Je ne sais pas exactement en l’honneur de quel groupe cette sculpture a été installée. Mais disons quelle se retrouve en un endroit assez inusité à proximité d’une résidence privée. Mais elle est quand même très belle et ajoute au cachet de ce secteur.

Ceci est l’école des Beaux-Arts (ci-haut), qui était située sur la rue Saint-Joachim juste en face de chez moi. Elle a été démolie pour ériger l’autoroute Dufferin/Montmorency. Lorsqu’il y avait eu la vague d’incendies criminelles qui avaient complètement décimé le quartier en entier, soit plusieurs centaines de maisons, j’avais découvert l’incendie de l’école en regardant par la fenêtre du bas, à gauche de l’escalier. C’est maintenant Place Québec qui est à cet endroit. L’auto stationnée était celle de mon père. La photo date de décembre 1954.

Toujours pour faire place à l’autoroute Dufferin/Montmorency, ils ont dû démolir également cette rue qui était Place Mère-Mallet et qui est devenue la bretelle d’accès à l’autoroute Dufferin en partant du boulevard des Capucins. Cette maison (ci-bas) date de 1760 et elle appartenait à la famille Baillargeon-Côté. Cette petite rue avait des maisons qui dataient d’avant la conquête de 1759… Celle au toit rouge avait été construite vers 1730. Elle était la maison de mon amie d’enfance; j’ai souvent couché là étant enfant. – L.L.

Merci à Lisette Lambert pour ces autres photos d’époque! À consulter aussi, ce billet: Voyage dans le temps: Place Jacques-Cartier et avenue de la Couronne (1976).

Note: la photo ci-haut n’est pas celle qui illustre l’article ci-bas.

Source: Radio-Canada (Québec), 2 novembre 2007.

Plusieurs commerçants attendent avec impatience la fin du chantier de la rue Cartier. La circulation est perturbée depuis maintenant trois mois dans le secteur, ce qui nuit aux affaires, soulignent plusieurs. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Travaux majeurs sur l’avenue Cartier.

« Il était 7h00 du matin, le vent était doux et venait de l’est. Nous sommes partis de Sainte-Pétronille à l’île d’Orléans et avons traversé la ville dans le sens du boulevard de la Capitale pour atterrir à l’aéroport de Québec.

Quelle merveilleuse aventure! À 3000 pieds, Québec était tout simplement impressionnante à voir… » – P. B.

Merci à Pierre Bédard pour nous avoir proposé de magnifiques images « aériennes » de Québec!  À consulter aussi, le site de Québec Montgolfière ainsi que le billet suivant: Une vue de Québec du haut de l’édifice Price .

Dans l’ordre: le cimetière Saint Mathiew (quartier Saint-Jean-Baptiste), une vue rapprochée sur l’hôtel Le Concorde à partir du Parlement, les remparts à l’entrée des Plaines, la gare du Palais et enfin, tout en bas, cette contribution de Denis Larouche, toujours dans le secteur de la gare du Palais!

À consulter aussi, ce reportage photo: Scènes urbaines: l’automne coloré à Québec, édition 2007 (5).

Samedi matin tristounet sur Québec. Plusieurs ont certainement dû remettre le ramassage des feuilles à plus tard. Les nostalgiques qui ont osé se promener près du fleuve ont fort probablement imaginé entendre les cornes de brume résonnées dans le lointain…

Excellent commentaire de M. Desjardins! Au risque de me faire tirer quelques tomates, j’adore le programme de Pierre Bernier, et ne comptez pas sur moi aussi, humble collaborateur de Québec Urbain, pour rire de lui! ;-)

On a décidément besoin de quelques politiciens idéalistes dans cette mer de « girouettes à la langue de bois » qui ont la cote, hélas, depuis quelques années dans nos sociétés dites évoluées…

À noter que la photo ci-haut n’illustrait pas cet article.

Source: David Desjardins, Voir Québec, 25 octobre 2007.

Pierre Bernier ressemble à son atelier-musée du vélo de la rue Saint- Jean. Bric-à-brac, broche à balle, hirsute: on est loin des boutiques branchous et des fluos dopés au carbone qui les fréquentent.

Contrairement à la vaste majorité des gens de sa génération, ce fou de la pédale qui sillonne les rues juché sur sa bécane antédiluvienne n’a pas renoncé aux idéaux d’égalité, de démocratie, de partage équitable du fric et des lieux publics (il parlera surtout de nos routes, de la dictature automobile). Plus le « gros bon sens » nous éloigne de ces idéaux, plus il voit sa génération confondre société de loisirs et consumérisme individualiste, plus il grimpe sur les pédales, en danseuse, cherchant à rattraper le peloton pour lui crier: heye les boys, vous avez pris le mauvais embranchement au dernier carrefour!

En ce qui concerne la course à la mairie dans laquelle il s’embarque officiellement cette semaine, Pierre en a contre l’arrivisme des autres candidats qui promettent systématiquement un régime minceur pour l’appareil municipal. (…)

Sa cause? C’est surtout celle du vélo, malmenée par la dictature des voitures, ridiculisée par les politiciens (souvenez-vous les douches de Mme Boucher). Mais c’est aussi l’étalement urbain, la déshumanisation du travail des cols bleus coupés du monde à bord de leurs balayeuses et déneigeuses mécanisées, la disneyification du Vieux-Québec (à propos de l’îlot des Palais contre lequel il s’insurge, il dira: est-ce que les Égyptiens reconstruisent les pyramides?), ou l’obsession du retour de la LNH. En bon écolo, il est évidemment contre le Red Bull Air Race.

Comme je vous le disais d’entrée de jeu, Bernier est hors du temps, en marge du progrès pour le progrès, de la société du divertissement qui fait diversion.

Il s’en trouvera pour se moquer. Ne comptez pas sur moi. (…)

La suite. À consulter aussi, le billet suivant: Circulez svp!.

« L’ancienne église Saint-Vincent-de-Paul, dont seule la façade se dresse encore à l’entrée du Vieux-Québec, est du nombre des lieux que le gouvernement fédéral examine pour y loger les 700 fonctionnaires qui travaillent actuellement à la Gare maritime Champlain et dans ses bureaux de la route de l’Église. (…)

Source: Le Soleil 23 octobre 2007 (Claude Vaillancourt)

La suite et ce billet précédent de Jean Cazes.

Des nuits d’horreur se déroulent au parc Jeanne-d’Arc…Vous avez deviné que ce sont des décorations installées dans le cadre de l’Halloween qui s’en vient à grand pas. Lors de ma visite un groupe se promenait avec un guide et des lanternes. D’autres curieux profitaient de cette soirée anormalement chaude d’octobre pour lire les affichettes installées et en apprendre plus sur la Corriveau et autres mythes reliés à cette fête que les enfants attendent avec impatience.