Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Nouveau projet: Le Galléon (sur le terrain où était l’église Saint-Coeur-de-Marie

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juillet 2025 4 commentaires

Le site internet du projet

Voir aussi : 0 - Contenu original, Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.


4 commentaires

  1. Le lecteur assidu

    12 juillet 2025 à 15 h 58

    🔲 Je comprends que les goûts ne se discutent pas sauf que, perso, je trouve ça moche;

    🔲 Qui plus est, et probablement que c’est dû à mon âge avancé, je n’ai pas réussi à trouver les plans détaillés des différents “condos locatifs”;

    🔲 “Goude loc” quand même 🙏

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  2. paradiso Utilisateur de Québec Urbain

    12 juillet 2025 à 20 h 47

    C’est bien parti pour l’esthétique selon moi. Dans le même segment de marché, c’est un projet plus contemporain que le SWL, qui s’enligne pour être une autre tour vitrée style 2003.

    Mais pourquoi nommer le projet Galléon? Le mot français est galion. On vise les investisseurs étrangers?

    Pour paraphraser Pierre Falardeau, «L’Accent d’Amérique» mérite mieux qu’un nom anglais avec une plume dans le cul pour faire autochtone.

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    • SL7215 Utilisateur de Québec Urbain

      12 juillet 2025 à 21 h 45

      Je comprends les préoccupations autour du nom « Galléon » et du choix de branding dans les projets immobiliers, surtout dans un contexte où l’identité linguistique et culturelle est importante. Cela dit, je ressens un certain malaise à voir encore aujourd’hui des références à Pierre Falardeau brandies comme étendard d’authenticité.

      Falardeau a marqué l’imaginaire, mais il incarne aussi une mentalité de conquis, figée dans une posture de confrontation perpétuelle. Cette vision binaire — nous contre le reste du monde — me semble dépassée et stérile. Le Québec a besoin d’avancer, de créer, de s’affirmer sans se refermer ni rejeter systématiquement ce qui vient d’ailleurs. On peut défendre notre langue et notre culture sans tomber dans le repli ou la caricature identitaire.

      Cherchons plutôt à bâtir des projets ancrés dans leur milieu, qui parlent à la fois aux gens d’ici et à ceux qui souhaitent s’y investir. Ce n’est pas en criant au scandale pour un nom un peu cosmétique qu’on fait avancer la fierté québécoise. C’est en proposant une vision inclusive, audacieuse, confiante… loin des plumes, des postures et des rancunes d’un autre temps.

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