J’ai souris en lisant “Je me permets d’attirer votre attention sur une situation qui aurait pu inspirer Kafka« , mais peut-être finalement que l’image utilisée par un lecteur de Québec urbain n’était pas assez forte.

La disneyfication du Vieux-Québec est-peut être AUSSI accéléré par la bureaucratisation créé pour le protéger. Qui trop embrasse, mal étreind?

À lire absolument : Révolution de Palet, où l’histoire d’une boulangerie artisanale du Vieux-Québec forcée de déménager à Ste-Foy

Le CHUQ a attendu la fin du Carnaval de Québec pour débuter la démolition extérieur du pavillon de l’Enseignement situé au 27, côte du Palais. Voici un extrait de leur communiqué :

la première phase de la démolition du pavillon de l’Enseignement, situé au coin de la côte du Palais et de la rue Charlevoix, a été complétée en respectant l’échéancier autant que le voisinage. Le démantèlement des équipements et la démolition intérieure de l’édifice ayant été effectués, le CHUQ amorce maintenant une phase beaucoup plus spectaculaire des travaux préparatoires au projet d’agrandissement de L’Hôtel-Dieu de Québec : la démolition extérieure du bâtiment.

via le CHUQ.

Cet emplacement fut jadis le premier site de l’Hôtel Victoria maintenant située en face de l’autre côté de la côte du Palais.

Pour ceux qui auraient oublié à quoi ressemblait cette fresque, vous pouvez consulter cette page sur le site de Commission de la capitale nationale du Québec.

Il est fort probable que l’on devra attendre un certain temps avant de pouvoir l’admirer de nouveau.

Les Nouvelles Casernes et l’Édifice Budget visés par l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu.

Source : Pierre-André Normandin, Le Soleil, le 3 février 2011

(Québec) L’hôtel de ville de Québec fera l’objet de travaux majeurs et, surtout, très visibles lors des deux prochaines années. Les quatre faces de l’édifice plus que centenaire doivent être refaites en raison de l’effritement de sa pierre. Une facture d’au moins 2,4 millions $.

«On doit refaire le parement de pierre ou remplacer des pierres», explique un porte-parole de la Ville, Jacques Perron. «Il y a des réparations importantes à faire.» Les travaux débuteront en avril et prendront fin à l’automne 2012.

D’abord, la façade donnant sur l’Hôtel Clarendon sera la première à être refaite. Ces travaux se termineront en juin. Puis, d’août à novembre, ce sera au tour de la façade principale, faisant face à la basilique-cathédrale, d’être réparée. Suivront en 2012 les deux autres côtés.

Ces travaux n’auraient aucun rapport avec l’étude réalisée voilà quelques années par Québec sur les risques posés par les tremblements de terre aux édifices municipaux, assure M. Perron.

la suite

Jeux d’eau à la mairie.

Source : Ville de Québec

Québec, le 2 février 2011 – L’Arrondissement de La Cité-Limoilou informe les citoyens de l’ouverture au public de la piscine A. Couture du Petit Séminaire de Québec. Cette piscine est située au 41, rue Sainte-Famille.

Un stationnement gratuit sur place est possible à partir de la rue de la Vieille-Université.
Jours et heures des périodes gratuites de bain libre :
· mercredi, de 19 h à 21 h – adultes
· dimanche, de 10 h à 12 h – pour tous

Renseignements : 418 694-1020

le communiqué

La piscine du Petit Séminaire sera ouverte aux citoyens du Vieux-Québec.

Je suis un ancien du Petit Séminaire mais je ne sais pas qui est A. Couture. Je me sens gêné.

Source : Le Soleil

(Québec) Les travaux de construction pour l’agrandissement de L’Hôtel-Dieu de Québec, au coût de plusieurs centaines de millions de dollars, ne débuteront pas avant la fin de 2013.

Les responsables du projet au Centre hospitalier universitaire de Québec (CHUQ) prévoient une période de 18 mois pour compléter les premiers plans du vaste chantier avant de lancer les premiers appels d’offres auprès d’entrepreneurs.

«C’est toute la conception du projet qui comprend les plans et devis préliminaires et définitifs. On aura alors le portrait complet du projet jusque dans le nombre des prises de courant dans chaque chambre, dans toutes les salles et le choix de poignées de portes», a imagé, hier, au Soleil, la directrice du projet, Élizabeth Corneau.

la suite

Le projet d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu constesté.

Vu le début de la démolition du Pavillon de l’enseignement, un détour s’impose dans ce secteur.

Source : Dominique Hardy, Journal de Québec, le 14 janvier 2010

Des employés s’affairant aux travaux de restauration de la porte Kent, sur la rue Dauphine, intégrée aux murs et fortifications entourant une partie de la ville de Québec, ont fait une découverte étonnante, a appris Le Journal. Ils y ont trouvé un coffre.

Celui-ci est toutefois en très mauvais état. Les intempéries seraient venues à bout de son étanchéité. Parcs Canada, responsable des fortifications, ne peut pas s’avancer sur son contenu. On procédera à des expertises au cours des prochaines semaines.

La porte Kent a été construite vers 1878. Elle fut nommée en souvenir du duc de Kent, père de la reine Victoria, et celle-ci contribua financièrement à sa construction.

l’article

Le « trésor » de la statue de Champlain enfin dévoilé.

Qu’y retrouvera-t-on ?

Le Soleil

(Québec) Quel est le symbole par excellence de la capitale? Sans surprise (81 %), les gens interrogés dans un sondage Segma-Le Soleil répondent… le Château Frontenac et le Vieux-Québec. (…) Très loin derrière, on retrouve les plaines d’Abraham (7 %), la promenade Samuel-De Champlain (5 %) et le Parlement (4 %). «Pourquoi essayer de trouver autre chose? Le Château Frontenac est indéclassable», lance M. Harvey.

La suite

Le GéoRallye est une activité de plus en plus populaire. Il s’agit de trouver, à l’aide d’un GPS, des endroits bien précis pour répondre à un questionnaire ou trouver des trésors. Les participants du GéoRallye du temps des fêtes s’apercevront assez vite que le trésor en question, c’est de marcher Québec, le Québec touristique que ses résidents oublient parfois, mais qui demeure charmant été comme hiver.

via Luc Fournier de Québec Hebdo.

Informations : http://www.civuquebec.ca

Décision étrange de la part du Port de Québec. On veut donner le nom de Ross Gaudreault au terminal de croisière avant même son départ à la retraite… et avant sa propre mort. Les règles de la Commission de toponymie du Québec et du gouvernement canadien sont pourtant clairs. Selon leurs critères, M. Gaudreault ne se qualifie pas.

Interrogé sur les règles de désignation des édifices au nom d’une personne vivante alors que différentes commissions de toponymie du Québec et du fédéral émettent des réserves ou l’interdisent, M. La brecque a paru irrité au téléphone. Il a donné différents exemples d’édifices portant le nom d’une personne vivante, comme l’aréna Joé-Juneau à Pont-Rouge, l’aréna Guy-Lafleur à Thurso ou encore un édifice d’une entreprise dans le port qui porte le nom d’un ancien employé, toujours vivant, qui était là lors de la construction du bâtiment.

(…)

La Commission de toponymie du Québec précise : «Un lieu ne doit pas se voir attribuer un nom commémoratif d’après celui d’une personne vivante. Seuls les noms de personnes décédées depuis plus d’un an et ayant une importance historique certaine ou un lien étroit avec le lieu à désigner peuvent faire l’objet de tels choix.»

Du côté fédéral, on indique aussi certaines réserves : «Le nom d’une personne ne doit pas être attribué à moins qu’il ne soit dans l’intérêt public d’honorer cette personne en donnant son nom à une entité géographique. La personne honorée doit avoir apporté une contribution importante à la région où l’entité est située et son nom ne devrait normalement être attribué qu’à titre posthume. On ne doit pas se servir du nom d’une personne vivante, à moins de circonstances tout à fait particulières.»

via Yves Therrien du Soleil.