L’exposition « Le Grand Livre des Rivières »

Québec, le 12 septembre 2013 – L’Arrondissement des Rivières a procédé aujourd’hui à l’inauguration de l’exposition « Le Grand Livre des Rivières » logée dans le hall d’entrée du Bureau d’arrondissement. Cette exposition permanente rend hommage aux cinq anciennes villes qui constituent l’Arrondissement des Rivières soient Duberger, Les Saules, Charlesbourg-Ouest (Lebourgneuf), Neufchâtel (une partie) et Vanier. Elle permet de mettre en lumière leur passé commun, leur histoire respective ainsi que leur avenir collectif.

Une première exposition permanente dans un Bureau d’arrondissement

L’exposition « Le Grand livre des Rivières » est la première exposition permanente présentée dans un Bureau d’arrondissement de la Ville de Québec. Elle démontre l’évolution de l’arrondissement des Rivières, des origines seigneuriales jusqu’à nos jours.

Cette exposition nous amène à découvrir l’arrondissement des Rivières qui s’étend de la vallée de la rivière Saint-Charles jusqu’aux premiers contreforts des Laurentides. Au fil du temps, seigneuries, municipalités de paroisses, villes et quartiers se sont succédé pour finalement former cet arrondissement arrosé par trois rivières.

« Chaque arrondissement possède une histoire importante que l’on se doit de dévoiler afin qu’elle s’inscrive dans la mémoire de tous », a fait savoir M. Régis Labeaume, maire de la Ville de Québec.

Un grand livre d’histoire

Des moyens muséographiques sont mis à la disposition des visiteurs tels qu’un grand livre d’histoire comportant deux pages côte-à-côte par ancienne ville, déposé sur un plan incliné ainsi que des panneaux muraux présentant l’évolution du territoire. Quelques objets de la collection muséologique de la Ville de Québec et des photos provenant des archives de la Ville et de citoyennes et citoyens de l’arrondissement feront revivre de beaux moments aux visiteurs.
« Je me réjouis de la qualité du contenu et du concept choisi pour la réalisation de cette exposition. Elle permettra à plusieurs de découvrir notre histoire », a souligné M. Gérald Poirier, président du conseil d’arrondissement des Rivières.
La préparation et la production de cette exposition, par l’Arrondissement des Rivières en collaboration avec le Service de la culture, ont été réalisées au coût de 37 000 $.

Les citoyennes et citoyens sont conviés à visiter gratuitement l’exposition « Le Grand Livre des Rivières », à leur Bureau d’arrondissement situé au 330, rue Chabot. Les heures d’ouverture sont du lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30.

Québec Urbain était présent ce soir au lancement de ce site internet consacré à l’histoire populaire de St-Roch.
Un travail monumental de François Gosselin Couillard. Quand on connais son passé, on comprend mieux le présent.

La Ville de Québec, le ministère de la Culture et des Communications et la Chaire de recherche du Canada en patrimoine ethnologique de l’Université Laval ont lancé aujourd’hui l’application mobile Découvrir Québec. À travers ses récits inédits, l’application présente 96 points d’intérêts patrimoniaux du Vieux-Québec et du quartier Saint-Roch, racontés de façon moderne. (…) L’application, gratuite, est disponible sur iPhone et iPad. Elle peut être téléchargée à partir de l’App Store. Une version Android sera accessible au cours de l’automne. Enfin, grâce à l’appui de l’Office du tourisme de Québec, tous les textes de l’application sont également disponibles en version anglaise.

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Une application développée au coût de 565 000$ * Valérie Gaudreau (Le Soleil)

* J’ai téléchargé et c’est vraiment à essayer

Source : François Bourque, Le Soleil, le 15 novembre 2010

(Québec) Il est encore tellement actif que c’est à se demander si cette biographie n’a pas été écrite trop tôt. Gilles Lamontagne n’a après tout que 91 ans.

Il est parti à rire lorsque je lui ai posé la question. Pour lui, ce n’est pas tant que la biographie arrive trop tôt. C’est qu’il n’est par certain de l’avoir méritée.

«Cette idée ne m’enthousiasmait pas», confie-t-il, dans l’avant-propos. «Je la jugeais prétentieuse.»

Il s’est un peu laissé tirer l’oreille, mais a fini par s’abandonner.

«Ma motivation première n’est certainement pas de vouloir susciter des louanges ni de faire connaître de supposés exploits ou les hauts faits de ma vie», prévient-il.

«Ni de faire de leçon à qui que ce soit.» Il dit vouloir simplement «livrer mon témoignage de vie et laisser une trace de ce que fut mon existence».

Six cent vingt et une pages denses, découpées en 22 tranches de vie.

l’article

FRÉDÉRIC LEMIEUX. Gilles Lamontagne : Sur tous les fronts, Del Busso Éditeur, 2010, 672 p.

Trois ex maires, une passion: Québec.

* Je viens de terminer ce livre. Je crois que si l’évolution de Québec vous intéresse et aussi si vous désirez comprendre pourquoi Québec est ce qu’elle est présentement la lecture de ce livre est incontournable.

Crédit : Réjean Lemoine;

Plus ancien faubourg ouvrier de la ville de Québec, le quartier Saint-Roch a été pendant longtemps le quartier le plus prospère et le plus populeux de la Capitale, en plus de concentrer une grande part de sa population francophone. Du milieu du XIXe siècle à la fin des années 1950, il constitue le noyau commercial, industriel et manufacturier de la ville. De par la richesse de son architecture et l’esprit créatif et innovateur de ses résidents, le quartier Saint-Roch est le témoin vivant de quatre siècles d’histoire de la ville de Québec. Sa relance est, en soi, un immense chantier de sauvetage, de restauration et de mise en valeur du cœur urbain de Québec.

Source et suite.

St-Roch sur Google Maps.

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

(Québec) Début août 1943, le Tout-Québec est en émoi. Le Château Frontenac a été vidé de ses clients, et des milliers de réservations ont été annulées. Des batteries antiaériennes sont installées près de l’hôtel, sur les plaines d’Abraham, aux abords de la Citadelle. Les agents secrets sont à l’oeuvre. La censure tombe sur les médias, qui ne peuvent relater les événements. Les rumeurs fusent : le pape Pie XII s’installera dans la capitale pour fuir l’Europe en guerre; l’hôtel sera transformé en hôpital militaire pour les blessés canadiens du front italien…

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Quand l’histoire s’est écrite à Québec: un rôle de figuration pour Mackenzie King * Baptiste Ricard-Châtelain (Le Soleil)

La Commission de la capitale nationale du Québec est heureuse de dévoiler la programmation de la saison 2013-2014 du Tribunal de l’Histoire, sa populaire série de spectacles alliant histoire, théâtre et musique.

Pour cette onzième saison, les spectateurs sont conviés à étudier six grands projets destinés à Québec et à découvrir les défis, parfois insurmontables, qui se sont dressés sur leur route : la tentative d’établissement permanent de Jacques Cartier et de François de La Rocque de Roberval, la construction de l’hôtel de ville de Québec, la création du Séminaire de Québec, l’accueil du siège des Nations Unies, les débuts du parlementarisme et l’aménagement de la colline Parlementaire.

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* Québec est une ville qui aime l’Histoire. Cet évènement est remarquablement bien fait et fort peu dispendieux par-rapport à ce qui est offert. Le Palais Montcalm est d’ailleurs un endroit parfait pour sa diffusion.

Alexandra Perron
Le Soleil

(…) Le Soleil s’est aventuré dans les rues du Vieux-Québec et de Saint-Roch sur les traces de ces vestiges publicitaires. Comme guide, l’historien Réjean Lemoine raconte un passé qui s’efface. (…) Édifice Martineau Building (…) Cigarettes Sweet Caporal (…) J.P. Guy limitée épicier licencié (…) Admiral 217 (…) La compagnie Légaré Limitée

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Québec, le mercredi 17 juillet 2013 – Le réseau des maisons patrimoniales de la Ville de Québec fait peau neuve en 2013 et se modernise pour adopter le nom de Maisons du patrimoine, espaces muséaux de la Ville de Québec. Cette nouvelle appellation, qui remplace Par ici la visite, résume davantage la mission du réseau qui vise la mise en valeur des espaces muséologiques et culturels de la Ville de Québec. Ces lieux muséologiques sont en fait 10 maisons ancestrales issues du patrimoine québécois, qui sont situées dans plusieurs arrondissements de la ville de Québec.

Depuis quelques années, le réseau était à la recherche d’un nom représentatif qui correspondrait bien à ce qui était commun à toutes les maisons et jardins membres du regroupement. Le nouveau logo choisi pour représenter les Maisons du patrimoine, espaces muséaux de la Ville de Québec rend bien le dynamisme qui caractérise l’esprit du réseau : une sauvegarde du patrimoine par la diffusion culturelle qui relie le passé et le présent. Le nouveau nom du réseau, quant à lui, met l’accent sur le regroupement des maisons ayant une valeur patrimoniale reconnue et leur vocation muséologique couvrant des domaines diversifiés : arts, sciences, histoire, ethnologie et nature.

Que se soit à la villa Bagatelle à Québec, au Moulin des Jésuites, à la maison Girardin, à la maison Léon-Provancher ou dans l’une des six autres maisons patrimoniales, le public peut profiter d’un éventail d’expositions d’animations, de concerts et de spectacles diversifiés. Pour la programmation complète et détaillée, voir le site Web

Depuis sa création en 2005, le réseau Maisons du patrimoine, autrefois Par ici la visite, regroupe des lieux patrimoniaux, maisons, parcs ou jardins, qui appartiennent à la ville de Québec et dont la mission est de présenter des expositions. Le réseau compte 10 maisons dispersées dans la ville de Québec :

– Centre d’interprétation historique de Sainte-Foy
– Maison des Jésuites de Sillery
– Maison Dorion-Coulombe
– Maison Éphraïm Bédard
– Maison Girardin
– Maison Hamel-Bruneau
– Maison Léon-Provancher
– Maison O’Neill
– Moulin des Jésuites
– Villa Bagatelle

Qu’ils soient gérés par des organismes à but non lucratif ou par la Ville elle-même, ces espaces muséaux mettent en lumière l’histoire des lieux et de leurs occupants, le patrimoine et l’environnement et, par leur programmation, contribuent à la qualité de vie des citoyens. Le réseau est soutenu financièrement dans le cadre de l’Entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Québec et le ministère de la Culture et des Communications du Québec.

Jean Brouillard Communication

* Merci à M. François Auger