Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’heure de gloire de la «classe créative»

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 février 2009 1 commentaire

Les membres de la classe créative, tels les artistes, les techies, les ingénieurs, les professeurs et les scientifiques, représentent grosso modo 30 % de la main-d'oeuvre, mais récoltent 50 % des salaires. Sur la photo, un concept présenté lors du sommet Québec horizon culture en vue du concours de design urbain. Illustration Ville de Québec

« (…) Dans ses écrits et dans son activité de conseil, Florida conseille aux villes d’Amérique du Nord de chercher d’abord à retenir les talents, plutôt que de construire des infrastructures coûteuses et des centres commerciaux. (…) »

Source: Marc Allard, Le Soleil, 22 février 2009.

Le maire Labeaume a exprimé sa vision de l’avenir cette semaine au sommet Québec horizon culture. Celle d’une ville qui mise sur les artistes et les travailleurs de la haute technologie pour prospérer et changer son image de Vieille Capitale. Depuis des années, c’est exactement ce que prophétise Richard Florida, actuellement un des plus influents gourous de l’urbanisme. Selon lui, l’avenir appartient aux villes qui abritent une forte concentration de la «classe créative». Celle-ci comprend, entre autres, des artistes et des techies, mais aussi des ingénieurs, des professeurs, des scientifiques, tous ceux dont le métier consiste à créer de nouvelles idées ou de nouveaux produits. Le Soleil s’est entretenu avec Kevin Stolarick, directeur de recherche à l’Institut Martin Prosperity, de l’Université de Toronto, et statisticien derrière les best-sellers de M. Florida sur la classe créative. (…)

La suite. Aussi, entre autres billets: Québec horizon culture: un marathon de 53,2 millions $.

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité - St-Roch, Art urbain, Fêtes populaires et événements publics, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.


Un commentaire

  1. dave deux

    24 février 2009 à 06 h 51

    Si l’ensemble des villes Nord-Américaines adoptent cette
    philosophie, la concurrence va être forte pour Québec…financière-
    ment parlant.

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