Source: Christiane Vadnais, Impact Campus (Québec), 3 février 2009.
(…) «Ce serait dommage que la Ville ne reconnaisse pas le travail que les organismes communautaires ont fait, estime la directrice générale de Lauberivière, Chantale Dugas. Il y en a environ 250 à Québec, dont plusieurs ont déposé des mémoires à la Commission des affaires sociales à l’automne. On a développé des solutions, plus abordables que celles du milieu institutionnel. […] Les organismes communautaires sont sous-financés, mais des outils de travail ont été développés avec les moyens du bord.»
Des logements sociaux supervisés, où l’on travaille activement à la réinsertion sociale, ou des fiducies qui aident les plus démunis à gérer leur budget, comme en propose Lauberivière, ne sont que quelques-uns des projets qui pourraient inspirer la Ville, selon Mme Dugas. «Mais d’autres organismes communautaires ont aussi de bonnes idées», précise-t-elle.
Ces organismes prennent le pouls, au quotidien, de ce qui se passe sur le terrain. (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: Pauvreté : Labeaume passe à l’action.