Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Avenue Cartier: irréductibles urbains

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 mars 2013 4 commentaires

Michèle Laferrière
Le Soleil

(…) L’avenue Cartier attire une «clientèle très locale» à laquelle les commerces de proximité se sont bien adaptés. Leur prochain objectif? Les touristes et les gens de la banlieue.

Marc-André Palin, directeur général de l’Association des commerçants de l’axe Montcalm (ACAM), a parfaitement décelé ce qui manque à cette artère commerciale : des commerces de destination.

La suite

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.


4 commentaires

  1. Patrice Utilisateur de Québec Urbain

    24 mars 2013 à 08 h 05

    Intéressant comme article mais la journaliste passe vite sur l’un des principaux inconvénients de ce coin, c’est qu’il n’y a plus beaucoup de famille qui s’y installent. Le jeune de 13 ans le dit lui-même « je n’ai pas de vie de quartier ».

    Pour faire vivre une rue, un quartier, il faut plus que des « boomers » vieillissants dans leur appartement transformé en condo à 400K. Et ce n’est pas les touristes qui les remplaceront. Sans exagérer sur le côté nostalgie, car j’ai été élevé dans Montcalm, ça grouillait de familles il y a 20-30 ans. C’est triste mais ce quartier va devenir comme St-Sacrement. Si je retournais en ville, car oui maintenant j’habite la « damnée » banlieue, c’est à Limouilou que je m’installerais, qui semble mieux réparti au point de vue démographique.

    Dommage car Montcalm reste le plus beau quartier de Québec.

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    • picolo

      25 mars 2013 à 13 h 48

      Je suis bien d’accord avec vous Patrice.

      Je ne comprends pas d’ailleurs cette série d’articles sur les familles et les quartiers centraux. Ça sent l’exercice de propagande (commandité par qui?) qui vise à diaboliser la banlieue, encore une fois.

      Et puis, quand je lis que le père de famille préfère le bruit du vacarme urbain aux bruits des oiseaux de la banlieue de sa blonde, y’a une limite à nous prendre pour des caves, d’autant plus qu’il peut y avoir plus d’oiseaux dans un quartier urbain à la biodiversité mature que dans une banlieue dite «nouvelle».

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      • Jean Cazes (Monlimoilou)

        25 mars 2013 à 16 h 26

        « Ça sent l’exercice de propagande (commandité par qui?) » Faudrait qu’on m’explique…

        Parlant de « diabolisation », un autre beau cas dénoncé à juste titre dans mon quartier… central par un commerçant de la 3e Avenue :

        http://blogue.monlimoilou.com/2013/taux-de-mortalite-deux-fois-plus-eleve-a-limoilou-reaction/

        Ah! Le foutu populisme…

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      • Horace

        25 mars 2013 à 17 h 15

        De «la propagande» .. Faut quand même pas exagérer !
        Je crois qu’il s’agit surtout de promouvoir des espaces urbains aux formes intéressantes, avec plus de densité, délaissés pour la banlieue au cours des décennies 1950-60-70. Autre époque autre meurs.
        Les villes nord-américaines paient et paieront chère pour cet étalement urbain non-réfléchie (absence d’animation et de commence de proximité, vieillissement d’une population éloignée et isolée loin du centre, dépendance à la voiture, etc. etc.)

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