Comme le précise le bulletin Ma ville – Mon arrondissement (28 octobre 2006), « les phases III et IV du programme de renaturalisation des berges viennent de se terminer. Elles ont permis de poursuivre la démolition des murs bétonnés et l’aménagement d’un sentier multifonctionnel. » Par ailleurs, « il ne restera, au printemps prochain, qu’à compléter les plantations. Les travaux des phases V et VI débuteront au même moment. Avec eux, prendra fin ce grand projet. »

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Elle est pour d’aucuns l’ultime caricature d’un hippisme hilarant et obsolète, l’incarnation du «nec plus granola». Malgré la modestie du matériau, la paille s’avère pourtant un trésor de plus en plus convoité pour l’isolation des maisons: en plus d’être saine et d’une grande efficacité, elle a le mérite d’épargner nos forêts. Ce serait d’ailleurs en raison de la rareté du bois et de l’avènement de la botteleuse automatique que l’utilisation du ballot de paille dans la construction serait née au Nebraska au XIXe siècle.

L’utilisation de ce matériau s’est depuis répandue sur tous les continents. Selon le magazine Internet Québec urbain, on en compterait quelques centaines au Québec, soit beaucoup moins qu’en Ontario et en Colombie-Britannique. Son utilisation serait pourtant des plus pertinente en raison de nos rapides variations climatiques. Une organisation internationale (International Straw Bale Building) propose des conférences tous les deux ans; la dernière se tenait en septembre dernier en Ontario.

[Suite de l’article sur le site du Devoir]

Avec cette image en introduction, permettez-moi de dénoncer l’inaction scandaleuse et le je-m’en-foutisme des conservateurs en matière d’environnement…

J’adresse donc un (autre) bolo bien personnel au gouvernement Harper!

À ce sujet, lire ces deux reportages sur le site de Radio-Canada…

À consulter aussi, le Protocole de Kyoto (Wikipédia), la pétition Sauvons Kyoto, de même que le site de la Fondation Suzuki.

Source: Jacinmon Reid, Québec Hebdo, 17 octobre 2006

La présence d’algues bleues dans le lac Saint-Charles a provoqué quelques inquiétudes au sujet de la qualité de l’eau du lac qui alimente en eau potable près de 250 000 résidants de Québec.

À la suite de la découverte par une riveraine, dimanche dernier, d’une fleur d’eau formée par des cyanobactéries (algues bleues) dans le secteur de la Baie des Échos du lac Saint-Charles, la Direction régionale de la santé publique de la Capitale-Nationale a procédé à une inspection visuelle le 17 octobre dernier qui n’a par contre pas permis de déceler de traces de nouvelles cyanobactéries.

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Source: Radio-Canada Québec, 17 octobre 2006

Les Villes de Québec et de Lévis ont toutes deux adopté un plan de gestion de matières résiduelles similaire, afin d’atteindre l’objectif fixé par le gouvernement. Selon la politique québécoise de gestion des matières résiduelles, les municipalités doivent atteindre un taux de récupération de 60 % d’ici 2008.

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Source: Marc Allard, Le Soleil, 14 octobre 2006

Un toit végétal, un système de chauffage géothermique, une architecture qui se fond dans l’environnement. Bienvenue dans la bibliothèque verte de Charlesbourg.

« C’est véritablement un bâtiment de l’ère de Kyoto », déclarait cette semaine le député Éric R. Mercier, lors de l’inauguration de la sixième bibliothèque la plus grande au Québec. D’emblée, c’est le toit vert qui frappe. À première vue, il ressemble à un terrain d’herbes folles ou à un gazon mal tondu. Il est en fait recouvert de graminée, sous laquelle se trouve un terreau, une membrane antiracine et un coussin drainant en cas de sécheresse.
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Source: Lucie Lavigne, La Presse, 10 octobre 2006

Difficile de trouver des propriétaires plus verts qu’Anne-Marie McSween et Dominique Leroux. Passionnés par la construction saine, ils ont prouvé qu’il n’était pas nécessaire d’être millionnaire ou extravagant pour faire des rénovations tout en préservant l’environnement. Leur solution? Une mégadose de détermination, de la patience et beaucoup de temps.

«On a rénové de manière écologique parce que ça correspond à nos valeurs sociales, explique Dominique Leroux, 33 ans, ingénieur informatique stagiaire. Nous voulons également encourager les gens à faire de même.»

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Est-ce que ce genre de projet est plus susceptible de changer le paysage urbain de banlieue ou celui de la ville ??? Aussi sur cette page Internet, il y a de nombreux liens vers d’autres sujets du même ordre. Pour ceux qu’ils ne sont pas intéressés par le sujet, changer de billet.

La grande exposition les idées ALLANT vert– le 22 octobre 2006

Le 22 octobre 2006, au Musée de la civilisation du Québec, Québec’ERE, la Ville de Québec, la CDÉC de Québec, la Ressourcerie La Commode, Fripes et trouvailles et Concertation Recyclage Québec auront le plaisir de présenter, pour une troisième année consécutive, un événement célébrant l’atteinte d’une meilleure gestion des matières résiduelles à Québec.

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Des entreprises d’économie sociale comme La Commode, il y en a d’autres tel que : Le Vélo Vert,et la Bouquinerie Trait d’union, pour ne nommer que ceux-là.

Et comme disait Théodore Monod « Le peu, le très peu que l’on peut faire, on doit le faire… »

Source: Radio-Canada (Québec), 12 octobre 2006.

La Ville de Québec devra poursuivre ses efforts en vue de préserver la forêt urbaine face à de nouveaux défis que provoque le développement domiciliaire dans certaines banlieues et au centre-ville.

C’est l’un des constats qu’a faits le directeur de la foresterie urbaine de Québec, Jacques Grantham, lors de la septième conférence canadienne sur la forêt urbaine à laquelle participent environ 250 spécialistes de tout le pays. (…)

La suite. Aussi, ce billet.

Quel temps magnifique pour cette dernière série de photos illustrant l’évolution des travaux de la phase III, à toute fin pratique achevés dans la portion est!

Prochain rendez-vous: printemps 2007?

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