http://youtu.be/OcbZ24pBV4c

Réseau de transport de la capitale
Communiqué

Québec, le mercredi 16 mars 2016 – Grâce au financement annoncé aujourd’hui par Infrastructure Canada et le gouvernement du Québec, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) est fier d’annoncer qu’il a octroyé le contrat d’acquisition des midibus à l’entreprise belge Van Hool S.A. Ils serviront notamment à améliorer la desserte du cœur de la ville.

Le contrat d’achat de 32 véhicules au total (24 confirmés et 8 en option) a été accordé à Van Hool à la suite d’un appel d’intérêt suivi d’un appel d’offres public lancé au printemps 2015. Van Hool est une entreprise de renommée internationale dont les véhicules circulent un peu partout dans le monde.
(…)
Les véhicules, de modèle A330 hybride, seront mis en service en 2018 et respecteront les normes environnementales qui seront en vigueur à ce moment. D’une longueur de 9 mètres (30 pieds), soit environ 3 mètres de moins qu’un autobus standard, ce bus compte une vingtaine de places assises et est accessible aux personnes à mobilité réduite.

Les midibus seront munis d’une technologie de propulsion hybride éprouvée dont le principe de fonctionnement est semblable à celui des bus hybrides utilisés par le RTC depuis juillet 2015. Les midibus permettront des économies de carburant et émettront moins de gaz à effet de serre.

Le calendrier de déploiement ainsi que les parcours où ils seront utilisés seront dévoilés plus tard, mais il est déjà acquis que le parcours 21, qui sillonne entre autres les rues du Vieux-Québec et la colline Parlementaire, sera entièrement desservi par des midibus.

Par ailleurs, le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports du Québec en a profité pour confirmer le financement servant à soutenir le déploiement des abribus de nouvelle génération.

Comme annoncé en août 2015 par le RTC, ce sont 250 abribus de nouvelle génération qui seront installés d’ici 2020. De cette quantité, 126 abribus situés le long des parcours Métrobus 800 et 801 sont visés par le financement annoncé aujourd’hui. À ce jour, on compte une cinquantaine d’infrastructures érigées depuis l’automne dernier.

Plus lumineux, plus esthétiques et conçus pour accueillir les bornes de Nomade temps réel, les abribus de nouvelle génération s’inscrivent dans la volonté du RTC d’améliorer le confort de ses clients. De plus, ils respectent les principes d’accessibilité universelle.

Un billet précédent

Source : Annie Morin, Le Soleil, le 15 mars 2016

(Québec) Le gouvernement du Québec annoncera ce matin qu’il finance l’attendu bureau d’étude du Service rapide par bus (SRB) planifié par les villes de Québec et de Lévis.

Une conférence de presse est prévue à 11h30 «sur le projet de système de transport collectif entre Québec et Lévis». Trois ministres seront sur place pour l’occasion. Celui des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, Jacques Daoust, le président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Sam Hamad, et la ministre responsable du Travail et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, Dominique Vien.

Régis Labeaume et Gilles Lehouillier, les maires des deux villes concernées, seront aussi de la partie.

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Service rapide par bus (SRB) à Québec: au garage ?

Alexandra Perron
Le Soleil

(Québec) Depuis l’été dernier, les Lévisiens étrennent leur nouvelle fierté : une gare fluviale toute neuve, toute belle, et verte par-dessus le marché. Le Conseil du bâtiment durable du Québec organisait récemment une visite guidée de l’édifice en voie d’obtenir une certification LEED argent.

En dehors comme en dedans, la nouvelle gare fluviale de Lévis respire l’harmonie. Un environnement sain, dans un édifice sain. Bois, verre, acier s’entrecroisent, laissant toute la place aux vues sur le fleuve, Québec, la falaise.

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* Les photos (magnifiques) de l’article sont de Stéphane Groleau photographe d’architecture, collaborateur occasionnel à Québec Urbain, et photographe exceptionnel.

François Bourque
Le Soleil

(Québec) Dès le premier jour, j’avais perçu que le gouvernement ne serait pas pressé de démarrer le projet de service rapide par bus (SRB).

Le ministre de la Capitale, Sam Hamad, avait beaucoup insisté ce jour-là. Les grands projets de transport «ça prend des années… Dix ou quinze ans, c’est normal».

Il ne disait pas ça par dépit. Il avait presque l’air de s’en réjouir. Il y avait là un prétexte pour ne pas se presser.

Prétexte d’autant plus utile aujourd’hui que M. Hamad a été promu au Conseil du trésor. S’il disait oui trop vite, ce serait suspect.

Un an a passé depuis l’annonce du SRB Québec-Lévis, mais rien ne bouge encore.

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Un communiqué d’Accès transports viables * Un an et toujours pas de bureau de projet

Source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 26 février 2016

Les citoyens de Québec appuient Régis Labeaume dans deux projets nécessitant des investissements majeurs: le service rapide par bus et la protection des sources d’eau potable.

Le projet de service rapide par bus (SRB) recueille l’appui des trois quarts des répondants d’un sondage Léger, réalisé pour le compte d’Équipe Labeaume et dont Le Journal a obtenu copie.

C’est dans les arrondissements centraux où le projet de 1,1 milliard $ recueille la plus large adhésion, alors que dans les banlieues nord, l’appui, bien que majoritaire, est moins fort.

Le SRB rallie davantage la population que le tramway au coût de 2 milliards $, qui recueillait l’appui de 65 % de la population en 2011. «Le SRB apparaît peut-être plus réaliste dans l’esprit des citoyens. Ce qu’on comprend aussi, c’est que les citoyens veulent de l’amélioration dans le transport en commun. Il y a un signal qui dit qu’on doit trouver une façon d’améliorer ce service. Le SRB apparaît pour eux comme une solution potentielle», indique Caroline Roy, vice-présidente de Léger à Québec.

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Des immeubles menacés de disparition par le projet de corridor du RTC

Source : Annie Morin, Le Soleil, le 26 février 2016

(Québec) Monter dans l’autobus par la porte d’en arrière pour accélérer le temps de parcours. La tendance est mondiale, et Montréal tentera l’expérience au printemps, mais Québec s’y refuse… pour le moment. «C’est une question de culture. On n’est pas rendus là», dit le président du Réseau de transport de la Capitale (RTC), Rémy Normand.

Le sujet a été abordé par le représentant de Transport 2000, association provinciale des usagers du transport en commun, au dernier conseil d’administration du RTC, mercredi. Philippe Cousineau-Morin a fait référence au projet pilote que la Société de transport de Montréal (STM) a annoncé pour ce printemps.

Pendant quelques mois, sur une ligne achalandée qui reste à déterminer, les détenteurs d’un laissez-passer mensuel pourront utiliser la porte arrière pour monter dans le bus. Il n’y aura pas de validation de la carte Opus comme c’est le cas quand les passagers passent près du chauffeur. Le système temporaire sera basé sur l’honneur.

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Le Fil
Université Laval

Conférence d’Owen Waygood sur les relations entre les objectifs de développement durable des villes et le transport

Le transport préoccupe bon nombre de villes pour lesquelles le développement durable (DD) est une priorité. L’Institut EDS et le Centre de recherche en aménagement et développement (CRAD) invitent Owen Waygood, spécialiste en la matière, à prononcer une conférence intitulée «Relations entre les objectifs de développement durable des villes et le transport».

Professeur à l’École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional, Owen Waygood s’intéresse au transport urbain et, plus particulièrement, à la façon dont nous voyageons, sur les plans social, environnemental et économique.

Jeudi 11 février, à 16h30, à la salle Hydro-Québec du pavillon Alphonse-Desjardins. Entrée libre. Pour information: mylene.bergeron@ihqeds.ulaval.ca. Pour aider à rendre ses conférences écoresponsables, l’Institut EDS vous invite à utiliser les transports actifs et collectifs pour venir à l’Université.

* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)

Québec, le lundi 1er février 2016 – Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a lancé aujourd’hui une campagne d’un mois visant à sensibiliser les clients transportant un sac à dos aux bons comportements à adopter pour faire preuve de courtoisie auprès des autres utilisateurs. Le thème de cette campagne, baptisée « Dans le bus, mon sac est bien élevé », a été choisi par les clients du RTC eux-mêmes.

En 2014, un sondage réalisé auprès des clients du RTC révélait que l’utilisation inappropriée des sacs à dos à bord des bus par certains utilisateurs faisait partie des principaux comportements irritants.

« Nous nous efforçons constamment d’améliorer le confort des clients à bord de nos autobus et les comportements de nos clients font certainement partie de cette expérience. Des petits changements à nos habitudes peuvent être bénéfiques et favoriser le confort pour tout le monde », explique le président du RTC, Rémy Normand.

Des employés du RTC se rendront sur le réseau à plusieurs moments et endroits différents pour discuter avec la clientèle et remettre des étiquettes à bagages soutenant la campagne. Le président Rémy Normand se rendra lui-même sur le réseau au cours des prochains jours pour sensibiliser les clients à la courtoisie à bord des bus. Le moment et le lieu de sa présence seront bientôt précisés sur la page Facebook du RTC.

La campagne ludique fait le parallèle entre le comportement d’un sac à dos et celui d’un petit chien bien élevé. Ainsi, un sac :

• ne bouscule personne et reste aux pieds;
• ne grimpe pas sur les bancs et reste sur les genoux.

Concours sur Facebook

Pour appuyer le rayonnement de la campagne, les clients sont invités à se rendre sur la page Facebook du RTC pour courir la chance de gagner un sac à dos et des vêtements.

Autres campagnes
Le RTC réalise régulièrement des campagnes pour sensibiliser les clients à la courtoisie à bord de ses véhicules. Par le passé, elles ont notamment abordé les thèmes suivants :

• Faire la file;
• Céder sa place;
• Sortir par la porte arrière.

À compter du 15 mars 2016, les titres du RTC ne seront plus offerts dans certains points de vente.

Des solutions sont disponibles pour vous :

Aller aux points de vente les plus près

Participer au programme L’abonne BUS Perso ou Étudiant
Utiliser OPUS en ligne

OPUS en ligne sera disponible au printemps 2016. À l’aide d’un lecteur offert au coût de 14,49 $, vous pourrez recharger en ligne votre carte OPUS. Le lecteur pourrait vous être offert gratuitement. Certaines conditions s’appliquent. Détails à venir en janvier.

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* Une décision d’éliminer au moins 25 points de vente. Avec des conséquences parfois étonnantes. En face de la nouvelle aile du Musée national des Beaux-Arts, actuellement en constrution, la Tabagie Saint-Dominique perdra son point de vente. En face d’un endroit qui sera sans stationnement public pour les visiteurs. Qui seront nombreux. Et il n’y a toujours aucun système automatique et public de distribution des billets d’autobus, comme dans les grandes villes touristiques. Si c’est sous prétexte d’économie, on se demande bien laquelle car les points de vente ne font pas d’argent avec ce service.

* Mise à jour (18 janvier 2016): OPUS card reader has been a pricey and predictable flop * Bashem Boshra (The Montreal Gazette)

* Mise à jour (03 février 2016): Les billets d’autobus du RTC se font plus rares dans les dépanneurs Pierre-Olivier Fortin (Journal de Québec)

Québec, le vendredi 11 décembre 2015 – Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a présenté aujourd’hui son budget de fonctionnement 2016 et son programme triennal d’immobilisations (PTI) 2016-2018 à la Ville de Québec. Tout en maintenant un budget équilibré et rigoureux, l’entreprise a annoncé des investissements majeurs au cours des trois prochaines années pour améliorer l’expérience client et aussi répondre aux orientations du Plan de mobilité durable de la Ville de Québec.

PTI 2016-2018 : investissements pour améliorer la qualité des services
Les actions visant à consolider le service existant, à poursuivre le développement de l’offre de service et à améliorer l’expérience client se poursuivront et se concrétiseront encore davantage avec le PTI 2016-2018. Des investissements de 284,9 M$ sont prévus au cours des trois prochaines années, dont 130,1 M$ en 2016, la somme la plus importante jamais investie au cours d’un seul exercice. Le RTC investira par la suite 79,5 M$ en 2017 et 75,3 M$ en 2018. Le PTI est subventionné par le gouvernement provincial à 71 % dans le cadre de la politique québécoise des transports collectifs.(…)

Les investissements des trois prochaines années se traduiront par l’achat de 83 autobus hybrides pour une somme de 87,6 M$, soit 36 standards, 23 articulés ainsi que 24 midibus pour mieux desservir le cœur de la ville de Québec.
Un montant de 97,3 M$ sera affecté au développement des services. La majeure partie servira à aménager des pôles d’échange dans les secteurs D’Estimauville et du centre-ville, à mettre en place des stationnements incitatifs régionaux et à implanter des mesures préférentielles comme la préemption aux feux et de la signalisation.

Pour enrichir l’expérience client, le RTC poursuivra ses investissements (15,1 M$), notamment en complétant la mise en service de Nomade temps réel. En 2016, l’information sur les heures de passage en temps réel sera transmise sur de multiples plateformes telles que bornes, applications mobiles et site Web.

Finalement, on poursuit notre programme de remplacement des abribus avec l’installation de 150 nouveaux abribus au cours des trois prochaines années.

Grâce aux gains d’efficacité réalisés lors des deux années précédentes, au cours desquelles le niveau de service est demeuré stable, 10 450 heures de service seront ajoutées graduellement en 2016, ce qui correspond, sur une base annualisée, à près de 30 000 heures supplémentaires, ou 2,2 % du service total. Ces ajouts serviront à bonifier des parcours offrant des liens plus directs entre des secteurs stratégiques. Les clients du nord-ouest de la ville et ceux du centre-ville en profiteront notamment.

Le budget de fonctionnement 2016 s’élève à 208 M$, en hausse de 2,9 % par rapport au budget réel projeté de 2015. Les efforts pour réaliser des économies de gestion se sont poursuivis. Le réseau de points de vente sera notamment consolidé. Nous continuerons d’offrir des options diversifiées pour se procurer les titres de transport comme OPUS en ligne, qui sera offert au printemps 2016.

La contribution de l’Agglomération de Québec se chiffre à 113,1 M$, en hausse de 4,5 %, pour permettre de consolider les services actuels et poursuivre le développement du réseau.

La portion des revenus liée aux utilisateurs se situe quant à elle à 66,4 M$, en hausse de 2,9 %.

Les changements à la grille tarifaire seront dévoilés au printemps et seront effectifs le 1er juillet 2016.

Finalement, la nouvelle entente avec Astral Affichage, annoncée en mai dernier et présentant un nouveau modèle d’affaires unique au Canada, permettra d’augmenter les revenus commerciaux dès l’année prochaine tout en enrichissant l’expérience client.

Le budget