Source : Johanne Roy, Le Journal de Québec, 7 juillet 2010
Presque toute la basse-ville de Québec et une partie de la haute-ville renferment des îlots de chaleur qui deviennent de vraies fournaises en période de canicule. (…) Les îlots de chaleur sont plus présents, entre autres, dans Saint-Roch, Saint-Sauveur, Limoilou et Duberger-Les Saules. « La situation est plus problématique dans la vallée de la rivière Saint-Charles que sur le cap Diamant, car il y a moins de circulation d’air, moins de vents », précise le directeur régional de la santé publique de Québec, le Dr François Desbiens.
7 juillet 2010 à 22 h 21
Construisons en hauteur, ça créé des corridors d’air!
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7 juillet 2010 à 22 h 56
ET… Vous oubliez juste une chose ces tours deviennent, des tours calorifère.
Dur à refroidir en été et dur à chauffer en hiver !!!
A moins, d’utiliser tous les nouvelle technologie avangardiste de pointe et encore.
Le coût de contruction est prohibitif.
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8 juillet 2010 à 08 h 15
L’obsession des technologies avant-gardistes. C’est pas si difficile de diminuer la facture de chauffage et de climatisation. Cela prend un peu de planification au départ. Mais, souvent les architectes travaillent en vase clos sans parler aux ingénieurs en bâtiment.
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8 juillet 2010 à 10 h 30
Langis, je ne comprend pas votre raisonnement : je suis parti d’un bungalow pour aller vivre dans une tour à condo et ma facture d’électricité à coupé de moitié.
Cela s’expllique probablement par le fait qu:il n’y a qu’un mur exposé et que les planchers et plafonds donnent sur d’autres logements.
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7 juillet 2010 à 22 h 25
Sur les Plaines d’Abraham, brise du fleuve. Je le sais. J’y vais tous les jours ! Quel parc extraordinaire.
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7 juillet 2010 à 23 h 04
VIVA LA TERRA,
LA VERDURAS,
LES ARBRES,
LES PETITS OISEAUX,
LE VENT DANS LES CHEVEUX,
LES PIEDS NUS DANS LA FONTAINE,
ET VOIR PASSER LES FILLES PRESQUE….
VIVE LA CANICULE !!!!
P.S. Je n’aurais pas cela du haut de ma tour Mathieu….
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7 juillet 2010 à 23 h 09
EH ! OUI !!!
J’AIME QUÉBEC URBAIN
mais encore plus MA VILLE
car je l’ai choisi parmis tant d’autre
et elle est au coeur de mes pensés.
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7 juillet 2010 à 23 h 20
IL n’est pas unique dans la CITÉ
mais celui-là, est dans le coeur des QUÉBECOIS.
Là ou fût le désespoir de nos ancêtres et
celui de nos espoirs futurs;
D’une bonne brise venant du large
pour nous rafraîchir pendant une canicule.
Tout en se disant, demain je reviendrai !!!
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8 juillet 2010 à 08 h 00
La façon la plus simple de régler le problème des ilots de chaleur, c’est de peinturer les toitures en blanc. Cela coûte presque rien et c’est très efficace.
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8 juillet 2010 à 09 h 28
Vous me faites réaliser quelque chose… d’ici quelques années je devrait refaire ma toiture qui est actuellement grise et je songeais à la faire peut-être en noir. Votre argument me fait réfléchir… quoi que j’y gagnerais peut-être à l’inverse l’hiver…
Actuellement je suis heureux de la chaleur. Je me suis aménagé une chambre temporaire au sous-sol où il fait quelques degrés de moins et c’est très confortable. Je me suis même permis une sortie à la piscine publique en revenant du travail hier soir. Une première pour moi un jour de semaine. Le tout agrémenté d’un arrêt au casse-croute au retour. Une belle occasion finalement de changer la monotonie du quotidien.
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8 juillet 2010 à 09 h 35
Il y a des matériaux qui changent de couleurs en fonction de la température qui pourraient permettent d’optimiser la couleur du toit.
De toute manière, la toiture est un très mauvais capteur solaire en hiver. D’une part, il y a peu de Soleil, d’autre part les toits sont conçus pour évacuer la chaleur.
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8 juillet 2010 à 11 h 41
Je sais qu’il y a un arrondissement à Montréal qui commence à obliger les nouvelles constructions à avoir un toit pâle dans certains secteurs (quartiers denses avec peu de verdure) afin de justement contrer les ilôts de chaleur. Ca peut être aussi simple que de peinturer le toit ou d’y mettre de la gravelle blanche.
Et en ce qui a trait à l’hiver, il devrait y avoir de la neige sur le toit donc la couleur n’a plus d’importance.
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8 juillet 2010 à 13 h 51
@PhilT C’est probablement à ces articles que tu fais allusions:
http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/176947/montreal-les-ilots-de-chaleur-se-multiplient
http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/288172/en-bref-quebec-lutte-contre-les-ilots-de-chaleur
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8 juillet 2010 à 10 h 06
Une autre façon c’est de verdir ces endroits fournaise…
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8 juillet 2010 à 08 h 12
La principale cause de du réchauffement anthropique est l’urbanisation serrée et les villes entassées créent des îlots de chaleur. Ce problème n’est pas reconnu par le GIEC, la bible des écolos adeptes de la religion kyotiste.
Le principal effet de serre de cette concentration bitumineuse est sûrement les tours d’eau montées sur les toits des édifices pour permettre de climatiser ces immeubles. Ces tours d’eau créent une humidité qui emprisonne la chaleur de la réflection du soleil sur le bitume.
La lutte au CO2 est une lubie onusienne pour mettre en place un gouvernement mondial dont les rênes seraient tirées par l’ONU et ses amis.
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8 juillet 2010 à 23 h 58
Bon, bon, bon, on nous ressort la théorie du complot LOL
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10 juillet 2010 à 18 h 38
Je pense que tu n’a pas compris que c’était une joke ;-)
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8 juillet 2010 à 09 h 32
Je suis surpris qu’ils nomment Duberger/Les Saules comme un de ces secteurs alors que la quantité de verdure (principal amortisseur de chaleur) y est très abondante et le style d’habitations (bungalows en majorité) sont trés différents des autres quartiers mentionnés où le béton est omniprésent.
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9 juillet 2010 à 16 h 00
Les bulles de chaleurs ont aussi à voir avec la circulation d’air. Si l’air fait du surplace et n’a pas tendance à bien circuler, la température peut grimper assez vite. Je crois que c’est surtout ça le problème dans ce coin.
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