L’exposition foules d’archives est à ne pas manquer, particulièrement celle qui se déroule au Parc de l’Artillerie. On peut y passer aisément 2 heures à découvrir des trésors, des archives uniques, des photographies (etc) de la Ville de Québec.
On y projette entre autres des films (courts) sur de grands évènements qui se sont tenus à Québec, ainsi que des images « grand format » relatant l’histoire de notre ville.
Et c’est gratuit.

Par une belle soirée à Place d’Youville avec le Grand Orchestre de Roland Martel

Cette année encore, dans les fissures du honteux béton des villes, Réclame ta Rue ressurgira…

¤¤¤ Pour faire face à l’envahissement d’une culture préfabriquée et aseptisée, aux plans directeurs excisants de la ville, à l’étouffement d’une (des) communauté(s) qui sauraient bien quoi faire de cet espace commun qui leur est arraché, et rempli à ras bord de spectacle, de parcs temporaires et de bonbons et de joujous…

¤¤¤ On voudrait lui faire passer l’envie de s’organiser, mais la populace sait encore comment se rassembler ! Comment fêter, inventer et mettre en place des espaces qui lui ressemblent !

¤¤¤ Le Premier Septembre, agissons pour embellir nos quartiers et redonner du pouvoir à celles et ceux qui y vivent ! Organisons-nous, et par la pratique, apprenons à agir directement sur nos vies, et à en reprendre le contrôle. C’est dans la rue que le pouvoir doit être dissout… et imprégné dans chacune et chacun !

Pour explorer d’autres voies et faire des rencontres à l’intersection des perspectives,

Rendez-vous le premier septembre à 12h30 tapant sur le parvis de l’église Saint-Roch !

Informations: youki840@hotmail.com. À consulter, entre autres billet: Reportage photo: Réclame ta rue 200[7].

Communiqué reçu récemment. Merci!

Enfin un peu d’objectivité de la presse officielle, et un son de cloche complètement différent de celui de la chroniqueuse montréalaise Nathalie Petrowski. Cet extrait: « (…) Depuis 34 ans, dans la mémoire des gens, le loup, le renard et le lion sont les rois incontestés des Plaines. Ils devront désormais partager l’honneur avec Céline, la nouvelle reine des Plaines. »

Cela dit, après la « panne » d’hier, on a enfin ce matin obtenu la réponse à la fameuse question du TVA de 18h00: « Le premier ministre, Jean Charest, a qualifié vendredi le spectacle de Céline Dion de moment fort des fêtes du 400e. Êtes-vous d’accord avec lui? ». Des attentes trop élevées, je disais…

Source: François Bourque, Le Soleil, 26 août 2008.

(…) Le bilan de l’été? Il en faudrait plusieurs. Si bataille des plaines d’Abraham il y eut, comme on l’a évoqué plus tôt cet été, c’est l’empire britannique qui l’a gagnée. Encore une fois.

Le spectacle de Paul McCartney a éclipsé tous les autres, y compris celui de Céline Dion.

Le passage de l’ex-Beatle sur les Plaines, le 20 juillet, est entré dans l’histoire locale.

Comme en leur temps, les Une fois cinq, J’ai vu le Loup le Renard le Lion et peut-être Diane Dufresne. Vous en voyez d’autres?

Le spectacle de Céline Dion restera un des moments forts du 400e par le grand succès de participation et l’agitation qui a emporté la ville. Mais ce ne fut pas un spectacle mythique de ceux qui marquent l’imaginaire collectif.

Sauf peut-être lors de cet instant de grâce où Ginette Reno est entrée en scène et s’est emparée de la chanson Un peu plus haut.

Une voix puissante, intense, charriant l’émotion. En trois mesures, Mme Reno avait écrasé tout ce qui l’avait précédée sur scène dans une interprétation dont on parlera longtemps encore.

J’ai été surpris, depuis vendredi soir, de voir combien vous semblez nombreux à avoir été déçus du spectacle. Encore lundi, à la radio. (…)

La suite. À consulter, le blogue de Patrick Lagacé. Aussi, entre autres billets: Céline : une foule immense se présente sur les Plaines.

Ça faisait un bout que je n’avais pas visité l’Expo Québec, et j’ai été surpris de constater qu’après 15 ans, presque rien n’avait changé: les mêmes manèges, le même bonheur visible dans le visage des enfants et des parents, la même foule abondante, et sur le sol à la sortie des manèges, les mêmes traces gastriques :)

Mes Aieux et Céline

Vraiment un spectacle à la hauteur de ce que l’on attendait, une foule immense, une température exceptionnelle et la musique au rendez-vous. Comme j’avais des billets VIP, j’ai pu vaquer à mes occupations pendant la journée et le soir venu me présenter sur le site pour assister au spectacle. Désolé de la mauvaise qualité de la vidéo mais bon çà vous donne une idée de l’atmosphère qui régnait sur place.

J’y serai, puis je m’éclipse quelques jours… Je laisse à mes amis de QU le soin de nous rapporter quelques photos sansas! ;-)

Source: Marc Allard, Le Soleil, 22 août 2008.

Début et lieu

Le spectacle débute ce soir à 20h30, sur les plaines d’Abraham, sur le Terrain des sports, devant le Musée national des beaux-arts du Québec. Céline Dion sera accompagnée de plusieurs artistes : Claude Dubois, Zachary Richard, Éric Lapointe, Garou, Nanette Workman, Marc Dupré, Dan Bigras, Mes Aïeux, La famille Dion, Jean-Pierre Ferland et Ginette Reno. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Céline : les travaux en cours pour la scène.

De plus en plus de gens deviennent esclaves de leur « téléphone à poche ». Moi, ma p’tite dépendance de bidule électronique quand je sors, c’est mon « kodak »! Disons que j’ai quelque peu regretté de ne pas l’avoir traîné, samedi dernier, à Expo-Québec…

Un mot pour qualifier cette exposition: fabuleux!!

Source: Marie-Josée Nantel, Le Soleil, 21 août 2008.

Le temps s’est écoulé dans le sablier afin que Michel Lepire offre Souvenirs impérisSables, à Expo Québec. Non seulement les 400 ans de la ville de Québec qu’il célèbre, mais aussi les huit années qu’il a fallu pour concevoir ce festival de sculptures de sable unique en Amérique.

En 11 tableaux géants, l’ouvrage rend hommage aux quatre siècles d’histoire de la capitale. Québec se dévoile tantôt religieuse et francophone, tantôt culturelle et politique.

«C’est le rêve de ma vie!», s’exclame M. [Michel] Lepire, le penseur et maître-sculpteur des 88 Å“uvres, aussi impressionnantes les unes que les autres. Présentée sous un chapiteau jusqu’à dimanche, l’exposition a nécessité une dune de 1200 tonnes. Imaginez un bac à sable de 30 000 pieds carrés. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Expo-Québec: départ canon.

Source: Radio-Canada (Québec), 18 août 2008.

Québec a célébré dimanche l’importance historique du pont de Québec, dans le cadre de son 400e anniversaire. Pour l’occasion, le pont était fermé aux automobilistes pour la journée, pour laisser toute la place aux cyclistes et aux piétons.

Les passants ont pu assister à plusieurs numéros historiques avec des comédiens. De plus, 150 figurants étaient de la partie. Des visites commentées par un ingénieur étaient offertes. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Le pont de Québec mis à profit pour le 400e.

En passant: un bolo bien personnel à ceux qui souhaitaient, depuis le début, une déconfiture pour les fêtes du 400e!

Source: Kathleen Lavoie, Le Soleil, 17 août 2008.

Fini les nuits blanches. Fini les casse-tête de logistique. Fini l’obsession de la météo. Fini les contraintes budgétaires. Au lendemain de la présentation du Chemin qui marche, un éclatant succès, le concepteur Olivier Dufour peut enfin respirer. (…)

«Bien sûr, on aimerait ça voler de nos propres ailes. On a une maison de production depuis longtemps. Nos collaborateurs, on les a formés. On aimerait être capables de faire nos spectacles à nous, de grandes productions d’un soir, comme celle-ci (Le chemin qui marche). On est rendus là : faire nos propres projets à notre façon.»

Cette ambition, il entend la réaliser dans sa ville natale, Québec. Une véritable fourmilière de talent. «C’est positif de ne pas être à Montréal, dans le grand réseau. C’est extrêmement positif. On fait bien les choses malgré qu’on soit à Québec. Après, ça prend toutefois des leviers pour s’exporter. Pour moi, être implanté à Québec, ce n’est pas du chauvinisme. Je suis né ici.»

La distance de la métropole permet en quelque sorte, croit le concepteur, de réinventer la roue.

«Il y a tellement de monde dans l’industrie qui m’a dit “Ce n’est pas de même que les choses se font�. Nous, on a un lien avec nos employés, on les aime. Et puis, je suis content, ce soir (vendredi). À ceux qui pensent que les gens de Québec ne sont pas capables de faire des shows, je dis “Chapeau, le monde de Québec�! On fait peut-être les choses différemment, mais on les fait quand même!»

Autre objet de fierté pour Olivier Dufour, le côté rassembleur de son spectacle, qui a vu les têtes blanches côtoyer joyeusement les mèches vertes, vendredi, sur la plage de la baie de Beauport. (…)

La suite. Aussi, ce billet: Le chemin qui marche: magique hommage au fleuve.