* Une photo récente
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Condo, Logement locatif ou social.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
(Québec) Des gens d’affaires des avenues Maguire et Myrand décrient la décision de la Ville de Québec, qui tarifera le stationnement de rue devant leurs entreprises. Ils craignent que la clientèle fuie vers les immenses parcs-autos gratuits des centres commerciaux.
Voir aussi : Commercial.
Pierre Couture
Le Soleil
(Québec) L’Industrielle Alliance devient copropriétaire de Place Québec. L’assureur de la Grande Allée vient d’acquérir 50 % des parts du complexe immobilier des mains du Fonds immobilier FTQ. (…) Le programme particulier d’urbanisme (PPU) pour le secteur de la Colline parlementaire de la Ville de Québec permet la construction d’une tour de bureaux de 15 étages au-dessus du basilaire existant (quatre étages) de Place Québec, situé à l’angle de la rue Honoré-Mercier et de la rue Saint-Joachim.
Le projet immobilier de 15 étages pourrait également faire place à des unités de condominiums de luxe aux étages supérieurs. Ce que permet le PPU dans ce secteur.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.
Samuel Auger
Le Soleil
(Québec) Des citoyens et des commerçants du quartier Saint-Sauveur lancent une offensive pour sauver le centre communautaire Durocher, dont le bâtiment serait converti en projet d’habitations dès l’an prochain.
Le journal local Droit de parole fait état dans son numéro de décembre de la lutte populaire de plusieurs citoyens du secteur pour conserver le centre communautaire de la rue Durocher
La réaction de la conseillère Chantal Gilbert * Samuel Auger (Le Soleil)
* Un extrait: Quant à la proposition de remplacement du centre Durocher, avant d’y souscrire, il faut se remémorer un évènement récent de la scène locale : l’arnaque ratée de l’Îlot Irving par GM Développement dans le faubourg Saint-Jean. L’histoire se répète : on propose un projet de logement social à la communauté pour mieux lui faire avaler une couleuvre.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
Sur le marché locatif secondaire, les taux d’inoccupation sont restés stables sur le marché des copropriétés offertes en location.
L’Enquête sur les logements locatifs que la SCHL a menée en octobre 2013 visait aussi les appartements en copropriété offerts en location dans les centres suivants : Victoria, Vancouver, Calgary, Edmonton, Regina, Saskatoon, Winnipeg, Toronto, Ottawa, Montréal et Québec
Les taux d’inoccupation des copropriétés à louer variaient entre 5,9 %, à Québec, et 0,7 %, à Saskatoon.
En octobre 2013, les taux d’inoccupation des appartements en copropriété à louer sont demeurés stables par rapport à octobre 2012 dans plus de la moitié des centres, si l’on tient compte de la marge d’erreur de l’Enquête
Ils sont demeurés inchangés à Montréal, Ottawa, Saskatoon, Vancouver, Victoria et Winnipeg, ils ont progressé à Québec et Toronto et ont diminué à Calgary, Edmonton et Regina.
C’est à Toronto (1 752 $) que les appartements en copropriété de deux chambres se louaient le plus cher en moyenne, et à Québec (980 $) qu’ils étaient le moins cher.
Dans tous les centres à l’étude, les loyers mensuels moyens des appartements de deux chambres étaient plus élevés dans le cas des copropriétés que dans celui des logements locatifs traditionnels d’initiative privée du marché locatif primaire. Les copropriétés sont en général plus chères parce qu’habituellement, elles sont de construction plus récente que certains des logements locatifs traditionnels.
Il est intéressant de noter que la plus grande disparité entre les loyers des copropriétés à louer et des logements expressément construits pour le marché locatif traditionnel est observée à Montréal et à Toronto.
La proportion des copropriétés qui sont offertes en location a augmenté dans 5 des 11 centres visés par l’Enquête en octobre 2013. Il a diminué à Regina, où il est passé de 25,2 à 22,8 %. Ailleurs, il est demeuré stable, si l’on tient compte de la marge d’erreur de l’Enquête.
C’est à Québec et Montréal que l’on retrouve les plus faibles proportions de copropriétés offertes en location, soit 9,9 et 12,1 %, respectivement. Les plus fortes ont été enregistrées dans les centres de l’Alberta : 30,1 % à Calgary et 32,2 % à Edmonton. En octobre 2013, la proportion de copropriétés offertes en location s’élevait à 26,1 % à Toronto et à 26,3 % à Vancouver.
À titre comparatif, en octobre 2012, elle était de 22,6 % à Toronto et de 25,9 % à Vancouver. La première fois où cette enquête a été réalisée, en 2007, les taux dans ces deux villes étaient respectivement de 18,7 % et de 22,3 %.
Source : SCHL (Enquête sur les logements locatifs)
Voir aussi : Condo.
Jean-Michel Genois Gagnon
Le Soleil
(Québec) Parmi les régions métropolitaines de recensement (RMR) de la province, Québec est l’endroit où les locataires paient le plus cher pour un loyer (726 $ en moyenne)
Rapport sur le marché locatif SCHL
* Un extrait: C’est à Toronto (1 752 $) que les appartements en copropriété de deux chambres se louaient le plus cher en moyenne, et à Québec (980$) qu’ils étaient le moins cher.
Voir aussi : Logement locatif ou social.
Marianne Saint-Pierre
Monlimoilou.com
Nous sommes les heureux parents d’un petit bébé de 6 mois et nous sommes à la recherche d’un « nid » chaleureux dans ce quartier de rêve afin d’y élever nos enfants. […] Dans l’éventualité où vous souhaiteriez vendre votre maison dans la prochaine année, nous vous serions extrêmement reconnaissants si vous acceptiez de communiquer avec nous. »
Ceci est un extrait d’une lettre qu’un jeune couple a déposé dans une quarantaine de boîtes-à-lettres du quartier, espérant ainsi trouver leur future demeure. Limoulois de corps et de coeur depuis 2008, dynamiques et impliqués dans une foule d’activités sociales, il ne se voyaient pas vivre ailleurs.
Déjà propriétaires d’un condo au 3e étage d’un triplex du Vieux-Limoilou, les heureux parents voulaient plus d’espace pour agrandir la famille. Loin du grand luxe, ces acheteurs souhaitaient avoir un minimum de trois chambres, moins d’escaliers et un accès à une petite cour, sans travaux de rénovation majeurs autant que possible. Condo, duplex, unifamiliale, toutes les options étaient envisagées. Budget : autour de 300 000 $. (…) Déçus, les tourtereaux ont élargi leurs recherches et ont finalement trouvé une demeure… à Charlesbourg. Pour un prix qui respecte leur budget, ils ont une maison plus grande, rénovée, avec un terrain spacieux. Urbains de coeur, ils vivent néanmoins ce déménagement en banlieue comme un deuil, Limoilou leur manque. «Au moins, on peut aller profiter de Limoilou les soirs et la fin de semaine», se consolent-ils. Ils avaient bien espoir de retrouver un peu de vie de quartier avec le Trait-Carré et ses commerces. Peine perdue. Six mois plus tard, ils ne se reconnaissent toujours pas dans ce mode de vie du tout-à-l’auto.
* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Résidentiel.
Pierre Couture
Le Soleil
(Québec) Les promoteurs immobiliers semblent avoir compris le message dans la région de Québec. Le mois dernier, les mises en chantier de copropriétés ont dégringolé de 61 %.
Les données publiées lundi par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) démontrent que le marché de l’habitation neuve continue de ralentir dans la capitale
Voir aussi : Condo.
Lancement officiel du plan lumière «Un Nouvel Art de Ville : ENSEMBLE !», la plus grande œuvre lumière collective au Québec
Ville de Québec, lundi 9 décembre 2013
Lumipraxis stratégie lumière remercie les médias, les résidents de Limoilou et la population de la ville de Québec pour leur participation au lancement, qui a eu lieu samedi 7 décembre, du premier plan lumière réalisé pour la SDC 3e Avenue. (…) Tous s’entendent pour dire que cette première réalisation lumière pour la 3e avenue reflète la particularité du quartier et la solidarité que l’on y retrouve entre commerçants et résidents.
Rappelons que le plan lumière, en place du 7 au 28 décembre, est un projet de la SDC 3e Avenue qui s’inscrit dans une démarche étalée sur trois ans reflétant la volonté de la société de développement commercial de souligner l’identité de la 3e avenue tout en stimulant la solidarité commerciale et citoyenne, à l’image du quartier !
Crédits photo : Anne-Marie Giroux
Source : Judith Balland, Présidente-directrice générale, conceptrice lumière
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.
Boris Perron
Monsaintsauveur
C’était en début de soirée, il y a quelques semaines. Je revenais de faire des commissions en voiture. En tournant sur ma rue, j’ai vu des affiches fluo dans les vitrines de la Quincaillerie Chs. N. Paquet. Qu’est-ce que c’est ça ? Sûrement pas des négociations syndicales. J’ai fait un détour pour en avoir le cœur net.
En arrivant en face du commerce, j’ai figé comme quand je tombe sur quelqu’un que je connais dans la rubrique nécrologique. « On déménage au 1744, chemin Saint-Louis ». Ah ben ta! Je viens de perdre ma quincaillerie de quartier !
« C’est vraiment une décision d’affaires, m’a dit Éric. La quincaillerie était déficitaire depuis le mois de janvier. J’ai étiré ça comme j’ai pu, mais un moment donné, t’as pas le choix de prendre une décision.»
Éric, c’est Éric Paquet. C’était le propriétaire de cette quincaillerie au coin des rues Franklin et de l’Aqueduc. L’an dernier, il a racheté la Quincaillerie Corriveau, à Sillery. C’est là que je l’ai rencontré et où Chs. N. Paquet est « déménagé ». (…)
(Éric Paquet): « Les travaux dans la côte de l’Aqueduc, ça a été le clou dans le cercueil. Même pour un commerce de proximité, il faut que l’accès en voiture soit facile. En 2010 et puis en 2011, la rue de l’Aqueduc a été fermée. En 2012, c’était la côte de l’Aqueduc puis cette année, en 2013, c’est le chemin Sainte-Foy en haut qui est en réparation.»
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.