Pour mettre un peu de baume au retour de la grisaille, la conclusion de ma série de reportages photo effectués un peu partout le week-end dernier dans les quartiers centraux de Québec…
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Pour mettre un peu de baume au retour de la grisaille, la conclusion de ma série de reportages photo effectués un peu partout le week-end dernier dans les quartiers centraux de Québec…
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Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Lieux magiques, Reportages photo.
Quel congé de l’Action de Grâce splendide pour les maniaques de photos! Je n’ai pu résister à la tentation de vous présenter ces nouvelles images (7), parfois surréalistes, immortalisées dans ce magnifique parc de Québec cet après-midi. Gageons que nos amis Francis, Carol et Serge en ont aussi largement profité! ;-)
Je me souhaite un ciel tout aussi lumineux pour les Oies blanches, le week-end prochain…
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Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Lieux magiques, Parc, Reportages photo.
Bonjour,
La présente est pour vous informer de la tenue d’une manifestation soulignant la Journée internationale de la musique. Le 1er octobre 2006, de 13h à 15h, se réuniront des musiciens/musiciennes/mélomanes aux Jardins de l’Hôtel de ville de Québec (devant l’hôtel Clarendon) afin de souligner l’importance de l’Emprise du Clarendon pour la diffusion du jazz d’ici.
Comme nous l’avons précédemment souligné [billet et affiche ci-haut], cette petite scène joue un rôle de premier plan en permettant aux musiciens de bénéficier d’un lieu de diffusion et ce, depuis plus de 25 ans. Or, cette petite Mecque du jazz de la Vieille Capitale est menacée de fermeture dès la mi-octobre. Les administrateurs de l’Hôtel Clarendon disent jongler avec cette idée puisque les profits se sont amoindris dans les dernière années.
Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à contacter: Michel Côté, musicien, au isayah@sympatico.ca ou Denis Bernier, du bureau de Québec de la Guilde des musiciens (688-1722).
Cordialement,
Mélomanes et musiciens
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Lieux magiques.
Tel est le titre de la longue missive que je viens de recevoir, dont voici l’introduction. J’ai pensé qu’il était tout à fait pertinent de la reproduire dans son intégralité en regard de ce récent billet… et pour l’amour de la musique à Québec!
Bonjour Monsieur Cazes,
voici un texte d’opinion co-signé par une vingtaine d’employés/musiciens concernant la fermeture du Café-Bar. Nous l’avons fait parvenir aux principaux médias écrits francophones, mais croyons qu’il est susceptible de vous intéresser puisque vous avez précédemment abordé la question sur Québec Urbain.
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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Lieux magiques.
Problèmes de « consommation » de la clientèle, difficultés à rétribuer les musiciens, dit-on… Les vieux nostalgiques comme moi risquent-ils de perdre bientôt un autre lieu culte de Québec au même titre que le Foyer, La Cour ou l’Après-Onze du temps du cégep?
Pour le jazz, il restera vraisemblablement le Largo [billet], rappelle la chroniqueuse du Soleil…
Un toast à la survie du jazz (Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 17 août 2006.)
(…) Il y a de fortes chances que le Clarendon cesse bientôt de présenter ses célèbres soirées de jazz, qui sont pourtant une véritable tradition dans la capitale.
(…) Le directeur de l’hôtel, Alan Murphy, m’a confirmé qu’il songeait sérieusement à cette possibilité. Aucun spectacle n’a été planifié pour l’hiver, aucun artiste n’a été embauché à partir du mois d’octobre.
(…) Le problème, c’est plutôt que les clients consomment beaucoup moins de boissons qu’auparavant. (…) Depuis cinq ou six ans, les recettes dégringolent à un point tel que le bar ne parvient pas à faire ses frais et à payer les musiciens sans tomber dans le rouge, explique M. Murphy. (…)
(…) Alan Murphy admet qu’il songe avec cette idée [payer à l’entrée]. Et ce n’est pas moi qui vais l’en dissuader. Il me semble que c’est normal de payer quelques dollars pour voir un spectacle de qualité. (…)
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Commercial, Lieux magiques.
Lieu magique: la volière à papillons de l’arboretum du Domaine Maizerets mérite décidément ce qualificatif! C’est l’une des multiples attractions qu’offre ce vaste parc situé en plein coeur de Québec et qui gagnerait, au risque de me répéter, à être davantage connu…
La galerie d’images (14) suivante donne un aperçu de la diversité de papillons qu’on peut contempler dans la volière jusqu’au 4 septembre. Mis à part notre célèbre monarque (photo 12), je vous épargnerai les noms des espèces que j’ai illustrées dont certaines, exotiques, proviennent notamment du Costa Rica!
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Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Lieux magiques, Parc, Reportages photo.
Inspiré par un billet de Carol, voici mon premier reportage photo (15) fait dans une partie des tunnels de l’université (« X », sur la carte ci-bas).
Ces images rappelleront sûrement quelques souvenirs à des générations d’étudiants qui ont arpenté les catacombes de la « noble » institution. Exit malheureusement de classiques graffitis tels « NonO au référendum » ou « Les femmes contestent… », souvent retouchés ou superposés au fil des ans et maintenant effacés sous des oeuvres moins spontanées…
Au fait, quelle est votre murale préférée exposée dans cette galerie de photos?

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Art urbain, Graffiti, Lieux magiques.
… et sur la route, on en a profité pour faire une « tite saucette » à Rimouski, histoire de constater le dynamisme de la métropole du Bas-Saint-Laurent, illustré ci-haut par son vieux « gratte-ciel » (la Place Saint-Laurent), et la verrière de sa nouvelle salle de spectacle Desjardins-Telus.
En visitant la Gaspésie, oubliez le volet « urbain », surtout qu’à Gaspé, la rue principale est en plein chantier de revitalisation (pour le plus grand bien de la ville, espérons-le!). Car avant tout, la Gaspésie, c’est une succession de coquets villages nichés dans une nature grandiose: à titre d’exemples, ces photos du célèbre rocher Percé, de l’impressionnante colonie de fous de Bassan de l’île Bonaventure et du site de poissons fossiles de Miguasha, réputé dans le monde!
Ceci dit, je m’empresse de consulter la revue de presse urbaine de Québec des huit derniers jours qu’ont fidèlement préparée Carol et Gérald! :-)
Voir aussi : Lieux magiques, Reportages photo, S'inspirer d'ailleurs.

Jouissant d’un grand succès depuis 2002, Paris-Plage aurait retenu l’attention de Mme Boucher lors de son périple en France. Commentaire personnel: il aurait été pas mal plus intéressant que les médias élaborent sur cette initiative de la Ville Lumière (une idée à développer pour la plage Jacques-Cartier ou le bassin Louise, notamment?) plutôt que de s’attarder sur quelque chose d’aussi superficiel que les vêtements de la mairesse (article du Soleil)…
Source: Encyclopédie Wikipédia.
(…) Chaque année, entre juillet et août, pendant environ 4 à 5 semaines, sur 3,5 km, la voie sur berge rive droite de la Seine et la place de l’Hôtel-de-Ville accueillent des activités ludiques et sportives, ainsi que des plages de sable et d’herbe, des palmiers… (…)
Voir aussi : Art de vivre en ville, Lieux magiques, S'inspirer d'ailleurs.
Un endroit extraordinaire et parfait pour comprendre à quel point la Ville de Québec est unique!
Beaucoup de personnes oeuvrent à quelques pas du parc et s’en vont, sur l’heure du midi, y casser la croûte sous les arbres. Alors, on y va?:-)
Dans le journal Le Devoir de ce samedi mouilleux.
Un article de Claude Morin:
« Le parc du Bois-de-Coulonge – Un joyau historique et horticole
Le joyau des parcs de la Commission de la Capitale-Nationale, le parc du Bois-de-Coulonge, rue Grande-Allée Ouest à Québec, semble avoir trouvé sa véritable identité. Il est devenu un magnifique jardin public profondément marqué par l’histoire du Québec. Situé dans l’arrondissement historique de Sillery, à proximité des plaines d’Abraham, ce grand parc constitue un havre de paix au coeur de la ville et des tourmentes politiques.
Le dernier des 21 lieutenants-gouverneurs à se succéder au Bois-de-Coulonge, Paul Comtois, y a trouvé la mort dans l’incendie de sa résidence, en février 1966. Ce tragique événement a laissé le domaine plus ou moins à l’abandon pendant une vingtaine d’années, après quoi ce parc public a été restauré et remis en valeur.
Un siècle auparavant, en 1860, un incendie avait aussi détruit la demeure du gouverneur général du Canada-Uni au moment où cette propriété se nommait Spencer Wood. Le vaste domaine avait été acquis en 1835 par un marchand de bois prospère et passionné d’horticulture, Henry Atkinson. Son empreinte est encore bien présente aujourd’hui avec le jardin floral, le boulingrin, l’emplacement de la villa incendiée, l’allée d’ombre et le belvédère tandis que l’époque de la résidence vice-royale est rappelée par les bâtiments actuels, le parterre central avec ses pelouses, ses allées et sa fontaine.
Le parc est occupé à moitié par un bois constitué principalement d’érables à sucre, de chênes rouges, d’ormes d’Amérique, de hêtres à grandes feuilles et d’épinettes blanches. Un arboretum situé à l’abri des vents dominants favorise la découverte de quelque 50 espèces et cultivars. Un jardin d’eau aménagé près de la maison du gardien et de nombreuses plates-bandes de rhododendrons, de muscaris et de campanules ajoutent de vives couleurs au paysage.
Le parc du Bois-de-Coulonge a retrouvé son nom du régime français à la suite d’une campagne de francisation en 1950. Sous la responsabilité d’un châtelain, en 1657, le domaine portait le nom de châtellenie de Coulonge pour désigner Louis d’Ailleboust, sieur de Coulonge et troisième gouverneur de la Nouvelle-France.
Aujourd’hui, le parc est l’endroit idéal pour faire une promenade en empruntant les allées ou les sentiers qui mènent au belvédère afin d’y admirer le fleuve Saint-Laurent. «
Voir aussi : Lieux magiques.