Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Cominar se conformera au règlement municipal

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 septembre 2008 32 commentaires

Tout ce tataouinage pour 3 étages!!

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 4 septembre 2008.

Cominar entend se conformer au futur règlement de la Ville de Québec limitant la hauteur des nouveaux immeubles à 17 étages dans l’arrondissement Sainte–Foy-Sillery. (…)

Seul hic au tableau, le règlement de la Ville devra toutefois être amendé puisqu’il sera impossible pour un promoteur immobilier de construire 17 étages sur 55 mètres de hauteur comme le voudra la nouvelle réglementation.

Or, à 55 mètres, Cominar avance qu’elle ne pourra construire que deux tours de 13 étages chacune.

La présidente de l’arrondissement de Sainte-Foy–Sillery, Francine Bouchard, dit maintenant travailler à trouver des solutions. «Nous allons proposer des amendements. Nous avions fait notre travail, mais le conseil exécutif a décidé de tout changer», a-elle fait savoir hier.

Selon cette dernière, pour construire 17 étages, un promoteur aura besoin de 60 mètres, soit 3,5 mètres par étage. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Limite en hauteur des bâtiments: L’opposition approuve conditionnellement.

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.


32 commentaires

  1. Matrix

    4 septembre 2008 à 08 h 59

    Ben en fait, le tataouinage a eu lieu pour 27 étages… ensuite ils se sont fait dire de voir petit, à l’image de la ville ! donc a 20 étages il y avait un consensus… jusqu’à ce que le maire s’en mêle…

    Maintenant on parle d’un projet de 17 étages wowwwww on est chanceux !! et la 2e tour ne sera probablement remise en question.

    !/ »$%?%&?*

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  2. Matrix

    4 septembre 2008 à 09 h 00

    ** ne sera = sera remise en question **

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  3. Marc

    4 septembre 2008 à 09 h 18

    selon l’article si ca reste ainsi ca va tourner autour de 13 ou 14…a cause de la hauteur en metre..J’espere que le maire va mettre un peu d’eau dans son vin..peut importe ca laisse un gout discutable

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  4. Benoît

    4 septembre 2008 à 09 h 52

    Je n’aime pas particulièrement les projets de Cominar, qui sont souvent laids, mais franchement y’a de quoi les écoeurer. J’ai peur que même eux décident de ne plus investir à Québec.

    Mais qu’est-ce qu’on a contre les tours à Québec???

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  5. Fernand Trudel

    4 septembre 2008 à 10 h 01

    Benoit c’est la concentration des édifices à bureau à Ste-Foy qu’il faut ra;lentir à moins qu’on veuille nuire à D’Estimauville et que le centre-ville devienen seulement touristique, ply<us de cité de l’informatique.

    Moi avant la fusion je parlais de la bataille pour déplacer le centre-ville à Ste-Foy quand je voyais se’échiiner L’Allier et Mme Boucher.

    Quant à Cominar, ce sont des québécois pure laine car Jules Dallaire (les supermarché Dallaire), son fils Michel et Yvan Caron sont tous de Québec. C’est eux qui sont propriétaires de Place de la Cité et des tours à bureaux qui s’y trouvent et d’une terntaine d’édifices publics de la région.

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  6. Charles

    4 septembre 2008 à 10 h 16

    Je ne vois pas de problèmes avec la concentration d’édifices à bureaux. Pourquoi les éparpiller? de toutes façons, c’est pas la place qui manque et on est encore à des années-lumières d’une supposée concentration. D’Estimauville est bon pour stocker la neige ou pour mettre un marché aux puces local, point. C’est un non-lieu qu’il serait fou de développer avant une cinquantaine d’années.

    Labeaume en fait peut-être un combat personnel, tout comme sa stupide croisade contre l’inévitable; du transport en commun viable pour Québec. Les habitants de cette ville veulent voir un boul. Laurier ayant l’air en santé (économique). En arrivant à Québec depuis l’extérieur, quelques étages de plus ajoutent un symbole clair aux visiteurs; vous êtes dans une ville, pas une bourgade régionale. Voilà pourquoi on devrait laisser Cominar tranquille. En autant bien sûr qu’il y ait harmonie et esthétique.

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  7. Fernand Trudel

    4 septembre 2008 à 11 h 05

    Merci Charles de déclarer que le RMQ a investi sept millions dans un projet mort-né. Ca doit être de bons administrateurs de fonds publics. Je me demande ce qu’il faudra faire pour que pleuvent les subventions à D’Estimauville comme dans St-Roch ou pour faire des études pour un tramway nommé désir qui seront tablettées. Saviez-vous que la 800 ne se rend même pas au Manoir montmorency. Pourtant c’est le deuxième site le plus visité par les gens…

    À Ste-Foy la convergeance des axes routiers, ferroviaires et aériens permet cette concentration. La dernière acquisition est l’entrepôt de Métro-Richelieu qui a déménagé d’a coté de D’estimauville pour le parc induustriel de St-Augustin car les camions viennent de la 20 et c’est plus près… Quand le centre-ville se déplacera dans l’ouest, St-Roch deviendra comme D’Estimauville, désert…

    Voilà comment ca marche tant et aussi longtemps que l’on ne parlera pas de chemin de ceinture. Toute capitale a un chemin qui entourre complètement la ville, allez à Washington et vous verrez…

    Une compagnie américaine a offert de construire un tunnel sous l’ile d’orléans, opéréer 30 ans à péage et le donner au gouvernement pour 1 $ (projet BOOT) et on est trop niaiseux pour accepter. Pourtant on a fait un tunnel à Grondines pour passer des fils sous le fleuve pour protéger quelques maisons ancestrales. Je pensais que l’Ile d’Orléans, l’ile à Félix, étaitr patrimoniale et pourtasnt des tours électriques la traverse en plein centre. Est-ce que Grondines est plus important que l’est de la Capitale. On préfère dépenser 80 millions de fonds publics à rafistoler le vieux pont. Soyons logique et conséquent si on veut évoluer et non stagner. Pourtant le parc industriel de Beauport en profiterait et D’estimauville serait plus accessible.

    Saviez vous que Frito-Lay situé à Lévis serait intéressé à un lien est? On couperai des kilomètres de transport par camion, assez pour que ces gens parlent de s’engager financièrement dans le projet. J’étais là avec les fonctionnaires de la Ville de Beauport quans le maire Lapierre appuyée par les députés Jean fillion et Jean Garon a fait des rencontres prospectives au Manoir Montmorency. Et vous ???

    Saviez vous que la papetière Daihowa achète son bois sur la cote-du-sud et qu’un lien à l’est sauverait 45km par camion de route à faire car ils sont obligés de passer par les ponts? Ces deux compagnies étaient aussi à cette rencontre du maire de Beaumont…

    Oui, Charles vous pensez pas plus loin que votre nez…

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  8. Denis

    4 septembre 2008 à 11 h 33

    J’adore Fernand, il met beaucoup de valeur ajoutée à ce forum, sans parler de ses idées bien entendu…

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  9. Charles

    4 septembre 2008 à 11 h 54

    @ M. Trudel

    Le RMQ s’est trompé sur d’Estimauville. Ils n’aurait jamais dû investir quoi que ce soit à cet endroit. C’est l’arrière-cour de Québec, la porte arrière et il n’y a rien à faire là autre que de l’étalement urbain et tous les coûts qui s’y rattachent.

    De plus, la population de la Côte-de-Beaupré, de Charlevoix, des Côtes-Nord (haute et basse), du Saguenay et du Lac Saint-Jean réunis ne comptent pour pas plus de 5% de la population du Québec; ces gens arrivent à Québec par Beauport, mais les 95% restants arrivent par Sainte-Foy. Pourquoi leur faire un pont qui traverseraient l’île d’Orléans et déboucherait sur Beaumont? Imaginez un instant; on en a pour 20 ans d’études d’impact. Il y a déjà une route de ceinture à 8 voies qui s’appelle la 138 et l’autoroute de la Capitale.

    Le cas de Saint-Roch est différent. Nous sommes ici au centre-ville de Québec, et c’est un quartier existant. Si vous êtes intelligent, vous réparez votre salon avant de construire une nouvelle aile à votre maison. C’est la même chose pour notre centre-ville.

    Sainte-Foy sera toujours privilégiée en raison de sa situation géographique. À l’entrée des ponts, plus proche des grands axes et des grands centres, lieu d’affaires, de commerces et siège de l’université et des CEGEPS.

    Quant au trajet d’autobus pour les chutes Montmorency, je propose le tram jusqu’au terminus Beauport et un autobus aux quinze minutes jusqu’aux chutes. Je vous promets une augmentation significative de l’achalandage.

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  10. Sebastien Gauthier

    4 septembre 2008 à 12 h 35

    Pauvre Cominar. Leur projet initial a ete ampute de 37% (10 etages sur 27). Et ca pourrait meme descendre a 14 etages selon les interpretations du nouveau reglement eclair de Labeaume. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que la deuxieme tour ne verra pas le jour. En construisant en hauteur, vous beneficiez d’economies d’echelles. Des tourettes de 7 ou 10 etages, c’est pas rentable surtout que le prix du terrain n’est pas moins cher que vous construiser 75 ou 5 etages. Bref, on empeche les promotuers de maximiser le rendements sur leurs investissements. Pas surpreneant de voir des investisseurs de Quebec investir dans le projet Griffintown a Montreal. La ville de Montreal n’est pas de tout repos pour les promoteurs mais Quebec merite le titre de cimetiere des promoteurs.

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  11. Francois

    4 septembre 2008 à 12 h 49

    Je me souviens qu’à une certaine époque pas trop lointaine, plusieurs personnes à Québec avaient dénoncé l’ancien maire de Québec et son parti pour avoir dépensé des millions dans le futur parc Saint-Roch… Le temps a fait son oeuvre et lui a donné raison : ce fut l’élément déclencheur de la revitalisation de Saint-Roch. Et pour ceux qui y voient son prochain déclin et sa désertification, comme notre bon ami Fernand, toujours aussi négatif, cela démontre une totale incompréhension de la dynamique urbaine ; on ne peut prétendre au déplacement des activités qui s’y trouvent (informatique, de pointe, multimédia, etc.) vers un pôle comme Sainte-Foy, alors que par leur nature, elles cherchent la proximité la dynamique urbaine comme l’offre Saint-Roch. C’est le transport en commun, les cafés et restaurants branchés, etc.

    Quand au secteur Estimauville, faisons l’hypothèse du fantasme qu’entretiennent notre ami Fernand et quelques illuminés à propos du lien sous fluvial, un dossier qui revient périodiquement comme le retour d’IKEA à Québec. Bon, on annonce sa construction. Les quelques millions dépensés dans ce secteur que notre ami Fernand a toujours comme fixation comme la fluoration de l’eau potable, auront été un très bon investissement compte tenu de l’augmentation des coûts actuels et futurs de démolition et de construction. Dès aujourd’hui, il faudrait viabiliser ces terrains, pas comme le souhaiterait le député de l’action démocratique du secteur, y localiser les fonctionnaires fédéraux, mais un peu comme le maire et d’autres le désirent, en créant une cité neurosciences. Un truc du genre, qui aura suffisamment d’espace pour se développer.

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  12. Francois

    4 septembre 2008 à 12 h 56

    Québec, cimetière des promoteurs ? un peu de sérieux et de retenue s’il vous plaît. C’est qu’il y a une marge entre être l’objet du désir des promoteurs et mettre en place une réglementation qui tue tout projet. Si cette dernière était trop sévère, les édifices à Québec ne pousseraient pas comme actuellement.

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  13. Matrix

    4 septembre 2008 à 14 h 51

    Francois, j’aimerais que tu me nommes les édifice à bureau en construction au centre-ville de Québec !

    Je crois que plusieurs d’entre-vous devraient aller visiter des villes de tailles similaires pour voir à quel point c’est anémique ici.

    Et on vient bloquer le développement du boulevard Laurier, porte d’entré de la ville

    Bravo !!

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  14. François

    4 septembre 2008 à 17 h 48

    Il ne faut pas confiner la construction uniquement à celle des bureaux ; depuis quelques années, de nombreux édifices dans le centre-ville ont été rénovés ou restaurés : sur la rue Saint-Joseph, sur le boulevard Charest — je pense notamment à l’édifice Lafayette –, comme le boulevard Laurier qui n’est pas en reste. Et ce n’est certainement pas parce que le règlement proscrit les constructions au-delà des 17 étages qu’il faut conclure à la fin du développement du boulevard laurier. Au contraire, peut-être que les promoteurs et leurs architectes se creuseront un peu plus les méninges pour accoucher de projets beaucoup plus audacieux que présentement. De la contrainte nait l’innovation. À en lire plusieurs ici, l’obsession des hauteurs est presque phallique.

    Et merci Matrix, j’ai assez voyagé et vu des villes comparables à Québec, lu et étudié dans mes formations en géographie et urbanisme, que le développement ne se limite pas à une vision simpliste des hauteurs comme on essaie de nous le faire croire.

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  15. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    4 septembre 2008 à 18 h 13

    « Et merci Matrix, j’ai assez voyagé et vu des villes comparables à Québec, lu et étudié dans mes formations en géographie et urbanisme (…) »

    On a des points en commun! ;-)

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  16. Mike

    4 septembre 2008 à 18 h 47

    Après ceci les gens de Québec se demande encore pourquoi Montréal méprise tant leur petit ville de campagne. Halifax, Saskatoon, Hamilton et Winnipeg ont des projets plus ambitieux que Québec, ce n`est pas peu dire.

    Québec est sans l`ombre d`un doute une ville qui se retrouve à l`antithèse et aux antipodes de l`urbanité.

    Autoroutes, basse densité, « sprawl » à outrance…

    En passant, je en suis pas de Montréal mais ça ne m`empêche pas de penser que votre « ghetto » provincial est totalement en manque d`inspiration.

    Québec : Vision à louer.

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  17. Sébastien Gauthier

    4 septembre 2008 à 18 h 53

    « Et merci Matrix, j’ai assez voyagé et vu des villes comparables à Québec, lu et étudié dans mes formations en géographie et urbanisme, que le développement ne se limite pas à une vision simpliste des hauteurs comme on essaie de nous le faire croire. »

    Alors François, tu va devoir m’expliquer une chose. La logique implacable veux que si l’on construit huit édifices de cinq étages au lieu d’un seul de 40 étages, on utilise nécessairement huit fois plus d’espace au sol. Donc, un tel modèle ne peut qu’à long terme favoriser l’étalement urbain. Le principe de la densification urbaine repose en grande partie sur l’autorisation des constructions en hauteur. Quand on parle de construction de 27 étages comme Cominar voulait bâtir à l’origine, je ne pense pas que l’on puisse parler d’obsession phallique pour reprendre votre expression. Des tours de 20-40 étages, c’est standard et on en retrouve dans toutes les villes de taille similaire à Québec. Je pense qu’on est tous d’accord pour dire que l’étalement urbain a pris des proportions exagérées à Québec compte tenu du faible bassin de population. Le modèle de développement urbain de la ville est nécessairement en cause.

    Vous dites que de la contrainte nait l’imagination. Je veux bien croire mais lorsque l’on vous passe les menottes, il devient assez difficile de vous servir de vos mains qu’importe votre niveau de créativité. C’est ce qu’on vient de faire avec les promoteurs. Le fait est que plus vous pouvez disposer d’une grande superficie locative en pieds carrés par dollar investi sur votre terrain, alors plus votre investissement sera rentable. Il est évident qu’un édifice de 27 étages entièrement loué aurait été plus rentable pour Cominar qu’un édifice de 17 étages. Vous avex raison lorsque vous dites que le développement ne se limite pas à des édifices en hauteur. Par contre, j’aimerais bien que vous m’expliquiez comment on peu densifier une ville en banissant les constructions en hauteur tout en évitant l’étalement urbain. Et svp donnez moi des exemples de villes de taille similaires qui font comme Québec car je n’en connais aucune.

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  18. Sébastien Gauthier

    4 septembre 2008 à 19 h 06

    @ Mike

    L’emploi du terme mépriser est un peu fort. J’opterais plutôt pour le terme ridiculiser. C’est vrai que quand on regarde ce qui se passe à Québec, ça fait pas mal ti-coune.

    Ce qui me dépasse, c’est le nombrilisme de certains habitants de Québec qui s’imaginent que leur ville c’est le klondike simplement parce qu’il ont un arrondissement classé par l’Unesco.

    Ces gens ne sont même pas capable de se rendre compte comment leur ville sombre dans l’impertinence. Le pire c’est que Québec est en train de devenir un gros Trois-Rivières sans plus. Un lieu de villegiature et centre d’interprétation historique, c’est ça la vision des décideurs de Québec. C’est un peu ce que le Vieux-Québec est devenu, une espèce de Disney Land à ciel ouvert. Dire que Labeaume avait eu l’audace de dire que le Château Frontenac ne ferait pas vivre la ville un autre cinquante ans.

    C’est triste a dire mais à force d’echapper le ballon, Québec deviens de plus en plus qu’une simple ville de province. Gatineau est selon moi devenue la deuxieme ville en importance au Québec apres Montréal. Logiquement ce devrait etre Québec mais ce n’est pas le cas. Officiellement, le gouvernement siège toujours à Québec mais dans les faits, la vraie capitale c’est Montréal. C’est la que toutes les décisions importantes se prennent. Le premier ministre et le chef de l’opposition y ont leur bureau. Le gouvernement du Québec est le plus important employeur a Montréal. Quand des dirigeants d’entreprises étrangères viennent rencontrer des ministres, c’est toujours à Montréal que ca se fait peu importe la couleur du gouvernement.

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  19. François

    4 septembre 2008 à 19 h 39

    Les menottes, comme Sébastien l’écrit, c’est nul autre qu’une réglementation comme le prescrit le zonage, les normes architecturales, les densités, etc. Or, il existe en urbanisme des mécanismes de dérogation. 17 étages, et pourquoi pas 20 ? On pourrait discuter de la norme, mais il se trouvera toujours quelqu’un pour questionner le bien-fondé du nombre d’étages. Quant à la ville, question d’image comme de performance, limiter comme elle le fait est plus sage que de se ramasser avec des édifices dont le taux de vacance pourrait devenir élevé, en prévision d’une situation économique moins favorable. Il faut se prémunir contre les friches urbaines, les espaces déserts qui envoient un mauvais message. Et si on se limite uniquement au secteur commercial, les promoteurs se réjouiront qu’on calme leurs ardeurs : la rareté fera augmenter les prix.

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  20. Sébastien Gauthier

    4 septembre 2008 à 20 h 04

    @ François

    C’est vrai ce que tu dis à propos des mécanismes de dérogations. Cependant c’est un processus qui est nettement arbitraire surtout avec un type comme Labeaume à la mairie qui semble agir d’avantage sur l’impulsion du moment que sur une vision à long terme bien établie. Et le processus de dérogation c’est inutilement long. On serait beaucoup mieux avisé de définir une zone pouvant acceuillir des édifices à bureaux en hauteur que d’avoir continuellement recours à la dérogation ou consultation publique pour chaque projet. Évidemment, les projets proposés devraient rencontrés certains critères d’urbanisme comme dans n’importe quelle autre ville.

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  21. Matrix

    4 septembre 2008 à 20 h 52

    Francois tu dis : « Si cette dernière était trop sévère, les édifices à Québec ne pousseraient pas comme actuellement. »

    Je t’ai répondu : « Francois, j’aimerais que tu me nommes les édifice à bureau en construction au centre-ville de Québec ! »

    et j’attends toujours la réponse !

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  22. Sébastien Gauthier

    4 septembre 2008 à 21 h 12

    Oui moi aussi j’attends la réponse à mes questions. J’ai remarqué qu’à chaque fois que je mettais au défi certaines personnes sur QU de me donner des exemples de villes de taille semblable à Qébec qui ont adopté un modèle de développement urbain similaire, je n’ai jamais eu de réponse. Un peu curieux n’est-ce pas ?

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  23. François

    4 septembre 2008 à 23 h 06

    La loi sur l’aménagement et l’urbanisme du Québec prévoit des dispositions sur la hauteur des bâtiments. Sauf erreur, la ville de Québec suit sa propre charte et a tout le loisir de réglementer en ce sens. Cela vaut aussi pour les densités au sol. Mais pourquoi voulez-vous des exemples d’autres villes qui font de même en matière de réglementation ? Je me fous éperdument que cela se fasse ou non ailleurs, même si je sais que c’est répandu. Et en quoi pousser toujours un peu plus haut va résoudre le problème d’étalement urbain ? Si vous désirez vous pencher plus sérieusement sur cette question, regardez d’abord du côté routier. C’est peut-être là vous trouverez la réponse du manque de construction dans le centre-ville au profit de la banlieue, plutôt qu’en raison de la réglementation. Et l’Amérique du Nord n’est-elle pas le royaume des gratte-ciel ? Pourtant, les grandes villes nord-américaines sont aussi le royaume de l’étalement urbain.

    Les élus sont bien libres de réglementer les hauteurs comme les densités et en ce sens, je suis d’accord, même si je diverge avec eux quant à la hauteur dans le centre-ville, précisément Saint-Roch. Là, je pousserais un peu plus haut tout en étant très pointilleux sur la qualité comme l’innovation en termes de forme comme de matériaux.

    Vous semblez accorder plus d’importance à la hauteur qu’à la qualité même des bâtiments. Moi, ce qui m’importe, ce n’est pas la logique classique du promoteur où seule la qualité mercantile prime. On ne peut le blâmer, mais il serait peut-être temps qu’on ait des promoteurs qui favorisent un peu plus la qualité architecturale et l’audace. Par contre, il faudrait quelques personnes allumées au conseil municipal, dont à la mairie.

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  24. AlainQc

    4 septembre 2008 à 23 h 24

    @ Fernand Trudel
    Voici maintenant qu’une nouvelle bataille insipide voit le jour, une chicane de clochers comme les autres, dénigrer Ste-Foy pour mieux développer d’Estimauville. Bon, et quoi encore ?

    Que diriez-vous si un non-natif de Québec, par exemple un Beauceron, décidait de développer votre secteur préféré (D’Estimauville) en y érigeant une tour de 25 étages ? Seriez-vous contre ? Non, sûrement pas, mais à Ste-Foy oui.

    Pourvu que soit préservé le caractère patrimonial du Vieux-Québec, c’est ça l’important. Il y a déjà suffisamment de tours laides dans ce secteur ? Pour les autres secteurs de la ville, allez-y avec 25, 30 ou 40 étages, on s’en fout pourvu que la ville se développe dans sa globalité. Vraiment Fernand, vous êtes l’incarnation vivante du villageois frustré et rancunier. Vous contribuez à perpétuer l’image de « gros village » qui colle à Québec comme la « misère sur le pauvre monde ». Ouvrez-vous un tant soit peu et vous ne vous en porterez que mieux.

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  25. Matrix

    5 septembre 2008 à 08 h 38

    Il faut oublier ca Sébastien !! On aura jamais de réponse à nos questions… ca préfère pelleter des nuages et beaucoup de bla-bla mais quand on arrive dans le concret on frappe le mur !! ;)

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  26. François

    5 septembre 2008 à 09 h 01

    Matrix disait plus haut qu’on venait de bloquer le développement du boulevard Laurier. Limiter les hauteurs, on peut toujours discuter du nombre d’étages comme des mètres, est tout à fait légitime. Libre à toi de voir qu’on bloque le développement, moi j’y vois une façon de le baliser. Et quand même bien je me lancerais dans la recherche de villes qui ont décidé de réglementer les hauteurs comme les densités, ça ne changerait rien à mon propos. Cela existe, tant au niveau commercial que résidentiel.

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  27. Rémi

    5 septembre 2008 à 15 h 22

    Je ne comprends pas la grogne, la panique par rapport à ce règlement là. Ca n’empêchera pas Québec de grossir. C’est vraiment une fixation pour certaines personnes de vouloir absolument des gros édifices sur un territoire clairsemé.

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  28. Jeff

    5 septembre 2008 à 17 h 07

    C don ben de la merde ca.Pourquoi comminar n’aurais pas le droit de construire 17 étages??La ville aurais du les avertir un peu plus a l’avance.De plus pourquoi toute éparpiller les immeubles, ca servirais a rien!!regardez dans les grandes villes nord americaine , les building y sont toute regroupé dans un seul coin de la ville.Pourquoi pas faire de meme et faire de st-foy une ville de bureau !!

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  29. regis

    16 septembre 2008 à 01 h 10

    si on veut faire de quebec (saint rock) d un vrai centre-ville du 21 ieme siecle il faudrait raser tout ce qui est compris dans le quadrilatere suivant la rue caron a la rue du parvis et de la rue du roy a la station ultramar pour agrandir le centre-ville pour faire entre autre des bureaux des logements neuf etc je ne sauverais que les edifices de plus de 6 etages.Dans le nouveau quartier que cela procurrait pres 3 000 000 de pieds carré de bureaux et 500 000 pieds carré d espace commerciale et pres de 850 logements et cela marquerait le ton d un renouveau complet de la ville avec des limations de hauteurs variant de 55 metres a 100 metres .De plus la centrale de police de quebec serait remplacée par un amphitheatre de 19500 sieges . Je sais qu il y en a qui vont trouver que cela est ambitieux mais pour l avenir du centre ville de quebec cela serait necessaire car dans l état actuel des choses il manquera de l espace pour faire du vraie developpement et pourquoi ne pas invité la firme torontois Brookfield immobilier a venir dans la ville pour voir ce qui pourrait faire

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  30. regis

    16 septembre 2008 à 01 h 22

    si en a que brookfield Immobilier ca ne leur dit rien c est le numero un mondial dans l dans le domaine de l immobilier .De plus si cette compagnie etait comparée a cominar la premiere avalerait l autre au petit déjeuner

    cominar valeur 1 700 000 000 can
    brokfield immobilier 72 000 000 000 us

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  31. Marc

    22 octobre 2008 à 15 h 05

    Je suis d’avis que la réglementation de 17 étages est mauvaise pour le développement de la ville, et je suis également d’avis que Saint-Roch doit monter en hauteur.

    Québec n’a pas de centre-ville, il y en a un officiellement, mais la moitié des gens ne savent même pas que c’est Saint-roch, et le cartier est plutôt mort… Nous devons augmenter la densité du centre-ville et développer ce secteur en hauteur (puisque le contraire ne ferait que favoriser l’étalement urbain déjà trop présent dans notre gros village).

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  32. christian

    29 octobre 2008 à 11 h 22

    pour ma part j’aurai aimé voir une tour de 20 étages , toujours des maudits règlements qui rapetisse tout! on a encore un esprit de village mettez vos culotte monsieur LABAUME !!! je m’ennuie de madame boucher …

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