Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Commercial »

Clinique Synase – état des travaux (2)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 juin 2018 Commentaires fermés sur Clinique Synase – état des travaux (2)

Le bâtiment de la nouvelle clinique Synase est sur le point d’être achevé. Ce secteur offrira beaucoup d’options en matière de santé avec la construction du nouveau bâtiment hospitalier de l’autre côté de Henri-Bourassa.

En haut à gauche, l’arrière de la bâtisse. À droite le devant sur la 18e rue. Finalement en bas, le côté de l’édifice donnant sur la rue du Mont-Thabor.

Clinique Synase – état des travaux

Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Commercial.

Un futur hôtel dans Lebourgneuf

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juin 2018 Commentaires fermés sur Un futur hôtel dans Lebourgneuf

Commercial (4 550 000$):

La transaction implique un immeuble commercial localisé au 840, rue Bouvier à Québec désigné par le cadastre 2 555 716. Le terrain couvre une superficie de 90 264 pieds carrés. En 2017, on a annoncé la fermeture officielle de ce commerce spécialisé en électronique La Clef de Sol Inc. Par le fait même, la société 9262-7199 Québec Inc. (Groleau Développement) a acquis l’immeuble pour le prix de 4 550 000$. L’immeuble bénéficie d’une excellente visibilité considérant sa proximité de l’autoroute de la Capitale. L’acheteur compte bâtir un hôtel au-dessus de la structure existante avec un rez-de-chaussée commercial.

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Voir aussi : Commercial.

Projet IGA: état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 juin 2018 3 commentaires

Il semble aussi que les condos locatifs seraient presque tous loués

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo.

Vente de terrains commerciaux sur Pierre-Bertrand

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 juin 2018 1 commentaire

Terrain (5 279 517$)

La vente implique des lots vacants localisés dans l’arrondissement des Rivières sur le boulevard Pierre-Bertrand à Québec. Les lots couvrent une superficie totale d’environ 361 394 pieds carrés et ils sont situés dans une zone résidentielle et commerciale. La société nommée sous le nom de 9937307 Canada Inc. a acquis le tout pour la somme de 5 279 517 $ dans le but de réaliser le projet Développement Pierre-Bertrand par le promoteur Nova Construction C.P. Inc.

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Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Commercial.

Les redresseurs de la basse ville : Construction St-Pierre Roseberry

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 mai 2018 6 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Le Soleil

Entre 2013 et 2019, l’entreprise Construction St-Pierre Roseberry aura investi près de 30 millions $ dans la basse ville de Québec avec comme objectif d’«embellir» le paysage du quartier.

Jointe par Le Soleil, la copropriétaire, Karine St-Pierre, décrit sa compagnie «comme une entreprise à dimension humaine» avec des projets qui s’harmonise au secteur. Elle achète des terrains ou démolit des bâtiments en fin de vie pour en faire de nouvelles habitations.

L’avocate de formation donne comme exemple leur développement immobilier de 20 unités locatives avec deux espaces commerciaux qui verra le jour au cours des prochains mois au coin du boulevard Charest et de la rue Bayard. Il s’agit du plus gros projet réalisé par l’entreprise à ce jour. Un mur végétal de concept thaïlandais sera entre autres aménagé sur l’édifice pour combler «le manque de végétation dans Saint-Sauveur», précise la patronne.

Depuis 2013, à ce jour, Construction St-Pierre Roseberry a réalisé 14 développements en basse ville — pour un total de 82 unités —, des condominiums et des logements locatifs. La compagnie a aussi collaboré avec différentes organisations, comme Nature Québec, afin d’agrémenter le quartier. Elle travaille notamment sur un chantier qui vise à revigorer le parvis de l’Église Sainte-Angèle de Saint-Malo.

«Nous avons choisi la basse ville, car nous croyons beaucoup à la revitalisation des quartiers centraux», explique Mme St-Pierre, qui brasse des affaires avec son conjoint, Sébastien Roseberry. Ce dernier veille principalement au grain sur les chantiers. «Nous achetons des bâtiments délabrés où c’est presque impossible de faire des rénovations. Nous voulons surtout le terrain. Il doit nous permettre de faire une construction à un prix abordable afin que le projet soit intéressant pour la revente; pour avoir un coût intéressant pour les acheteurs», poursuit-elle.

D’ailleurs, afin de diminuer les coûts de leurs développements immobiliers, les propriétaires réalisent eux-mêmes la vente des unités. «Cela nous permet de diminuer les coûts, mais également de créer un climat de confiance avec les clients», note la femme d’affaires.

Huit projets d’ici 2019

Dans ses cartons, Construction St-Pierre Roseberry prévoit compléter ou réaliser huit projets d’ici 2019. Entre autres, trois chantiers seront complétés au cours des prochaines semaines, soit Perché 2.0 (huit unités), Tierce (trois unités) et Combles d’Oblats (trois unités).

Outre le développement de 20 unités sur trois étages sur Charest, le promoteur prévoit également construire à partir du mois de septembre un duplex au coin des rues Saint-Germain et Christophe-Colomb. Un projet baptisé Les Germaines.

«Notre objectif est d’être différent par rapport à ce qui se fait en terme de construction dans la ville de Québec. […] Nous sommes proches des gens. Chaque client va rencontrer notre architecte pour ses besoins», avance Mme St-Pierre. «On croit beaucoup au fait qu’il est possible de vivre en ville dans des unités d’habitation agréable tout en maximisant les espaces. […] La tendance actuellement en basse ville, ce sont les maisons de ville. Les gens aiment bien avoir leur petit coin de verdure», conclut-elle.

Comme autres chantiers sur la table à dessin pour ce quartier, Construction St-Pierre Roseberry prévoit construire trois maisons de ville qui vont totaliser 13 unités. La livraison est prévue pour 2019.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo.

La sous-densification de retour

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 mai 2018 12 commentaires

Denis Therriault
Lecteur de Québec Urbain

Densification, densification, densification le leitmotiv du maire de Québec.

Selon M. Labeaume cela permet une meilleure utilisation des terrains et d’augmenter les revenus de taxation pour la même surface au sol.

Le maire la dit et redit, il n’en veut plus de ces immenses stationnements pour les commerces qui rapportent très peu de taxes. Comment comprendre le changement de cap du maire, pour l’ancien terrain du ministère du transport, situé à l’intersection du boulevard de la Capitale et du boulevard Pierre-Bertrand ?

En 2011, le projet pour ce terrain était l’exemple parfait pour maximiser la densification, d’un des axes routiers les plus importants de la région. Le promoteur prévoyait de construire dix édifices à bureaux de hauteur variable pouvant atteindre jusqu’à dix étages. Ce projet représentait exactement les objectifs de M. Labeaume. Finalement, encore une fois tout est basé sur le stationnement avec une utilisation minimale du terrain. Un beau stationnement que l’on peut admirer en passant sur l’autoroute.

C’est un constat décevant, en se basant sur le rôle d’évaluation municipale pour la Valeur d’un Immeuble réparti par la Surface du Terrain au pied carré (VIST). Le projet dans l’état actuel devrait avoir une évaluation finale d’environ 54 millions une fois complété, soit un VIST de 82$ au pi ca. Un projet résidentiel de moyenne densité amènerait un VIST à 88$ du pi ca, déjà plus rentable que le projet actuel. Du logement à haute densité, soit la maximisation de ce terrain produirait un VIST de 250$ au pied carré. Soit près du triple du concept actuel.

Se basant sur un VIST à 227$ le pi ca, l’évaluation municipale atteindrait 150 millions, comparativement à 54 millions actuellement. Une perte volontaire de revenus de plus de 3 000 000$ par année. Pour comparaison, juste en face de ce développement commercial, l’hôtel Courtyard inauguré en 2016 a neuf étages et produit un VIST de 277$ le pi.ca là on parle de densification maximale réelle. Pour un compte de taxe de 778 000$, ce qui représente 41% de la taxation du projet en réalisation sur l’ancien terrain du ministère du transport. Le terrain sous densifié a une surface huit fois plus grande que le terrain de l’hôtel Courtyard.

À noter que la modification de la densité demandée par le promoteur en 2011 a été accordée par la Ville de Québec. Par la suite, cette même densification a été une nouvelle fois modifiée réduisant la hauteur minimale des bâtiments à 7.5 mètres, supprimant l’obligation d’un nombre minimal d’étages, annulant les superficie maximales de plancher pour la vente au détail, etc.. Pour le reste du projet c’est devenu du zonage à la pièce. Toutes ces modifications pour en arriver à ce magnifique stationnement.

Si la Ville aurait été aussi exigeante, que pour les développements de logements et de condo la situation actuelle serait totalement différente. Dans différents projets les stationnements souterrains sont obligatoires, en plus de l’exigence de matériaux nobles parfois sur les quatre façades ainsi que bien d’autres particularités.

Nous en sommes rendus que les citoyens payent beaucoup plus cher de taxes, selon la valeur des immeubles réparti sur la surface du terrain au pied carré, que les magasins à grande surface. Quand ces magasins, les Wal Mart de ce monde, ne paient pratiquement pas de taxes il y a problème. Quand la Ville de Québec accepte et donne son aval à de tels développements la situation devient réellement déplorable. Ces grandes surfaces ont des VIST variant de 28$ à 43$ au pi.ca. Et les évaluations pour les terrains oscillent entre 11$ et 17$ du pi.ca une évaluation beaucoup plus base que pour les particuliers.

Pour les principaux lieux d’habitations des citoyens de la ville, soit le locatif, les condos, les plex, les maisons de villes sur trois étages et autres, l’évaluation municipale des terrains varie de 22$ à 25$ du pied carré. Tant qu’aux projets unifamiliales et de jumelés, les valeurs d’évaluations des terrains sont dans une braquette de 24$ à 30$ du pi.ca. Le marché actuel des terrains pour l’unifamiliale et la bi-familiale commande un prix de base de 30$ le pied carré pour les nouveaux acheteurs. Dans les extrêmes, un terrain de jumelé dans le secteur Sillery Sainte-Foy est évalué à 97$ le pied carré la plus haute valeur de la ville surpassant les valeurs commerciales du boulevard Laurier. À l’autre extrême des terrains commerciaux et d’autres pour bureaux sont évalués à 8$ le pied carré.

Pour les maisons haut de gamme le VIST moyen atteint 200$ le pied carré. Ma première réaction est qu’ils ont les moyens de payer. Mais, ceux qui ont le plus les moyens de payer ce sont les Home Dépôt, Rona, Wal Mart, les concessionnaires d’automobiles, les Maxi, les Super-C et autres grandes surfaces alimentaires avec d’immenses stationnements. Ils profitent tous de VIST beaucoup trop bas, comme mentionné plus haut, variant de 28$ à 43$ le pied carré.

Il est plus que temps que l’ensemble de la fiscalité municipale à la ville soit plus juste et raisonnable, ce n’est pas aux citoyens qui ont besoin de se loger à financer les décisions de la ville, qui continue à cautionner ces immenses stationnements. Rien ne justifie ces écarts de la VIST, absolument rien.

La Ville de Québec dit vouloir densifier, qu’elle agisse en conséquence. Un bon départ serait l’obligation de stationnements souterrains pour tous les projets commerciaux à grande surface. L’obligation existe pour les divers développements locatifs et de condos, les citoyens ne doivent pas être les seuls à assumer la densification de la ville. Autre suggestion, une taxation minimale sur la VIST, pour tous les projets commerciaux exemple 65$ du pi.ca. Ceci inciterait les compagnies à modifier leur projet en conséquence, et par le fait même une meilleure utilisation des terrains.

Voir aussi : Commercial.

Le festival de la grue à Québec!

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 mai 2018 Commentaires fermés sur Le festival de la grue à Québec!

Source : Gilbert Leduc (Le Soleil, 7 mai 2018)

Les projets d’investissements non résidentiels se multiplient dans la région de Québec. L’agence de développement économique Québec International a répertorié 265 projets en cours ou annoncés d’ici la prochaine décennie pour des investissements totalisant 12,8 milliards $.

La belle part va aux infrastructures publiques: 45 projets pour 6,4 milliards $.

Parmi elles, l’érection du nouveau complexe hospitalier visant à regrouper toutes les activités cliniques et de recherche de L’Hôtel-Dieu de Québec sur le site actuel de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. Une affaire de 1,9 milliard $.

Suit ensuite le secteur institutionnel: 120 projets pour 4,3 milliards $. De ce nombre, 50 proviennent du secteur public pour la somme 2,9 milliards $. Du côté du secteur privé, 70 projets institutionnels sont en cours ou annoncés. Ils représentent des investissements de 1,4 milliard $.

Dans le secteur commercial, Québec International a identifié 70 projets totalisant 1,3 milliard $.

Et dans le secteur industriel, 30 projets sont en cours ou ont été annoncés pour une somme de 800 millions $.

Au chapitre de l’investissement non résidentiel, l’année 2018 devrait être un bon cru, estime Québec International qui vient de publier son étude Bilan et perspectives 2017-2018.

Lire l’article

Aussi : Tout près d’un milliard d’investissement en projet dans la région de Québec

Voir aussi : Commercial, Industriel, Institutionnel.

Un pôle commercial vert autour d’IKEA

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 mai 2018 18 commentaires

Jean-Michel Genois Gagnon
Le Soleil

Le futur IKEA deviendra le fer de lance d’un nouveau quartier commercial et écolo dans le secteur Duplessis.

Le Fonds de placement immobilier Cominar souhaite en effet y bâtir un pôle de commerces pour les familles, tout en minimisant son empreinte sur l’environnement. «Une cité des natures».

(…)

Une trentaine de commerçants locaux et internationaux devraient y établir leurs pénates d’ici 2021, estime la direction. Le développement, dont la facture devrait avoisiner les 115 millions $ pour Cominar, prévoit la construction de 13 unités d’immeubles — sans compter le IKEA et une unité peut comprendre plus d’un bâtiment — d’une superficie variant de 4380 à 49 440 pieds carrés. Certains établissements abriteront plus d’une enseigne. La majorité des édifices seront d’un étage.

Jusqu’à présent, deux joueurs ont confirmé leur présence, soit la locomotive du projet, le géant suédois IKEA, ainsi que la compagnie française spécialisée dans les articles de sport Décathlon.

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Le contraire d’un projet vert François Bourque (Le Soleil)

Un parc commercialo-industriel de 3,5 millions de pieds carrés poussera à deux pas du futur IKEA Gilbert Leduc (Le Soleil)

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.

Nouveau bâtiment prévu pour Croisières AML

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 avril 2018 Commentaires fermés sur Nouveau bâtiment prévu pour Croisières AML

Source Annie Morin, Le Soleil, le 23 avril 2018

Désuète, la billetterie de Croisières AML dans le Vieux-Port de Québec sera démolie et remplacée par un pavillon beaucoup plus grand, au design harmonisé avec la place des Canotiers et la promenade Samuel-De Champlain. Plusieurs millions de dollars seront investis. Le président-directeur général de Croisières AML, Yan Hamel, a confirmé au Soleil son intention de repenser le kiosque, trop petit et démodé, pour en faire une «véritable gare fluviale».
«Il faut se mettre dans le contexte où le tourisme a évolué beaucoup au fil des années. L’industrie s’est développée et les attentes des clients aussi. Maintenant, on parle beaucoup de parcours client. Ça n’inclut pas juste ce qui passe sur le bateau, mais toute la partie terrestre qui est en lien avec l’activité», explique le gestionnaire.
M. Hamel fait remarquer que les clients du Louis-Jolliet et des croisières fluviales Québec-Montréal proviennent de l’extérieur du Québec à 65 %. Ils sont donc en mesure de comparer les installations d’AML avec ce qui se fait ailleurs dans le monde.
Le pdg a lui aussi remarqué ce qui se fait dans les grandes villes portuaires et s’en est inspiré pour les installations de Québec.
L’aménagement de la place des Canotiers a également été un déclencheur. Pour s’assurer d’une bonne harmonisation avec les environs, Croisières AML a d’ailleurs embauché la firme d’architecture et de design urbain Daoust Lestage qui a conçu la place publique et la promenade Samuel-De Champlain.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Commercial.