve campée dans deux extrêmes totalement différents… Mais ça, c’est une autre histoire!

    Le seul point positif dans toute cette histoire est que la saga Rapaille nous aura permis de trouver l’image de marque de la ville. Cette épisode avec la Ville de Québec risque grandement de nuir à ce « psychanalyste » français. Peut-être que dû à cette évènement, son succès sur la scène internationale sera chose du passé. Alors la voici la marque de commerce de Québec:

    Québec, don’t f*** with us!

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    • Yvan Dutil

      30 mars 2010 à 11 h 28

      Je ne suis pas d’accord avec ton interprétation. Labeaume a été élu dans la lignée de la mairesse Boucher. Il y a une frange de la population à Québec qui adule les leaders forts. C’est une image que dégageait madame Boucher et Labeaume.

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  17. Pier Luc

    30 mars 2010 à 11 h 42

    Moi je pense qu’on vas bien vite oublier ça parce que Rapaille ne nous aura pas coûté tan que ça. Les multiples études qu’ils font pour évaluer la nécessité d’un projet qui, pour les gens touchés, est une évidences. Je pense aux longues études avant d’installer un panneau stop un un panneau pour indiquer qu’il y a des enfants. Pourtant on en parle pas.

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    • ELalonde

      30 mars 2010 à 14 h 10

      Ce ne sont pas les coûts de l’exercice que les gens retiendront, mais l’attitude de mépris et désinvolte de Labeaume.

      Il est l’unique responsable de ses perceptions. S’en prendre aux journalistes est probablement la pire manière de gérer son image. Surtout dans son cas, car rappelons-nous que Régis Labeaume était un candidat plutôt méconnu jusqu’à ce que ces mêmes journalistes le portent pratiquement à la mairie.

      On peut certainement questionner le travail de journalisme de nos jours. Sauf que Labeaume s’y est probablement de la pire manière, en apparaissant comme celui qui agresse plutôt que l’inverse.

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  18. ELalonde

    30 mars 2010 à 11 h 56

    Assez risible de voir Labeaume s’en prendre aux journalistes alors qu’ils sont largement responsable de son ascencion. Aux dernières nouvelles, il aime bien montrer sa tronche dans les journaux, surtout lors d’évènements publiques. Genre Régis avec des gants de boxe entre Bute et Andrade…qu’est-ce qu’il faisait là? N’est-ce pas un peu de l’humeur?

    Si Régis Labeaume était un maire sobre et discret je le comprendrais de fustiger le journalisme, mais lui qui fait souvent dans le spectacle ne devrait pas se plaindre quand ça ne tourne pas comme il le veut.

    Ce petit monsieur a grand besoin d’une leçon d’humilité. Avec cette attitude, elle viendra bien assez tôt. Si nos politiciens d’aujourd’hui sont des technocrates mornes, ennuyants et sans saveur, c’est en parti parce qu’ils sont constants et résistent bien aux tempêtes médiatiques.

    J’ajouterais que monsieur Labeaume devrait cesser de répéter « on est affaire, on est affaire », comme si ça voulait dire quoi que ce soit à part impressioner des tatas. En affaires, les perceptions et relations publiques sont capitales, surtout de nos jours. Et encore plus au public.

    Personnellement, je trouve que l’élection écrasante de ce petit personnage ridicule en dit plus sur Québec que Rapaille aurait pu trouver.

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  19. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    30 mars 2010 à 12 h 47

    C’est monumental l’erreur qu’il vient de faire, ça pourrait même lui couter ses prochaines élections. Déclarer la guerre au journaliste, c’est une des pires choses qu’on peut faire en politique. Les journalistes, c’est son lien le plus fort entre lui et la population. En s’attaquant personnel les journalistes, il vient de polluer ce lien si important.

    S’il ne s’excuse pas bientôt pour désamorcer cette bombe, alors les journalistes (même les plus professionnels) vont sous consciemment lui laisser beaucoup moins d’espace public. Ça veut dire que quand il va faire des bons coups, ils seront beaucoup moins portés en parler. Mais quand il va en faire des mauvais, alors ça risque d’être beaucoup plus véhiculé.

    On ne peut pas se mettre les médias à dos en politique. Ils ont aidé le maire à l’amener où il est en ce moment et ils peuvent très bien faire le contraire.

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  20. Manu

    30 mars 2010 à 14 h 59

    Bien d’accord que le maire s’est comporté comme un ado attardé. Absolument aucun professionnalisme, et surtout pas le comportement attendu de la personne qui occupe le poste de chef de l’administration de la ville.

    Toutefois… est-ce vraiment une erreur?

    Tandis que l’opposition au conseil municipale est anémique et que les médias semblaient plus souvent qu’autrement manger dans la main du maire, où pouvait-il y avoir une quelconque force d’opposition? M. Labeaume disait lui-même que l’opposition viendrait de « l’intérieur ».

    Eh bien voilà, il ne s’est pas fait d’amis parmi les médias récemment, alors voici la nouvelle opposition, sous une autre forme que celle qu’on attendait peut-être. C’est peut-être une bonne chose après tout.

    Néanmoins, je suppose que d’ici quelques semaines, tout reviendra à la « normale », et on perdra ce sentiment d’opposition médiatique. Mais d’ici là, ça fait plus de gens pour remettre en question toutes les décisions qui émaneront de l’administration municipale (autrement dit, de M. Labeaume). Ce n’est pas une « opposition systématique » au conseil, laquelle pourrait retarder inutilement plusieurs projets. C’est plutôt une opposition plus surnoise de « gestion de l’opinion publique », élément nutritif essentiel à la vie d’un maire. Bref, malgré sa récente arrogance, je crois bien qu’il fera un peu plus attention à ses gestes et paroles dans les semaines à venir.

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  21. Jean-Jacques

    30 mars 2010 à 21 h 54

    Chers Québécois,
    Vous avez élu madame Boucher,elle qui cassait du sucre sur vous et vous avez choisi monsieur Labeaume dans l’euphorie du 400ième.Maintenant vivez les conséquences.

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    • Jean Cazes (monlimoilou.com)

      30 mars 2010 à 22 h 15

      Sur ce point, je vous l’accorde: on a les gouvernements qu’on mérite! Si on est « pogné » avec les foutus conservateurs, à titre d’exemple, disons que ma ville y a contribué beaucoup…

      Pour ma part – j’oserais dire évidemment – je n’ai pas voté pour l’Équipe Labeaume. Mais j’avoue avoir été séduit jusqu’à tout récemment par le caractère fonceur du maire et son enthousiasme à l’égard de projets de « modernité » comme les éco-quartiers D’Estimauville et Pointe-aux-Lièvres!

      Bon. Laissons la chance au coureur, sauf que…

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      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        30 mars 2010 à 22 h 48

        On vient justement de voir une enveloppe de 7 millions par année se débloquer pour Estimauville et Pointe-aux-Lièvres! Ajoutez à ça 10 millions pour décontaminer les sols, c’est une bonne nouvelle! Si Labeaume pouvait laisser ça en héritage à la ville, ça serait une grande réalisation!

        Pour l’instant, je n’aime pas le style du maire. Trop de projets, trop de promesses, pas de concret. Je trouve qu’on s’éparpigne trop. Mais s’il réussit à faire le quart de ce qu’il a promis, ça sera déjà bien.

        Mais le maire qui va laisser la trace la plus importante dans la ville, c’est certainement celui qui va réinventer le transport sur son territoire urbain! C’est le genre de contribution que ne s’oublie pas.

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  22. steve

    30 mars 2010 à 22 h 34

    RAPAILLErie de nous, bons citoyens de Québec qui continue et continue de payer des taxes sans voir la couleur de cet argent.

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  23. Vieux journaliste

    31 mars 2010 à 10 h 48

    J’ai entendu àa la radion ce matin les commentaires de Julie Lemieux , ex-journaliste du Soleil et maintenant partisane de Régis Labeaume. Elle dit que le maire Labeaume a succombé à la pression et qu’il faut le comprendre …bla-bla.

    Je lui adressé ce court message:

    Julie Lemieux
    Conseillère Municipale
    Ville de Québec

    Bonjour

    J’ai connu bien des politiciens qui ont sauté les plombs contre des journalistes. Quand le journaliste est de mauvaise foi…on peut comprendre….mais dans le cas de Labeaume….c’est inacceptable et intolérable car il s’attaque gratuitement et brutalement à des journalistes qui n’ont fait que leur travail…honnêtement et sans parti pris.

    Je viens de vous écouter à la radio et je trouve que vous manquez de courage….vous êtes devenue une vraie politicienne…partisane . Avez -vous perdu tout sens critique? Votre liberté de pensée que vous utilisiez dans votre journal existe-t-elle encore?

    Ce qui se passe est triste mais nous ouvre les yeux sur ceux et celles qui nous dirigent, leur arrogance et aussi …leur docilité.

    SVP calmez les humeurs du maire , si vous en êtes capable, et retrouvez votre liberté de pensée. Et surtout soyez plus respectueux des citoyens qui viennent à l’hôtel de ville poser des questions et soyez plus humbles quand l’Opposition vous questionne.

    Robert Houle

    Journaliste à la retraite

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  24. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    31 mars 2010 à 12 h 53

    La prose d’Yves Boisvert, La Presse et Nathalie Petrowski du même journal.

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  25. Floyd

    1er avril 2010 à 08 h 23

    Voici de beaux exemples de l’objectivité et du professionnalisme du journalisme au Québec :

    http://video.telequebec.tv/video/650/bazzo-tv-recoit-clotaire-rapaille

    http://www.youtube.com/watch?v=lUwMTsSXzo0

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