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Archive des billets publi�s en juillet 2004

31 juillet 2004

Arbres abattus : photos
Par Francis Vachon

G�rald Gobeil m'a fait parvenir trois photos num�riques des arbres qui seront abattus sur Langelier. Ils sont identifi�s d'un triangle orange.

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Sc�ne urbaine: Qu�bec de nuit, version panoramique
Par Francis Vachon

Qu�bec de nuit, version panoramique (3900x573px, 393kb!)

Note aux utilisateurs d'Internet Explorer : Pour voir l'image � sa grandeur r�elle, passez la souris dans le coin inf�rieur droit de la photo. Un petit carr� appara�tra. Cliquez dessus)

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30 juillet 2004

Abattage de 13 arbres sur le boulevard Langelier
Par Francis Vachon

La Ville de Qu�bec proc�dera mercredi prochain, si le temps le permet, � l�abattage de 13 ormes d�Am�rique situ�s sur le terre-plein du boulevard Langelier, au sud du boulevard Charest. La Ville s'est vue contrainte � cette solution en raison de la maladie hollandaise de l�orme dont souffrent ces arbres de fa�on incurable.

En effet, lorsque la cime d'un orme est atteinte � plus de 10 % et que les sympt�mes ne sont pas localis�s dans un pourcentage r�duit et bien d�fini de la cime, l'�lagage des parties atteintes devient inutile et l�abattage est requis pour limiter la propagation de la maladie. Une analyse en laboratoire est de plus venue confirmer ce diagnostic visuel.

Quant aux ormes d�Am�rique sains situ�s � proximit�, ils ont �t� trait�s avec un fongicide de fa�on pr�ventive pour minimiser les risques de contamination. Les arbres abattus seront par ailleurs remplac�s au printemps 2005 par des sp�cimens d'une autre essence qui reste � d�terminer.

La maladie hollandaise de l'orme est caus�e par un champignon microscopique transport� par un insecte vecteur, le scolyte. La Ville lutte contre cette maladie depuis plus d'une vingtaine d'ann�es notamment par un programme de d�tection puis d'�limination des arbres trop atteints ou morts afin d'�viter la propagation de la maladie. L'an dernier, la Ville a aussi proc�d� � la pulv�risation d'un insecticide, le Pyrate (chlorpyrifos), sur 5000 ormes.

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27 juillet 2004

Suites & Condominiums : nouveau projet dans le Vieux-Port
Par Francis Vachon

Ce sera le Port-Royal, et il sera situ� sur l'actuel stationnement du bar l'Inox. L'affiche publicitaire dit � suites luxueusement meubl�es et d�cor�es, service d'h�tellerie et locations des condos. � partir de 151000 $ �. Ils ont un site Web qui est pour le moment en construction.

Ma premi�re impression au sujet de l'architecture et de l'int�gration dans l'environnement historique est positive. Mon jugement est cependant plus s�v�re pour ce qui est des lettres � P R � sur la fa�ade. Une chose est s�r, il fait du bien de voir ce stationnement supprim�.

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Du golf sur les Plaines maintenant...
Par Francis Vachon

Les Plaines ont fait jaser pendant mon absence... Patin, surface artificielle etc... golf!

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26 juillet 2004

Sc�ne urbaine: C'est pour les vidanges?
Par Francis Vachon

C'est pour les vidanges?

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�loge du bungalow
Par Francis Vachon
Qui a dit que les bungalows du Qu�bec �taient sans int�r�t ? S�rement pas Lucie K. Morisset. " Il n'y en a pas deux pareils, contrairement � ce qui se construit en banlieue aujourd'hui ", lance-t-elle.

Professeure au d�partement d'�tudes urbaines et touristiques de l'UQAM et chercheuse � la chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain, Lucie K. Morisset a �tudi� le bungalow des ann�es 50 et 60 avec son coll�gue Luc Noppen. R�sultat ? De multiples mythes et clich�s persistent autour de cette petite maison d'un seul �tage.

Ce sont d'abord les Britanniques qui d�couvrent dans leurs colonies un type de maison qu'ils appellent bungalow, qui vient de bangla (" du Bengale " en hindi). Au XIXe si�cle, un bungalow est une maison de vill�giature d'un seul �tage et garnie de grandes galeries. C'est une construction en bois qui est consid�r�e, en Europe, comme une r�sidence exotique.

Ici, plusieurs croient que le bungalow qu�b�cois � la Elvis Gratton, d�cri� comme un signe de perte d'identit�, est une importation des �tats-Unis. " Faux, r�pond Lucie K. Morisset. Au Canada, c'est la Soci�t� centrale d'hypoth�ques et de logement qui a propos� des plans de maisons � un seul �tage, d�s 1947. " Mais le bungalow du Qu�bec est unique au monde et il a bien souvent �t� construit sans... plan !

Dans le reste du pays, ce sont des promoteurs qui, apr�s avoir achet� de grands terrains, construisent une multitude de maisons selon leurs plans ou ceux de la SCHL. Au Qu�bec, la construction r�sidentielle s'est faite autrement. Les petites municipalit�s de banlieue tentent d'attirer les constructeurs en viabilisant des terrains. Ces constructeurs prendront rapidement le nom de contracteurs. Ils n'ach�tent que quelques terrains � la fois, voire un seul, pour y b�tir une maison sans plan. Ils financent chaque nouvelle propri�t� gr�ce aux profits obtenus de la vente de la pr�c�dente. Les bungalows � long pan (environ 40 pieds sur 25) vont alors se mettre � pousser comme des champignons... Le carport, cette variante �conomique du garage, typique des ann�es 50 et 60, se multipliera lui aussi.

" L'entrepreneur qui construit lui-m�me ses maisons poss�de un savoir-faire vernaculaire. C'est pour cette raison, entre autres, que l'art ancestral qu�b�cois de la charpente s'est retrouv� dans le plancher du rez-de-chauss�e de certaines maisons ", explique Lucie K. Morisset. A preuve, des croix de Saint-Andr� plut�t que de simples entretoises maintiennent l'�cartement entre les solives des bungalows.

Tous les styles

Du kitsch bien gratin� � la simplicit� irr�prochable, tous les styles ont fleuri dans les banlieues. Le Qu�b�cois s'approprie le bungalow. Il le personnalise gr�ce, entre autres, � l'arriv�e des mat�riaux modernes. Nous sommes dans les ann�es d'Elvis (Presley) et tout est permis. Les propri�taires de maisons de plain-pied n'h�sitent donc pas � utiliser de l'arborite, du formica, du masonite, du rustico ou m�me du piertex.

Le bungalow qu�b�cois se distingue �galement par sa cuisine, beaucoup plus vaste qu'ailleurs au pays. Cette pi�ce s'impose plut�t comme une salle familiale; elle empi�te sur le salon et m�me sur le vestibule. La porte principale sera d'ailleurs pratiquement condamn�e. C'est l'entr�e lat�rale, sous l'abri d'auto, qui sera privil�gi�e. Pratique, elle permet d'entrer directement dans la cuisine ou d'acc�der au sous-sol. Comme nous le rappelle le film �loge du bungalow, de Danielle Pigeon, seuls les vendeurs itin�rants se laissent duper par l'entr�e principale...



17 juillet 2004. Reproduit avec autorisation

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25 juillet 2004

Sc�ne urbaine: Classes sociales
Par Francis Vachon

Classes sociales

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Concours international pour la mise en valeur du pied de la Chute Montmorency
Par Francis Vachon
Pas moins de 65 �quipes de 21 pays diff�rents ont soumis leur candidature au concours Perspective Littoral, concours international d'id�es pour le r�am�nagement du pied de la chute Montmorency.

Regardez les propositions sur le site web officiel du concours.

[Merci � CFD]

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Une nouvelle chapelle pour les mormons de la r�gion
Par Francis Vachon
L'�glise de J�sus-Christ des saints des derniers jours, commun�ment appel�e l'�glise des mormons, construit une nouvelle chapelle sur le boulevard Pierre-Bertrand � Qu�bec. Le nouveau lieu de culte sera deux fois plus grand que l'endroit que les mormons occupent actuellement dans le quartier Les Saules.

Cet agrandissement est devenu n�cessaire, car la communaut� mormone, �tablie � Qu�bec depuis 1982, ne cesse de cro�tre. En 25 ans, les mormons sont pass�s de 60 � plus de 400 membres dans la r�gion de Qu�bec. Cette augmentation t�moigne d'un besoin dans la population, selon R�my Tremblay, premier conseiller de la division de Qu�bec


Suite du texte sur Radio-Canada

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Du patin � glace sur les plaines d'Abraham?
Par Francis Vachon
Les amateurs de patins � glace pourront peut-�tre un jour s'adonner � leur activit� sur les plaines d'Abraham. Apr�s avoir �cart� le site situ� autour de la piste de patins � roues align�es, en raison des difficult�s d'am�nagement, la Commission des champs de bataille nationaux pense avoir trouv� un meilleur endroit, dans le secteur situ� entre la Tour Martello et le jardin Jeanne d'Arc.

Suite du texte sur Radio-Canada

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Une surface artificielle sur une section des plaines d'Abraham?
Par Francis Vachon
Le site du Festival d'�t� sur les plaines d'Abraham a �t� mis � rude �preuve par le passage de dizaines de milliers de spectateurs durant les 10 jours du Festival et par les averses.

Les organisateurs de spectacles et la Commission des champs de bataille nationaux veulent trouver une solution permanente pour que les spectateurs aient dor�navant les pieds au sec et pour ne plus �tre oblig�s de r�parer les d�g�ts, ann�e apr�s ann�e.

Diverses options sont examin�es dont l'am�nagement d'une surface artificielle.

Suite du texte sur Radio-Canada

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23 juillet 2004

Maison doux maison
Par Francis Vachon

Qu�bec > Halifax : 10 heures sans escale
Kilom�trage au compteur : 2800.

Qu�bec urbain reprend sa programmation r�guli�re demain. Merci de votre patience!

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21 juillet 2004

Protection contre les spam dans les commentaires
Par Francis Vachon

Je n'ai pas vraiment le temps de chercher pr�sentement en raison de ma petite excursion... Quelqu'un � un bon syst�me pour bloquer les bots spammeurs de commentaire dans Movable type ? Car l�, je commence � �tre tann� en tab***k!!

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19 juillet 2004

Tout le monde � pig�?
Par Francis Vachon

J'esp�re que tout le monde a compris qu'on peut me suivre via ce billet qui est mise a jour aussi souvent que possible.

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15 juillet 2004

R�sultat de la 8e �dition de l'open de photographie citadine
Par Francis Vachon

Note: La photo "oubli�e" � �t� ajout� � la liste. Mille pardons � Dame Jourdain....

Et le gagnant est... �difice au soleil (par Dale)

Commentaire D'Adam Silverman de Trekearth (traduit par moi sans mon correcteur sous la main):
Angle int�ressant. La croix en haut est tr�s symbolique. Les diff�rentes types de fen�tres et de briques sont tr�s int�ressante (La partie du bas avec un ton de brique d'une couleur diff�rente forme une belle base pour "mettre un ancre" sur l'image). Bon choix du moment de la journ�e pour prendre la photo pour la couleur chaude et les ombres qui ajoute de la profondeur dans l'image. Le ciel bleu contraste bien avec les briques rouges. En g�n�ral, voil� une image bien plaisante.

(Dave: Envois-moi par courriel ton adresse civique compl�te pour recevoir le prix)

Dans aucun ordre particulier, voici les autres soumissions:

Assembl�e Nationale de Qu�bec (par Debobec)
Hiver Glacial � Qu�bec (par Debobec)
En attendant le spectacle des B�ruriers Noirs, jeunesse punk sur les remparts (par Jean Caze)
Menace d'orage sur le centre-ville, vue de la rivi�re Saint-Charles (par Jean Caze)
L�infini est de b�ton (par Patrick Matte)
Sc�ne d�automne (par Patrick Matte)
Caserne Dalhousie (par Dale)
Solitude (par Cindy Heinz)
Art de rue (par Cindy Heinz)
Une place au soleil (par V�ronique Jourdain)

Merci � tout le monde!

** EDIT**
Apr�s avoir publi� ceci, je me rend compte que j'ai peut-�tre oubli� deux photos qui m'ont �t� soumises... Je ne suis pas sur mon ordinateur alors... Je vois ce que je peux faire d�s que c'est possible... ARGH!!!!!!!!!

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14 juillet 2004

Qu�bec urbain sur la route
Par Francis Vachon

O� dans le monde est Francis Vachon?
(carte mise � jour le 23 juillet � 21h10 (heure des maritimes)

  1. Journ�e pass�e � Sherbrooke et nuit � Valcourt chez soeurette Claudie et Filleule Camille

  2. Je suis sur mon d�part pour Portsmouth. Arriv� pr�vu vers midi. Dur�e pr�vu du s�jour: 24 � 36 heures. Esp�ront que je trouverai un caf� Internet ou une connexion wireless non-prot�g�e sur place!

    19h15, 16 juillet. Je suis toujours � Portsmouth. J'ai trouv� un sympatique caf� qui fournis un acc�s wireless gratuit. En fait, il semble s'agire d'un r�seau �tandu fourni par la chambre de commerce. Cool. Je suis au Market Square. �a ressemble beaucoup au Harvard Square de Boston. Rien de comparable � Qu�bec, malheureusement. Portsmouth est tr�s jolie. Un m�lange de vieux-qu�bec, de Vieux-port (des b�timent qui date de 1695), de St-Roch. Une forte saveur de vieux-Trois-Rivi�re est dans les aire aussi, surtout le coin du Boulevarde des Forges, pr�s du fleuve. La ville est tout de m�me petite alors on fait le tour rapidement m�me si c'est tr�s jolie. D�part demain pour ma 3e destination.

    Quelques photos en vrac de Portsmouth: 01 02 03 04 05 06

  3. D�part pour Portland dans les prochaines minutes. Je pr�voyais passer la prochaine nuit l�, mais j'avais oubli� que les vacances de la construction sont commenc� et les plages des alentours se remplisse de Qu�becois. Impossible de r�server un h�tel pour une seul nuit. Je passerai donc la journ�e l� et partirai peu apr�s l'heure du souper vers ma prochaine destination. Je coucherai l�, ce n'est pas trop touristique!

    17 juillet, 15:55. (pas d'accent: je suis dans un cafee Internet) Beaucoup de marche, une petite croisiere dans la port. Encore une fois, c'est au Vieux-Trois-Riviere que Portland me fait penser... Dommage qu'il me soit impossible de reserver un hotel, je serais bien reste une journee de plus. La, mais jambes ne me supporte plus alors je crois bien que mon sejour ici vas se terminer apres le mochacino que je suis en train de deguster.

  4. Vers 17h00, depart pour Bangor.
    Je suis arriv� en soir� et je me suis promen� un peu en ville. Centre-ville compl�tement d�sert un samedi soir... Le landemain, j'ai mis 30 minutes � faire le tour du quartier historique. J'�tais un peu d��u et je me pr�parais � partir. C'est alors que j'ai pens� au WWII et Vietnam memorial que j'avais apper�u de l'autoroute la veille. Et l�: surprise! Juste � c�t� se trouve le secret le mieux gard� du Maine: le Cole Land Transportation Museum. De 1850 � 1970, des camions de pompier, des poids-lourds, des motos, des carrioles (avec une toile blanche comme dans les films de cowboys), des tracteurs, des luges, des v�hicules militaires, des grues, des trains, des v�los, des tricycles, des voitures.. Et j'en oublie s�rement! Ce n'est pas tr�s loin de Qu�bec, alors si vous �tes un maniaque de voitures et de moteurs, c'est LA place � voir!

    Photo en vrac de Bangor: 01 02 03 04

  5. Petit passage a Yartmouth pour la nuit. Petite ville, pas grand chose a dire. Quelques anciens manoire transform�s en Bed & breakfast m�lang� avec des bo�tes carr�e qui serve de Tim Horton ou de MacDo. Bof.

  6. Shelburn. Petit village cotier absolument maginifque! Il pleuvait intens�ment alors je n'ai pas pu prendre les photos que je voulais. Ce que j'ai � vous offrir ne rend vraiment pas justice � ce coin de pays SI joli ou le temps s'est arr�t�. Sauf bien s�r autours du quartier historique o� les concessionnaire auto, les Tim Horton et les M�ga-Sobey vienne tout g�cher...

    01 02 03

  7. Pr�sentement � Bridgewater avec un acc�s sur mon portable, via la connexion r�seau de l'h�tel. Sweet!

    De Yarthmouth � Halifax, c'est la Lighthouse trail. Des paysages c�tier magnifique.

    Photos:
    01 02 03 04 05 06
    Je dois avouer que Bridgwater est la grande d�ception pour le moment. Je suis arr�t� principalement pour voir les deux navires de guerre d�commission�es qui sont amarr� au port. Le probl�me : on ne peut les visiter! La ville est assise sur un attrait touristique d'envergure provinciale, mais elle ne fait rien pour en profiter!

    Bridgewater est la ville la plus importante de la c�te sud, juste derri�re Halifax. Attention, on ne parle quand m�me que de tout au plus 400 habitants. Cela en fait un point de ralliement pour plusieurs villages du coin, ce qui fait que des petits centres d'achat y ont pouss�. La ville a compl�tement perdu le charme qu'elle devait avoir. D�cevant. Le plus bel endroit de la ville est probablement... son cimeti�re!

    Et l�, je ne vous parle pas du vieux monsieur de 70 ans en salopette brune et en chemise � carreaux qui m'a d�shabill� des yeux pendant un bon 15 minutes au lavomat alors qu'il accompagnait sa grosse bonne femme en culotte de jogging qui devait bien faire 300 kilos et qui n'avait pas lav� ses cheveux depuis quelques semaines. Scary.

    PS: Hey maman! Il y a un mus� de la carderie!

    Entre Bridgewater et Lunenberg se trouve The oven et ses Sea Caverns. Des cavernes creus�es par la mer. Totaly amazing! la derni�re, canon cave, poss�de trois entr�es et s'avance profond�ment dans la roche. Lorsque les vagues vont s'aplatirent au fond de la grotte, un grondement se fait entendre, telle un coup de canon. De l� le nom de la caverne... Le son est impressionnant, tellement qu'un petit gar�on avait peur d'y p�n�trer, croyant qu'un monstre y habitait et que c'�tait son rugissement qu'on entendait. A must see!

    Les Sea Caverns en photo: 01 02 03

  8. Lunenberg. Au moment d'�crire ses lignes, je n'ai pas encore fait grand-chose. Trois constatations : C'est magnifique. Ils devraient enfouire les fils �lectriques. Dommage qu'il y a tant de voitures. Mais sur ce point, il est difficile pour moi de dire quelque chose...

    Deux photos vite fait bien fait: 01 02

    Je reviens tous juste de la Sunset sail cruise. 2 heures en bateau � voile � la brunante.Enjoyable! C'est �trange. Lorsque je passe plus de trois ou quatre jours dans un milieu anglophone, je me mets � penser en anglais. It is indeed strange.

    Photos 01 02 03 04

    Mesdames et messieurs, je vous pr�sente l'�cole PRIMAIRE de Lunenberg. Well... Moi, mon �cole primaire avait des murs en c�ramiques oranges...

    En route vers Halifax: Un petit village perdu

    Peggy's Cove: 25 maisons, 60 habitants, et 300 touristes � l'heure. Hallucinant!! 01 02 03 04 05

  9. Halifax. Quelques photos prisent se soir... 01 02 03 04

    Sur la todo list pour demain (jeudi), il y a: Army museum, Maritime Commande Museum Library and Archive, Halifax Citadel, HMCS Sackville, ainsi qu'une petite croisi�re en bateau � voiles. Je pense que je vais devoir passer une nuit de plus � Halifax pour tout faire cela...

    Vendredi le 23, 9h11. Comme m'a dit un couple de Boston lorsque j'�tais � Lunenburg (� propos de leur voyage): "We have more time than money". C'est le temps du retour � la maison... Je petit d�j, et je quitte!

  10. Back home!

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Sc�ne urbaine: Faire prendre l'air � ses souliers
Par Francis Vachon

Faire prendre l'air � ses souliers

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Sc�ne urbaine: Un propri�taire de station de radio bien occup�
Par Francis Vachon

Un propri�taire de station de radio bien occup�

S.V.P. : Les commentaires pro/anti-CHOI et/ou les d�bats sur la libert� d'expression devrait se faire sur l'enfilade d�j� commenc�e sur le forum. Merci.

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Nouvelle fa�ade pour Musique Richard
Par Francis Vachon

C'est tr�s urbain et j'aime beaucoup. Dommage, ils n'ont pas rafra�chi la brique en m�me temps!

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13 juillet 2004

Droit d'auteur concernant le mat�riel produit par Qu�bec urbain
Par Francis Vachon

Vous pouvez utiliser les textes originaux de Qu�bec urbain dans un contexte non commercial, dans la mesure o� la source est indiqu�e. Pour une utilisation commerciale, contactez-moi (lien dans la colonne de gauche)

Vous pouvez utiliser les images publi�es sur Qu�bec urbain dans un contexte non commercial, dans la mesure o� elles ne sont pas manipul�es et modifi�es d'aucune fa�on. Pour une utilisation qui va au-del� de ce qui est permis dans ce paragraphe et/ou pour une utilisation commerciale et/ou pour avoir acc�s au fichier source d'une image, contactez-moi (lien dans la colonne de gauche)

Lien permanent | Voir aussi:

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Il ne vous reste que peu de temps...
Par Francis Vachon

...Pour m'envoyer vos images!

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Sc�ne urbaine: Photographe au travail; Ne pas d�ranger
Par Francis Vachon

Photographe au travail; Ne pas d�ranger

Le r�sultat final est ici

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12 juillet 2004

Rue des terrasses, alias rue des passerelles
Par Francis Vachon
Elle �tait jadis la rue des passerelles. Elle est aujourd'hui la rue des terrasses. Et comble de paradoxe, elle compte � la fois la plus grande concentration de terrasses priv�es et de terrasses cach�es de Qu�bec, voire du Qu�bec.

Les contrastes ne s'arr�tent pas l�. Ces terrasses sont � la fois � la ville et � la campagne. D'un c�t�, les murmures urbains, la coupole de la c�l�bre Caserne de Robert Lepage, le campanile du Mus�e de la civilisation. De l'autre, un immense cap de pierre, parfois des filets d'eau, des arbustes et des fleurs, des marmottes et des ratons-laveurs.

La rue Sous-le-Cap, dans le Vieux-Port de Qu�bec, peut �tre d�couverte par qui daignera emprunter l'un des surprenants couloirs d�bouchant sur la droite des rues Saint-Paul ou Sault-au-Matelot, comme le passage du Chien, pr�s du restaurant l'�chaud�, tout en bas, ou par qui daignera regarder par-dessus le massif garde-fou de pierre de la rue des Remparts, tout en haut.

De l�, vis-�-vis l'�cole d'architecture de l'Universit� Laval, l'oeil s'arr�te tout de suite sur la chouette terrasse de l'artiste Marielle Pesant, une terrasse atelier, une terrasse appartement, une terrasse jardin, une terrasse terrain de camping, bref, une terrasse... tout terrain, si vous lui passez la m�tamorphose.

Cette terrasse d'environ trois m�tres sur cinq est demi-ferm�e, demi-ouverte. C'est-�-dire qu'elle est � moiti� recouverte d'un toit et emmur�e sur deux c�t�s et demi. Ce qui permet l'ombre et la lumi�re, le chaud, le froid, la contemplation de la ville et de la campagne.

Rue d'eau

Sa propri�taire, une insatiable curieuse, raconte avec avidit�. L'eau du fleuve Saint-Laurent montait autrefois jusqu'� la rue Sous-le-Cap. De sorte qu'elle fut pav�e de bois et qu'un �tonnant r�seau de passerelles y furent construites, de mani�re � pouvoir circuler des maisons aux hangars et autres d�pendances.

Les premi�res demeures de la rue �taient coll�es sur le cap. Jusqu'� ce que des �boulis de plus en plus nombreux et de plus en plus meurtriers forcent � les reconstruire � environ 15 m�tres plus loin et � produire cet autre paradoxe fort peu commun: voil� que les nouvelles maisons auraient d�sormais deux devants et deux derri�res, coinc�es qu'elles se retrouvaient entre les rues Sous-le-Cap d'une part et Saint-Paul ou Sault-au-Matelot d'autre part.

Marielle Pesant habitait la rue Sainte-Famille, du Vieux-Qu�bec, lorsqu'elle d�cida un jour de devenir propri�taire pour la premi�re fois et qu'elle se mit � ratisser les alentours � la recherche du coup de coeur irr�sistible, en toute bonne artiste qu'elle est.

" Un jour que je regardais en haut, raconte-t-elle, je me suis dit : pourquoi je ne regarde pas en bas ?

Puis vint rapidement le coup de coeur tant d�sir�, � cause de la fameuse terrasse, dont elle ouvrit rapidement le coin sud-ouest, pour avoir vue sur la jolie figure de proue de la fontaine de l'intersection Saint-Paul-Saint-Pierre-Sault-au-Matelot, sur la coupole de la Caserne et sur le campanile du Mus�e de la Civilisation.

La peintre sculpteure parle de sa terrasse avec po�sie. " Les odeurs montent, les bateaux hurlent, dit-elle. Les orages sont magnifiques du c�t� du cap. Et quand ils font s'en d�tacher de gros morceaux de pierre, j'en deviens tout excit�e ! " C'est souvent dans ces circonstances qu'elle choisit de dormir sur sa terrasse, dans un sac de couchage.

Maison du cognac

Le moindre d�tail y est �tudi� et soign� comme le plus important de tous. Par exemple, Marielle Pesant ne fixe jamais la position de ses arbustes et de ses fleurs avant de les avoir d�plac�s suffisamment souvent pour avoir d�couvert l'angle de croissance maximum.

La demeure dont elle habite le premier �tage en copropri�t� s'appelait jadis la Maison du cognac. Toutes portaient alors un nom plus ou moins descriptif ce qui s'y passait de particulier. Les nombreux marins de l'�poque venaient trinquer � qui-mieux-mieux dans la sienne, tout en " chassant " les prostitu�es de la rue de bois. Le port d'Amsterdam de Jacques Brel aurait facilement pu y devenir Le port de Qu�bec... o� les hommes se collaient la panse sur la panse des femmes.

Marielle Pesant conna�t une voisine couturi�re, un voisin agent de voyages. Mais les occupants des terrasses ne vivent pas en communaut� pour autant. Ils forment plut�t une communaut�, de la famille de celles qui n'ont pas besoin d'une terre agricole pour avoir de l'espace. Ils cr�ent cet espace, l'inventent, l'�tirent, l'embellissent, la c�l�brent.

La dame n'a pas d'automobile peu s'en faut. " Ce qui �tait amusant au d�but, c'est que bien des chauffeurs de taxi finissaient par virer de bord, tellement c'�tait compliqu� de trouver mon adresse ! " rigole-t-elle. M�me les irritants deviennent pour elle source de plaisir.

Mais si toutes ces terrasses sont si belles � regarder, du haut de la falaise, c'est qu'elles ne furent pas am�nag�s n'importe o� n'importe comment par n'importe qui.

" Juste pour faire approuver la couleur de la mienne, raconte Marielle Pesant, il a fallu remonter au minist�re de la Culture... "



Alain Bouchard, 11 juillet 2004. Reproduit avec autorisation

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09 juillet 2004

Sc�ne urbaine: Un brumeux vendredi matin, de mon balcon
Par Francis Vachon

Un brumeux vendredi matin, de mon balcon

PS: Le format RAW sur les cam�ras num�riques, �a botte vraiment des fesses!

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La construction r�sidentielle se porte bien dans la r�gion
Par Francis Vachon
La construction r�sidentielle est demeur�e tr�s vigoureuse au deuxi�me trimestre sur le territoire de la Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec.

Selon la Soci�t� canadienne d'hypoth�ques et de logement (SCHL), 2 140 logements ont �t� mis en chantier entre avril et juin. Cela repr�sente un gain de 28 % comparativement � la m�me p�riode l'an dernier.

Suite du texte sur Radio-Canada

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08 juillet 2004

Sc�ne urbaine: La journ�e de travail est presque termin�e
Par Francis Vachon

La journ�e de travail est presque termin�e

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07 juillet 2004

�difice � Le 200, Chemin Sainte-Foy �: R�fection des fa�ades et r�novation int�rieure
Par Francis Vachon

Patrick Matte m'a envoy� le texte d'un feuillet explicatif des modifications qui seront apport�s � l��difice du 200 Chemin Ste-Foy durant les prochains mois. Il m'a aussi envoy� une image "avant" et "apr�s"

Le texte en question:

La Soci�t� immobili�re du Qu�bec a renouvel� le bail de location des locaux du 200, Chemin Sainte-Foy. Dans ce contexte, la SIQ a obtenu de DEVCORP, propri�taire de l�immeuble, qu�il effectue d�importants travaux pour am�liorer tant les conditions d�occupation que l�apparence g�n�rale des lieux.

Ainsi, des interventions majeures se d�rouleront au cours des prochains mois et elles permettront notamment, sur le plan architectural, de refaire les fa�ades de l��difice, de r�am�nager le hall d�entr�e et de r�nover salles de toilette et cabines d�ascenseur.

R�fection des fa�ades

Avec la r�fection des fa�ades, le caract�re architectural de l��difice sera compl�tement revu. Un nouveau mur rideau enveloppera enti�rement l�immeuble et, en plus d�en assurer l��tanch�it� compl�te et de corriger certains probl�mes de condensation, il augmentera la luminosit� naturelle et donnera au 200, chemin Sainte-Foy une image r�solument contemporaine.

Les travaux li�s � l�installation du mur rideau ont d�but� depuis quelques jours. Dans un premier temps, il s�agit de fixer des ancrages d�acier � la structure de b�ton de l��difice.

Amorc�s au coin sud-ouest, les travaux progresseront ensuite vers les fa�ades ouest, nord et est. L�installation du mur rideau proprement dit d�butera selon la m�me s�quence, d�s qu�un nombre suffisant d�ancrages sera en place. Pour la dur�e des travaux, il importe de souligner que le nouveau vitrage sera recouvert d�une pellicule plastique qui, bien qu��tant claire, affecte l�g�rement la vision vers l�ext�rieur. Cette pellicule protectrice sera retir�e seulement lorsque l�ensemble des �l�ments composant le mur rideau sera install�.

Au fur et � mesure que le mur rideau prendra forme, des �quipes d�ouvriers amorceront leur travail � l�int�rieur en retirant le vitrage existant et en assurant une finition harmonieuse jusqu�au nouveau mur rideau.

Travaux de mise aux normes et autres

Parall�lement � la r�fection de l�enveloppe ext�rieure, des travaux de mise aux normes du r�seau �lectrique seront r�alis�s, et ce, � compter du mois d�ao�t.

Les travaux de mise aux normes des �quipements m�caniques de l��difice pr�voient notamment le remplacement des composantes de la climatisation, le r��quilibrage de la ventilation et l�installation d�un syst�me moderne de contr�le des diff�rents param�tres de temp�rature. Au terme des interventions, les conditions d�occupation seront sensiblement am�lior�es.
Am�nagement int�rieur

Au chapitre des am�nagements int�rieurs, soulignons que le hall d�entr�e principal et les cabines d�ascenseur seront enti�rement r�nov�s, tout comme les salles de toilette l�ont �t� r�cemment. Le remplacement des diff�rents finis architecturaux contribuera � am�liorer l�apparence g�n�rale des lieux. Enfin, des travaux de peinture dans l�ensemble de l�immeuble et le remplacement des tapis viendront compl�ter le projet.

[Merci aussi � Jean-Fran�ois Gilbert pour ce billet]

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06 juillet 2004

La Ville de Qu�bec appuie de 1,6 M $ le projet Gutenberg; 80 condos seront construits au-dessus de l'ancienne gare d'autobus dans Saint-Roch
Par Francis Vachon
La Ville de Qu�bec accorde une subvention de 1,6 million $ pour la construction de 80 condos au-dessus de l'ancienne gare d'autobus dans Saint-Roch. Une aide qui a pass� comme lettre � la poste � la s�ance du conseil municipal d'hier soir. Ce qui n'a pas �t� le cas pour la relocalisation d'une bouquinerie � Place Fleur-de-Lys.
Voil� trois ans que le projet du Gutenberg est en gestation et que le promoteur et la ville ont des discussions. Apr�s analyse financi�re, on en est arriv� � la conclusion que ce projet de 15,2 millions $ sur le boulevard Charest n'est pas rentable sans la contribution de Qu�bec. Celle-ci se fera "� co�t nul pour les contribuables", estime Claude Larose, responsable de l'habitation au comit� ex�cutif. Les taxes nouvelles effaceront la subvention en 15 ans, soutient-il.

La d�cision a aussi �t� prise parce que "ce projet majeur permet de ramener des familles dans le quartier", souligne-t-il. Pas des trop grosses, en tout cas : dans le site web du Gutenberg, on compte 20 unit�s � deux chambres, le reste proposant un appartement � une chambre ou un studio. Les condos se vendent entre 100 000 $ et 200 000 $.

En plus des 80 condos r�partis sur quatre �tages, le projet veut r�nover l'immeuble existant, qui loge des commerces au rez-de-chauss�e, y ajouter des espaces administratifs et y construire un stationnement int�rieur de 92 cases.

Si l'action civique de Qu�bec a appuy� l'administration municipale dans ce dossier, il en a �t� autrement dans celui du d�m�nagement de la bouquinerie Trait-d'Union, des galeries Sainte-Anne � place Fleur-de-Lys.

L'opposition s'est oppos�e par principe � la subvention de 196 000 $. Il s'agit ni plus ni moins de dommages que doit verser la ville � la suite de l'avis de r�serve qui a �t� impos� sur le centre commercial, a soutenu Jacques Langlois. "Les autres vont nous co�ter combien ?" demande-t-il.

Le conseiller d�plore que le dossier de revitalisation du secteur d'Estimauville "stagne". Le quartier du Vieux-Beauport devait accueillir un �difice � bureaux du gouvernement du Qu�bec pour y loger ses fonctionnaires, mais le parti lib�ral de Jean Charest a annul� le projet aux lendemains de son �lection.

Claude Larose a r�torqu� que la ville ne payait pas "pour les pots cass�s" et qu'elle annoncerait, � l'automne, des ententes avec la Soci�t� Immobili�re du Qu�bec (siq) et des promoteurs priv�s pour la relance du site. On fait �galement valoir que la ville a toujours affirm� vouloir �viter que les entreprises d'�conomie sociales localis�es aux galeries Sainte-Anne assument les effets de sa d�cision.

Elle a aussi demand� que l'entreprise pr�sente un plan de redressement avant de verser sa subvention, une d�cision ent�rin�e hier malgr� le vote contraire de l'opposition.



�ric Moreault, 6 juillet 2004. Reproduit avec autorisation

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05 juillet 2004

Vide
Par Francis Vachon

Lorsqu'il faut beau, je n'ai pas le temps d'aller faire des photos pour des sc�nes urbaines (autres choses � l'agenda) ou de certains trucs dont je veux parler... Et il n'y a rien dans les nouvelles... Alors... Qu�bec urbain est tranquille.. Mais je ne suis pas mort, ne vous inqui�tez pas!

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02 juillet 2004

Sc�ne urbaine: F�te du Canada (2); f�tard tout mignon
Par Francis Vachon

F�te du Canada (2); f�tard tout mignon

J'ai mis plusieurs photos de Falardeau et de la bande � Villeneuve sur le forum.

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01 juillet 2004

Sc�ne urbaine: F�te du Canada (1); Villeneuve et sa bande s'invite au party
Par Francis Vachon

F�te du Canada (1); Villeneuve et sa bande s'invite au party

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