Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


GM Développement fait le point sur St-Roch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 mai 2009 84 commentaires

Mixité ou ghettos

Saint-Roch a trop longtemps été le déversoir des déshérités de la ville de Québec, déplorent Geneviève Marcon et Jean Campeau.

La relance inachevée

Des investissements privés et publics de 415 millions de dollars injectés dans Saint-Roch au cours des 15 dernières années n’ont pas suffi à revitaliser complètement le quartier. Il faudra plus de résidants, plus de travailleurs, de touristes et d’artistes préviennent les promoteurs.

Courir plusieurs lièvres…

La Ville de Québec doit s’assurer de ne pas briser l’élan donné dans Saint-Roch sous prétexte de revitaliser d’autres secteurs de la ville, préviennent Jean Campeau et Geneviève Marcon.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch.


84 commentaires

  1. Erick

    25 mai 2009 à 08 h 52

    « La Ville de Québec doit s’assurer de ne pas briser l’élan donné dans Saint-Roch sous prétexte de revitaliser d’autres secteurs de la ville, »

    Quel esprit de clocher.

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  2. Antoine

    25 mai 2009 à 09 h 18

    Et surtout  » nous enlever nos subventions… »

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  3. Julien

    25 mai 2009 à 09 h 20

    Mais, reste que j’aime l’idée de déplacer le marché du vieux port à D’Estimauville et de partir tout un quartier autour ce cela..

    Son emplacement actuel n’est pas optimal, et la demande pour un marché publie et là… à D’estimauville, il ne serait plus aissi à l’étroit…

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  4. Jeff

    25 mai 2009 à 09 h 24

    Quand vous dites d’Estimauville, vous parlez de Beauport??
    Si s’en est le cas je trouve que développer ce coins de ville est pas très intéressant. Je trouve beaucoup plus intéressant Lebourgneuf à mon égard.

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  5. Matrix

    25 mai 2009 à 09 h 42

    Est-ce normal que le développement de St-Roch repose sur une seule compagnie privé ?

    Ça explique bien des choses sur la situation…

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  6. Louis.L.

    25 mai 2009 à 09 h 46

    Deux promoteurs qui poussent leur interêts..Auraient-ils leur part de resposabilité dans ,l’échec de la relance de St-Roch ? Le prix des logements  »retapé » et des locaux commerciaux aussi élevé favorise t-il la fuite des habitants et des commerces? Le mépris de ces gens face à ceux pour qui St-Roch n’est pas un nouveaux Manhatan mais juste la base-ville est-il pour quelque chose. Pour eux, St-Roch n’est qu’un terrain de jeux et un oasis de subventions. Faut être drôlement culotté pour demander publiquement de stopper le développement des autres secteur de Qc pour ne pas nuire à leur buisnes…

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  7. Louis.L.

    25 mai 2009 à 09 h 47

    « On va peut-être se faire lancer des tomates, mais ils sont tous dans le quartier : les danseuses, les femmes violées, les seringues (Point de repère), Rendez-vous centre-ville, Lauberivière, soupire Mme Marcon. On nous demande de faire de la mixité, mais ce n’est plus de la mixité, s’il y a trop d’organismes communautaires, ça devient des ghettos. C’est toujours le social contre les gros méchants promoteurs. »

    Suis-je le seul à trouver ce propos déplacé?

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  8. Julien

    25 mai 2009 à 09 h 52

    @jeff

    d’esttimauville n’est qu’à 5km de la haute ville par l’autoroute Dufferin. Alors, que Lebourgneuf est à 10km. D’Estimauville me semble avoir un grand potentiel de pas sa localisation.

    Mais, je serais curieux de connaître quel intérêt tu vois à Lebourgneuf? à l’exception du quadrilatère Pierre Bertrand, Autoroute 40, Lebourgneuf et des Galeries, les terrains vont commencer à se faire rares pour des grands projets…

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  9. Louis.L.

    25 mai 2009 à 10 h 02

    Lebourneuf est ceinturé d’autoroutes et plusieurs terrain sont toujours disponibles. Le coin acceuil de nouveaux résidents à un rythme fou. De plus, c’est à 6 km de l’axe Ponts-Boul.Laurier-Universtié. Contrairement à d’Estimauville, les promoteurs ont déjà une tendance naturelle à s’y installé, signe de potentiel.

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    • Michele

      17 juin 2009 à 15 h 28

      En tant qu’ancienne résidente du quartier St-roch, j’ai rapidement appris à apprécier ses multiples facettes: c’est ce qui en fait un centre-ville!
      Pour l’idée du marché, je trouve désolant de penser le déraciner vers d’Estimauville ou Lebourgneuf… avez-vous déjà essayer de vous rendre dans ces coins en autobus un bon dimanche après-midi? Faites le test et on en reparlera!
      Un marché public doit être un point central de retrouvaille, facile d’accès pour tous. Je pense aussi que Québec étant si touristique, nous devrions garder en tête que les touristes n’iront pas se promener au marché s’il est à Lebourgneuf.
      Finalement, un autre groupe de consommateur important pour le marché public sont les restaurateurs. On veut encourager la consommation de produits locaux alors pouquoi rendre la vie compliquée à tous ces gens qui gravitent déjà autour de St-Roch et le Vieux Port.
      J’ai tellement aimé l’énergie et la vie qui a été amenée dans ces 2 quartiers l’été dernier, entre autre par les festivités du 400e, et je crois important de continuer à encourager les gens de Québec à redécouvrir St-Roch et la basse-ville. Moi, j’y retournerais dès demain!

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  10. Matrix

    25 mai 2009 à 10 h 03

    @Louis.L

    Qu’est-ce qu’il y a de déplacé dans le propos ?

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  11. Louis.L.

    25 mai 2009 à 10 h 28

    Ceci,

    On nous demande de faire de la mixité, mais ce n’est plus de la mixité, s’il y a trop d’organismes communautaires, ça devient des ghettos.

    Et les démunis pour qui St-Roch est leur chez-soi, ont les chassent où?

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  12. Matrix

    25 mai 2009 à 10 h 32

    Pourquoi les chasser… quand on peut amener d’autres groupes de gens pour équilibrer le tout !

    Dans le journal j’ai lu qu’ils dénoncent le fait qu’il n’y a pas eu asser de construction de condos dans le secteur.

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  13. Erick

    25 mai 2009 à 11 h 03

    @Jeff

    Il y a une différence fondamentale entre Lebourgneuf et d’Estimauville. Lebourgneuf pousse comme un champignon sans aucune aide $$$ et tout ce qu’il a de besoin c’est d’être controlé de façon à ce qu’il se développe de façon intelligente plutôt qu’anarchique. D’Estimauville est un cas de « revitalisation », sans $$ il n’ira nulle part.

    @Louis L

    « Suis-je le seul à trouver ce propos déplacé? »

    Moi aussi je trouve cette phrase déplacée. De plus, on a bien beau avoir sorti les puttes et clochards de St-Roch, pensez vous qu’ils sont disparu? Non, le problème a juste été déplacé vers les quartiers environnants.

    « Deux promoteurs qui poussent leur interêts..Auraient-ils leur part de resposabilité dans ,l’échec de la relance de St-Roch ? »

    A vrai dire je ne vois pas vraiment où est l’échec. C’es-tu si pire que ca St-Roch maintenant? En tout cas moi je trouve pas ca si pire pantoute.

    S’il y a un « échec » c’est dans leur tête à ces promoteurs, et avec 400 millions de subventions, oui, si c’est pour eux un échec c’est qu’ils avaient mis la barre trop haute. Maintenant ils voudraient plus de fric… qu’ils aillent se faire voir!

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  14. Fernand

    25 mai 2009 à 11 h 10

    L’Édifice Beenox leur appartenant a reçu 500,000$ en subvention…

    Quand on prêche pour sa paroisse…

    Pour D »Estoimauville, au risque nde me faire tirer des tomates, ce dossier est tributaire de St-Roch.

    En 2000, avant la fusion, nous avons commandé une étude à Urbatique pour trouver une vocation à ce secteur en déclin qu’est D’Estimauville.

    L’étude arriva au conseil de Ville de Beauport comme un projet de condos de luxe pour accepter le trop plein de travailleurs informatiques de la nouvelle cité informatique de Bernard Landry. La manne de la cité se fait encore attendre et les condos de l’ilot Fleury ont suffit.

    Voilàa pourquoi, le maire L’Allier trouva une deuxième vocation à D’Estimauville, le garnir de fonctionnaires. Une excellente vision qui aurait le mérite de décongestionner la Colline parlementaire. Mais on visa plutôt l’édifice du 200 dorchester poure les déplacer à D’Estiomauville. Le changement de régime du PQ aux libéraux mis un terme à cette avenue.

    Malgré tout, le RMQ continua à aller de l’avant sans aucun projet concret. Ils ont acheté à la veille des élections de 2005 les Galeries Ste-Anne pour 4 millions. On l’opéra presq

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  15. Gilbert

    25 mai 2009 à 11 h 25

    Pour ma part je suis d’accord avec Jean Campeau et Geneviève Marcon de GM Développementet il faut saluer leurs efforts et je suis aussi d’accord avec le fait que la ville doit poursuivre ses efforts dans St-Roch. St-Roch est une partie intégrante du « centre-ville » de Québec et à ce titre il faut y porté une attention particulière!

    L’éparpillement pour une ville n’a jamais été une bonne chose pour une ville et il serait aussi important que les Cominar et cie soit sensibilisé à cette réalité!!

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  16. Julien

    25 mai 2009 à 11 h 32

    « L’éparpillement pour une ville n’a jamais été une bonne chose pour une ville et il serait aussi important que les Cominar et cie soit sensibilisé à cette réalité!! »

    Effectivment, mais pour qu’ils soient sensibilisés, il faut que ce soit plus rentable pour eux…

    Il faut donc agir pour favoriser le développement où on le veut (céder des terrains, subventions, reglementataion allégée (ex, # d’étages)etc.).

    Si les promoteurs fonc plus d’argent à investir à St-Roch ou d’Estimauville qu’à Ste-Foy ou Lebourgneuf, devinez où ils vont aller?

    Money talks!

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  17. Fernand

    25 mai 2009 à 11 h 33

    On l’opéra pendant presqu’un an au coût de 250,000$ et on cassa les baux des commerces restants en versant quelques compensations monétaires pour relocalisation (350,000$ versé). En août 2005, on procéda èa la démolition pour montrer que ça bougeait et le coût est d,environ 1,5 nmillion. On dépassait 6 millions d’investissement sans aucun projet. Par la suite, on acquis de Robitaille Marine pour 1,1 millions le Cdn Tire de l’autre coté du boul Ste-Anne et installa les archives de la Ville au 1515 D’Estimauville propriété de Robitaille Marine. Récemment le provincial déplaca 250 fonctionnaires dans un autre édifice de Robitaille Marine. La ville commanda au coût de 500,000$ d’autres études qui en viennent aux même conclusion, un édifice phare abritant des fonctionnaires entourré de condos de luxe… On est rendu à 68 millions de sous publics sans aucun projet concret. Quel gaspillage…

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  18. Fernand

    25 mai 2009 à 12 h 15

    790% des déplacements se font en auto. Il faut diminuer les déplacements de transit centre-ville et périphérie et tout le monde y va de sa recette miracle.

    Certains veulent faire des buildings en hauteur sur la colline pour y parker les travailleurs de la colline. D’autres voient dans un tramway nommé désir la solution à toutes les maux. Mais la seule solution durable est de rapprocher le travail du travailleur.

    Si on déplace du Complexe G vers Lebourgneuf , St-pRoch ou D’Estimauville les fonctionnaires , nous risquons de diminuer le trafic sur nos autoroutes. Celui qui est déplacé à Lebourgneuf ira d’établir dans ce secteur en construction. Celui qui sera déplacé à D’Estimauville aussi. C’est comme ça que l’on revitalisera ces secteurs en déclin. Quand à Dte-Foy, la solution pour la désengorger est de construire un lien nord-sud prèes de l’ile d’orléans. Une partie de Lévis, Lauzon, etc. dàse déplacera par l’est diminuant ainsi le trafic sur les ponts. Il demeure que le privé trouvera intéressant d,investiur dans l’est comme il le fait allègrement dans Ste-Foy.

    GM est un promoteur privé et non un décideur politique. Ça biaise ses interventions…

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  19. Jean Cazes

    25 mai 2009 à 12 h 38

     » « On va peut-être se faire lancer des tomates, mais ils sont tous dans le quartier : les danseuses, les femmes violées, les seringues (Point de repère), Rendez-vous centre-ville, Lauberivière, soupire Mme Marcon. On nous demande de faire de la mixité, mais ce n’est plus de la mixité, s’il y a trop d’organismes communautaires, ça devient des ghettos. C’est toujours le social contre les gros méchants promoteurs. »

    Suis-je le seul à trouver ce propos déplacé?  »

    Oui, puisque je connais relativement bien le problème de la pauvreté dans ce secteur, ayant été notamment rédacteur en chef du journal de rue La Quête en 2001 et étant proche, à une certaine époque, de l’oeuvre de Gilles Kègle.

    Attention tout de même de porter un jugement sévère sur les promoteurs: facile, de citer tout croche…

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  20. dave deux

    25 mai 2009 à 12 h 49

    Nous avons a faire ici un cas flagrant de BOBOS (terme du journa- liste David Brooks du New-York Times) qui désignent des gens prétentieux qui prétendent être a l,avant-garde de la société. Ils interviennent dans un quartier avec avidité et ce sans ce soucier des premiers arrivants qu’ils considèrent comme des
    ploucs Le gros de leurs actions, ils le doivent aux subventions
    sans lesquelles ils ne seraient rien. En s’accaparant du quartier et en monopolisant les (rares) subventions, ils bloquent toutes
    initiatives locales qui ne sont pas issues de leurs « génies ».
    cette catégorie d’individus possède un dédain magnanime et
    une fausse modestie primaire. les BOBOS ont une vie hautainede leur environnement humain qu’ils côtoient en trouvant réponse
    a tout. Il s’installent dans un quartier afin d’assouvir leur envie
    d’être parmi le petit peuple, tut en préservant jalousement les réflexes innés de l’embourgeoisement qui les a vus naître.
    ùils sont les premiers a accèder aux biens immobiliers grâce
    a leurs bons contacts. Ils peuvent ainsi accéder a des lieux
    jadis réservé a une classe moyenne qui ne sont plus capables
    de supporter les coûts exorbitants des logements. Ceux-ci
    quittant leur quartier pour la banlieue.

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  21. Julien

    25 mai 2009 à 12 h 54

    « Celui qui est déplacé à Lebourgneuf ira d’établir dans ce secteur en construction. Celui qui sera déplacé à D’Estimauville aussi. »

    j’ai des gros doutes la dessus…Ceux qui sont relativement proches de leur retraite ne voudront pas déménager… Surtout que cela ne fera pas nécessairement l’Affaire de leur conjoint. Ils vont juste faire plus de kilomètres le matin et le soir…

    Pour les plus jeunes dans la fonction publique, rare sont ceux qui se choisissent un emploi à vie. Donc, pour eux, être proche de leur lieu de travail n’est pas un critère majeur de choix de maison…Car, dans 3 ans ils ne travailleront probablement plus là…

    Déplacer le complexe G me semble plutôt de l’argent jeté par les fenêtres… Les coûts d’un déménagement et d’un rémanénagement seraient astronomiques… Limiter le développement d’emplois en haute ville, peut-être, mais pas de la à déplacer ce qui est déjà là…

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  22. Manu

    25 mai 2009 à 12 h 54

    Ils ont toute une façon de dénigrer Ste-Foy : « ça tient sur deux coins de rue ». J’ai des petites nouvelles pour eux : la « zone d’affaire » sur Laurier fait le double de la superficie de son équivalent dans St-Roch. Et je ne compte même pas l’Université Laval dans ce ratio. Ah… il y a beaucoup de stationnement de surface à Ste-Foy? Eh bien il y a aussi beaucoup plus d’étages dans les tours à Ste-Foy. Bref, en superficie de plancher, Ste-Foy (de Henri IV à l’Université Laval inclsusivement) n’a rien à envier à St-Roch. Alors ils auraient peut-être dû garder pour eux leure petite comparaison boiteuse plutôt que d’avoir l’air ridicule.

    Et « l’élan St-Roch » qu’il ne faut pas freiner… eh bien que GM le poursuive cet élan! C’est quoi le problème? S’ils ne sont pas capable de le faire avec tout ce que la ville a fait à date, c’est peut-être que leur modèle d’affaire n’est pas bon? D’ailleurs, c’est de la foutaise leur argument autour de « vouloir développer cinq pôles en même temps » et « les efforts seront dilués ». Devrait-on leur faire remarquer qu’à part d’Estimauville qui aura effectivement besoin d’efforts pour se développer, les autres pôles se développent sans aucun effort de la Ville de Québec?

    Lévis est une ville indépendante de Québec et n’a pas besoin des « efforts » de Québec, Lebourgneuf se développe sans problème (même s’il s’agit d’un projet d’il y a 25-30 ans qu’on a laissé pour compte lors de la récession au début des années 90), et Ste-Foy se développe si bien que la ville est rendue à déployer des efforts pour *ralentir* son développement!

    Il s’agit selon moi d’une argumentation tout à fait fallacieuse. Le problème, c’est plutôt que dans les autres pôles, il y a d’autres promoteurs, lesquels sont en compétition avec GM, et c’est GM qui n’a pas envie de diluer ses efforts dans les autres pôles. Alors encore une fois, c’est leur modèle d’affaire qui n’est pas à la hauteur de celui de leurs concurrent. Mais c’est vraiment indigne d’un promoteur sérieux de refiler le blâme à la ville.

    @Erick et Louis : c’est sûr qu’il y a un incompréhension des mondes entre celui des promoteurs et celui des organismes communautaires. Mais de là à sous-entendre qu’ils ne sont pas responsable de cette incompréhension, je trouve ça moi aussi déplacé. Par ailleurs, tout ce qu’ils énumèrent (les danseuses, les femmes violées, les seringues, etc.) se retrouve bien plus dans St-Sauveur que dans St-Roch il me semble (tout comme les gangs de rue dont ils n’ont pas parlé). On ne va pas gaspiller nos tomates pour eux, mais je ne me gênerai pas pour regarder de haut un promoteur qui veut faire pitié.

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  23. christian

    25 mai 2009 à 13 h 09

    Pourquoi, à la lecture de ces articles, ce qui me vient en tête, c’est « Publi-reportage »?

    Du bon vieux J de Q, on interview quelqu’un qui a un intérêt X, on le challenge pas trop,on parle pas dela montagne de subventions dont a bénéficié Monsieur Madame GM, on fouille pas plus le dossier (dans le style de l’Actualité),pis on présente ça comme un dossier complet.

    S’tivident que ce couple là ne veut pas de développements ailleurs, pourquoi partager la poule aux oeufs d’or quand on peut la garder pour soi!!

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  24. la chose

    25 mai 2009 à 13 h 27

    Louis.L.: « Et les démunis pour qui St-Roch est leur chez-soi, ont les chassent où? »

    Dans Lebourgneuf.

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  25. Erick

    25 mai 2009 à 14 h 10

    « Déplacer le complexe G me semble plutôt de l’argent jeté par les fenêtres… Les coûts d’un déménagement et d’un rémanénagement seraient astronomiques… Limiter le développement d’emplois en haute ville, peut-être, mais pas de la à déplacer ce qui est déjà là… »

    Effectivement faut voir cet exemple comme « imagé », faut pas le prendre à la lettre. Entre « déménager le G » et favoriser le développement ailleurs que sur Colline, il y a une marge. De toute facon il n’y a pas de camion assez gros pour déménager le G ;)

    L’idée c’est que la concentration des pôles de travailleurs créent en soit beaucoup de navettage inutile car ce n’est pas assez central géographiquement, et si on a des opportunités de construire ailleurs, surtout au niveau du gouvernement du Québec, c’est bon d’y penser.
    Je vois une distinction entre le Gouvernement du Québec et le projet de concentrer tous les fonctionnaires fédéraux à d’Estimauville.

    C’est que les fonctionnaires fédéraux, s’ils sont tous concentrés au même endroit, vaut mieux qu’ils soient concentrés au « centre », car ils n’ont pas de possibilité de changer d’emploi s’ils se font pitcher trop loin de leur domicile. Pour le fonctionnaire qui reste à Beauport c’est super, mais pour celui de Cap-Rouge c’est moins rose.

    Pour ce qui est du Gourvernement du Québec, c’est différent, car la majorité des fonctionnaires occupent des emplois « générique » (ex: secrétaire, informaticien, gestionnaire) et peuvent facilement muter d’un ministère à l’autre pour se rapprocher de leur domicile. A part quelques ministères centraux comme le ministère de finances et le conseil du trésor, ils sont rares les ministères qui ont besoin d’être près du parlement. S’il est important pour un ministère d’avoir tous ses employés regroués au même endroit physique, il n’y a absolument aucun intérêt à ce que le ministère des transports soit à coté du ministère de l’éducation. C’est pourquoi il pourrait très bien y avoir un gros ministère dans St-Roch, un autre à d’Estimauville, un autre à Charlesbourg, un autre à Lebourgneuf, un autre aux Saules et un autre à Ste-Foy (le Revenu y est déjà), et bien sûr quelques uns sur la Colline parlementaire. Si vous êtes fonctionnaire provincial et n’êtes pas content de votre lieu de travail: mutez à un endroit qui voyage mieux.

    Les commercants, eux, ils l’ont compris ce principe! Pourquoi Future Shop, Walmart, Odéon & Canadian Tire se bâtissent un peu partout plutôt qu’un seul méga magasin au centre-ville? Ils se rapprochent non pas des travailleurs, mais de la clientèle.

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  26. Fernand

    25 mai 2009 à 16 h 29

    Érick vous avez compris mon idée. Si on veut réduire le navettage faut sortir le plus possible de fonfons de la Colline. Le Ministère des transports a des bureaux au dessus de l’hotel Delta des Gouverneurs et occupe deux étages. Pourquoi ne se rapprocherait t’ il pas du garage de la section 20 sur Pierre Bertransd au nord de l’autoproute à Lebourgneuf ?

    Le ministère de l’éducation prend 6 étages du complexe G. Je les vois très bien occuper les bureaux des commissions scolaires réparties sur le territoire après avoir aboli les commissions scolaires…

    Mais pour celà il faut des décideurs visionnaires.

    Votre exemple des commerces qui se bâtissent dans tous les coins de la Ville est fameux. Ils respectent des concentrations de population dans les centres périphériques. Faut pas se cacher, le centre-ville c’est 30 % de la population, le reste est en périphérie. Pourquoi les points de services publics ne se rapprocheraient t’ils pas de la majorité de la ville ??? Ça raccourcirait le navettage et permettrait à certains de choisir la marche ou le vélo pour s’y rendre, car plus près de chez lui…

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  27. slimovitch

    25 mai 2009 à 18 h 13

    « Les commercants, eux, ils l’ont compris ce principe! Pourquoi Future Shop, Walmart, Odéon & Canadian Tire se bâtissent un peu partout plutôt qu’un seul méga magasin au centre-ville? Ils se rapprochent non pas des travailleurs, mais de la clientèle. »

    Aucune comparaison à faire entre les commercants et les fonctionnaires!

    Il n’y a aucune concurrence entre les différents ministère contrairement aux commercants. Futur Shop a fermé sa succursale de Fleur de Lys car son plus gros concurrent est Wal-Mart et s’est placé tout près sur Lebourgneuf.

    « Si vous êtes fonctionnaire provincial et n’êtes pas content de votre lieu de travail: mutez à un endroit qui voyage mieux. »

    Si le fonctionnaire qui s’est acheté une maison et qui est très bien dans son ministère??

    L’idée du plan de transport du maire c’est de diminuer les voitures et opter pour le transport en commun. Comme je disais, les express sont parfait pour les fonctionnaires alors comment voulez-vous faire plusieurs pôles et avoir un système de transport en commun efficace. D’accord, ça va diminuer les voitures sur la colline mais ça va mettre plus de voitures sur les autoroutes!

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  28. Pierre-E. Paradis

    25 mai 2009 à 18 h 47

    On a une ville polycentrique. Il faut donc à harmoniser et trouver une vocation à ces différents centres pour ne pas qu’ils entrent en compétition les uns avec les autres. Dans cette optique, Mme Marcon a quand même raison de se méfier des centres d’affaires qui pourraient nuire à SES affaires!

    Quant à l’idée de déménager le marché dans le secteur d’Estimauville, elle n’est pas mauvaise, mais irréalisable simplement parce que 90% des déplacement se font en auto, et Beauport est trop excentré.

    Dans une perspective « tout à l’auto », le seul espoir (bien mince) pour ce secteur serait de construire un nouveau pont-tunnel à travers l’ile d’Orléans jusqu’à Lévis.

    Donc la seule solution envisageable, à faible coût, pour relancer Beauport est le TRAIN DE BANLIEUE jusqu’à Beaupré.

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  29. LP

    25 mai 2009 à 20 h 25

    Le problème de GM, m’apparaît assez simple, ils n’ont pas bien circonscrit leur clientèle. Je m’explique, St-Roch est bourré d’entreprise TI qui, comme il s’agit d’une industrie relativement récente, est composé de jeunes professionnels.

    Toutefois, GM s’acharne à vouloir ouvrir des commerces haut de gamme. Ils auraient intérêt à prospecter auprès de compagnies qu’on ne retrouve pas à Québec et qui sont prisées des jeunes, ce qui en plus générerait de l’affluence ex: Urban Outfitters, Lululemon, Mango, etc..

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  30. Circeus

    25 mai 2009 à 20 h 58

    Slimovitch, tu as tout de travers, l’idée n’est pas d’améliorer la « concurrencialité », mais tout bonnement de simplifier les déplacement de ceux qui se rendent à un endroit. Dans le cas d’un commerce, c’est évident que si on a plusieurs points de ventes, les déplacements de la clientèle sont améliorés et ultimememnt raccourcis.

    Le même principle si on considère l’ensemble des bureaux gouvernementaux du centre-ville et leurs employés: si on les répartis plus afficement, les déplacements y gagneront aussi en efficacité, si ce n’est que parce que moins de déplaements se « pileront sur les pieds » les uns des autres.

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  31. jp

    25 mai 2009 à 21 h 06

    Je suis un peu surpris de lire les commentaires de tout le monde..

    Souvent vous mentionnez que le système de transport en commun devrait s’améliorer à Québec, qu’il faudrait le rendre plus efficace, plus fréquent, plus direct et cie.

    Et là il semble qu’il n’y a pas grand monde (ou du moins c’est mon impression) qui est pour le développement d’un centre-ville fort. Si on décentralise tout, si les bureaux se trouvent à des endroits dispersés, comment s’attendre du même coup à un bon transport en commun? Selon moi, si on veut travailler pour le bien de Québec, il faut centraliser les choses et développer des quartiers clés. D’un côté vous semblez pour la densification et de l’autre vous dîtes oui… mais pas au centre-ville… pas sûr de vous suivre.

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  32. jaco

    25 mai 2009 à 22 h 50

    « …pas sûr de vous suivre…. »

    En quoi un centre-ville ultra-concentré améliore le transport en commun?

    1- Dans une ville ultra-concentré la 801 part de pointe Ste-foy, se remplit, et fait 1 délestage au Parlement disons… (80 passagers en tout sur le trajet)

    2- Sans une ville déconcentré , la 801 part de Pointe-ste-foy, se remplit et fait 5 délestages dans des centres d’emploi secondaires (300 passagers en tout)

    300 passagers contre 80 pour une ville ultra-concentré…

    Quel est le lien entre ville tres concentré et amélioration du transport?

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  33. Erick

    25 mai 2009 à 23 h 27

    @jp

    Concentrer les emplois tout au même endroit a un gros défaut, la majorité des gens se ramassent à demeurer loin de leur travail, car il n’y a pas de place pour tout le monde à une distance raisonnable du travail, et encore moins répondant aux goûts de tous. Plus la ville grossit, plus les gens vivent loin. C’est comme ca qu’à New York les gens se trouvent à voyager à 100km de la ville.

    J’ai déjà aussi mentionné dans un autre billet deux problèmes d’ordre géographique qui font que la Colline Parlementaire est un mauvais endroit pour concentrer les emplois.

    Le 1er est le fait que celle-ci se trouve en haut d’une butte dont l’accès est limitée à quelques côtes. La dénivellation combinée à la rareté des axes de transport font que toutes les solutions au transport sont toujours extrèmement onéreuses.

    La 2e est la présence du fleuve qui empêche la banlieue de s’établir de façon égale tout autour du centre-ville. Au lieu de cela, la banlieue s’étend toute du même coté, et deux fois plus loin qu’elle le serait autrement, et à mesure que la population augmente et que les banlieues s’étalent, le centre-ville « d’affaires » se trouve de plus en plus désaxé. Le résultat à long terme est que le centre-ville tend à se déplacer vers le centre géographique des régions habitées, centre géographique qui se trouve actuellement dans le secteur de Lebourgneuf/Vanier/Duberger.

    Il y a moyen de décentraliser de façon structurée, en s’arrimant sur les infrastructures de transport, autant routière que le transport en commun.

    Au niveau du transport routier, ces pôles doivent être facile d’accès, donc être près des autoroutes. De plus, dans le cas de Québec, l’infrastructure routière déjà surdéveloppée est aussi un élément clé pour le développement du transport en commun.

    Au niveau du transport en commun, un « terminus » à l’intérieur de chaque « pôle », interreliés par des liens « forts » ultra-rapides du style « navette » (sans arrêts intermédiaires) peuvent être le noyau du système de transport. Les banlieues sont ensuite reliées via le réseau local au terminus le plus près. Et les terminus sont aussi doublement reliés entre eux par un service local.

    En principe, quelqu’un peut voyager de n’importe quel point à n’importe quel autre point avec un maximum de 2 correspondances. Evidemment faut quand même s’arranger pour que le maximum possible de gens puissent se déplacer avec un service direct, laissant les scénarios de 1 ou 2 correspondances à ceux qui ont des trajets marginaux.

    Je ne parle pas de technologie précise ici car ce concept peut être comblé n’importe quel(s) moyen(s) de transport.

    C’est comme ca que je vois le futur système de transport de Québec. En fait on a déjà les éléments embryonnaires de ce système, avec nos terminus d’autobus. Québec est déjà multi-pôle, alors c’est normal que le réseau de transport actuel soit déjà un peu adapté à cette situation.

    Evidemment il ne faut pas créer 50 pôles, sinon on se remasserait avec un produit cartésien de navettes si ces pôles ne sont pas alignés sur des axes communes.

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  34. Erick

    25 mai 2009 à 23 h 34

    @jaco

    « Quel est le lien entre ville tres concentré et amélioration du transport? »

    C’est qu’une ville ultra-concentrée tend, par sa concentration de population, à justifier des moyens plus lourds comme un métro. Alors qu’une ville moins concentrée peut très bien se contenter de tramways, métros de surface & autobus en site propre. Évidemment faut pas se ramasser avec une ville totalement éparpillée… car il n’y a plus que le taxibus qui fonctionne!

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  35. jaco

    26 mai 2009 à 00 h 06

    Donc une ville tres concentré n’améliore pas le transport …

    Une ville tres concentré amene une congestion qui ne peut être remédié que par des moyens lourds (métro)

    Une ville moins concentré amene moins de problemes de transport et on peut y remédier par des moyens légers (tramway et bus)

    La meilleure formule pour Québec me semble donc le développement de pôles secondaires d’emploi;
    Estimauville
    Ste-Foy
    Lebourgneuf
    Charlesbourg
    accompagné d’une densification résidentielle sur le pourtour de la ville-centre

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  36. Seb

    26 mai 2009 à 07 h 05

    Une ville plus concentrée est plus efficace. C’est très bien documenté. Cependant, pour que ce soit valable, il faut que la zone où se concentrent les activités soit également densément peuplée. Ramenez le monde au centre ville et il va continuer son développement. À voir comment la majorité réagit au projet hypothétique de la Porte de Québec, je pense qu’il nous faut des projets de cette trempe pour vider nos banlieues tentaculaires. Arrêtons de construire ces affreux boulevards gigantesques concus pour les voitures. E.g. St-Foy.

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  37. slimovitch

    26 mai 2009 à 08 h 28

    « Le même principle si on considère l’ensemble des bureaux gouvernementaux du centre-ville et leurs employés: si on les répartis plus afficement, les déplacements y gagneront aussi en efficacité, si ce n’est que parce que moins de déplaements se “pileront sur les pieds” les uns des autres. »

    @ Circeus

    Explique moi comment tu penses améliorer l’efficacité d’un réseau de transport en commun en éparpillant des pôles un peu partout? Je crois que c’est toi qui a tout de travers!

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  38. Matrix

    26 mai 2009 à 09 h 02

    Démonstration :
    Québec est une ville super étalé

    Résultat : Le transport en commun n’est pas efficace et cela à favorisé l’automobile.

    Développer plusieurs pôles augmente l’utilisation de l’auto, alors que la concentration oblige davantage à l’utilisation de transport en commun

    C’est pas drôle de devoir expliquer ça ici…

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  39. Gilbert

    26 mai 2009 à 10 h 10

    la chose à dit:
    Louis.L.: “Et les démunis pour qui St-Roch est leur chez-soi, ont les chassent où?”

    Dans Lebourgneuf.
    ** *** **** ***** ******

    Bonne idée « la chose »! Non mais sérieusement il vous est jamais venue à l’idée de construire des HLM à plusieurs endroit dans les quartier centraux la ou l’offre des Transport en Commun sont disponible avec un service régulier, de bâtir des centre d’accueuil et de réinsertions sociale, … .

    S’occupé des démunis ce n’est pas une dépense c’est un investisement! Le premier capital pour une société c’est son capital « humain »!

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  40. Gilbert

    26 mai 2009 à 10 h 16

    Matrix à dit:
    Démonstration :
    Québec est une ville super étalé

    Résultat : Le transport en commun n’est pas efficace et cela à favorisé l’automobile.

    Développer plusieurs pôles augmente l’utilisation de l’auto, alors que la concentration oblige davantage à l’utilisation de transport en commun

    C’est pas drôle de devoir expliquer ça ici…
    ** *** **** ***** ******

    Tout à fait d’accord avec toi Matrix mais décourage toi surtout pas l’idée fais son chemin tranquillement mais surement! Le gros bon sang finis toujours par triomphé! C’est juste une question de patienceet de pertinence!

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  41. Gilbert

    26 mai 2009 à 10 h 24

    INSPIRER PLUTÔT QUE CONVAINCRE
    « L’écho de nos paroles est limité.
    L’exemple que nous donnons
    par notre façon d’être touche
    bien davantage les gens que
    nous côtoyons.

    Nous aimerions parfois
    convaincre nos proches de mettre
    en pratique nos principes de vie,
    mais donner l’exemple est notre
    seul moyen de devenir pour eux
    une source d’inspiration. »

    « Voilà déjà un premier pas, qui est à ta porté de tous pour aujourd’hui! »

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  42. Yvan Dutil

    26 mai 2009 à 10 h 27

    Le problème c’est pas la concentration des emplois, c’est le manque de mixité des usages. Il faut pourvoir habiter près de sa job si possible. Ce qui implique qu’il doit y avoir des rédidences à proximité.

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  43. Gilbert

    26 mai 2009 à 11 h 03

    Yvan Dutil à dit:
    Le problème c’est pas la concentration des emplois, c’est le manque de mixité des usages. Il faut pourvoir habiter près de sa job si possible. Ce qui implique qu’il doit y avoir des rédidences à proximité.
    ** *** **** ***** ******

    Tout les intervenants sont d’accord avec ce n’est pas seulement GM Dévelopements qui fait part de cette problèmatique. D’ailleurs le point que tu nommes fais partie intègrante du « Développement Durable ».

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  44. Erick

    26 mai 2009 à 11 h 04

    @Fernand

    « Le Ministère des transports a des bureaux au dessus de l’hotel Delta des Gouverneurs et occupe deux étages. Pourquoi ne se rapprocherait t’ il pas du garage de la section 20 sur Pierre Bertransd au nord de l’autoproute à Lebourgneuf ? »

    Vous lisez dans mes pensées. Ce terrain est tout à fait l’endroit indiqué pour le regroupement des activités du Ministère des Transports.

    Le ministère des transports utilise les étages 14 à 31 de Place Haute-Ville ainsi qu’une partie du 2e étage. Le Delta utilise les étages 0 à 12.
    Les 3 bâtisses du MTQ dans Lebourgneuf abritent des garages et l’usine de signalisation, mais aussi la totalité du développement informatique, qui y a déménagé en 2000 par manque d’espace à Place Haute-Ville. Pendant que les politicailleux donnent l’illusion à leurs électeurs que le gouvernement rapetisse grace aux non-remplacements des fonctionnaires à la retraite, la réalité est tout autre: si la « masse salariale » diminue, la « taille de l’état » quant à elle, AUGMENTE, en bonne partie grâce à la sous-traitance. C’est un peu normal, c’est pas en construisant de plus en plus de routes, en ayant de plus de plus de gens viellissants à prendre soin et en instaurant des systèmes de garderies « open-bar » à 7$ que l’état va réduire en taille.

    Alors il n’est pas nécessaire d’arracher à la Colline Parlementaire des édifices à bureaux pour en créer ailleurs, le manque de place se fait déjà sentir… Si par exemple le MTQ quittait place Haute-Ville, les bureaux libérés seraient rapidement comblés par d’autres ministères éparpillés qui cherchent à regrouper leurs activités.

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  45. Erick

    26 mai 2009 à 11 h 27

    @jaco

    « La meilleure formule pour Québec me semble donc le développement de pôles secondaires d’emploi;
    Estimauville
    Ste-Foy
    Lebourgneuf
    Charlesbourg »

    A quelques détails près, c’est ce que je penses aussi. Ces « pôles » sont loin d’être des « trous » et il n’est pas du tout utopique de les desservir comme du monde par le transport en commun. C’est pas pour rien que le RTC est en train de planifier un métrobus 803 et que le comité à Labeaume regarde aussi du coté des emprises autoroutières, car l’emprise de l’autoroute Capitale, entre-autres, peut être mise à contribution.

    @gilbert

    « Non mais sérieusement il vous est jamais venue à l’idée de construire des HLM à plusieurs endroit dans les quartier centraux la ou l’offre des Transport en Commun sont disponible avec un service régulier, de bâtir des centre d’accueuil et de réinsertions sociale, … . »

    Trouvez vous normal de subventionner des assistés sociaux pour qu’ils demeurent dans des quartiers où la classe moyenne (les bailleurs de fonds qui font vivre ces mêmes assistés sociaux) n’a pas les moyens d’habiter elle-même?

    « Résultat : Le transport en commun n’est pas efficace et cela à favorisé l’automobile.

    « Développer plusieurs pôles augmente l’utilisation de l’auto, alors que la concentration oblige davantage à l’utilisation de transport en commun »

    Erreur, il ne faut pas associer auto et étalement systématiquement. Les quartiers résidentiels suffisent amplement à justifier un transport en commun digne de ce nom. Même dans un quartier de bungalows avec une moyenne de 2 habitants par propriété, il y a suffisamment de monde au km2 pour remplir un bus de 40 passagers à une fréquence raisonnable de 15 minutes. Mais l’offre en transport en commun étant insuffisante, l’auto-solo devient la seule alternative, particulièrement hors-pointe où ca devient totalement ingrat de prendre un bus aux 60 minutes pour aller faire l’épicerie.

    Vous comprendrez qu’ici je ne parle pas d’aller revirer en métrobus sur le Mont-Bélair…

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  46. Manu

    26 mai 2009 à 12 h 23

    L’étalement, plus d’automobiles, mois de transport en commun… on peut faire des liens entre tout ça, mais je n’irais pas jusqu’à dire qu’un en cause un autre.

    Je dirais plutôt qu’ils sont tous dépendants de deux données historiques et hors de notre contrôles : les années au cours desquelles l’automobile est devenue accessible à la majorité de la population, et la taille d’une ville à ce moment (i.e. la population de sa « région métropolitaine », grosso modo au sens ou Statistiques Canada l’entend, et non pas ses limites administratives qui ne veulent rien dire quand on compare une ville avec une autre)

    Pour faire un exemple simple, disons que l’automobile a conquis le paysage après la 2e Guerre dans l’ensemble de l’occident. À ce moment, une ville déjà forte en population a déjà un système de transport en commun bien implanté. Il est donc déjà ancré dans les habitudes et efficace pour se déplacer dans un milieu urbain « dense sur une grande surface », et la voiture a du mal à « pénétrer le marché » et cause très rapidement des bouchons de circulation. Dans une petite ville, où le transport en commun se limite à quelques lignes d’autobus ou de tramway (il y avait une dizaine de lignes de trams à Québec en 1932, toutes sauf deux, je crois, pour désservir la banlieue, et aucune à Ste-Foy) la voiture prend rapidement le dessus car il n’y a que de petites zones assez denses pour gêner sa circulation. À l’extrême, une très petite ville qui n’avait aucun transport en commun à l’époque a bien sûr vu l’automobile prendre instantanément toute la place.

    En 1950 (et depuis…), Québec était loin d’avoir la population nécessaire pour avoir un assez gros système de TEC bien implanté. L’étalement, l’automobile et la baisse d’intérêt pour les TEC (presque vu comme un moyen de transport honteux) sont venus ensemble à cause de la condition de Québec à ce moment. Si l’automobile était arrivée en 2025, ce serait fort différent. Et si elle était arrivée en 1750 (au grand public toujours), l’Europe en serait probablement remplie (plus qu’aujourd’hui).

    On pourrait aussi apporter d’autres raisons pour expliquer ces phénomènes, comme l’espace disponible autour de la ville (toujours en 1950) et prêt à recevoir ce qu’on voulait bien y mettre, ou encore le climat rigoureux de l’hiver qui favorise l’auto. Mais ce que je voulais expliquer par tout ça, c’est que ce n’est pas parce que des phénomènes sont reliés entre eux qu’il y en a un qui est la cause de l’autre.

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  47. Réal

    26 mai 2009 à 12 h 42

    « Trouvez vous normal de subventionner des assistés sociaux pour qu’ils demeurent dans des quartiers où la classe moyenne (les bailleurs de fonds qui font vivre ces mêmes assistés sociaux) n’a pas les moyens d’habiter elle-même?  » dixit Erick.

    La solution est simple: au lieu d’envier les logements des assistés sociaux, pourquoi ne pas faire un échange avec eux ? Ton bungalow en banlieue contre un apartement dans un HLM du centre-ville.

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  48. Philippe Tremblay

    26 mai 2009 à 14 h 00

    « Trouvez vous normal de subventionner des assistés sociaux pour qu’ils demeurent dans des quartiers où la classe moyenne (les bailleurs de fonds qui font vivre ces mêmes assistés sociaux) n’a pas les moyens d’habiter elle-même? »

    On a il me semble essayé d’installer des HLM à Sainte-Foy, mais il y a une certaine mairesse qui s’est battu bec et ongles pour ne pas en avoir dans sa petite banlieue.

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  49. Erick

    26 mai 2009 à 14 h 25

    @Réal

    Pensez-vous que je ne suis jamais demeuré en ville? que je n’ai jamais envisagé d’y demeurer? et que même aujourd’hui cette option est exclue pour moi?

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  50. Olivier.Amiot

    26 mai 2009 à 17 h 30

    Je crois que, pour que GM parvienne à ses fins sans pour autant nuire à la mixité sociale et au fait qu’un centre-ville viviant c’est aussi un centre-ville avec des gens différents, il faut que GM vise vers le vieux-port, et non vers le nord de St-Roch. Ce que je veux dire par là, c’est que si GM veut un quartier de bourgeois, le vieux-port est déjà là. Alors qu’il s’arrange avec la ville pour faire le pont (ce que le cirque du soleil devrait d’ailleurs faire).

    D’ailleurs, c’est vrai que c’est un peu frustrant cette obsession des commerces de luxe. Les habitants ont aussi droit à des services! J’ai lu une étude fait par des étudiants de socio qui disait que les nouveaux travailleurs et habitants du quartier étaient incapable de se payer les commerces de GM. C’est pas pcq tu es un nouveau travailleur pour Ubisoft que tu es capable de te payse Hugo Boss! Tout ça pour dire que la stratégie de marketing de GM est incohérente.

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  51. Seb

    26 mai 2009 à 17 h 32

    Cool de voir à quel point la discussion a dérivé. Tout ca pour dire que j’habite dans ce qu’ils appellent le Nouvo St-Roch pis je trouve que c’est une ben belle place pour vivre. Ya pas mal d’action pis on peut tout faire à pied comme dans le vieux. Manque juste des tours d’habitation pour mettre de la vie icitte en soirée; le stationnement derrière la fabrique servira probablement à cette fin. Il faut aussi dire que ça va prendre un bout de temps avant que les gens de Québec développent le réflexe de venir magasiner ici. Avec un peu de persévérance, la population va y prendre goût. Ya un paquet de blocs bruns qu’on peut démolir pour faire dekoi de beau dans plusieurs coins. Ya aussi moyen de faire de la mixité en gardant les plus beaux des anciens buildings pis en détruisant ce qui est laid. On va faire quelquechose qui a de l’allure. Le défaitisme ne mène à rien.

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  52. slimovitch

    26 mai 2009 à 17 h 35

    @ Erick

    « A quelques détails près, c’est ce que je penses aussi. Ces “pôles” sont loin d’être des “trous” et il n’est pas du tout utopique de les desservir comme du monde par le transport en commun. C’est pas pour rien que le RTC est en train de planifier un métrobus 803 et que le comité à Labeaume regarde aussi du coté des emprises autoroutières, car l’emprise de l’autoroute Capitale, entre-autres, peut être mise à contribution. »

    La colline parlementaire incite les gens à prendre le transport en commun car la passe de stationnement coûte 130$ par mois. Crois-tu vraiment que ces même fonctionnaires vont utiliser le transport en commun avec des stationnements gratuits dans le secteur Lebourgneuf et Estimauville?

    Ça prend plus que des petites voies réservées sur les autoroutes pour changer la mentalitée des gens.

    Le RTC devra également revoir ses metrobus et trouver un moyen de les mettre en site propre pour améliorer la rapiditée. Le 802 a environ 8 KM et prend entre 32 et 35 minutes pour faire son parcours en heures de pointes ce qui est beaucoup trop long. Pour le 803 on parle entre 39 et 46 minutes.

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  53. Fernand

    26 mai 2009 à 20 h 24

    Érick merci. L’hotel peut récupérer les étages laissées par le MTQ pour faire de nouvelles chambres afin d’augmenter sa capacité d’accueil…

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  54. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    26 mai 2009 à 21 h 40

    Deux suggestions que j’ai déjà soulignées pour améliorer la vie de quartier dans Saint-Roch:

    1- Investir dans le cinéma Charest;
    2- Faire revenir une grande surface comme Zeller’s en l’installant au rez-de-chaussée du futur immeuble de la « scie hache »!!

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  55. Seb

    26 mai 2009 à 22 h 12

    @Jean
    C’est contre la philosophie de St-Roch de pourrir la place avec une grande surface. On veut faire dekoi de nouvo, pas un St-Foy prise 2.

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  56. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    26 mai 2009 à 22 h 42

    Seb:

    Je respecte ton commentaire, mais j’ai vu l’évolution de Saint-Roch, et j’ai connu le mail avec son Zeller’s et son Woolco. Je relance le débat: on a besoin d’au moins un de ce type de commerce pour le monde « ordinaire ». Pour ma part, je ne suis pas gêné de dire que mes jeans, je les achète au Zeller’s de Place Fleur-de-Lys! ;-)

    L’histoire des grandes surfaces (étagées) dans Saint-Roch a souvent été abordée dans QU. Ne subsiste que Laliberté:

    https://www.quebecurbain.qc.ca/2009/04/07/les-belles-annees-suite

    https://www.quebecurbain.qc.ca/2008/04/04/voyage-dans-le-temps-le-gasin-pollack-du-boulevard-charest-vers-1970

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  57. Seb

    27 mai 2009 à 07 h 10

    @Jean aussi
    Le Cinéma Charest est toujours vide, comment y justifier un investissement? À moins d’augmenter sa visibilité et son attrait. Entk côté nombre et taille des salles, c’est plus que suffisant. Ya pu d’arcade au centre-ville depuis que la récréathèque s’est poussée dla rue St-Jean. Ca serait une bonne idée d’en combiner une avec le cinéma.

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  58. Erick

    27 mai 2009 à 09 h 23

    @Slimovitch

    Il y a un autre incitatif que le parking payant qui va s’en venir pas mal plus vite que tu penses: le prix de l’essence. On en a vu l’effet l’été dernier avant la récession qui est causée en partie par cette dernière. Dès sorti de la récession, l’essence va remonter en fou (d’ailleurs elle est déjà en train de remonter subtilement). Sans compter que les gens ne sont plus capables d’acheter 2 voitures à 20000$ à tous les 10 ans. L’option de ne garder qu’une seule voiture, qui implique qu’au moins un des membres du couple prend le transport en commun, va devenir de plus en plus fréquent.

    Si le Ministère des Transports regroupait ses 1000 employés sur Pierre-Bertrand, ne t’en fait pas le parking ne serait plus gratos comme il l’est présentement. On a déjà deux exemples de décentralisation similaires à Québec, le min du Revenu à Marly et plusieurs ministères à l’Atrium. Aucun n’a de parking gratos.

    Et dans une ville décentralisée, ceux qui demeurent près de leur travail ont aussi l’option de voyager à pied ou à bicyclette, ce que je me prévaudrais probablement quelques mois par année si c’était mon cas, et s’ils le font en bus ou en auto, ils en ont beaucoup moins long à faire.

    @Fernand

    Effectivement l’un des problèmes du Centre des Congrès est de manquer de chambres d’hotels à proximité, et sont ainsi obligé de refuser plein de gros congrès. En récupérant le reste de Place-Hauteville, le Delta ferait plus que doublerait sa capacité et augmenterait substantiellement l’offre hotellière de Québec, et je crois biens que les citoyens de SJB y gagneraient au change.

    @Jean Cazes & Seb

    C’est clair que le cinéma Charest a besoin d’être revambé ou même remis à terre et reconstruit s’il veut compétitionner avec la « calibre » des autres dans les power centers. J’ignore si vraiment il y a la clientèle potentielle pour le faire compte tenu des contraintes d’être en ville. Je crois qu’il y a suffisamment de clients sans autos pour le faire vivre mais il y a de la place que pour un seul. Par contre sa place n’est pas obligatoirement dans St-Roch.

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  59. Erick

    27 mai 2009 à 10 h 46

    @Slimovitch

    « Ça prend plus que des petites voies réservées sur les autoroutes pour changer la mentalitée des gens. »

    « Le RTC devra également revoir ses metrobus et trouver un moyen de les mettre en site propre pour améliorer la rapiditée. Le 802 a environ 8 KM et prend entre 32 et 35 minutes pour faire son parcours en heures de pointes ce qui est beaucoup trop long. Pour le 803 on parle entre 39 et 46 minutes. »

    C’est drôle mais je vois une certaine contraction dans tes 2 paragraphes, dans l’un tu dénigre les voies réservées sur les autoroutes mais dans l’autre tu en veut plus sur les boulevards urbains pour les parcours métrobus dont tu te plains de la performance.

    C’est justement là le problème, le concept « métrobus » n’est pas du tout efficace sur des longues distances. D’Estimauville – Les Saules et d’Estimauville-Belvédère ce ne sont plus des courtes distances. Un métrobus c’est fait pour donner un service local de qualité sur une courte ou moyenne distance. Pour des plus longues distances, le métrobus ne répond pas du tout au besoin. Des express, oui.

    Le 60 actuel prend dans les 45 minutes pour faire le trajet Les-Saules à D’Estimauville et il est souvent en retard. Le 803 avec un parcours moins tortueux et plusieurs km de voies réservées sur Lebourgneuf s’en tirera probablement dans le 35 minutes. C’est encore trop long. En site propre (terre-plein du boul. Lebourneuf), il gagnerait peut-être un autre 5 minutes mais pas plus. On parle encore de 30 minutes. Pendant ce temps, un simple express-navette via le boul. Capitale reliant les terminus Les-Saules, la 1ere avenue et le terminus d’Estimauville clancherait en 20 minutes ou moins, à condition d’avoir des voies réservée dans l’accotement ou en site propre, pour s’assurer de sa ponctualité, indispensables car il doit être synchronisé avec les autres parcours qu’il croise aux 3 terminus qu’il dessert. Evidemment ce super express ne desservirait pas Lebourgneuf, mais il y a aussi le 803 et d’autres expresses pour cela. Les services express et les voies réservées sur les autoroutes sont complémentaires aux réseaux de métrobus et de tramways, ils sont rarement en compétition vu qu’ils ne répondent pas aux mêmes besoins.

    C’est vrai toutefois que dans le cas du 802, le RTC a ménagé le chou et la chèvre, et quand même qu’on l’ait numérotté dans la série 800’s, ca reste encore pour moi le vieux parcours 12.

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  60. slimovitch

    27 mai 2009 à 11 h 05

    @ Erick,

    Le problème du coût de l’essence c’est pour une minoritée de la population. Lorsque le prix de l’essence avait monté à presque 1,50$ le litre, il y a eu une légère hausse de l’achalandage pour le TC mais rien de majeur. Il y avait autant de voitures sur les routes et même que les statistiques montraient que les ventes d’essences n’avaient pas diminuées.

    Ne t’en fais pas, les gens vont couper une sortie de resto par mois pour garder le confort et la rapiditée de la voiture.

    Pour ce qui est des stationnements payant, (ex. Marly) surtout que je connais des gens qui y travaillent, la passe mensuelle de stationnement coûte 107$ / mois. Il y a bien sûr les gens qui peuvent se le permettre et d’autres qui payent la passe mensuelle du RTC à 71$ / mois. Ils viennent en voiture et vont se stationner au parc-o-bus qui est à 30 secondes de bus, bref l’arrêt juste avant Marly. Il sauve un peu plus de 400$ par années en stationnement sans compter qu’ils conservent leur passe mensuelle pour avoir un retour d’impôt.

    Quand je mentionne que la colline parlementaire incite les gens à prendre le TC c’est grâce au système de vignette dans les rues du secteur qui interdit le stationnement et il n’y a pas de parc-o-bus tout près.

    Sur Lebourgneuf ils feront la même chose en laissant leur voiture chez Wal-Mart et Galeries de la Capitale. Ça ne va pas diminuer le nombre de véhicules sur nos routes.

    De toute façon quand même que tu déménages les fonctionnaires dans plusieurs pôles de la ville, les espaces à bureaux vont être occupés par d’autres compagnies et la roue va continuer à tourner. Il fallait y penser il y plus de 30 ans, le mal est fait.

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  61. slimovitch

    27 mai 2009 à 12 h 06

    @ Erick, (à ton 2eme commentaire)

    Je dis simplement que le système de voies réservées sur les autoroutes ne va pas inciter beaucoup de gens à changer leur habitude.

    Quand je parle des metrobus c’est qu’il ne faut pas non plus virer fou et enlever tout les bus , un peu de logique! J’ai seulement de gros doute a long terme avec des voies sur les autoroutes.

    Le busway de Nantes fait 7 KM de long et ne passe pas sur les autoroutes donc aucune comparaison à faire avec Québec. Ça se compare plus avec un métrobus.

    Tu ne peux pas comparer avec le transmilenio de Bogota car premièrement ils ont 850 bus articulés et 8 millions d’habitants. Une grande partie de la population de Bogota à besoin des transports en commun pour voyager car ils n’ont pas les moyens de s’acheter une voiture, contrairement au gens d’ici.

    Brisbane a de plus gros problème de congestion que Québec avec 2 millions d’habitants donc ça incite les gens a prendre le busway.

    Ottawa a son Transitway et pourtant ils ont encore des problèmes de congestion.

    Pour inciter les gens à prendre le TC ça va prendre un nouveau mode de transport comme le train léger sur rail, metro ou skytrain bref quelque chose de nouveau qui va dire wow j’ai le goût de l’essayer.

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  62. Manu

    27 mai 2009 à 13 h 07

    @Seb : les « plus ou moins grandes » surfaces sont contre les idées de GM développement, et non pas contre St-Roch. Je suis certain que la majorité des gens de St-Roch, la plupart étant « moyen-pauvre » aimeraient bien pouvoir y aller à pied plutôt que de prendre l’autobus pour Place Fleur-de-Lys.

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  63. slimovitch

    27 mai 2009 à 16 h 03

    « plusieurs ministères à l’Atrium. Aucun n’a de parking gratos. »

    Erick,

    Tu es mal informé, le parking est gratuit au MTQ au 475 atrium…

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  64. Fernand

    27 mai 2009 à 19 h 35

    slimovitch, tu as raison les fonfons parkent dans la rue…

    Au fait, je parkais dans celui du 4 saisons car mon bureau était au dernier étage du hall en rond mais ne payais pas car il y a des entreprises privées dans les édifices adjacents. J’ai aimé mon passage de 6 ans là car je circulais à contre sens du trafic matin et soir…

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  65. Fernand

    27 mai 2009 à 19 h 39

    En tout cas à partir du 8 juin le RTC va être à mobilité réduite…

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  66. Seb

    27 mai 2009 à 19 h 44

    @Manu

    Je vis à St-Roch et je me passe très bien des grandes surfaces. Je ne veux pas voir de ces horreurs ici. Je trouve que ca viendrait pourir l’ambiance. Il y a déjà Escomptes Lecompte pour acheter des cochonneries.

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  67. Fernand

    27 mai 2009 à 21 h 33

    Pourtant Seb c’est ce qui a fait les beaux jours de la rue St-Joseph quand tout le monde allait chez Pollack, Paquet et Syndicat…

    Ma mère m’amenait en autobus chercher la viande chez Bégin sur Du Roi…

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  68. Seb

    28 mai 2009 à 07 h 10

    @ Fernand

    J’ai pas connu ces boutiques, mais à entendre les noms, la provenance a l’air locale. Tout ce que je dis c’est que je ne veut pas voir de batisse de 500,000,000 pi2 avec facade toute bleue où c’est écrit Wal-Mart en gros. Je suis plutôt pour plusieurs commerces de taille moyenne (probablement comme ceux dont tu parles) et pas de multinationales svp.

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  69. Fernand

    28 mai 2009 à 10 h 07

    Cews trois bâtisses existent toujours mais il y a plusieurs commerces ou bureaux maintenant.

    Richard Musique est dans l’édifice Pollack tout comme le bureau régional de la CSST.

    Le Soleil est installé dans l’édifice du Syndicat.

    Quant à Paquet situé en face de l’église st-roch je ne sais pas quel commerce est installé là.
    Il demeure Laliberté comme grand magasin…

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  70. Manu

    28 mai 2009 à 13 h 23

    Et le Zellers prennait la place de Benjo et de quelques autres il me semble.

    @Seb : j’imagine que si je vivais dans St-Roch je n’aurais pas envie de grandes surfaces non plus, mais pour le gros de la population qui s’y trouve, je doute qu’ils pensent comme nous. C’est pourquoi je disais que c’étati la philosophie de GM qui veut refaire le coin, mais pas la philosophie du quartier et des gens qui y habitent.

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  71. Francis Vachon Utilisateur de Québec Urbain

    28 mai 2009 à 14 h 29

    Le Zellers était l’autre côté de Charest.

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  72. Jeff M

    28 mai 2009 à 17 h 06

    ” « On va peut-être se faire lancer des tomates, mais ils sont tous dans le quartier : les danseuses, les femmes violées, les seringues (Point de repère), Rendez-vous centre-ville, Lauberivière, soupire Mme Marcon. On nous demande de faire de la mixité, mais ce n’est plus de la mixité, s’il y a trop d’organismes communautaires, ça devient des ghettos. C’est toujours le social contre les gros méchants promoteurs. »

    Désolé pour ceux que ça choque. J’ai vécu dans St-Roch pendant quelques anneées. En toute honêteté, ce constat n’est pas exagéré. C’est incontestablement la plus forte concentration de junkies de toute la région. C’est certainement mieux qu’il y a 15 ans, mais c’est encore intimidant pour certaines personnes. Oui, cela peut ralentir la relance de ce secteur jusqu’à un certain point, sans pour autant dire que la situation soit insoutenable.

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  73. Seb

    28 mai 2009 à 17 h 22

    @Jeff

    Moi jme suis seulement fait agresser verbalement une fois en un an. Jamais eu d’autres problèmes. Je ne trouve pas que c’est un endroit dangereux pour vivre.

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  74. Jeff M

    28 mai 2009 à 17 h 57

    @ Seb
    Tu peux ne pas avoir de problème, toi personellement, et moi non plus d’ailleurs. Mais j’ai connu des gens qui n’aime pas l’idée d’habiter ce quartier à cause de ça.

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  75. dave deux

    28 mai 2009 à 19 h 18

    @jeff M

    Moi ça me choque pas du tout. Après tout c’est comme le syndrome de l’aéroport. Si tu vas demeurer a côté d’un aéroport,
    faut pas ce plaindre du bruit. Si tu t’installe dans un quartier de
    putes et de junkies, faut vivre avec. Pour ceux que ça choque,
    il y a le Garden Sillery.

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  76. Seb

    29 mai 2009 à 07 h 10

    @ Jeff

    Ouais je comprends parfaitement que des gens soient mal à l’aise avec ce quartier; particulièrement les femmes et les personnes âgées. C’est ben vrai que c’est pas un village d’enfants de choeur.

    Je constate seulement qu’ils ne sont pas dangereux. En plus, ils ont tous une bonne histoire à raconter :P Yen a un qui m’a vendu une blague l’autre soir.

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  77. SteveF

    30 mai 2009 à 12 h 56

    Je comprends bien le point de GM concernant le besoin de créer de la mixité dans un centre-ville. C’est pas en repoussant les problèmes sociaux hors de Saint-Roch que le quartier va se régénérer. Il faut apprendre à cohabiter. Oui aux organismes sociaux et oui aux promoteurs développeurs.

    Par ailleurs, les habitants à faible revenu du quartier ne sont même pas en mesure de magasiner sur St-Joseph. Il n’est pas souhaitable d’avoir uniquement du haut de gamme. Il faudrait aussi quelques chaînes pour assurer un certain équilibre. Je ne vois pas pourquoi McDonalds ne peut pas aller s’implanter dans St-Roch. Celui du Vieux-Québec a su s’adapter en omettant, entre autres, ses fameuses arches jaunes. Des boutiques comme Jacob, Bedo, H&M, Gap pourraient fort bien y apparaître. Où est le fameux HMV dont on parlait il y a quelques années ?

    Déja, des commerces comme Peak Performance ou bien Villa Meubles ont quitté le secteur. Ces locaux sont encore vides. Pourquoi?

    Comme GM le mentionnait, il ne faut pas que Québec délaisse St-Roch pour prioriser le développement de d’autres pôles. Le secteur d’Estimauville a beaucoup de potentiel certes. Mais, encore là, va t-on créer un secteur riche et haut de gamme pour pousser les citoyens à faible revenu vers d’autres secteurs? Il faut plutôt trouver une formule qui favoriserait la vie de quartier et l’attrait de nouveaux citoyens.

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  78. Seb

    30 mai 2009 à 14 h 07

    @SteveF

    On a deja plein de resto-srappe : Rotisserie fusée, Subway, Ashton, Le Roi de la Patate, etc.

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  79. SteveF

    30 mai 2009 à 22 h 38

    @Seb

    Y a de la place pour les bons restos et les resto-scrappe, comme tu dis.

    Un de mes restaurants préférés à Québec, Les Bossus, se situe sur la rue Saint-Joseph. C’est presque tout le temps plein. Idem pour le Largo en face.

    Ca empêche pas d’aller chez Ashton pour une poutine.

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  80. Geneviève Marcon

    1er juin 2009 à 17 h 34

    Madame Geneviève Marcon, co-présidente de GM Développement, tient à clarifier les propos qui ont fait l’objet d’un article de Régys Caron, parus dans l’édition du Journal de Québec le lundi 25 mai, au sujet de la place des organismes communautaires dans Saint-Roch et des efforts de revitalisation de la rue Saint-Joseph. En effet, l’article laissait sous-entendre certains points de vue qui ont fait réagir trois organismes dans les éditions du mercredi 27 juin du journal Le Soleil et du Journal de Québec, soit Squat Basse-Ville, la Maison de Lauberivière et le Regroupement pour l’aide aux itinérants et itinérantes de Québec (RAIIQ).

    D’abord, j’aimerais faire part de ma déception quant à la tournure de cette affaire car il n’a jamais été de notre intention, à mon conjoint Jean Campeau et moi, de dénigrer qui que ce soit ou de laisser entendre que nous n’avions pas à cœur l’intérêt des organismes sociaux et le bien-être des citoyens. L’esprit et la philosophie qui nous animent dans nos efforts de développement de ce quartier depuis plus de 10 ans vont exactement dans le sens contraire.

    Cela dit, il est vrai – c’est un fait – qu’il y a beaucoup d’organismes communautaires dans Saint-Roch. Si nous en retrouvons plus de 130, c’est que cela témoigne d’un réel besoin en services sociaux. Ce n’est pas leur nombre que je remets en cause, mais le fait qu’il y ait aujourd’hui une concentration de ces organismes dans la rue Saint-Joseph ou à proximité, une rue qui a pourtant toujours eu une vocation commerciale.

    De plus, je demeure également persuadée que ces organismes doivent demeurer le plus près possible de leur clientèle. À preuve, GM Développement a aidé Point de repères à se relocaliser à proximité, dans le quartier Saint-Roch, dans un immeuble répondant mieux aux exigences des services spécialisés qu’il offre à sa clientèle. Cet organisme, dont la vocation est de fournir des seringues et des condoms aux utilisateurs de drogue intraveineuse, logeait dans le sous-sol de l’église Saint-Roch, où il y avait des lacunes majeures au plan des installations physiques, comme le fait qu’il n’y avait aucune toilette. Aussi, la clientèle de cet organisme a besoin d’anonymat, ce qu’une rue commerciale n’offre pas. C’est donc dans un esprit de solidarité, et non par des moyens de pression, que nous avons, de concert avec Mario Gagnon, directeur général de l’organisme, aidé Point de repères à se trouver un local plus adéquat, compte tenu que son bail prenait fin en avril dernier. Nous lui avons trouvé un immeuble et pris les arrangements avec notre propre institution financière pour lui offrir une garantie de prêt de l’ordre de 90 000 $ et faciliter ainsi ses démarches de financement. L’organisme n’a toutefois pas eu besoin de cette garantie de prêt que nous lui avions offerte.

    En se relocalisant, nous sommes persuadés que Point de repères a amélioré son sort et la qualité de ses soins, tout en restant près de sa clientèle. Il faut savoir que l’organisme distribue chaque année quelque 350 000 seringues, un chiffre qui a doublé depuis 2005. Or, un grand nombre de ces seringues usagées se retrouvaient régulièrement sur le trottoir en face de l’église, dans les commerces et dans les espaces communs des immeubles situés à proximité. De plus, faute d’installations adéquates dans le sous-sol de l’église, les bénéficiaires utilisaient les toilettes ou les entrées des commerces de la rue Saint-Joseph, dont celles du magasin pour enfants Benjo.

    En outre, bien que GM Développement soit un promoteur important de la rue Saint-Joseph, il faut rappeler que la revitalisation de cette rue demeure une volonté commune, appuyée par les autorités publiques. De fait, il s’agit de l’une des grandes priorités de la Ville de Québec depuis 1997. Contrairement à ce qu’on a laissé entendre, notre objectif est de travailler avec le milieu, incluant les organismes communautaires, pour consolider les efforts afin de favoriser une qualité de vie dans le quartier et de donner un caractère attrayant et distinctif à la rue Saint-Joseph, en tant qu’artère commerciale. Nous continuons de croire que pour y arriver, nous devons avoir comme priorité d’y accueillir d’abord et avant tout des commerces, et que ces commerces doivent avoir un cachet spécial qui personnalisera la rue. Nous nous inspirons tout simplement, comme stratégie de développement, de modèles de succès de plusieurs rues commerciales dans le monde.

    Par ailleurs, il ne faut pas perdre de vue, dans ce débat, que si les organismes communautaires ont leur raison d’être et que les gens d’affaires doivent les soutenir, les commerces qui choisissent de s’installer dans la rue Saint-Joseph doivent aussi pouvoir réaliser de bonnes affaires si elles veulent survivre et continuer à générer des impacts économiques et à créer des emplois. Or, ces entreprises paient des taxes foncières élevées parce qu’elles sont précisément situées dans une rue commerciale. Ces entreprises sont donc elles aussi en droit de pouvoir bénéficier de lieux sécuritaires et d’un environnement propice à leur succès et à leur prospérité. Je rappelle ici que la solution n’est pas l’exclusion du milieu communautaire mais de viser l’équilibre.

    Il est vrai, comme cela a été souligné, qu’il existe un comité «Rebâtir la rue Saint-Joseph». Par contre, je ne siège plus à ce comité depuis plus d’un an et j’ai pris cette décision parce que monsieur Stéphan Sabourin, directeur général de la Société de Développement Commercial centre-ville de Québec, siégeait déjà à cette table et qu’il a le mandat officiel de représenter l’ensemble des commerçants et des locataires de bureaux dans le quartier.

    Enfin, si mes propos ont été interprétés par certaines personnes comme une insensibilité de ma part aux besoins des gens du quartier et des plus démunis, sans vouloir me justifier, j’aimerais porter à l’attention le fait que, comme toutes les entreprises, GM Développement est très sollicitée par les organismes du milieu. Or, depuis toujours, nous endossons un grand nombre de causes et aidons plusieurs organismes. À titre d’exemples, nous avons soutenu financièrement la Fondation du CHA, la Fondation du CHUQ, la Fondation Saint-Roch, la Fondation Rêves d’enfants et la Fondation les petits trésors. Nous avons également souvent prêté nos locaux à des organismes, comme ce fut le cas entre autres à Avocats sans frontières, à Manif d’art, à la Maison de Lauberivière et au Festival des musiques africaines.

    Geneviève Marcon
    Co-présidente
    GM Développement

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  81. Marc

    2 juin 2009 à 18 h 18

    C’est bizarre, il n’y a plus de commentaires depuis l’intervention de madame Marcon.

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  82. Manu

    18 juin 2009 à 12 h 28

    Rien de bizarre… d’une part, avant la nouvelle interface de Québec Urbain depuis quelques jours, ce billet n’avait plus de lien sur la page principale, et a donc vite sombré dans l’oublie. D’autre part, Mme Marcon n’apporte rien de nouveau (à la suite des « articles » originaux) qui soit pertinent dans la discussion. Alors inutile de répondre en répétant ce qui a déjà été dit.

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  83. Marc

    23 juin 2009 à 18 h 16

    On se calme Manu Manu. Bonne Saint-Jean.

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