Kathryne Lamontagne
Journal de Québec

QUÉBEC – Le propriétaire de La Scala se positionne vivement en faveur du projet d’un immeuble de six étages, à l’angle de l’avenue Cartier et du boulevard René-Lévesque, et souhaite ajouter deux étages supplémentaires à son propre édifice.

Marc-Antoine Munoz travaille depuis «trois ou quatre ans» à tenter d’agrandir son bâtiment, manœuvre impossible pour le moment, étant donné le zonage actuel dans le secteur qui fixe la hauteur maximale des édifices à quatre étages. Au final, son projet permettrait d’accueillir plus d’une trentaine de lofts urbains locatifs, en plus de son restaurant.

L’ensemble du bâtiment aurait un étage de moins que le voisin, si le projet de Miradas voit le jour sur le terrain de l’ancienne station-service Esso

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Heure: 18h30

Lieu: Loisirs Montcalm, 265, boulevard René-Lévesque Ouest, salle du gymnase

Avis de convocation

Le texte du projet d’amendement au règlement de zonage

La consultation publique de Québec Urbain

Un appui au projet immobilier à l’angle de René-Lévesque et Cartier * Radio-Canada (Québec)

* Mise à jour: Québec Urbain a assisté à la consultation qui s’est tenue dans un gymnase rempli à pleine capacité (au moins 300 personnes). Monsieur André Martel, conseiller en consultations publiques pour la ville de Québec, a présidé l’assemblée avec un savoir-faire évident, et un contrôle de soi impeccable, ce qui a permis une atmosphère favorisant l’exercice démocratique d’une consultation. Il y a eu au moins 50 interventions, limitées à 3 minutes, ce qui fait qu’à 22h15 s’est arrêtée cette partie de la soirée. Ce fut une répétition du 28 mai: Les plus jeunes en faveur du projet, les plus vieux s’y objectant que ce soit à cause de la hauteur (6 étages) ou de l’architecture. D’ailleurs, à ce niveau, la crainte de la création d’un précédent a été endossée par la conseillère Anne Guérette.

Les membres du conseil de quartier se sont ensuite exprimés, et le projet n’a pas du tout leur accord. Que ce soit au niveau de la gestion des déchets, de la hauteur, du style, etc. Il faut noter que le promoteur doit avoir construit son immeuble au plus tard en novembre 2014.

Qu’en conclure ? Si la présidente du conseil de quartier a reconnu les démarches et les efforts du promoteur, on se dirige manifestement vers un autre Îlot Irving.

Il ne serait pas étonnant d’ailleurs que le « terrain Esso » devienne un enjeu électoral, le candidat de l’équipe Labeaume pour les élections à l’automne ayant pris le micro, après avoir convoqué une conférence de presse qui s’est tenue sur les lieux en avant-midi. Rappelons que ce terrain est vacant depuis 2004.

D’ailleurs, il n’est pas étonnant qu’un autre situé pas loin (l’ancien garage Bérubé) le soit encore. Quant on constate les obstacles devant être franchis par un promoteur afin de créer de l’habitation, il ne faut plus s’en surprendre.

Le conseil de quartier s’oppose au projet de six étages au coin Cartier-René-Lévesque * Valérie Gaudreau (Le Soleil)

Michèle Laferrière
Le Soleil

L’édifice Sherpa affiche ses couleurs. Les habitués du boulevard Charest ont vu se dresser, à côté d’un HLM brun, cet immeuble de neuf niveaux paré d’aluminium et de panneaux de brique bigarrés. Voilà la nouvelle image du logement social à Québec.

Cet immeuble en construction depuis un an comprend 77 logements subventionnés : 47 destinés à des gens ayant eu des troubles mentaux et amorcé un processus de rétablissement, et 30 à des artistes en émergence.

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Isabelle Porter
Le Devoir

L’Assemblée nationale du Québec a décidé de se lancer dans la culture de légumes! Elle vient de remplacer ses plates-bandes de fleurs par du maïs, un miniverger, des légumes racines et des plantes médicinales. Deux ruches ont même été installées sur le toit de l’auguste immeuble pour produire du miel.

Jeudi, on y lançait un ambitieux projet d’agriculture urbaine sans équivalent dans le monde. Avec 2000 pieds carrés de culture et 130 variétés, ces jardins serviront à alimenter les clients du restaurant de l’Assemblée nationale, le Parlementaire. Des surplus seront aussi donnés à l’organisme Le Pignon bleu.

Selon les recherches effectuées par l’Assemblée, ce serait le premier parlement à s’engager aussi loin dans la logique du potager urbain, explique Marie Eisenmann, des Urbainculteurs, l’organisme qui supporte le projet.

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Stéphanie Martin
Le Soleil

(Québec) La Grande Allée subira l’an prochain un réaménagement «majeur» entre le Musée et le Concorde. Une occasion pour remodeler le design urbain de cette portion de la célèbre artère, qui pourrait bien se parer des oiseaux de Riopelle.

Deux projets majeurs vont se concrétiser prochainement dans ce qu’on appelle pour l’instant le Quartier des beaux-arts, en attendant de connaître le nom qu’on lui donnera éventuellement.

D’abord, dans la foulée de l’agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ), on réaménagera le parc de jeux d’eau devant le Musée à l’automne.

On profitera aussi des travaux du Musée pour faire subir à la Grande Allée «une cure de rajeunissement majeure» entre le Concorde et la rue des Érables, un peu à l’ouest du Musée. Les sommes nécessaires ne sont pas encore précises, elles seront inscrites au programme triennal d’immobilisation à l’automne, a révélé hier la conseillère municipale responsable de la Culture, Julie Lemieux.

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Katia Lavoie
Le Carrefour

Sainte-Foy — Ouvert depuis le 9 mai, le Marché public de Sainte-Foy est désormais géré par une coopérative de solidarité. L’association s’est formée il y a près de deux mois.

L’administration municipale a approché les producteurs à l’automne afin de donner plus d’autonomie au Marché. «La Ville considère que les personnes les mieux placées pour gérer le marché public sont les gens sur place», explique SUZANNE AUDET, conseillère en communication à l’arrondissement de Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge. À la suite de cette rencontre, un comité s’est constitué et a travaillé tout l’hiver pour trouver la bonne façon d’y arriver.

Née officiellement le 15 avril, la Coop est dirigée par un conseil d’administration composé de sept personnes, dont trois producteurs et deux membres commerçants.

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Le président de l’Assemblée nationale, M. Jacques Chagnon, a présenté aujourd’hui les nouveaux éléments des jardins qui se trouvent devant la façade de l’hôtel du Parlement, soit des aménagements de végétaux comestibles en terre et hors sol.

Ces aménagements sont le fruit d’une collaboration de l’Assemblée nationale avec les Urbainculteurs, un organisme à but non lucratif voué à la promotion du jardinage et de l’agriculture urbaine. « Ces arrangements de fruits, de légumes et de fines herbes permettront aux visiteurs de se familiariser avec certaines cultures emblématiques du Québec comme le maïs, la courge ou les haricots », a souligné le président.

Ce projet d’agriculture urbaine s’inscrit dans la planification annuelle de l’aménagement extérieur de l’hôtel du Parlement. L’entretien de ces potagers urbains sont confiés à des étudiants de l’Université Laval, dans le contexte d’un partenariat conclu en 1986 afin d’initier des étudiants à l’horticulture ornementale. En plus de ses potagers urbains, l’Assemblée s’inscrit aussi dans le projet Miel urbain, une initiative des Urbainculteurs en collaboration avec la Miellerie de Champlain, qui consiste à installer des ruches dans la ville de Québec, notamment sur des toits jardins. Des ruches seront donc installées sur le toit de l’édifice Jean-Antoine-Panet de l’Assemblée nationale. La production des fruits et légumes et du miel servira au restaurant Le Parlementaire, tandis que les surplus seront donnés à l’organisme communautaire Le Pignon bleu.

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Les images sur Facebook

Annie Mathieu
Le Soleil

(Québec) Les automobilistes devront considérablement réduire leur vitesse lorsqu’ils emprunteront les rues Sainte-Claire, dans Saint-Jean-Baptiste et celle du Sault-au-Matelot, dans le Vieux-Québec.

Le tout nouveau panneau de signalisation du ministère des Transports (MTQ), conçu dans le cadre d’un projet pilote pour annoncer ces deux premières rues partagées à Québec, imposera une limite maximale de 20 km/h plutôt que 50 km/h comme dans la plupart des rues résidentielles de la ville.

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Radio-Canada (Québéc)

Les lignes souterraines de fils à haute tension dans Limoilou n’emprunteront finalement pas les secteurs les plus résidentiels du quartier, comme le souhaitaient les résidents. Deux ans après le tollé créé par son plan initial, Hydro-Québec a rendu public lundi le nouveau tracé pour l’enfouissement de deux lignes à 230 kilovolts.

Le nouvelle ligne souterraine empruntera la 41e rue, là où se trouvent actuellement les pylônes, puis le boulevard Henri-Bourassa.

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Un entrepôt à ciel ouvert sur le terrasse Dufferin, au pied de la Promenade des Gouverneurs. Est-ce que Parcs Canada ne pourrait pas trouver une solution plus appropriée ? Et nettoyer un mur plein de graffitis à cet endroit ?