C’était une terrasse qui appartenait au Pub d’Orsay dans cet espace ? On peut s’attendre à une nouvelle terrasse ou un nouveau bâtiment ?

Le secteur sur Google Maps.

Un plan gracieuseté de M. Denis Cloutier. Merci !

Je sais que ce sujet a été abordé très souvent mais j’ai tiré cette photo dernièrement et je me disais que dans les prochaines années on ne verra plus ce secteur sous cet angle. Convaincu ou non par cette photo que le bon choix a été fait en décidant d’agrandir cet hôpital ?

Le projet d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu contesté.

Le port de Québec destine l’ensemble du bassin Louise à un grand développement immobilier qui pourrait inclure un hôtel cinq étoiles, des bureaux, des commerces et des stationnements, en plus de la marina et du marché public qui s’y trouvent déjà.

Mario Girard, pdg de l’Administration portuaire de Québec (APQ) depuis le 1er janvier, parle d’une «idée» plus que d’un projet. Il a déjà entamé des discussions avec la Ville de Québec et la Commission de la capitale nationale (CCN) à ce sujet.

via Annie Morin du Soleil.

Restauré et rafraîchi, le Morrin Centre ouvre à nouveau ses portes au grand public, avec une nouvelle exposition sur le milieu carcéral nommé Faire son temps.

Cette exposition historique souligne l’ancienne fonction du Morrin Centre, qui a abrité la première prison au Canada de 1813 à 1868. En complément de cette visite historique des blocs cellulaires de l’ancienne prison commune de Québec, le laboratoire scientifique a aussi subi une cure de jouvence.

Cette inauguration boucle des travaux s’étant échelonnés sur 20 ans, à commencer par la rénovation des façades. Les travaux de restauration, d’interprétation et d’aménagement du Morrin Centre totalisent un investissement de près de 5 M$.

via Véronique Demers de Québec Hebdo.

Une lectrice nous a fait part de cette nouvelle sur Facebook :

La communauté des Ursulines occupe le même emplacement depuis 1641. Véritable manuel d’histoire de l’architecture, ce monastère illustre quatre siècles d’usage de matériaux et de techniques de construction au service d’une tradition monastique ancienne. Il se compose d’une quinzaine d’ailes et de bâtiments, dont une chapelle et la maison Madame-De La Peltrie, classée en 1964. L’ensemble est construit en pierre locale, d’une hauteur de trois à quatre étages, et coiffé de toitures en pente. Les plus anciennes ailes subsistantes ont été construites au cours de la décennie 1680, mais certaines fondations sont antérieures. Le terrain, qui possède un fort potentiel archéologique, comprend des jardins, des arbres matures et un petit cimetière.

via Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine.

En prenant une marche, j’ai constaté que la Ville a placé des barricades autour du dernier bâtiment des Nouvelles Casernes au coin de la rue Carleton et la côte du Palais. Ce mur semble déjà soutenu par l’intérieur par des crochets visés et des câbles à l’intérieur du bâtiment (voir photos). J’ai communiqué avec le CHUQ qui est propriétaire du site depuis les années 80. Voici la réponse de Richard Fournier, directeur des communications du Centre hospitalier universitaire de Québec :

Nous avons constaté récemment certains mouvements dans la structure du mur Est du bâtiment des Nouvelles Casernes, qui longe la côte du Palais. Un ingénieur-conseil que nous avons mandaté a conclu ce printemps qu’il y avait des risques pour la circulation piétonnière et automobile dans une section de cette rue. C’est pourquoi nous en avons aussitôt avisé la Ville de Québec qui est intervenu rapidement en sécurisant cette partie de rue. Depuis, nous avons entrepris les démarches visant à consolider ce mur (demande de permis, appel d’offres, etc.) Nous prévoyons que les travaux de consolidation seront terminés dans la troisième semaine de juin, de sorte qu’il n’y ait plus d’entraves à la circulation lors de la Fête nationale.

À plus long terme, nous poursuivons nos efforts avec différents partenaires concernés visant la préservation de ce bâtiment.

Toutefois, j’aimerais comprendre pourquoi l’hôpital s’est porté acquéreur de ces bâtiments à l’origine. Voulaient-ils les réutiliser pour un agrandissement et les démolir? Pourquoi le gouvernement fédéral a-t-il vendu une partie d’un site patrimonial aussi important dans l’histoire du pays et de la province?

Cette série de bâtiment long de 160 mètres a été construite au régime français en 1748. Ils ont servi aux soldats français et aux Britanniques après la conquête. Ils ont servi d’usine à munition pendant les deux guerres mondiales. Ils sont désaffectés depuis 1964.

Plus d’infos:

• Parcs Canada

http://tiny.cc/8hf7j
Le Laurentien était Place d’Youville, là où est actuellement un dépanneur. Le Kerhulu était un grand restaurant français de Québec, rue de la Fabrique.

* Merci à un fidèle lecteur, Jean-Pierre Duval

Un billet précédent

Cette affirmation ne procède d’aucun, mais absolument d’aucun chauvinisme. Ce n’est pas nous qui l’affirmons, c’est l’Institut canadien des urbanistes. Ce très crédible organisme regroupe quelque 7000 urbanistes a mari usque ad mare.

L’Institut a organisé cette année la première d’une compétition annuelle, Le Canada, c’est ma place. Débutant en novembre et durant quatre mois, des gens de partout ont voté pour les endroits méritant une «reconnaissance spéciale» et ce, dans trois catégories : rue, quartier, place publique.

Source: Comité des citoyens du Vieux-Québec

* Merci à un fidèle lecteur (André Bernatchez)

Source : Radio-Canada (Québec), le 11 mai 2011

Le projet Diamant de Robert Lepage ne verra pas le jour sous les bretelles de l’autoroute Dufferin-Montmorency en raison des coûts liés à cet emplacement, mais le projet n’est pas abandonné pour autant. Il pourrait se réaliser à la place d’Youville.

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Cela fait rapidement suite à une première nouvelle sur le projet publiée le même jour. Rumeur ou réalité?

Cette partie de Place d’Youville a fait la manchettes à plusieurs reprises ces derniers temps. D’abord, pour le projet d’hôtel du Capitole, ensuite pour la transaction des immeubles à Jacques Robitaille.

Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 11 mai 2011

(Québec) La cure fermée de la terrasse Dufferin achève. Complètement reconstruite, la célèbre promenade se déroulera à nouveau sous les pas des badauds d’ici quelques semaines. Et elle se dévoilera un peu plus qu’auparavant, exposant ses entrailles historiques.

Les airs bucoliques ne sont pas tout à fait revenus. Hier encore, une douzaine de camions, des conteneurs, des ouvriers et des clôtures occupaient toujours l’accès principal de la terrasse, au pied du monument de Samuel de Champlain. Pis, des travaux de construction limitent également l’accessibilité de l’autre côté du Château Frontenac, par le jardin des Gouverneurs.

«On devrait être en mesure d’ouvrir vers la fin de juin», indique le directeur de l’unité de gestion de Québec de Parcs Canada, Hugues Michaud. Le chantier de 10 millions $ est dans son dernier sprint. Il sera donc complété quelques semaines plus tard que ce qui était prévu à l’échéancier initial.

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Bien content que ce chantier termine bientôt, à temps pour la saison estivale.

Fortifications, terrasse et ruines.