Annie Morin
Le Soleil

(Québec) C’est par des coupes chirurgicales sur une vingtaine de parcours que le Réseau de transport de la Capitale (RTC) financera l’ajout massif d’autobus dans le secteur de Sainte-Foy. (…) Le RTC croit que son offre est assez alléchante – 10 à 15 minutes de moins pour 80 % de la clientèle locale – pour retirer 1000 véhicules de la circulation aux heures de pointe.

En contrepartie, l’offre de service sera réduite sur une vingtaine de parcours à partir du 15 juin. Un exercice de rationalisation qui «ne s’est pas fait sur un coin de table», a assuré le président du RTC, Raymond Dion.

Les jours de semaine, 107 départs seront retirés sur les 4500 offerts. La fin de semaine et l’été, 128 départs seront éliminés sur une possibilité de 2500. Ces coupes peuvent se faire tôt le matin ou tard le soir, voire à certaines périodes moins achalandées de la journée.

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Entrevue avec Alain Mercier, directeur-général du RTC au FM 93 (25 minutes)

Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Consciente que le retrait des vieux parcomètres prive les cyclistes de stationnement facile, la Ville de Québec entend ajouter des supports à vélos dans le centre-ville.

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C’est en 1913 que des trains commencèrent à circuler sur le long tracel surplombant la vallée de la rivière du Cap-Rouge. Des activités de la Société historique du Cap-Rouge souligneront d’ailleurs ce centenaire à compter du mois d’avril .Devenu un élément familier du paysage carougeois, ce tracel constitue toujours l’un des plus impressionnants viaducs ferroviaires en Amérique.

Article de Jean-Marie Lebel, historien, Magazine PRESTIGE (28 février 2013)

Dans le ciel de Cap-Rouge, un «TRACEL» centenaire (Société historique du Cap-Rouge)

Le symbole de Cap-Rouge a 100 ans (Journal L’Appel, 13 janvier 2013)

Jeudi 18 avril 2013, 19 h 00, lancement de la brochure «LE TRACEL DE CAP-ROUGE». Ensuite, à 19 h 30, Jean-Marie Lebel donnera une conférence sur l’histoire du tracel de Cap-Rouge à l’église de Cap-Rouge (1460, rue Provancher).

*Merci à une lectrice (Rosemarie Allard)

À l’heure du 2.0, quelles sont les nouvelles manières de penser la discipline historique?

Canadian Geographic en parle

Situé dans le prestigieux arrondissement Sainte-Foy, le projet résidentiel Carré Saint-Louis se distingue non seulement par son architecture moderne et raffinée, mais également par la luminosité naturelle et la grandeur des lieux. Investir au Carré Saint-Louis, c’est un choix judicieux qui convient parfaitement aux personnes à la recherche d’une vie saine et paisible.

Divisés en habitation de quatre unités, les condos sont conçus de manière à vous assurer le plus grand respect de votre intimité. À l’image de vos attentes, les 82 copropriétés proposées par le Carré Saint-Louis vous charmeront par leurs nombreuses inclusions (garage intérieur et cour arrière privée, planchers radiants, plafonds de 9 pieds, aménagement paysager, etc).

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Michèle Laferrière
Le Soleil

(Québec) «Coup de coeur!» «Claque dans’ face!» Dans l’arrondissement historique de Beauport, Marie Alain et Denis Trudel vivent un perpétuel aller-retour émotionnel entre leur joie d’habiter une ancestrale majestueuse et leur irritation d’entendre les autos rouler si vite sur l’avenue Royale.

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Brigitte Trudel
Le Fil

Miroir, miroir, quel campus est le plus beau? Le spécialiste du patrimoine Martin Dubois explique l’affection qu’il porte à celui de l’Université Laval. Chargé de cours à l’École d’architecture, Martin Dubois est passionné du patrimoine. Depuis le début mars, il publie dans les blogues de Contact des textes où il compte porter un regard différent sur les édifices qui nous entourent. Le Fil lui a proposé d’appliquer l’exercice au campus. (…)

Les cinq coups de cœur de Martin Dubois

– Le pavillon Paul-Comtois pour sa façade en blocs de béton raffinés et sa partie sur pilotis.
– Le PEPS: ses strates horizontales visaient à l’implanter harmonieusement dans la vaste plaine qu’il occupait au départ. Un toit si bas, si plat, pourquoi? Éviter de masquer les Laurentides à l’horizon.
– Le pavillon Charles-De-Koninck: pour sa cour intérieure et ses fines sections de béton créées par Édouard Fiset, l’architecte d’Expo 67.
– Les résidences Alphonse-Marie-Parent: ces cinq tours aux larges façades blanches avec taches de couleur, inspirées du style Le Corbusier, étaient très avant-gardistes pour l’époque.
– Les pavillons Alexandre-Vachon et Adrien-Pouliot: pour leurs murs-rideaux qui donnent du côté de la cour, faits de parois indépendantes en acier inoxydable. Un tel détail de luxe en architecture, c’est unique

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Martin Dubois
Chargé de cours
École d’architecture

En cette ère où la commission Charbonneau captive les Québécois et où la chasse aux voleurs de fonds publics est ouverte, il est bien vu de la part des politiciens et des gestionnaires de sabrer dans les dépenses et de couper dans le gras. Dans ce contexte, la beauté des bâtiments et des infrastructures est souvent considérée comme du gaspillage, un luxe superflu auquel on ne veut pas être associé. Cela augure mal pour nos villes si le côté esthétique des choses est évacué, déjà que nos paysages urbains ne sont pas très choyés à cet égard (…) Dernièrement, 2 cas m’ont interpellé en lien avec ce sujet: le nouvel amphithéâtre de Québec et le nouveau pont Champlain à Montréal. Dans le premier cas, le maire de Québec, Régis Labeaume, déclarait, avant même que les architectes aient esquissé les plans du nouveau complexe multifonctionnel, qu’il ne voulait pas gagner de prix d’architecture.

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Commission de la capitale nationale du Québec

Dans sa plus récente parution, le magazine Québec Vert consacre un article complet au site archéologique Cartier-Roberval. Intitulé « Sur les traces du premier établissement français d’importance en Amérique du Nord », cet article a été rédigé par la journaliste Sarah Delisle.

Le mur mémoire Cartier-Roberval, résultat du chantier de consolidation et de mise en valeur de la falaise de Cap-Rouge. © CCNQ Pierre Joosten

On y raconte d’abord l’expédition de Jacques Cartier et de Jean-François de La Rocque, sieur de Roberval, mandatés en 1541 par le roi François 1er. Leur mission était claire : établir une colonie française en Amérique du Nord. Ils choisissent alors d’ériger deux forts à Cap-Rouge, l’un au sommet de la falaise et l’autre en bordure du fleuve. Ce n’est qu’en 2005 qu’on a découvert, par hasard, les vestiges archéologiques témoignant de cet établissement français.

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