Sur le boulevard Laurier, on constate que l’îlot Lapointea complètement changé d’allure et dans quelques mois le projet Ekla pourra accueilli ses premiers résidents.

Projet Ékla – état des travaux (3)

Le projet « Le Campari » a évolué beaucoup depuis le dernier article en mai dernier et il devrait être prêt pour le printemps 2017.

Le Campari – état des travaux

La route de l’Égliseentre Quatre-Bourgeois et Laurier a énormément changé ces dernières années !

Source : Jean-Michel Genois Gagnon, Le Soleil, le 23 novembre 2016

(Québec) Un développement immobilier «de plus de 100 millions $» devrait voir le jour sur les anciens terrains du marché public de Sainte-Foy, a appris Le Soleil.
Dans un document du GDL Crédit Ressource Québec, on peut lire que la Ville a vendu dernièrement le terrain pour 6,69 millions $ au promoteur Marc Lachance. Ce dernier a réalisé entre autres les projets Le Sommet Condominiums entre ville et montage, dans Charlesbourg, et Le Sommet II, un édifice de huit étages à Saint-Augustin-de-Desmaures. La facture pour ces deux développements a été d’environ 35 millions $ chacun.

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Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

(Québec) Presque tous les condos se sont envolés et les locations vont bon train dans l’Ékla, cette résidence pour aînés de près de 100 millions $ toujours en construction sur la rive sud du boulevard Laurier. Le marché se porte si bien que le promoteur entend ériger deux ou trois autres bâtiments de même envergure dans la région, dès que possible.

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Le projet du Domaine du Chêne Rouge avance à grand pas. Merci au lecteur qui a fait parvenir cette photo à Québec Urbain.

Domaine du Chêne Rouge : début des travaux

Le Domaine du Chêne Rouge

Québec, le 16 novembre 2016 – La Ville de Québec informe les citoyens que la côte de Sillery sera rouverte à la circulation automobile et piétonnière dès demain, le jeudi 17 novembre.

Les travaux de réfection de la côte de Sillery, débutés en mai dernier dans la portion comprise entre la rue du Cardinal-Persico et le chemin du Foulon, sont maintenant complétés.

La troisième et dernière phase des travaux débutera au printemps 2017, pour une durée d’environ trois mois.

Annie Morin
Le Soleil

(Québec) «L’acceptabilité sociale, ça va dans les deux sens!» lance dans un cri du coeur un promoteur immobilier qui démolit et reconstruit des résidences dans les quartiers centraux de Québec. Jérémie Pomerleau, qui habite lui-même Sillery, en a marre de subir la réprobation d’opposants qui sont aussi ses voisins.

Le jeune père de famille a donné rendez-vous au Soleil sur sa rue, la rue Dickson, où il réside depuis 2014 et où il a construit cinq maisons d’allure moderne sur les ruines d’anciens bungalows.

C’est dans ce secteur que l’intense débat public sur la densification a débuté, même si dans ce cas précis il n’y a pas eu d’ajout de logements, car il s’agit de résidences unifamiliales. Leur hauteur, leur style et l’aménagement en façade – souvent un garage souterrain et peu de verdure – ont toutefois entraîné les protestations de certains voisins. (…)

Notre interlocuteur n’épargne pas les élus, qu’il considère trop sensibles à la contestation. Selon lui, l’obligation de présenter un plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA) après toute démolition en vue d’une reconstruction est superflue. Comme il construit des maisons «sur mesure», Jérémie Pomerleau souligne que cela l’oblige à plusieurs allers-retours entre le client, l’architecte, l’arpenteur et la Ville, ce qui ralentit le processus d’approbation et fait grimper les coûts. Son record personnel est de huit PIIA pour des jumelés à Sainte-Foy.

L’homme d’affaires juge que certains principes appliqués par les fonctionnaires ont des effets pervers. «Ils limitent tellement la largeur des entrées de cour qu’on a de la misère à stationner deux autos une à côté de l’autre. On va dans la rue pour que ça soit moins compliqué… ils posent des pancartes pour limiter le stationnement à deux heures!»

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Un billet précédent Plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA): des effets

Radio-Canada
Québec

Des résidents du faubourg Saint-Michel, dans Sillery, veulent faire modifier un projet immobilier qui viendra perturber leur quartier, selon eux. Le Domaine sous les bois, qui prévoit la construction de 200 condominiums, ajoutera trop de voitures dans leurs rues paisibles, affirment les citoyens.

« En ce moment, on a des petites maisons canadiennes, centenaires, deux étages et ils vont nous mettre trois blocs qui comprennent 200 condos […] de 5, 6 et 7 étages », illustre Fabienne Barnard, qui représente les citoyens inquiets.

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Un billet précédent *Illustrations du projet

François Cattapan
Québec Hebdo

Particulièrement effervescent ces dernières années, le Chemin Sainte-Foy verra s’ajouter un projet de GCS Développement Immobilier. L’immeuble résidentiel locatif haut de gamme baptisé «L’Arrondissement de la Colline» prendra forme à l’angle de la route de la Suète, près de nombreux services de proximité du secteur.

Le projet de 63 condos locatifs répartis sur quatre étages prend place sur un terrain de 38 000 pieds carrés. Ce nouveau bâtiment à prendre forme dans le secteur dynamique du Plateau Sainte-Foy nécessitera un investissement de 13M$.

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Le Cegep de Ste-Foy s’agrandit et ce en bordure du chemin Ste-Foy.

Source : Cegep de Ste-Foy

La ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique, Mme Dominique Anglade, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. François Blais, et le député de Jean-Talon, ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, M. Sébastien Proulx, soulignent avec enthousiasme le début des travaux de construction d’un pavillon de recherche au Cégep de Sainte-Foy.

Ce projet, évalué à plus de 4,5 millions de dollars, vise à regrouper dans un même lieu les activités de deux centres collégiaux de transfert de technologie (CCTT) affiliés au Cégep de Sainte-­Foy, soit le Centre d’enseignement et de recherche en foresterie (CERFO) et le Centre en imagerie numérique et en médias interactifs (CIMMI).

Rappelons qu’en avril dernier, le gouvernement du Québec a annoncé l’attribution d’une contribution financière de plus de 3,3 millions de dollars au Cégep de Sainte-Foy pour en appuyer la réalisation.

« Pour stimuler l’innovation et la croissance de ses entreprises et organismes, le Québec a besoin de projets structurants qui permettent de maximiser la collaboration entre les acteurs de la recherche et le milieu industriel dans des secteurs clés de notre économie. Je souhaite donc un franc succès à toute l’équipe du Cégep de Sainte-Foy ainsi qu’aux membres du CERFO et du CIMMI, dans la réalisation de cette initiative d’avenir pour les secteurs de la foresterie, de l’imagerie numérique et des médias interactifs », a déclaré Dominique Anglade.

Pour la directrice générale du Cégep de Sainte-Foy, Mme Carole Lavoie, ce nouveau pavillon positionne le Cégep de Sainte-Foy comme leader en matière de recherche appliquée dans la région, mais aussi au Québec dans des secteurs de pointe : « Je me réjouis de la réalisation de ce projet qui représente une occasion de développement pour notre communauté, notamment pour nos chercheurs dont le travail sera facilité par la modernité des lieux, et ce, sur le campus. La recherche, bien vivante au Cégep de Sainte-Foy, constitue une priorité puisqu’elle contribue de manière directe au développement économique et social de la région et au maintien de la qualité de nos programmes ».

« Notre région compte de multiples possibilités de projets de recherche diversifiées dans les secteurs de la foresterie, de l’imagerie numérique et des médias interactifs. Les entreprises de la Capitale-nationale ont intérêt à découvrir et à saisir pleinement les occasions d’affaires et d’innovation qui s’offrent à elles par l’entremise du CIMMI et du CERFO », a fait savoir François Blais.

« Le CIMMI et le CERFO représentent de véritables sources de fierté pour mon comté et pour la Capitale-Nationale et leur succès rejaillit sur l’ensemble de nos organisations. D’ailleurs, je suis convaincu que ces dernières bénéficieront directement des retombées des projets qui verront le jour grâce à ces nouvelles installations favorisant la synergie entre les deux CCTT », a ajouté Sébastien Proulx.

Le CERFO a pour mission de contribuer à la progression technologique et à l’essor des entreprises, des organismes et des maisons d’enseignement collégial associés au secteur forestier québécois, dans une perspective de développement durable.

Le CIMMI, pour sa part, vise à accroître l’expertise québécoise en imagerie numérique, notamment en imagerie médicale, et en réalité augmentée ainsi qu’en médias interactifs, dont le développement Internet

le communiqué

Le terrain sur Google Map.

Québec vu d’en haut: le CEGEP de Ste-Foy