Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Québec La cité »

Programme triennal d’immobilisations (PTI) 2012-2013-2014

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 novembre 2011 5 commentaires

Le programme triennal d’immobilisations (PTI) 2012-2013-2014 de la Ville de Québec prévoit des investissements majeurs (…)

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Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité.

Le paysage urbain – Habiter la carte postale

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 novembre 2011 17 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir 26 novembre 2011

* L’article intégral n’étant disponible que pour les abonnés, nous le publions au complet

Québec — Pour freiner l’étalement urbain, la Ville de Québec ouvre aujourd’hui la porte à davantage de constructions en hauteur. Le paysage urbain de la ville carte postale serait-il en train de changer?

Quand on lui pose la question, le conseiller responsable de l’aménagement, François Picard, répond qu’on n’est quand même «pas à New York».
Il n’a pas tort. Réputée pour son cachet, la ville de Québec est plutôt modeste en matière de constructions en hauteur. Son immeuble le plus haut, l’édifice Marie-Guyard (surnommé le «complexe G»), fait à peine 31 étages et paraît bien seul au centre de la ville.

Dans les quartiers du centre comme Montcalm, Limoilou ou Saint-Jean-Baptiste, les constructions à deux, trois étages dominent. La regrettée Jane Jacobs, qui a beaucoup inspiré les efforts de revitalisation des centres-villes en Amérique du Nord, ne trouverait pas grand-chose à redire sur ces quartiers animés et à échelle humaine.

«Il y a une douceur de vivre à Québec, un rythme, une qualité des lieux urbains qui en font une ville agréable, note Johanne Brochu, une spécialiste en design urbain de l’Université Laval. Moi je suis Montréalaise, mais je suis à Québec depuis sept ans et je ne suis pas à la veille de partir!»

Mais Québec est aussi réputée pour son ratio élevé de voitures par habitant et son étalement urbain. Et le trafic automobile commence à atténuer la «douceur» évoquée par Mme Brochu. «Si on veut qu’à Québec, on continue à être à proximité de tout, c’est certain que la construction en hauteur a son intérêt», lance-t-elle.

C’est dans ce contexte que l’administration de Régis Labeaume est partie à la chasse aux espaces vacants au centre et dans la première couronne pour y favoriser de nouveaux projets domiciliaires en hauteur.

Sur le boulevard Laurier dans l’ancienne ville de Sainte-Foy, on va même modifier le règlement de zonage pour faire passer à 27 le nombre d’étages autorisés.

Si le paysage de la ville va changer? Oh que oui, répond François Picard, mais pas partout. «Dans le centre-ville et sur la colline parlementaire, l’image que vous avez de Lévis, par exemple, ne sera pas changée.»

Quant au boulevard Laurier, la Ville n’a pas la prétention d’en faire un paysage digne de cartes postales. «Est-ce que la Défense à Paris en est un? Non. Mais oui, on va l’embellir. Comme dit souvent le maire, en arrivant à Québec, les gens vont passer d’une ville moderne à une ville patrimoniale.»

Saint-Jean-Baptiste

Le dossier est toutefois plus controversé lorsqu’on cherche à densifier entre ces deux extrêmes. Le quartier Saint-Jean-Baptiste dans l’ancienne ville de Québec, par exemple, ne fait pas partie de l’arrondissement historique, mais le secteur a son cachet et ses résidants sont prêts à se battre pour le défendre.

Ils viennent d’ailleurs d’obtenir la tenue en février d’un référendum à propos du projet d’immeuble résidentiel (l’îlot Irving) sur le site d’un stationnement extérieur inutilisé. Pour le rendre possible, la Ville souhaite modifier le règlement de zonage et faire passer le nombre d’étages permis de 6 à 9.

«Pas dans ma cour»

La Ville, soutient François Picard, a fait ses devoirs pour ne pas bouleverser le paysage. «Au centre-ville, on s’est assuré de ne pas dépasser les gabarits des bâtiments qui sont déjà autour des terrains vacants», dit-il, avant de rappeler que non loin de l’îlot Irving, la rue Saint-Jean est bordée par un immeuble de dix étages qui ne dérange personne.

Récemment, le maire s’en est pris aux opposants qu’il a décrits comme des «bourgeois» qui avaient peur de «perdre leur vue sur les Laurentides».

Johanne Brochu est moins cinglante, mais estime que trop de citoyens se mobilisent contre des projets de ce genre sans avoir une vue d’ensemble du secteur où ils vivent et une vision du «bien commun». Il ne faut pas oublier, dit-elle, que le paysage est un milieu de vie où «il y a du monde.» «L’enjeu, c’est de savoir si l’ajout s’intègre à ce qui existe, s’il en permet la réactualisation.»

Mais au-delà du syndrome du «pas dans ma cour» auquel on pourrait vouloir assimiler ce cas, qu’en est-il des paysages et percées visuelles que cet espace libre offre à tous à partir des rues environnantes, par exemple dans la Turnbull?

Cela n’appartient-il pas au «bien commun»? Interrogé sur l’existence de ce genre de critère dans la prise de décisions, François Picard répète que la ville a besoin «d’amener plus d’habitants dans le secteur».

Percées visuelles

Pour Johanne Brochu, le sacrifice de ce point de vue est justifié si d’autres côtes offrent des percées visuelles à proximité. Après tout, lance-t-elle, on n’est tout de même pas dans un quartier historique!

Toutefois, ce type de considération gagnerait à être prise en compte, à son avis. «Ça prend une vue d’ensemble qui permettrait d’établir collectivement où on veut garder des percées visuelles», dit-elle en déplorant que les plans d’urbanisme n’incluent pas de ce genre de questions. «Ce n’est pas une étude qui coûterait des millions à réaliser. On dirait: voici les types de vues qu’on a, on les catégoriserait et ensuite, on identifierait des possibilités d’ajouts de bâtiments.» Bref, en ces matières, on gagerait à avoir une vue d’ensemble au sens propre… comme au sens figuré.

Voir aussi : Architecture urbaine, Québec La cité.

Le carrousel prêt pour la fête du vin ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 novembre 2011 2 commentaires

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 17 novembre 2011

Convaincu par son « pote » Alain Juppé, ministre et maire de Bordeaux, Jean-Marie Malaval, alias M. Caramel, devrait arriver à doter Québec d’un carrousel à temps pour Bordeaux fête le vin à Québec, en septembre 2012.

C’est ce qu’a confirmé M. Caramel au Journal, lorsqu’il a été joint hier, à sa résidence de Bordeaux. « Je dirais que les chances sont très bonnes, soit à 80 % », a-t-il affirmé, réitérant ses propos rapportés par le journal français Sud-Ouest, et dont Le Soleil faisait état mercredi.

M. Caramel s’est trouvé un partenaire québécois pour mener à bien son projet, un ami qui vend ses produits au Marché du Vieux-Port et qui possède une maison à l’île d’Orléans. Il est même rendu à l’étape de régler les détails pour le transport du manège de Bordeaux jusqu’à Québec, dit-il.

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Un carrousel à Québec pour 2012.

Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Un spa en hauteur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 novembre 2011 13 commentaires

Source : Radio-Canada, le 13 novembre 2011

Un hélicoptère a été utilisé dimanche à Québec pour transporter quatre immenses bassins pesant chacun cinq tonnes pour les hisser sur le toit du plus haut immeuble de Ste-Foy.

Les bassins serviront à un nouveau SPA nordique pour une station thermale au complexe Jules-Dallaire, qui sera inaugurée à la mi-décembre.

Il a fallu trois semaines de préparation et un important périmètre de sécurité pour réussir ce transport d’une manière adéquate.

Cela n’a pas empêché les curieux de se rassembler et prendre des photos pour immortaliser cette opération spectaculaire.

l’article

Une expérience unique certes, mais qui coûtera certainement cher…

Édifice Jules Dallaire: 29 et 25 étages.

Merci à M.Jacques Martin pour ces photos uniques…

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Québec La cité.

Retour au bercail ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 novembre 2011 5 commentaires

Alexandra Perron
Le Soleil

(Québec) Revenir ou pas à Québec? Émilie et Marc-Antoine, un couple d’amis, se sont sérieusement posé la question. Elle est originaire de Saint-Jean-Chrysostome, lui, de Neuville. Fin des années 90, ils ont quitté la capitale pour aller étudier à Montréal. Une fois leur diplôme en main, ils ont trouvé du boulot dans la métropole. Sont donc restés à l’autre bout de la 20. Un classique. (…) Leur réflexion remonte à 2009. Aux lendemains du 400e. Dans leur esprit, Québec n’est plus ce qu’elle était quand ils l’ont quittée. Émilie parle d’un nouveau souffle, d’une effervescence. Elle s’enthousiasme du boulevard Charest dans le coin de Beenox, du Festival d’été, du Moulin à images, des Chemins invisibles (wow! sous les bretelles, Québec a été game de faire ça)…

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Voir aussi : Québec La cité.

Toponymie et Histoire: La décision pour Henri IV remise en question

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 novembre 2011 44 commentaires

Annie Mathieu
Le Soleil

(Québec) La Commission de toponymie réexamine sa décision de ne pas rebaptiser l’autoroute Henri-IV qui mène à la base militaire de Valcartier «l’autoroute de la Bravoure» tel que le chef de l’Action démocratique du Québec (ADQ), Gérard Deltell, l’avait proposé en 2009.

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Une révision administrative ? Radio-Canada (Québec)

Des billets précédents

* Mise à jour (27 novembre 2011) La Société historique de Québec s’est officiellement prononcé contre le projet du député Gérard Deltell de changer le nom de l’autoroute Henri IV pour celui de l’autoroute de la Bravoure. Elle a par ailleurs communiqué cet avis à la Commission de toponymie du Québec.

Nous croyons que le rôle du roi Henri IV dans la fondation de Québec est trop important pour qu’il soit oublié. De plus, avec l’adoption de l’Édit de Nantes en 1598, ce roi français mettait fin aux Guerres de religion et devenait ainsi un artisan de la paix. Son nom doit demeurer bien vivant et celui de cette autoroute y contribue à merveille. Notre position n’est pas orientée contre les militaires, bien au contraire. Déjà l’autoroute du Souvenir à l’ouest de Montréal leur est dédiée. De plus, le répertoire toponymique de la Ville de Québec commémore plusieurs militaires et faits d’armes : dans l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge, 17 rues rappellent le souvenir de militaires s’étant illustrés durant les grandes guerres (ex. rues Triquet, du Colonel-Allard); dans l’arrondissement La Cité-Limoilou, ce sont onze rues qui le font (ex. rues de la Marine, du Général-Vanier). À ces rues s’ajoutent des parcs (ex. parc des Braves, parc des champs-de-bataille-nationaux) et de nombreux monuments et plaques commémoratives (ex. monument des héros de la guerre de Boers et plaque de la bataille du 31 juillet). Nous espérons que la Commission de toponymie du Québec rendra une recommandation dans ce sens, une fois pour toutes, et que le gouvernement du Québec y prêtera une oreille attentive.

Voir aussi : Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité.

Du talent à découvrir

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 octobre 2011 3 commentaires

Dans le cadre du Colloque sur l’innovation, un Pecha Kucha s’est tenu. Des projets très créatifs qui ont captivé l’audience jusqu’à la toute fin qui s’est terminée par des applaudissements nourris. A noter que les gens ont eu trois semaines pour préparer le tout. Des talents certains à découvrir.

Voir aussi : Architecture urbaine, Publications & ressources Internet, Québec La cité.

Vaste enquête Internet aux résidents de la grande région de Québec: Des résultats ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 octobre 2011 8 commentaires

Pour faire suite à cette enquête dont Québec Urbain avait fait mention, à plusieurs reprises, les résultats nous sont encore inconnus. Quelqu’un a des nouvelles ? Merci ! :)

Voir aussi : Message d'intérêt public, Publications & ressources Internet, Québec La cité.