Le projet. Tout est loué ou presque.
Le projet. Tout est loué ou presque.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social.
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Un immeuble endommagé par le feu il y a quelques mois a été démoli dans les derniers jours sur chemin Ste-Foy dans le secteur Duplessis. Il était situé directement en face de la rue Lauzon.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social.
Québec Hebdo
PRÉVISIONS. Après une année plus performante que prévu, la région de Québec doit s’attendre à léger repli des mises en chantier résidentielles pour l’année 2020.
Selon une récente étude sur les perspectives économiques, l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) anticipe 4485 mises en chantier dans la capitale au cours des 12 prochains mois. Il s’agit d’un recul de 5% par rapport à 2019.
La baisse d’activité devrait se manifester dans tous les segments de marché. En effet, on prévoit l’ajout de 665 résidences unifamiliales détachées (-5%), de 420 maisons jumelées ou en rangée (-13%) et de 3400 logements locatifs ou en copropriété (-4%).
Voir aussi : Logement locatif ou social, Publications & ressources Internet, Résidentiel.
Jean-Michel Genois Gagnon
Journal de Québec
Le promoteur Logisco multipliera les investissements dans la grande région de Québec en 2020. La facture de ses projets, dont notamment la construction d’un nouvel hôtel, devrait atteindre 68 millions $.
Parmi ses nombreux chantiers, Logisco injectera ´16 millions $ pour faire sortir de terre un complexe hôtelier de 107 chambres sous la bannière Home2 Suites par Hilton.
L’établissement sera situé sur le boulevard Wilfrid-Hamel, à Sainte-Foy, à proximité de l’aéroport de Québec.
Les travaux pour le nouvel hôtel de six étages, avec des salles de réunion, une piscine et une salle d’entraînement, débuteront à l’été 2020.
L’ouverture est prévue pour septembre 2021. Chaque chambre possédera un espace cuisine, a fait valoir la direction dans un communiqué. Il s’agira du troisième établissement hôtelier du groupe lévisien à voir le jour depuis 2017, après ceux de Saint-Romuald et de Beauport.
En juin dernier, le président de l’entreprise, Michel Parent, affirmait vouloir réaliser au moins deux autres projets d’hôtels dans la région. Jeudi, il n’était pas disponible pour une entrevue.
300 unités locatives
Par ailleurs, Logisco entamera trois nouveaux chantiers résidentiels au cours des prochains mois, soit à Val-Bélair, à Saint-Romuald et à Beauport. Au total, 300 unités locatives seront construites.
À Val-Bélair, le promoteur démarrera en mars la deuxième phase, évaluée à 12 millions $, de son projet baptisé Majella sur le boulevard Pie-XI. Ce sont 73 appartements qui seront érigés. La fin du projet est prévue pour 2021.
À Beauport, sur la rue d’Everell, ce sont deux immeubles comptant au total 160 appartements qui seront construits dans le nouveau secteur Latté. Le premier de ces édifices sera livré en novembre 2020 et le second en mars 2021. L’investissement sera d’environ 26 millions $.
Quant au projet multigénérationnel l’Amalgam, à Saint-Romuald, Logisco construira un deuxième immeuble. Il sera composé de 70 unités, dont certains logements offriront une superficie de deux étages. Les locataires pourront s’y installer dès mars 2021. La facture du chantier devrait atteindre 14 millions $.
Fondé en 1967, Logisco détient aujourd’hui un parc immobilier de 4300 appartements, trois résidences pour aînés et deux hôtels dans la grande région de Québec. L’entreprise sert de gagne-pain à environ 300 travailleurs.
Voir aussi : Commercial, Logement locatif ou social.
Jean-Michel Genois Gagnon
Journal de Québec
L’immobilier résidentiel a fracassé des records en 2019 dans la région de Québec. Les ventes de copropriétés entre autres ont explosé de 23 %. Depuis le tournant des années 2000, année où les données ont commencé à être compilées, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), il ne s’est jamais vendu autant de maisons, de condos ou de multilogements (8307, + 16 %) que l’an dernier.
Ce sont 1883 copropriétés et 5842 résidences (+15 %) qui ont changé de mains en 2019 avec l’aide d’un courtier immobilier dans la RMR de Québec, qui couvre essentiellement le territoire des villes de Québec et de Lévis.
Les délais de vente, en raison de la forte croissance de la demande, ont également chuté de 4 jours (132) pour l’ensemble de l’offre résidentielle.
« C’est un nouveau départ pour la région. Après des années un peu plus calmes, on voit une augmentation importante de la demande », indique Charles Brant, directeur du service de l’analyse du marché à l’APCIQ.
Hausses des transactions
Selon les données présentées hier, ce sont tous les quartiers de Québec qui ont connu une hausse du nombre de transactions immobilières. Les secteurs ayant enregistré les plus fortes croissances sont La Cité – Basse-Ville et Limoilou (24 %) ainsi que Cap-Rouge et Saint-Augustin (33 %).
D’ailleurs, en novembre Le Journal écrivait qu’une transaction record avait été effectuée en Basse-Ville, alors qu’un condominium de 2800 pieds carrés du Vieux-Limoilou avait trouvé preneur pour 800 000 $.
« On voit que le secteur de la copropriété a volé la vedette à l’unifamiliale. Ce n’est pas quelque chose qu’on voit tous les ans. L’unifamiliale reste tout de même encore le type de propriété le plus populaire », dit M. Brant.
Stabilité des prix
Au cours des dernières années, le marché des condos a enregistré plusieurs diminutions du prix de vente après avoir été plombé par une hausse des constructions. Cette tendance semble maintenant chose du passé alors que le prix médian est resté stable (192 000 $).
Voir aussi : Condo, Résidentiel.
Québec Hebdo
Selon la récente Étude sur le prix des maisons de Royal LePage, les valeurs du marché immobilier résidentiel de Québec sont demeurés stables lors du dernier trimestre de l’année 2019. Le prix médian a affiché une légère hausse de 0,2% au 4e trimestre par rapport à la même période en 2018, pour atteindre 299 409$.
En décortiquant par type de propriété, les maisons de plain-pied, le segment s’étant le plus apprécié tout au long de l’année, a enregistré ce trimestre une légère augmentation du prix médian, en hausse de 0,6% d’une année sur l’autre pour atteindre 273 716$. Le segment des maisons à deux étages est lui aussi demeuré stable affichant une très légère hausse de 0,2% du prix médian, pour atteindre 359 786$.
«Le marché a été très actif durant les mois d’octobre et novembre à Québec. Nous attribuons ce regain d’activité lors du 4e trimestre au fait que les prix soient demeurés stables, ce qui a suscité la demande, commente Michèle Fournier, vice-présidente, Royal LePage Inter-Québec. Nous constatons aussi un volume plus important de propriétaires ayant vendu pour emménager en résidence pour personnes âgées. Ces vendeurs sont davantage pressés de notarier pour déménager puisque leur nouveau toit les attend, et ce qui a pour effet d’accélérer les délais de vente sur le marché.»
Le prix des appartements en copropriété a quant à lui reculé légèrement de 0,6% au 4e trimestre 2019 par rapport au même trimestre en 2018, pour atteindre 238 714$. Une baisse qui n’a rien d’alarmant pour Michèle Fournier parce que «les appartements en copropriétés sont actuellement à leur prix plancher. On s’attend à ce que leur prix se stabilise avec des hausses modestes.»
Au chapitre des reventes, les maisons de plain-pied ont observé une hausse de 17,6% ce trimestre comparativement au quatrième trimestre de 2018, alors que les ventes de maisons à deux étages ont crû de 12,1% pendant la même période. Les reventes d’appartements en copropriété ont pour leur part observé une hausse considérable de 36,2% lors du quatrième trimestre de 2019.
Prévisions 2020
Selon la bannière de courtage immobilier Royal Lepage, le marché immobilier de la région de Québec sera grandement influencé par les grands projets de transports comme le tramway et le troisième lien, au cours des prochaines années. Ces infrastructures créeront de la demande pour l’immobilier à Québec et aideront à attirer les familles dans la région.
«Dans le contexte de pénurie de main d’oeuvre, les initiatives de recrutement de travailleurs qualifiés à l’étranger continueront aussi de stimuler l’économie et le marché du travail, mais également d’accroître graduellement les achats immobiliers par des nouveaux arrivants», estime Mme Fournier. Elle appuie ses dires sur les observations d’une étude de Royal LePage sur les nouveaux arrivants publiée en septembre dernier voulant que 28% des nouveaux arrivants à Québec sont actuellement propriétaires de leur résidence.
«Néanmoins, le marché immobilier de Québec devrait se resserrer dans la prochaine année, anticipe Mme Fournier. Nous ne prévoyons pas de hausses de prix fulgurantes, mais nous constatons que le nombre d’inscriptions en vigueur diminue, ce qui devrait faire pression sur les prix. Le marché de la copropriété plus spécifiquement devrait connaître des hausses modestes en 2020.»
Voir aussi : Condo, Résidentiel.
Québec Hebdo
Le taux d’inoccupation des logements locatifs dans la région Québec a reculé de 3,3% en octobre 2018 à 2,4% en octobre 2019. Ainsi, pour une troisième année consécutive, la croissance de la demande locative a été plus grande que celle de l’offre.
Selon la plus récente Enquête sur les logements locatifs de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la vigueur de la demande locative dans la région de Québec s’explique par la conjonction de plusieurs facteurs économiques et démographiques. L’analyste principal Nicolas Bernatchez énumère notamment le dynamisme du marché de l’emploi, l’augmentation du solde migratoire et le vieillissement de la population.
«De fait, précise-t-il, la croissance de l’emploi à temps plein dans la région de Québec depuis trois ans a été favorable à la formation de nouveaux ménages et a stimulé la demande d’habitations dans son ensemble. De plus, la proportion de locataires chez les jeunes ménages a augmenté au cours des dernières années, ce qui a contribué à soutenir la demande de logements locatifs.»
Par ailleurs, le dynamisme économique et le faible taux de chômage à Québec sont favorables à l’attraction et à la rétention de nouveaux résidents. À cet égard, le solde migratoire dans la région a été nettement plus élevé au cours des deux dernières années. Or, les nouveaux arrivants sont généralement locataires d’abord, le temps de s’enraciner dans leur nouveau milieu de vie.
«Enfin, souligne M. Bernatchez, l’accélération du vieillissement de la population semble alimenter la demande locative de façon plus marquée. Avec l’arrivée des bébé-boumeurs à la retraite, un nombre croissant de ménages âgés de 65 ans et plus est susceptible d’opter pour la location d’un appartement. Cela s’explique par différentes raisons, dont se libérer de l’entretien d’une propriété, réduire la superficie habitable, ou obtenir certains services.»
Faits saillants
Le marché locatif s’est resserré dans plusieurs secteurs de l’agglomération de Québec, alors que le taux d’inoccupation est demeuré stable sur la Rive-Sud.
Dans l’ensemble, la proportion de logements vacants demeure relativement plus élevée dans les fourchettes supérieures de loyers.
La variation du loyer moyen entre 2018 et 2019 est estimée à 1,9%, une augmentation un peu plus grande que celle enregistrée au cours des dernières années.
Le taux d’inoccupation des copropriétés offertes en location a aussi diminué, pour s’établir à 1,4% en 2019 (2,5% en 2018).
Le taux d’inoccupation dans la région de Québec (2,4%) s’est rapproché de la moyenne provinciale, estimée à 1,8% en 2019.
Voir aussi : Logement locatif ou social.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.
Louis Gagné
Radio-Canada
Le marché locatif s’est resserré pour une troisième année consécutive en 2019 dans la grande région de Québec, où le taux d’inoccupation global est passé de 3,3 % à 2,4 %. Le prix du loyer moyen a quant à lui augmenté de 1,9 %, une hausse supérieure à la moyenne observée au cours des cinq années précédentes.
Ces faits saillants sont tirés de la plus récente Enquête sur les logements locatifs de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), dont les résultats ont été dévoilés mercredi.
L’étude portait sur le taux d’inoccupation global des logements locatifs dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec. Cette dernière englobe les villes de Québec et de Lévis ainsi que plusieurs municipalités voisines.
La diminution du nombre d’appartements vacants a principalement été observée dans les secteurs de la Basse-Ville et de la Haute-Ville de Québec ainsi que dans ceux de Sainte-Foy et de Sillery.
(…)
À noter que le taux d’inoccupation des copropriétés offertes en location a également baissé, passant de 2,5 % en 2018 à 1,4 % en 2019.
Voir aussi : Logement locatif ou social.