Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Tri des matières recyclables: sortir le verre du bac bleu

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2009 31 commentaires

Source: Éric Moreault, Le Soleil, 20 février 2009.

(…) Les contenants de verre (bouteilles de vin, de jus, d’eau et autres) «n’ont pas de valeur et endommagent la machinerie», souligne Raymond Dion, conseiller à Québec, qui participait à la rencontre de la commission de l’environnement de l’UMQ. «On reste une des deux seules provinces qui n’a pas de consigne», fait valoir M. Dion.

Les centres de tri doivent améliorer la qualité des matières recyclables pour obtenir de meilleurs revenus. Pour y arriver, le Québec doit revoir ce qui entre dans le bac et contribuer à la modernisation des équipements.

Une consigne sortirait beaucoup de verre du bac, mais l’UMQ souhaiterait aussi que Québec réduise au maximum l’utilisation des sacs de plastique. Même quand ils ne sont pas récupérés, comme à Québec, leur présence dans le bac, puis au centre de tri nuit à la qualité des produits. À ce chapitre, l’UMQ souhaiterait éventuellement l’interdiction des plastiques de code 6, difficilement recyclables. (…)

La suite. Aussi, entre autres billets: Crise du recyclage: Québec devra délier les cordons de sa bourse.

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.


31 commentaires

  1. Fernand

    20 février 2009 à 09 h 43

    Le chat est sorti du sac, les difficultés des centres de tri atteint Québec et ca va coûter un bras pour résoudre la crise. Avec l’importance des sommes concernées, la ville devra mettre de coté d’autres choses nécessaires pour colmater la brèche de plusieurs millions.

    Ca fait des lunes que je lance un cri d’alarme en disant que l’aveuglement de certains annulera vingt ans d’efforts pour soulager notre seul site d’enfouissement de St-Tite, Quand il sera plein les « pas dans ma Cour » sortiront pour empêcher les élus de choisir un autre site.

    Penser qu’un demi million de personnes n’ont pas de détritus relève de la pensée magique. Vouloir fermer l’incinérateur qui crée de l’énergie thermique et diminue drastiquement les voyages au site d’enfouissement relève de l’utopie.

    Il faut régler cette étape importante du bac bleu AVANT de se lancer dans l’aventure du compost méthanier qui lui aussi coûtera un bras car le « pas dans ma cour » sera au rendez-vous et les pressions pousseront hors de la zone urbanisée cette usine à compost. De quoi créer encore plus de GES avec le transport par camion de matières putrescibles sur plus de kilomètres. Mais les écolos ne sont pas à un paradoxe près…

    Je parles toujours de l’improvisatyion des écolos, voilà, le lait est renversé. Quant on lutte pour recycler et qu’on lutte pour couper les clients du centre de tri en même temps, on se ramasse dans un cul-de-sac et les millions pour réparer l’erreur pleuvent.

    Quand les épiceries utilisent des sacs en papier recyclés et que l’on fait une campagne pour les enlever, on arrive à ce résultat.

    Quand on préconise de cesser d’utiliser du papier dans nos communications, on a ce résultat.

    Quand on force à recycler trop vite, on sature le marché et la loi de l’offre et la demande coupe les prix…

    Voilà pourquoi je rage de voir les dogmes écolos se répandre comme une trainée de poudre. On ne change pas du tout au tout des siècles de comportement et la course aux GES devient catastrophique quand on veut aller trop vite.

    On oublie trop souvent qu’il y a un coût à toute opération peut importe la nature et les budgets ne sont pas essentiellement environnementaux. On dit que trop fort casse, alors toutes les théories écolos s’effondrent comme un château de cartes. Ca démontre le peu de valeur de gestion que véhiculent ces gens dogmatiques. Je veux bien faire des efforts pour respecter la nature mais je n’en fais pas une raison de vivre. La modération a bien meilleur goût…

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  2. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    20 février 2009 à 10 h 08

    « Je parles toujours de l’improvisatyion des écolos »

    Toujours la faute des écolos… Moi, mon slogan? « C’est la faute à Harper! » ;-)

    En voici au autre, dogme: le néo-libéralisme a la solution à tout!! Laissons aux gens « sérieux », comme les industriels et les économistes, le sort de l’humanité.

    Mieux: invitons-les dans les écoles pour décourager les jeunes en leur brandissant en pleine face une « Vérité qui dérange », le Grand Mensonge des écolos grassement subventionnés! Faites leur dire à ces « réalistes » qu’on peut pousser la croissance à l’infini, que notre modèle de développement basé sur le pétrole (une ressource illimité!) est gage de bonheur, de prospérité, et n’a aucun impact au plan environnemental comme sur les population des pays du tier monde!!

    Et bien sûr, dehors les philosophes, les artistes, les travailleurs sociaux, les bénévoles, les spécialistes du domaine de l’environnement et les simples citoyens qui à leur façon, font leur petit geste, ou leur petit effort pour réfléchir sur leur avenir. Bref, tous ceux qu’on peut taxer de gauchistes, ou encore pire de socialistes… ou d’écolo!

    Jean Cazes
    Un écolo

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  3. Erick

    20 février 2009 à 10 h 15

    L’aventure du super gros bac bleu où l’on met pêle-mêle toutes nos chochonneries avec une petit logo triangulaire avec un petit numéro dedans, c’est là l’origine du problème. Du jour au lendemain on est passé de la récupération du papier seulement à la récupération de tout. Et ça dérape.

    Finalement au bout du compte on finit par produire du papier recyclé de si mauvaise qualité qu’on n’en veut même pas ici pour produire de vulgaires boites de carton, alors on se fiait sur la Chine pour nous débarasser de nos vidanges. Mais voila donc que la Chine n’en a plus intéressée à acheter nos vidanges, alors on est pogné avec.

    Ca va finir comment cette affaire là?
    On va vider l’entrepôt de matières récupérables qui trainent dans un entrepôt pour les passer dans l’incinérateru, et on va repartir à neuf en remplacant le gros bac bleu par 5 autres bacs. Bein oui, maintenant que les compagnies qui font les bacs bleu se sont rempli les poches, elles vont encore faire la passe en vendant aux villes des nouveaux bacs jaunes, rouges, verts, violets et roses. Et les vieux bacs bleus ils vont devenir quoi? Sont-ils fait en plastique récupérable au moins?

    Et dire que ceux qui sont à l’origine de ce dérapage ont eu droit à des méritas en tout genre….

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  4. Erick

    20 février 2009 à 10 h 19

    Dans les endroits public ils ont mis des poubelles à récupération compartimentées pour séparer à l’origine le papier, le verre, le métal, etc. Pourquoi si à la maison on n’a qu’à tout mettre ca dans le même gros bac? biz…

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  5. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    20 février 2009 à 10 h 21

    Merci, Érick, d’exposer ce problème de façon pragmatique, sans émotivité, en critiquant les moyens, certes, mais pas la nature du geste louable et nécessaire de recycler et réutiliser!

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  6. Fernand

    20 février 2009 à 11 h 45

    Jean Cazes tu devrais adhérer au Mouvement Utopia qui est devenu le Parti Anticapitaliste européen et qui regroupe la gogauche, les altermondialistes et les verts. Ici c’est Québec-Solidaire, tu sais le gars qui garoche ses souliers pour polluer davantage et qui cautionne les terroristes, eux sont le pendant du Parti Anticapitaliste. Kyoto c’est 200 milliards pas une cenne de moins. On pêche pas ça dans l’air de sommes semblables et les gouvernements n’ont pas seulement l’emçnvironnement à payer la facture. On enlève l’argent de quel programme pour respecter Kyoto, cette arnaque de détournement de fonds. On diminue les $$ dans les hôpitaux ou les écoles ou on arrête de payer les BS pour payer Kyoto ??? Soyez donc logique et non dogmatique. Regardez les pas fait depuis 20 ans, c’est pas vrai qu’on s’est pris le moine…

    Deuxièemement, le prof Reynald Duberger est un géologue à la retraite de sachaire universitaire et donne des conférences gratuites sur les fausses informations des verts sur le climat. Il a même défié Steven Guilbault, le pape des écolos qui a un bac en Théologie de l’UdeM et que le seul geste héroïque est avoir escaladé la Tour du CN pour attirer l’attention. Drôle de CV pour venir nous haranger à 3,000$ de l’heure. Ouin, il n’est pas gratuit comme le scientifique Duberger. Équiterre a reçu un terrain de 1,3 million pour y installer leur maison du Centre de l’Environnement qui a été construit avec les largesses de tous les gouvernements y compris la ville qui loue encore des locaux inutilement pour 120,000$ par année.

    Érick, tu as raison. La récupération n’est que pour diminuer le volume qui arrive au site d’enfouissement, un point c’est tout. Le fabricant de bac en plastique fait une fortune avec ca. Les bacs bleus ont coûté 12 millions seulement pour la Ville de Québec.

    Imagine que les bacs bruns « at large » ne coûterons pas moins cher pour aller porter à une usine à méthane qui sera non rentable financièrement. On parle de 35 millions juste pour l’usine sans parler du transport par camion. Les millions pleuvent pour des lubies. Si on veut faire du compost, ben les granolas devraient en faire individuellement, on est pas obligé de à’obliger tout le monde pour ça…

    Les mêmes gens ont fait campagne pour enlever les sacs de papier recyclés pour mettre des sacs en plastique fabriqué à base de pétrole dans les épiceries et les commerces. Ils s’apercoivent de leur erreur alors ils ont fait campagne pour amener des sacs réutilisables « made in China ». Ces gens se sont créé des jobs pour nous conseiller à faire écolo et nous imposer leur façon de vivre dans la simplicité volontaire. Faut troquer nos chars pour des vélos et manger bio même si ca coûte plus cher et que ca dégage autant de GES. Faut cesser de manger de la viande car les bovins et ovins pètent et broutent l’herbe. J’en ai assez de me faire dire quoi faire par des accros aux subventions du Ministère de l’environnement…

    Jean ton diplôme en géographie n’a pas plus de valeur environnementale que mon diplôme en administration. Je sais compter et je vois que des milliards sont détournés par des lobbys qui cherchent à nous appauvrir…

    Obama et Harper se sont rencontrés. Malgré Greenpeace, ils développeront les sables bitumineux qui nous rendent autonomes énergétiquement vis-à-vis le Moyen-Orient. Tu préfère dépendare des arabes plutôt que de ton pays ??? Npos gouvernmements travailleront à capter le carbone ce qui rendra plus propre cette énergie. Ce que vous voulez c’est de fermer tout ca pour vivre de l’air dui temps. Continuez à rêver, vous ne serez jamais au pouvoir…

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  7. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    20 février 2009 à 12 h 12

    Vous m’avez convaincu, Fernand: j’adhère à votre idéologie de droite et de fuite en avant! Et dorénavant, j’irai plutôt prêcher la Bonne Nouvelle en brandissant une photo de Harper et en moussant la qualité de vie des habitants de Fort McMurray! :-))

    Plus sérieusement, pour revenir au sujet, je vous propose cet exercice:

    1- Dite-moi si oui ou non, vous être d’accord avec le simple PRINCIPE de développer un mouvement de recyclage et de réutilisation;

    2- Peu importe votre réponse, résumez-moi dans un texte d’un demi-feuillet MAXIMUM votre point de vue et vos solutions.

    Sur ce bonne journée: j’ai ma marche de santé de 6 km à faire en ce bel après-midi de congé dans mon beau quartier de Limoilou, là où il y a plein de rêveurs et de « profiteurs de système », dont moi le premier! ;-)

    Jean Cazes
    Bacc. géographie et… gogauche!

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  8. Manu

    20 février 2009 à 12 h 22

    Mettez une consigne de 0,25$ à 0,75$ sur les bouteilles, comme les bouteilles de bière en Allemagne, et vous allez voir que les gens vont les rapporter au bon endroit, là où on pourra aussi avoir des contenants séparés pour les différents types de verres ou de bouteille (par exemple, les bouteilles réutilisable et celles qui vont finir broyées).

    C’est toutefois désolant (mais pas surprenant…) qu’après ce que l’état demande aux commerçants pour gérer les contenants consignés, de voir la SAQ, monopole d’état, qui rechigne à faire pareil. Il me semble que la SAQ devrait donner l’exemple. Personellement, je mettrais ça au moins à 1$ pour une bouteille de vin.

    @Fernand : le problème n’est pas la récupération du verre, ni les écolos. Les problèmes des centres de tri n’indique aucunement qu’on doive cesser de récupérer le verre. Relisez un peu de quoi il est question là… et vous allez voir que, comme le mentionnait Erick, le problème est la manière dont on en fait la collecte. Voudrais-tu svp nous épargner tes dérapes inspides et inutiles?

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  9. Matrix

    20 février 2009 à 12 h 33

    Je suis peut-être dans le champs, mais je vois mal pourquoi cette nouvelle est publié ici…

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  10. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    20 février 2009 à 12 h 52

    « Je suis peut-être dans le champs, mais je vois mal pourquoi cette nouvelle est publié ici… » – Matrix

    Louin de moi l’idée de sortir un autre sujet controversé (à croire qu’ils le deviennent tous!!): ce dossier particulièrement « urbain » a fait l’objet de plusieurs billets, et correspond tout à fait à la classe « Qualité de vie ».

    Si ça continue, faudra censurer n’importe quels sujets: édifices à bureau, nouvelle route, luttes populaires, incinérateur municipal, vision du tramway de nos élus…

    Bref, la multiplication de commentaires « genre colons », ça commence à être sérieusement déprimants!

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  11. Benoît

    20 février 2009 à 13 h 35

    Comment est-ce qu’on peut sans gêne proclamer être contre le recyclage comme le prétend Fernand sous prétexte de voyages de camions?

    Autre question : comment rester calme devant un être comme Fernand?

    C’est quoi ta solution? Le statu quo?

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  12. Erick

    20 février 2009 à 14 h 20

    Ils ont parlé de forcer les consignes sur les bouteilles d’eau, signe supposément de naturel mais qui finalement polluent l’environnement de façon incroyable, mais les compagnies d’eau s’y opposent….

    J’ai connu une femme qui possédait une compagnie de camionnage en Suisse, sa clientèle était la récupération du verre (bouteilles de vin).

    Je crois que ce serait la moindre des choses, n’en déplaise aux compagnies, mais ce ne seraient peut-être pas les bouteilles de vins la priorité (quoi que Manu à tout à fait raison à propos du rôle social de la SAQ), mais plutôt les bouteilles d’eau, de jus etc, donc on consomme beaucoup plus. D’un autre coté, ça encouragerait les compagnies à utiliser les contenants de carton, ce qui d’un coté stimulerait notre industrie des pâtes et papier qui en arrachent ces temps ci, car ceux-ci sont récupérables (il me semble).

    En disant « il me semble » je lève un autre point, c’est que bien des gens ne savent pas vraiment ce qui est récupérable ou non, moi le premier, alors les centres de tri se ramassent avec des vidanges à tout bout de champ.

    p.s. J’ai déjà travaillé chez Alex Coulombe (Pepsi) à trier les bouteilles vides dans ma jeunesse. Les bouteilles vides étaient simplement rapportées par les mêmes camions qui avaient livré des bouteilles pleines. Aujourd’hui ce temps est révolu avec les bouteilles de plastique, ils n’ont plus besoin d’engager des étudiants pour faire le tri.

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  13. Sophie

    20 février 2009 à 15 h 13

    Moi, je me demande ce qu’en pensent les « robineux » ou autres quêteux ? Pour plusieurs organismes, la collecte des contenants consignés est une source de revenus

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  14. Erick

    20 février 2009 à 15 h 23

    @Sophie

    Je me souviens quand je travaillais à l’Hotel de Ville je mangeais mon lunch dehors et comme il y avait des robineux qui ramassaient les canettes, j’avais pris l’habitude de laisser ma cannette en train plutôt que la mettre dans la poubelle, me disant que le robineux serait heureux de ne pas avoir à s’abaisser à la ramasser dans la poubelle.

    Mais c’est les commercants qui ne doivent pas trop aimer voir des robineux venir se faire rembourser des cannettes toutes crottées qu’ils ont trouvés dans les immondices.

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  15. Sophie

    20 février 2009 à 15 h 30

    Je pensais également aux groupes de scouts qui passaient à la maison.

    @ Erick

    Heureusement certains commerçants ont installé des machines pour les récupérer et les compter. À l’époque, c’était assez long attendre que le commis compte une par une les canettes dans un gros sac poubelle.

    Mon questionnement c’est que représente la somme qu’un organisme peut obtenir en cueillant des contenants consignés ?

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  16. Fernand

    20 février 2009 à 16 h 28

    Je n’ai jamais dis que je suis contre le recyclage mais que le cul-de-sac que nous avons était prévisible car sans coordination aucune.

    Tu ne peux pas couper ta clientèle et en plus mal trier pour avoir des statistiques de volume.

    Il faut développer un marché du recyclage surtout quand on grossit le volume aussi vite. Au contraire les gestes des écolos a été de diminuer le marché en préconisant des assemblées sans papier (C’est marqué papier recyclé sur le papier à ptàhoptocopier que j’achète), enlever les sacs d’épiceries en papier recyclés et demander de recycler davantage.

    On dirait que tout ce qu’on amène comme solution a été fait à la hâte. Les fluocompactes, personne ne savait que la disposition posait problème, pas grave on va de l’avant on ramassera les pots cassés après.

    Ca fait presq

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  17. Francis Vachon

    20 février 2009 à 16 h 54

    @Sophie: 2 cents la cannette/bouteille

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  18. Carol

    20 février 2009 à 16 h 54

    « “Je suis peut-être dans le champs, mais je vois mal pourquoi cette nouvelle est publié ici…” – Matrix »

    Se souvenir que l’urbanisme est pluridisciplinaire, donc entre autre le domaine de l’environnement est aussi inclus !

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  19. Fernand

    20 février 2009 à 17 h 03

    Ca fait presque 20 ans que les villes recyclent. C’est drôle on devrait avoir une expertise pour éviter de tels cafouillages qui nous coûtent des millions parce qu’on a mal géré. Je ne suis pas en poste pour décider, sinon il y aurait des gestionnaitàres qui auraient à répondre à mes questions…

    Jean ébaucher une solution sans avoir toutes les données est aussi dangereux que de ne rien faire.

    On est rendu avec deux entrepôts pleins à raz-bord et un centre de tri submergé. Oubliez pas que les assurances obligent une surveillance 24 heures sur 24 de ces entrepôts de papier en ballot. En plus du loyer que la Ville supporte, elle doit embaucher une agence de sécurité. Pas grave on payera plus de taxes…

    Oui, je suis pour le recyclage mais pas en amateur. Avant d’ouvrir « at large » on aurait du rôder le centre de tri et grossir progressivement. Les écolos utilisent le principe de précaution juste quand ca fait leur affaire et dans ce cas ils ne l’ont pas utilisé. Mais non faut se dépêcher la fin du monde est proche. Cette religion qui mêle les détritus puis le climat nous fait gaspiller temps et argent.

    Nous avons pollué et saccagé notre nature, réparer des siècles de négligence ne se fera pas en un jour. Les écolos ont permis aux citoyens de mettre dans leurs critère l’environnement dans leur choix futurs même si c’est plus dispendieux, c’est déjà beaucoup.

    Je l’ai dis l’environnement est devenu un moyen de subsistance pour ces gourous de l’écologie. Parler contre certains mythes entretenus faussement est comme parler de corde dans la maison d’un pendu…

    Pour ceux qui disent que je fabuke, vous irez voir le site des Ami(E)s de la Terre et de leur comité sur l’incinérateur. Ils veulent le fermer et sont en beau maudit qu’on ait reculé sa mort en faisaiànt pour 55 millions de travaux pour améliorer les rejets…

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  20. Fernand

    20 février 2009 à 17 h 43

    Revenir à la consigne pour le verre est une solution partielle au problème car ca ne fait que diminuer le tri à faire au centre.

    Il faut développer des marchés des matièeres recyclées et connaitre les exigences des clientèles et leurs besoins. La loi du marché existe encore…

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  21. Jean Cazes

    20 février 2009 à 18 h 11

    « Revenir à la consigne pour le verre est une solution partielle au problème car ca ne fait que diminuer le tri à faire au centre.

    Il faut développer des marchés des matièeres recyclées et connaitre les exigences des clientèles et leurs besoins. La loi du marché existe encore… »

    Enfin une remarque raisonnable, Fernand, vous qui n’êtes pas « copain-copain » avec les écolos, pour utiliser une expression remis au goût du jour par nos très cultivés « amis » conservateurs…

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  22. Fernand

    20 février 2009 à 18 h 44

    Au cas ou certains se demanderait ce que le recyclage fait là, c’est un service municipal qui est en crise aigu et qui va coûter des dizaines de millions de dollars aux municipalités de la province. J’ai recueilli quelques articles un peu partout et depuis quelques mois que j’expédie à Jean Cazes. La chose est très sérieuse tout menace de s‘écrouler…

    Voici quelques extraits glanés un peu partout

    Radio-Canada de L’Est , mardi 6 janvier 2009, 17 h 25

    Centre au bord de la crise
    La récession mondiale menace une cinquantaine d’emplois dans le secteur de l’environnement sur la Côte-Nord. Le centre de tri Le Phare, qui dessert Port-Cartier et Sept-Îles, manque d’espace pour entreposer les matières récupérables qui ne trouvent plus d’acheteurs.

    Le Nouvelliste de Trois-Rivières, 6 janvier 2009

    Quinze tonnes à l’enfouissement- Ca déborde !
    Il avait été était question, avant les Fêtes, d’entreposer les matières à l’extérieur du bâtiment. Bien qu’il soit conscient qu’il faudra tôt ou tard le faire quand même, Michel Camirand explique que Récupération Mauricie a vendu des matières à perte, en décembre, pour pouvoir vider l’entrepôt. C’est que l’accumulation des matières, en particulier le papier et le carton, risque de causer des problèmes lors d’une éventuelle reprise de l’économie. Si tous les centres de tri en accumulent, le marché serait en effet inondé de surplus, ce qui empêcherait une hausse de la valeur des matières. Au risque de se retrouver avec pire dans quelques mois, Récupération Mauricie a donc vendu à perte son carton 15$ la tonne, en décembre, une matière qui valait 120$ en octobre.
    L’aide ministérielle attendue avec impatience
    Les centres de tri du Québec attendent toujours avec impatience des nouvelles de la ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs à qui ils demandent une aide d’urgence de 35 $ la tonne de matières récupérées afin de survivre à la crise économique. Quelques centres de tri ont dû se résigner à fermer leurs portes au cours des dernières semaines.
    Radio-Canada Centre du Québec, 21 novembre 2008.
    Les centres de tri crient famine
    Les dirigeants des centres de tri du Québec, dont Récupération Mauricie, interpellent le gouvernement québécois afin de trouver des solutions à la crise qui secoue leur industrie. Ils réclament notamment l’octroi de subventions pour compenser l’effondrement du prix des matières recyclables. Les dirigeants des centres de tri ont fait part de leurs doléances à l’issue d’une rencontre d’urgence tenue à Montréal jeudi. Selon le président du conseil d’administration de Récupération Mauricie, Jean-Guy Doucet, plusieurs centres de tri pourraient fermer leurs portes si rien n’est fait au cours des prochaines semaines. « D’ici un mois, il va y avoir des fermetures. La première chose que l’on demande, c’est une subvention pour le tonnage que l’on reçoit […] qui compenserait les pertes que nous subissons actuellement. C’est une première démarche. L’autre élément pourrait être une subvention pour l’inventaire. Dans notre cas, la matière ne sort pas, il n’y a pas de prix. C’est la descente aux enfers », résume-t-il.

    Radio-Canada Montréal , 31 janvier 2009

    Recyclage
    Nouvel appel à l’aide
    L’effondrement des prix des matières recyclables causent d’importants problèmes financiers aux centres de tri de la province. C’est particulièrement le cas pour le centre de tri de Montréal, qui menace de fermer ses portes s’il n’obtient pas d’aide sous peu. Avec la baisse de la demande pour les matières recyclables, le centre de tri de Montréal, qui dessert le quart de la population de la province, estime perdre 150 000 $ par mois. « L’exploitation est maintenant déficitaire, nous sommes déficitaires depuis trois mois, et évidemment, nous ne pourrons pas maintenir les installations dans ce même contexte », dit Laurent Pepin, porte-parole de Rebuts solides canadiens.

    Jean je n’exagère pas les situations pour que tout soit centré sur l’environnement. C’est l’abus de ceux qui crient au loup qui me casse les oreilles…

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  23. Fernand

    20 février 2009 à 18 h 51

    Si on écoutait les écolos faudrait fermer des écoles et des hôpitaiàux pour se concentrer sur de la recherche et des études environnementales. Il s’en ait fait pour 5 millards au Canada, je trouve qu’on exagère. Tout le monde fait du mieux qu’il peut avec les moyens qu’il a. Je répète ca coûte au minimum 200 milliards pour respecter Kyoto, commence à passer le chapeau car on est en crise financière et les gouvernements sont dans le rouge. C’est beau de demander mais la facture faut la payer sinon ce sont les générations futures qui en hériteront. Moi dépenser 200 milliardsa pour contrôler un climat à la place de la nature c’est du temps perdu et des gens meurrent de faim et de soif.

    Obama est venu sécuriser les ressources énergétiques. Il va augmenter la demande de pétrole provenant des sables bitumineux même si Greenpeace veut fermer la chanplure depuis toujours. Ils vont augmenter les fonds de I-CAN pour capter le CO2 et le tour va être joué. On a la chance d’être les arabes de l’Amérique et d’être indépendants énergétiquement. On fait des envieux, arrêtons de pleurer… Au fait les réserves prouvées des sables bitumineux sont bonnes pour 250 ans. Mais quand on vit dans une bulle de rêve on ne penses pas à ça. Une chance que certains s’en préoccupent sinon, on serait dans le tiers-monde…

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  24. Carol

    20 février 2009 à 19 h 08

    « Si on écoutait les écolos faudrait fermer des écoles et des hôpitaiàux pour se concentrer sur de la recherche et des études environnementales »

    Hein ! Où est-ce que vous avez cherché cela ?!

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  25. Sébastien D

    20 février 2009 à 19 h 20

    Concernant le captage du CO2 des sables bitumineux:

    1. La technologie n’est vraiment pas encore au point

    2. Il n’y a pas que les émanations de CO2 (80kilo de Co2 pour un seul baril!!…)

    Parlons donc de la surconsommation d’eau (l’équivalent en une année de la consommation d’une ville de 500 000 habitants), de la déforestation massive, (on est en train de créer un désert de 140 000 km2(!!) Allez voir sur Google Earth ça vaut la peine!

    Une pollution spectaculaire, des émanations de méthane en plus du C02 (les tourbières sont les plus grand capteurs de méthane et on les détruit pour exploiter le pétrole)… Et maintenant il a de sérieux doutes sur la contamination des populations locales, des cas de cancers, la pollution de la nappe phréatique.

    Pour le sujet du jour, le recyclage, je suis d’accord de mieux cibler ce qu’on récupère, quitte à récupérer moins pour commencer mais en ayant des matières recyclées de meilleure qualité.

    1. Avoir des compartiments séparés pour le papier et le plastique no5 (ce sont les plus nombreux) ça évitera de contaminer notre papier et ainsi obtenir un produit recyclé de meilleure qualité.

    2. Obliger les compagnies à consigner les bouteilles d’eau, de jus et de vin. On diminue ainsi la provenance par produit : plastique no5 et papier : bac bleu compartimenté; et verre, métal, aluminium, plastique de bouteille : via les retours aux commerçants.

    Beaucoup plus simple, incitatif, et efficace!! Et rentable Fernand!

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  26. Jean Cazes

    20 février 2009 à 19 h 43

    Bref, on a les mêmes préoccupations concernant notre avenir, Fernand et moi. Là où il y a divergence d’opinion, c’est sur les causes, les solutions et les responsabilités de tous et chacun.

    Or, il me semble que la sagesse, justement, c’est de s’orienter dans un processus de consommation RESPONSABLE à une époque de dérive dans la surconsommation! Et la crise actuelle, les économistes « réalistes » ne l’on pas venue venir, en passant…

    Ça passe par l’exemple, les petits gestes, et il faut être patient pour changer des habitudes bien ancrées! Exemples: le sac en tissu que l’on traîne avec soi pour aller à l’épicerie, ou délaisser sa voiture pour acheter à 15 minutes à pied de chez soi son litre de lait au dépanneur!

    Et si l’on s’entend sur un processus de décroissance, on oublie alors la fuite en avant dans les sables bitumineux!!

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  27. Fernand

    21 février 2009 à 13 h 32

    Carol 200 milliards ça ne se trouve pas dans tes poches. C’est BIG pour employer une expression d’un idiot popularisé par Falardeau.

    C’est non moins que cette somme que les groupes écolos réclament quand ils parlent de respecter KYOTO. Or, d’ici 2012, ca fait combien par année, 200 milliards en 3 ans et ou on coupe. Dans la péréquation on va faire pleurer la chatelaine, dans les transferts aux hôpitaux ou aux écoles Charest va se promener en quêteux. Ou mon cher Carol ??? Explique-moi…

    On est en crise écomnomique et déjà les gouvernements nous conditionnnent à accepter des déficits qu’on va laisser aux générations futures. Arrêtez de rêver, on est sur terre…

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  28. Fernand

    21 février 2009 à 13 h 59

    Jean que de paroles sages. Oui, on s’entend que nous visons un environnement meilleur et je pose les gestes pour. Mais je veux aussi garder le niveau de vie que j’ai acquis à force de persévérance et de labeurs. J’ai travaillé sans trop prendre de vacances pendant 38 ans (33 dans le public et 5 dans le privé). Je ne suis pas prêt à décroître mon train de vie et à troquier ma voiture pour un vélo car je suis devenu trop pauvre. Comme la fournàmi j’ai fait mes réserves de $$$. J’ai un vélo et j’en fait pour prendre l’air, faire de l’exercice et me tenir en forme. Je n’ai jamais considéré le vélo comme un moyen de transport.

    Quant aux sables bitumieux, on devrait être fiers de faire partie d’un pays qui nous garanti l’autosuffisance énergétique. En Alberta les réserves sont bonnes pour 250 ans et Obama veut s’en servir pour ne plus dépendre du Moyen-Orient.

    Au Québec on a l’Hydroélectricité et je crois que l’on doit évolurer encore plus dans la recherche surtout avec la découverte des nano-condensateurs au MIT. Ca permet d’espérer la voiture électrique ou à l’hydrogène mais moi je vais plus loin en prônant l’accumulation du courant des éoliennes et des barrages avec ces nanos batteries. Je me suis prononcé contre le harnachement de La Romaine. Paradoxalement, Steven Guilbault, L,écolo modèle n’a pas ouvert la bouche, ni pour Gentuilly II. C’est vrai que l’Hydro a fait un beau don à Équiterre d’un terrain évalué à 1,3 million. On ne morfàd pas la main qui nous nourrit…

    Enfin, le Canada exploite aussi le pétrole sous la mer au large de s maritimes et ça commence à être gros. Une chance que cet apport nous apporte l’autosuffisance et nous place en bonne postiure financière.

    Jean, Mme Marois,la chatelaine subventionnée, a pleuré sur la diminution de la péréquation pourtant cette péréquation composé de 50% des redevances sur le pétrole redristribuées aux provinces pauvres…

    Enfin Pétro-Canada a des propriétés en Mer du Nord au large de l’Écosse. Oui, oui, on a du pétrole canadien là aussi et c’est ce qui alimente la raffinerie de Montréal-est.

    Vouloir troquer cette richesse enviée de tous pour des dogmes et des mythes, je ne serai jamais d’accord.

    J’aime bien que endfin Jean tu parles de décroissance dàcomme Les Ami(e) s de lat
    terre logés au Centre de l’enbvironnement. DM’ailleurs voici leur propre signification du mot « décroissance »

     » Un prolongement de la simplicité volontaire vers le socio-politique.  »

    Malheureusement, je ne suis pas un adepte et ne m’habille pas dans les friperies. Paradoxalement, ils payent plus chers leurs aliments pour manger bio et végé. Il y en a qui aiment ca. Le seul reproche c’est qu’on veut me forcer à faire de même et ca c’est pas volontaire du tout…

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  29. Fernand

    22 février 2009 à 10 h 14

    Sébastien D vous oubliez I-CAN. Voici le copier-coller du communiqué qui parle par lui-même.

    Le nouveau gouvernement du Canada investit dans la recherche sur la capture du carbone et produit des résultats concrets sur les réductions des gaz à effet de serre
    Le 12 mars 2007
    CALGARY – Le ministre des Ressources naturelles, l’honorable Gary Lunn, de concert avec les partenaires d’Innoventures Canada (I-CAN), a annoncé aujourd’hui, à l’Economic Club de Calgary, le financement d’un projet de création du Centre I-CAN pour la conversion du dioxyde de carbone (CO2).
    Sous la direction de l’Alberta Research Council, du Saskatchewan Research Council, de l’Industrial Technology Centre du Manitoba et du Centre de recherche industrielle du Québec, le Centre I-CAN pour la conversion du dioxyde de carbone (CO2) permettra de mettre au point des réseaux de microalgues qui auraient la capacité de capter jusqu’à 100 millions de tonnes de CO2 provenant des industries, telles que les usines alimentées au charbon et les projets d’exploitation des sables bitumineux. L’algue, une source précieuse de biomasse, pourra ainsi être transformée en une gamme de produits industriels et de sous-produits comme le gaz naturel renouvelable, l’hydrogène et les biocombustibles.
    « Ce projet est un exemple probant de l’engagement de notre gouvernement à trouver des nouveaux projets prometteurs qui aideront le Canada à acquérir une meilleure compréhension de la capture, du stockage et de l’utilisation du carbone, de déclarer le ministre Lunn. Il prend appui sur nos initiatives écoÉNERGIE, dont le Groupe de travail annoncé par le premier ministre la semaine dernière. Nous sommes résolus à fournir des résultats concrets aux Canadiens et à réduire les émissions de gaz à effet de serre. »
    Ressources naturelles Canada (RNCan) verse des fonds de 100 000 $ pour la première phase du projet. Le financement de RNCan appuiera les principales fonctions de recherche et développement et les études de définition, contribuant ainsi à l’élaboration d’une analyse de rentabilisation pour une installation pilote intégrée.
    « En réunissant un groupe important d’experts venant de partout au Canada, I-CAN est le véhicule choisi pour entreprendre des projets complexes de grande envergure qui aideront l’économie canadienne à innover, à se développer et à prospérer, d’affirmer John McDougall, président-directeur général de l’Alberta Research Council et président du conseil d’administration d’I-CAN. Nous sommes très heureux de voir le gouvernement fédéral se joindre à nous dans cet important projet, qui constituera un progrès de plus pour trouver des façons innovantes de réduire les émissions de gaz à effet de serre. »
    I-CAN est le mécanisme qui allie les ressources de l’industrie, des gouvernements et des organismes de recherche pour diriger de grands projets de recherche et développement au Canada. Les partenaires financiers d’I-CAN pour ce projet comprennent : Shell Canada Limitée, Epcor Utilities Inc., Graymont, RNCan et le gouvernement de l’Alberta.
    Date de modification : 2007-04-18

    Par la suite le 13 juillet 2008, L’INRS publiait comme partenaire de I-CAN dans le Journal de Québec une pleine page en titrant : Le CO2 transformé en carburant propre.

    Non content de cette intervention la très écolo Vivian Song reprenait dans sa chronique « Planète verte » dans le Journal de Québec le 10 août 2008, le même article de l’INRS qu’elle a du vérifier les résultats pour en être emballée en titrant : Les algues comme carburant propre.

    Dans le budget Harper 2009, le gouvernement investi près d’un milliard pour I-CAN afin de continuer le projet de capter le CO2. La rencontre Obama-Harper de cette semaine continue dans le même sens. Que Greenpeace veuille fermer Syncrude (conglomérat qui exploite les sables bitumineux), les gouvernements canadien et américain ont décidé d’un commun accord d’utiliser cette ressource qui nous rend sécuritaire au niveau énergétique vis-èa-vis le Moyen-Orient et de continuer à investir dans I-CAN…

    Pour ceux qui reprochaient aux USA d’intervenir au Moyen-Orient à cause du pétrole se tiennent pour dit. L’Amérique est maintenant autosuffisante et le Canada que certains veulent quitter est devenu un pays concurrent de l’OPEP. Au fait les écolos n’ont pas le même discours au Moyen-Orient, pourtant… Est-ce que c’est ça la décroissance, fermer le robinet ou se séparer des resoosurces énergétiq

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  30. Fernand

    22 février 2009 à 10 h 43

    Oups le maudit piton, j’ai pas fini, ni corrigé…

    ressources énergétiques ?

    Le vrai défi de la planète n’est pas trois dixièmes de degré dans cent ans mais le contrôle des ressources de base pour que les humains continuent à exister. Des ressources énergétiques en abondance (le Canada est autosuffisant et même exportateur de pétrole et d’électricité) , avoir accès facilement à l’eau potable (nous avons les étendues d’eau douce les plus grandes au monde – réf. Sommet de Rio), viser l’autosuffisance alimentaire et avoir accès aux soins médicaux convenables. Plusieurs pays à ce titre nous envient. Mais je dis des propos hérétiques pour certains.

    Je vous laisse avec une parole sage de Norman Borlaug, père de la révolution verte et prix Nobel de la paix : « il n’est pas possible de construire un monde pacifique avec des estomacs vides et de la misère humaine ».

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  31. Carol

    22 février 2009 à 20 h 46

    « mais le contrôle des ressources de base pour que les humains continuent à exister. Des ressources énergétiques en abondance (le Canada est autosuffisant et même exportateur de pétrole et d’électricité) »

    Ouin ! faudrait peut-être que le contrôle ne passe plus par une petite poignée d’individu, mais plutôt par des collectivités, avec des intentions et avec des actions justes. Pour le « vrai » bien collectif et non que certain ose prétendre.

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