Source : Pierre Couture, Le Soleil, le 7 octobre 2010

(Québec) Alors qu’ils lorgnaient des terrains à Lévis, les promoteurs d’un nouveau centre d’exploration des sciences et des technologies songent maintenant à s’implanter du côté de Québec.

«Le choix final de notre site n’est pas encore définitif», a confirmé hier le directeur général de la Boîte à science, Luc Godin.

Jusqu’à tout récemment, le projet de 60 millions $ prévoyait la construction d’un centre d’exploration en science à la tête sud des ponts, au parc des Chutes-de-la-Chaudière, à Lévis.

Or, le terrain offert par la Ville de Lévis comporte des «défis techniques importants», a laissé savoir hier M. Godin. Lesquels? Des problèmes d’odeurs d’égout ainsi que la composition du sol poseraient notamment un problème.

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Enfin une image ! : La Boîte à science a dévoilé les plans de ses installations.

Personnellement je vois ce projet sur les terrains de l’Aquarium, question de consolider les acquis de ce secteur; pour le terrain du zoo le projet présenté par le promoteur de l’hôtel de glace suffit à lui-même et pour le secteur de la marina de Sillery, je me demande si ce secteur serait facilement accessible pour accueillir le flot de visiteurs.

Source : Radio-Canada, le 6 octobre 2010

Des marchands de la Haute-Ville de Québec veulent être inclus dans le projet de la ville de fêter Noël. Québec prépare une grande fête illuminée et animée dans la Basse-Ville et dans le Petit-Champlain pour la période des Fêtes.

Or, des marchands de la Haute-Ville, notamment ceux de la rue Saint-Jean dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, se sentent négligés. « La rue Saint-Jean est quand même la plus vieille artère [commerciale] en Amérique du Nord. Elle est laissée-pour-compte. C’est une rue qui est magnifique et ça fait des années qu’on se bat pour essayer de l’illuminer un peu plus et la mettre en valeur et il n’y a toujours rien qui bouge », soutient la propriétaire du restaurant le Hobbit, Jocelyne Veillette.

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Québec, une capitale de Noël.

Source : Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, le 6 octobre 2010

(Québec) Même si son projet est loin d’être aussi avancé que celui de l’Université du Québec, le Grand Théâtre n’abandonne pas la course et espère toujours que son projet d’agrandissement permettra de réunir le Conservatoire de musique et d’art dramatique. Une étude de faisabilité sera réalisée sous peu, assure son président-directeur général, Marcel Dallaire.

Comme l’Université du Québec dans le quartier Saint-Roch, le Grand Théâtre aimerait accueillir le Conservatoire de musique et d’art dramatique dans ses murs. L’établissement, présentement éclaté dans plusieurs lieux, espère réunir son siège social et ses étudiants sous un même toit, à l’image du regroupement qui s’est fait à Montréal.

Au cours des derniers mois, l’Université du Québec a toutefois pris une longueur d’avance dans ce dossier, ayant complété en juin une étude de faisabilité. Le Grand Théâtre assure que la même démarche sera enclenchée au cours des prochains mois. «Sans envoyer ce projet aux oubliettes, on avait mis la pédale douce à cause du contexte économique. Mais ce projet est toujours sur notre table de travail et on veut bientôt réaliser une étude de faisabilité.»

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Un projet de 60 millions envisagé pour le Conservatoire de musique.

Les gens de Québec ont répondu à l’appel du maire Labeaume pour le rassemblent en faveur du retour d’une concession dans la LNH et par le fait même un nouveau Colisée. Est-ce que la foule estimée à 60000 personnes sera suffisante pour convaincre tous les intervenants dans ce dossier ? Avez-vous marché ou vous vous dites que tout çà est trop « gros » et peine perdue pour une ville du « calibre » de Québec ?

Merci au lecteur de Québec Urbain qui m’a signalé cette vidéo :

Vidéo sur le site Youtube sur le rassemblement de samedi.

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 29 septembre 2010

Le nombre de passagers ayant utilisé les autobus du Réseau de transport de la Capitale (RTC) bondi de plus de six millions depuis la mise en œuvre du Plan de développement des services 2005-2014.

Il s’agit d’une hausse de 4,3 % par année, pour un nombre de passagers qui est passé de 38 à 44,5 millions. Pour le président du RTC, le conseiller Raymond Dion, l’ouverture du centre Métrobus constitue l’un des principaux facteurs de cette augmentation, le tout ayant permis la mise en service des autobus articulés munis de support pour les vélos.

Il cible également l’amélioration des abribus devenus tempérés et plus confortables et l’ajout de lignes Métrobus comme des éléments ayant contribué à cet achalandage plus important.

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Et vous qu’est qui vous a incité à délaisser l’auto pour le transport en commun ou si vous ne l’avez pas déjà fait, que faudrait-il que le RTC fasse pour que vous laissiez vos clefs de voiture à la maison ?

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 28 septembre 2010

Souhaitant concentrer ses efforts sur l’amphithéâtre d’ici la fin de l’année, le maire Labeaume a décidé de reporter au début de 2011 le dévoilement de l’étude sur le train à grande vitesse commandée à la Société nationale des chemins de fer de France (SCNF), a appris Le Journal.

L’étude sur la rentabilité d’un service de train à grande vitesse (TGV) était attendue pour l’automne 2009, mais l’échéancier avait été repoussé en février. Les maires des six villes participantes avaient réclamé plus d’informations à la SNCF suivant la réception d’un rapport préliminaire.

D’autres délais ont ensuite été annoncés et le maire Labeaume a confirmé au Journal, hier, un nouveau report « pour des raisons stratégiques ». Il a expliqué qu’il avait communiqué avec les autres maires qui ont participé à l’étude en se partageant les coûts de 350 000 $, soit Montréal, Laval, Toronto, London et Windsor. Ils ont convenu de dévoiler le tout après les fêtes.

« Ce ne serait pas un bon timing présentement, a soumis M. Labeaume. Nous préférons régler nos priorités d’abord, c’est-à-dire le dossier de l’amphithéâtre. L’étude est terminée, nous l’avons en main, mais nous attendrons après les fêtes. »

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Le TGV, déclencheur de projets de développement.

n.b. : correction apportée sur les crédits

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 28 septembre 2010

À quelques mois de sa retraite, Ross Gaudreault, actuel président et directeur général du Port de Québec, jubilait hier lors de l’annonce d’un projet de 1,9 million de dollars visant à positionner Québec comme port d’attache de nouvelles croisières internationales.

Grâce à cette initiative, on souhaite faire passer le nombre de passagers en embarquement et débarquement à 40 000 d’ici à 2012, comparativement à 12 000 en 2007. Il s’agit en fait d’un projet que caresse M. Gaudreault depuis plusieurs années.

Le maire Labeaume et le ministre Sam Hamad ont d’ailleurs félicité le pdg pour ses réalisations.

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Une augmentation du nombre de croisières donc un franc succès pour l’organisation du Vieux-Port comme en fait foi ce désir de devenir un port d’attache mais pour les habitants de Québec, j’ai l’impression que ce phénomène qui était nouveau il y a quelques années, particulièrement lors des premières escales du Queen Mary 2, passe maintenant inaperçu ou presque. Corrigez-moi si je me trompe ?

Croisières : Québec fait bonne figure.

Source : Pierre-André Normandin, Le Soleil, le 28 septembre 2010

(Québec) Le projet de piste cyclable utilitaire sur le boulevard René-Lévesque coûtera trop cher, perturbera trop la circulation et sera trop difficile à implanter, estime la conseillère indépendante Anne Guérette. L’élue proposera ce soir à la consultation publique sur le plan de mobilité durable de plutôt miser non pas sur une, mais bien deux solutions alternatives. Dont Grande Allée.

D’emblée, la conseillère fait une croix sur la proposition du comité sur la mobilité durable de faire emprunter aux cyclistes le boulevard René-Lévesque, laissant seulement une voie aux automobilistes. «C’est un projet de grande envergure qui va changer complètement l’organisation de la circulation. Honnêtement, je trouve ça trop cher, trop compliqué, alors je l’écarte.»

La solution alternative proposée par le comité d’une piste sur Père-Marquette est toutefois insuffisante, estime l’élue. «Excentré», un tel tracé ne desservirait pas assez bien le secteur. D’où l’idée d’implanter en parallèle une deuxième piste cyclable sur Grande Allée. «On a beaucoup entendu les gens de vélo qui préfèrent René-Lévesque parce que c’est une ligne parfaitement droite. Mais en offrant les deux pistes, on viendrait bien couvrir le plateau entre l’Université Laval et la colline parlementaire», estime-t-elle.

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Une piste cyclable au centre de la chaussée (René-Lévesque).

N’oubliez pas la consultation publique sur le plan de mobilité durable, ce soir à 19h00 au centre de loisirs Montcalm, 265, boulevard René-Lévesque Ouest, dans la grande salle.

Source : Annie St-Pierre, Journal de Québec, le 27 septembre 2010

Le ministre de la Santé Yves Bolduc espère que le nouveau pavillon de médecine Ferdinand-Vandry de l’Université Laval, inauguré au coût de 81 millions$, permettra d’enrayer progressivement la pénurie de personnel dans les soins de santé au Québec.

L’investissement de 81 millions de dollars permet de réunir sous un même toit les départements d’enseignement de médecine, de pharmacie, de soins infirmiers ainsi que les soins de réadaptation.

Il s’agit d’une première au Québec que le ministre de la Santé voudrait imiter dans d’autres campus universitaires. “C’est un concept très intéressant où les trois professions de pharmaciens, médecins et sciences infirmières sont formées ensembles, donc habilitées à travailler ensemble après leur formation”, explique le ministre.

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Le Vandry en chantier.

Un autre projet qui progresse bien. Un secteur qui aura un tout nouveau « visage » dans quelques années avec tous les projets en cours ou terminés.

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