Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le problème de Québec avec le transport en commun

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 juin 2017 20 commentaires

Simon-Pierre Beaudet
Vice.com

La comédie urbaine de Québec est le sous-titre d’un ouvrage de François Hulbert paru en 1989 qui s’en prenait à la misérable planification urbaine de Québec. Manifestement, le feuilleton est toujours en cours.

Il y a crise dans les transports à Québec.

Les émissions de la radio publique, matin et soir, sont ponctuées des interventions de « Marc-André dans le trafic », qui fait état des ralentissements et paralysies un peu partout sur le réseau routier. Le système de transport en commun est réputé lent et inefficace. Les lignes principales de celui-ci sont parcourues par des « métrobus » qui, en matière de confort, sont ce qui se rapproche le plus de wagons à bestiaux. Les radios privées, elles, font leur pain et leur beurre de la frustration des automobilistes pris dans le trafic et ont traduit cette aliénation particulière en véritable idéologie : elles prennent fait et cause pour l’élargissement des autoroutes et on les a vues militer contre des voies réservées aux autobus sur celles-ci.

Régler la question du transport en commun a donc été une priorité du maire Régis Labeaume. Premier maire de la grande ville fusionnée (si on excepte le bref passage d’Andrée Boucher), il avait le défi d’urbaniser cet agrégat de villes de banlieue et de faire entrer Québec dans le XXIe siècle. Le plan de mobilité durable de la ville, déposé en 2010, était audacieux et unanimement salué. Il prévoyait l’instauration d’un tramway de Beauport à Lévis en passant par l’Université et la valorisation d’un ensemble de terrains mal développés sur son passage. Le gouvernement libéral a refusé de le financer parce que c’est prétendument trop cher. On s’est ensuite rabattu sur un Système rapide par bus (SRB) sur le même tracé. Le SRB avançait sans faire trop de vagues jusqu’à tout récemment.

Un alignement de circonstances contraires allait faire capoter le projet.

La suite

Le maire Labeaume s’ouvre sur l’échec du SRB : « On s’est fait sacrer là » Radio-Canada

Voir aussi : Transport en commun.

Le Zircon – état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 juin 2017 Commentaires fermés sur Le Zircon – état des travaux

Le Zircon sur chemin Ste-Foyest lui aussi sur le point de se terminer. D’autres projets débuteront-ils bientôt sur cette artère ou bien le «boum» est passé ?

4 projets résidentiels sur le chemin Ste-Foy.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.

Nouveau pavillon au Cegep de Ste-Foy (3)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 juin 2017 Commentaires fermés sur Nouveau pavillon au Cegep de Ste-Foy (3)

Le nouveau pavillon du Cegep Ste-Foy qui donne sur le chemin Ste-Foy est sur le point de se terminer. Il sera certainement en fonction pour la session d’automne.

Nouveau pavillon au Cegep de Ste-Foy (2)

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Institutionnel.

Plus de précisions sur le projet d’illumination du pont Pierre-Laporte

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 juin 2017 1 commentaire

Source : Taïeb Moalla, Journal de Québec, le 6 juin 2017

L’illumination permanente du pont Pierre-Laporte coûterait 10 millions$ et serait réalisée selon des technologies éprouvées également utilisées sur des infrastructures prestigieuses comme la tour Eiffel, le pont George Washington (New York) ou le Burj Khalifa (Dubaï).

C’est du moins ce que l’architecte Guy Simard a fait savoir lundi au Journal. Deux mois après son inscription au Registre des lobbyistes pour mousser son projet auprès des décideurs publics, M. Simard a dévoilé la première esquisse et les détails du concept. Les maires de Québec et de Lévis ainsi que les ministres Laurent Lessard et François Blais ont reçu ces mêmes documents la semaine dernière.

«Le concept consiste à mettre en valeur cet extraordinaire ouvrage d’art et ses principales composantes, c’est-à-dire le tablier du pont, les deux pylônes, les deux câbles porteurs elliptiques et les suspentes (câbles verticaux qui soutiennent le tablier), le tout avec des appareils peu énergivores munis de diodes électroluminescentes», a détaillé M. Simard.

Pour arriver au montant de 10 millions$, l’architecte compare son projet à la récente illumination du pont Jacques-Cartier, à Montréal, un concept de 39,5 millions$.

la suite

Projet d’illumination du pont Pierre-Laporte.

Voir aussi : Art urbain, Nouvel urbanisme.

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