Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Place de l’escarpement, édifice 2: rendu

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 avril 2008 13 commentaires

Place de l’escarpement, édifice 2. Source: Immostar.

On érige présentement, dans ce que certains qualifient de « champ de patates« , la première phase de cette « place » qui abritera le Groupe Promutuel.

L’immeuble voisin, plus modeste, devrait être construit sous peu à en croire le site de la compagnie Immostar d’où est tirée l’image ci-haut.

À consulter, ce billet: LE GROUPE PROMUTUEL EMMÉNAGERA DANS UN BÂTIMENT CERTIFIÉ LEED®.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Commercial, Projet - Immeuble Promutuel.


13 commentaires

  1. Guillaume Langevin

    11 avril 2008 à 18 h 42

    Il y a aussi complexe de la capitale qui annonce un projet depuis 1 an pour terminer sa série d’immeuble sur le Boulevard des Galeries, à côté du FutureShop. De plus, derrière ces édifice, je vois de la machinerie s’affairer, plus exactement derrière le centre financier le Mesnil. Quelqu’un sait-il de quoi il s’agit.

    Le coin semble bouger beaucoup à côté du Sears meuble ya un resto en construction celui du Bâton rouge et à côté du future et du garage à auto y’a un autre projet. En tk si quelqu’un peut donner plus de renseignements sur ce qui se passe dans ce secteur.

    Ca bouge à Québec, Lebourneuf, Ste-Foy, Même le centre-ville avec l’édifice Beenox, bientôt peut être où la bibliothéque Gabrille-Roy et le nouvel immeuble de la Capitale aussi.

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  2. Jeff M

    11 avril 2008 à 18 h 59

    « champ de patate »… bof… Quand on regarde sur une carte, c’est relativement au milieu de l’agglomération, avec une 803 qu’on prévoit passer là dans quelques années. Et il y a déjà une bonne concentration de bureaux et des commerces à quelques coins de rue.

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  3. arr4ws

    11 avril 2008 à 19 h 57

    Je suis décu de voir la parc de l’escarpement se faire entailler de la sorte. Ca donnais une bonne zone tampon entre le quartier résidentiel et l’autoroute.

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  4. Thomas

    11 avril 2008 à 20 h 57

    Techniquement, ce terrain ne fait pas partie du parc de l’escarpement.

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  5. Manu

    11 avril 2008 à 21 h 39

    En fait, c’est embêtant…. d’un côté, il s’agit d’ancien terrains que le MTQ réservait pour l’autoroute Du Vallon et ses bretelles (pour les boulevards Lebourgneuf et des Galeries, ce dernier n’ayant jamais été prolongé). Donc, effectivemetn, le MTQ, qui a toujours laissé libre accès à ses terrains, laissait à tous le loisir d’y voir une extension naturelle du parc (avec une élégante variété d’abres d’ailleurs). D’un autre côté, la « carte interactive » de la ville de Québec nous indique qu’il s’agit du parc de l’escarpement.

    Toutefois, j’ai l’impression que la carte est interactive, mais qu’elle n’est pas à jour. On n’y voir même pas la zone de parc longeant la rivière Duberger vers le nord.

    J’aurais donc plutôt tendance à croire des cartes comme celle qu’on retrouve sur ce site

    http://www.parcsnaturelsquebec.org/spip.php?article4&var_recherche=escarpement

    (note : je viens juste de découvrir ce site, et on agrémente même les cartes des pistes cyclables et des parcours d’autobus. Je n’aurais toutefois pas inscrit les parcours express qui donnent l’impression que les parcs sont bien désservis, puisqu’ils ne permettent que de s’y rendre le soir et d’en partir le matin…)

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  6. Manu

    11 avril 2008 à 21 h 41

    En passant, j’imagine que la construction des édifices sur ce coin est imminente, mais je n’irais pas jusqu’à dire « on érige présentement ». À date, à part des pancartes, il n’y pas grand chose…

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  7. Charles

    12 avril 2008 à 08 h 12

    Dommage qu’on fasse de la déforestation pour ça. Il me semble qu’il ne manque pas d’espace a Québec. Mais que peut-on y faire, on est une ville de chars ou on l’est pas.

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  8. Sébastien Gauthier

    12 avril 2008 à 08 h 32

    @ Charles

    Tu as tout à fait raison Charles, je trouve ça dommage aussi qu’on fasse de la déforestation. J’ai souvent dit que la solution passait par la densification du centre-ville. Par contre beaucoup de gens, écolos pour la plupart (je suis écolo moi-même, quoiqu’un écolo non dogmatique) qui dénoncent l’utilisation à outrance de la voiture, l’étalement urbain, le sacage de l’environnement, le manque de transport en commun etc sont tout à fait contre l’apparition d’édifices à bureaux au centre-ville (densification). C’est ce que j’appelle une contradiction. L’être humain n’est cependant pas à une contradiction près.

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  9. ArtByte

    12 avril 2008 à 12 h 51

    Le boulevard Lebourgneuf se densifie intensément depuis quelques années. Je trouve ça quand même étrange qu’à peine à quelques mètres de là, il y a la zone Métrobec, déjà développée, qui ne semble pas bénéficier de cet engouement pour le coin. Il fil des années, il sera important de bien préserver les zones boisées de ce quartier car elles seront capitales à la qualité de coin et elles se feront plus rares.

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  10. M Lévesque

    12 avril 2008 à 21 h 54

    Je trouve l’architecture très intéressante. Elle s’harmonisera bien avec la première bâtisse. Cependant, je que je trouve le plus intéressant, c’est la Certification LEED que le promoteur veut donner à l’immeuble. Si vous allez voir le document PDF promotionel sur leur site internet, il est fait mention d’une certification LEED OR. Cette certification est très difficile à obtenir et si je ne me trompe pas, ce sera le premier ensemble d’édifice à bureau entièrement neuf à Québec à obtenir une certification « Écolo » !

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  11. Charles

    13 avril 2008 à 13 h 14

    C’est bien beau la certification LEED, mais s’il faut abattre la forêt pour bâtir, je suis pas certain qu’on aille dans la bonne direction. De même, si la bâtisse est LEED et que tous ses utilisateurs doivent faire 22 kms d’autoroute pour s’y rendre, n’est-ce pas alors que de la poudre aux yeux?

    Québec, ville de 454 km2 pour 500,000 habitants, a-t-elle vraiment besoin de s’étendre davantage?

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  12. M Lévesque

    13 avril 2008 à 20 h 12

    Charles,

    Si tu observes bien sur Google Earth, cet emplacement est au coeur de la ville. Je crois que l’idée des autorités de la Ville de Québec de créer différents pôles d’affaire dans la ville est très intéressante si ce n’est que pour alléger les réseaux de transport (Route, circuit d’autobus, etc.) aux différents endroits.

    Pour ce qui est de la forêt, je crois que ce terrain, qui était jusqu’à tout récemment la propriété de la ville de Québec, a toujours été zoné pour des développements de bureau. Je crois que la ville a pris le temps de choisir son dévellopement sur ce terrain. Un bâtiment LEED OR et un mise en valeur du Parc de L’escarpement je trouve le compromis très acceptable.

    Pourquoi la ville n’adopterait pas une politique de bâtiment VERT. Genre un crédit de taxe 5 ans tel qu’à Seattle et à Chicago pour inciter tous les promoteurs de nouveaux bâtiments à Québec à devir LEED.

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  13. Charles

    14 avril 2008 à 08 h 45

    LEED, c’est très bien.

    Bien sûr, Lebourgneuf, sur la carte de l’agglomération, apparaît relativement au centre. Il y a 20 ans encore, il n’y avait rien à cet endroit. Et je crois fermement que sa construction était parfaitement inutile. Mais comme simple citoyen, je n’arriverai pas à renverser la tendance. Pourquoi ne pas utiliser les zones déjà municipalisées? Je pense ici au boulevards Charest est, Sainte-Anne, Laurier, Hamel, Henri-Bourassa etc etc. Québec est une ville beaucoup trop étendue; on ne peut même plus ne serait-ce que réparer les trous dans l’asphalte. Et ça continue.

    D’accord pour les pôles de développement, mais pourquoi ne pas utiliser ceux que l’on connaît déjà; Québec-centre (colline, Saint-Roch), Sainte-Foy (boul Laurier, route de l’église), Charlesbourg, Beauport (d’Estmauville).

    Pour l’habitation, un seul mot; densifier, densifier, densifier.

    Malheureusement, ça semble mal parti. Les comités de citoyens sont de farouches opposants à cette politique pourtant profitable à l’ensemble des citoyens. Nos racines rurales pas si lointaines nous font fuir la ville. Les Québécois sont méfiants envers l’habitat en copropriété, sauf si ce n’est que pour y stationner leurs personnes âgées. L’île de Montréal est lentement mais sûrement désertée par les francophones qui y préfèrent l’habitat semi-rural du 450.

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