Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Stations-service désaffectées (suite)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 septembre 2009 7 commentaires

Régys Caron
Journal de Québec

La Ville de Québec est prête à faire de la place pour l’implantation de nouvelles stations de services sur son territoire. (…) La majorité des stations de services ont fermé leurs portes avant 2003, année de l’adoption d’un nouveau règlement obligeant les propriétaires à décontaminer leur terrain après la fermeture d’une essencerie, a précisé M. Picard. Québec doit maintenant trouver l’argent pour décontaminer les terrains vacants abandonnés par les compagnies pétrolières. Quelques rares sites ont été décontaminés dont ceux situés aux coins de la rue Myrand et du boulevard René-Lévesque et de la rue Cartier et du chemin Sainte-Foy, où de nouvelles constructions ont vu le jour.

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Voir aussi : Commercial, Environnement, Québec La cité.


7 commentaires

  1. alex

    9 septembre 2009 à 21 h 12

    hummmm, le terrain à coté du IGA sur Hamel face à Pierre-Bertrand, étais comme une ancienne station d’essence contaminé qui appartenais à équipement Germais, les FORTIER ont décontaminé le terrain au coût de 850 000$ afin d’y construire une pharmacie!!!!

    Félicitations aux Fortier pour cette ouvrage!!!!

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  2. Pier Luc

    9 septembre 2009 à 21 h 26

    Est-ce que quelqu’un peut me dire comment ils « décontaminent un terrain »? J’ai déjà vu une « décontamination » par le passé. C’était une tuyauterie de toilette enfoncée dans le sol et relié à un conteneur de rénovation recouvert d’un bâche. Ça me faisait penser à une épreuve de fort boyard où les participants sont menottés à un tuyau et doivent glisser la menotte dessus… Je me suis demandé si ces tuyaux là faisaient vraiment quelque chose ou si c’était pas une patente de charlatan pour profiter de la peur de la « contamination » pour se remplir les poches. Vous, vous parlez de la pharmacie, dans ce cas ils s’y sont pris comment?

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  3. alex

    9 septembre 2009 à 21 h 39

    La phase des tuyauteries de toilette son passé Pierre-Luc Fort-Boyard est fini depuis 10 ans et les méthode de décontamination ont évoluée, je me demande ce que toi tu peu connaître à ce sujet!!!

    peut-être pourrais tu nous aider dans l’avenir!

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  4. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    9 septembre 2009 à 22 h 02

    il y aura un autre terrain non-occupé dans Limoilou, pas une station-service toutefois

    http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/200909/09/01-900179-incendie-a-limoilou.php

    dsl pour le petit accroc au sujet mais je cherchais le bon sujet pour placer ce fait divers…

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  5. Goldoche

    10 septembre 2009 à 08 h 20

    Je crois qu’on enlève une bonne couche de terre jusqu’au niveau de la décontamination et qu’ensuite on met de la terre non contaminée provenant d’un « pit de sable » ou quelque chose du genre.

    La terre contaminée est ensuite envoyé dans un incinérateur spécial qui va enlever les résidus d’huile, d’essence et d’autres cochonneries.

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  6. Goldoche

    10 septembre 2009 à 08 h 47

    jusqu’au niveau de la contamination…. désolé encore .. oui je sais qu’on peut modifier nos messages si on s’est enregistré au préalable, je n’ai que moi à blâmer.

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  7. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    11 septembre 2009 à 16 h 08

    Je crois qu’ils ont le choix entre laisser le terrain vague « s’évaporer » pendant 25 ans où en enlevant à grand frais $$ la terre contaminé comme le décrit Goldoche. D’ailleurs quelqu’un sait-il où va la terre contaminée? Dans un site d’enfouissement en campagne près d’une école ou du réservoir d’eau municipale?

    Entre les deux solutions, trop souvent on choisit la 1ère option…. ca semble moins cher payer des taxes pendant 25ans pour une verrue urbaine que de payer pour décontaminer à coup de 800000$ dollars, particulièrement là où les terrains ont peu de valeur!

    Serait temps que la ville se mette à surtaxer ces enfoirés pour les forcer à décontaminer (ou mieux encore: les inciter à ne pas ouvrir de tels commerces ici à Québec). C’est au point où j’encourarerais même un règlement municipal interdisant totalement la venue de nouvelles stations-services sur l’ensemble de son territoire, et ce, même si je suis contre ce genre de règlements protectionnistes en général.

    Si Alex la « médaille d’or » aux Fortiers ou je ne sais qui d’autre pour « l’exploit » du boulevard Hamel, moi je donne le « médaille de merde » au Proxi St-Genevieve à Neufchatel qui a agrandit en déménageant sur le terrain voisin, contaminant ainsi un nouveau terrain, et en abandonnant l’ancienne station-service, devenue une nouvelle verrue urbaine de plus dont personne ne veut. Dans ce dernier cas, vu que le dépanneur/station-service est encore propriétaire de la verrue, on peut imaginer qu’il ne vendra jamais à un commerce susceptible de lui faire compétition, ainsi excluant bien des commerces de proximité pratiques tels pharmacie, épicerie, autre dépanneur (que j’encouragerais religieusement), etc.

    La question que je me demande: quelles sont les règles qui permettent de vendre ou louer à un autre commerce sans décontaminer. Je prends l’exemple du M&M aux Saules qui utilise les locaux d’une ancienne station-service et que je serais surpris d’apprendre qu’ils aient décontaminés.

    Aussi: ca a couté très cher a Pétro-Canada qui fut jadis à l’angle Père-Lelièvre et boul. Central, une fuite de leurs réservoirs ayant contaminés le boul. Père-Lelièvre sur une grande distance en longeant les tuyaux de la Ville ou quelque chose du genre… Disons qu’ils ne me feront pas pleurer!

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