Source: Baptiste Ricard-Châtelain Le Soleil, 25 août 2006

Les grandes tours de HLM sont souvent surpeuplées. Elles regroupent trop d’enfants et de pauvreté. Les règles d’attribution de logements HLM exigent que deux enfants de même sexe partagent une seule chambre jusqu’à la majorité. Ceux de sexe opposé peuvent obtenir un nid séparé à partir de sept ans.

Ce n’est pas un problème dans une maison ou un petit immeuble, articule Robert Pilon, de la Fédération des locataires de HLM. Mais un complexe de 200 logements, où on peut retrouver 500 enfants, devient un terreau fertile pour la petite criminalité.

Voir aussi cet article du même auteur. Et aussi celui-ci.

Autre article en date du 27 août 2006: Les locataires en ont marre des préjugés
La loi du silence Aini que Grand combat, petites victoires Des fleurs dans le macadam

Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 24 août 2006

La Communauté métropolitaine de Québec interdit toute implantation d’éoliennes sur son territoire, le temps de se doter de règles pour contrôler cette nouvelle source d’énergie de plus en plus populaire. Après la Gaspésie et le Saguenay-Lac-Saint-Jean, les régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches sont les plus venteuses et possèdent le meilleur potentiel éolien.
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Ci-haut, la phase I du Domaine Boisé Benmore (à l’est de la Maison Michel-Sarrazin). En bas, une vue à partir du chemin Saint-Louis sur le nouvel immeuble du
Domaine du Château de Bordeaux (aussi, cette photo) récemment achevé.

Dans Québec Urbain, de nombreux billets ont couvert les projets de condos (incluant ceux-ci) qui se sont multipliés ces derniers mois dans le secteur du chemin Saint-Louis. Voir entre autres ce dossier.

Source: Radio-Canada Québec, 23 août 2006

La région de Québec sera la première à bénéficier du nouveau programme de sensibilisation lancé mercredi matin par les organismes Educ’alcool et Opération nez rouge. Dès la mi-septembre, des conférenciers se rendront dans les entreprises rencontrer les travailleurs à qui on fera vivre une expérience toute particulière.

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Le nouveau rapport publié par Statistique Canada (Différences régionales en matière d’obésité) relancera-t-il la traditionnelle petite « guéguerre » des pro-centres-villes envers ceux qui ont fait le choix de vivre en banlieue?

En tout cas, l’enquête de Statistique Canada semble corroborer une autre étude sur les effets de la sédentarité que la Fondation des maladies du coeur a rendu publique en 2005 [billet]…

Source: Claudette Samson, Le Soleil, 22 août 2006.

La dépendance à l’automobile en milieu rural et l’éloignement des lieux où faire de l’exercice expliqueraient en partie le plus haut taux d’obésité constaté dans les petits centres. (…)

Les possibilités plus faibles de se déplacer à pied pour se rendre au travail, faire ses courses ou participer à des loisirs a pour corollaire une utilisation plus grande de l’automobile. De même, les centres sportifs et les clubs d’entraînement sont moins nombreux et plus éloignés dans les petits centres que dans les grandes villes. (…)

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Depuis hier, à tort ou à raison, certains médias élèvent en « drame national » la qualité jugée douteuse de l’eau de maintes piscines et barboteuses de la région de Montréal… Qu’en est-il réellement pour Québec? Devrait-on en effet « partir en peur »?

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 21 août 2006.

(…) « La loi nous oblige à effectuer des analyses de la qualité de l’eau de façon régulière et pas une seule fois, cette année, les tests ont démontré une présence de bactéries proche des seuils supportables », affirme Jacques Perron, du service des communications de la Ville de Québec. (…)

La suite. Aussi, cet autre article publié aujourd’hui.

Source: Cindy Turcotte Journal de l’habitation, 16 août 2006

Le Programme de végétalisation de bâtiments a été reconnu lors du Gala des Phénix de l’environnement 2006 dans la catégorie «Recherche et développement». Celui-ci démontre le potentiel insoupçonné des toitures, des murs et des corniches végétales.

Ce programme du regroupement québécois pour le développement urbain, rural et villageois viable, Vivre en Ville, comprend l’élaboration et la démonstration de deux toitures, d’un mur et d’une centaine de corniches végétales réalisées au Centre de la Culture et de l’Environnement Frédéric Back situé au 870, avenue de Salaberry à Québec.

Voir la suite. Voir aussi ces deux billets

Source: Pier-Luc Dupont, Le Soleil , 11 août 2006.

Charaf Amhaouch en a ras le bol. Ses cinq ans d’expérience en informatique, deux stages concluants et trois ans de recherche d’emploi intensive n’ont encore rien donné. Les employeurs semblent le fuir comme la peste. Sa décision est prise : « Dès que ma femme a terminé ses études en hygiène dentaire, je quitte la province. » (…)

La suite. Aussi, ce billet.

Réalisée en 2003, la coopérative Les Pénates, sise au 350, 5e Rue, présente une architecture contemporaine qui tranche avec celle des vieux immeubles voisins. Son toit, en plus d’offrir une vue saisissante sur les environs, est fort bien adapté à un type de jardinage qui a cours depuis 2002 à Montréal.

Les membres de la coop de 18 logements s’intéressent depuis l’an dernier au projet Des Jardins sur les toits développé par le groupe montréalais Alternatives et dont l’objectif est d' »élaborer des techniques de jardinages qui soient durables, écologiques, abordables et assez légères afin d’être utilisées sur les toits ou tout autre petit espace urbain. »

Photo ci-haut, la coopérative. Ci-bas, rencontre sur le toit au cours de la visite « grand public » organisée hier après-midi. Cette autre photo illustre bien les résultats tout à fait convaincants de ces nouvelles techniques de jardinage alternatif en milieu urbain!

Pour en savoir plus. Voir aussi ce dossier de Carol Proulx sur les toits verts de Québec.

Source: Jean-Nicolas Patoine Le Soleil, 11 août 2006

Le nom Maizerets évoque le célèbre domaine et son jardin, un retour dans le passé. Mais c’est aussi un quartier de Québec, vieille banlieue souvent oubliée, située entre le Vieux-Limoilou et l’ancienne ville de Beauport. Maizerets a toujours été enclavé, constate Julien Dallaire, qui propose des visites guidées du secteur. «C’est difficile de faire admettre aux gens qui demeurent dans Maizerets qu’ils font partie des quartiers centraux de Québec, parce qu’ils se sentent à part. Ils ont toujours été à part.»

Le quartier Maizerets a été créé en 1988 lors du fractionnement de Limoilou en trois secteurs: Vieux-Limoilou, Lairet et Maizerets. Il comprend les paroisses Saint-Pie-X au nord et Saint-Pascal-deMaizerets – ou Bienheureux-François-de-Laval – au sud. Grosso modo, il s’étend du boulevard Dufferin au boulevard de la Capitale, et du boulevard Henri-Bourassa à la rue d’Estimauville.

Créée en 1923, la paroisse Saint-Pascal-de-Maizerets s’est lentement développée au départ pour «exploser» dans les années 50. Tellement que Saint-Pie-X a dû être créée en 1955 devant l’abondance de paroissiens. Le principal attrait du quartier est bien sûr le domaine Maizerets, dont l’histoire a débuté en 1705, alors que le Séminaire de Québec devient propriétaire de ces terres, qui conserveront une vocation agricole jusqu’en 1932. Colonie de vacances pendant près de 40 ans, l’endroit est vendu en 1979 à la Ville de Québec, qui décide d’en faire un parc public.

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