Simon Bélanger
Monlimoilou

Trois projets de logements sociaux et abordables, deux dans Maizerets et un dans le Vieux-Limoilou, ont franchi de nouvelles étapes réglementaires lors du conseil municipal du 15 avril dernier. Deux d’entre eux accueilleront spécifiquement des femmes qui souhaitent éviter l’itinérance et des jeunes adultes en difficulté.

(…)

Sur un terrain inoccupé depuis plusieurs mois, au coin des rues Daniel, de la Pointe-aux-Lièvres et Papineau, 20 logements sociaux s’ajouteront. Ce projet est chapeauté par la Maison Marie-Frédéric. L’organisme souhaite offrir de l’hébergement pour les jeunes adultes en difficulté de 16 ans et plus.

En plus de son établissement principal sur le boulevard Langelier, dans le quartier Saint-Sauveur, la Maison Marie-Frédéric a d’autres installations à Québec, au 49 et au 55, avenue du Pont-Scott. Celles-ci possèdent déjà d’importantes listes d’attente.

(…)

En 2023, la Ville de Québec utilisait son droit de préemption pour faire l’acquisition du terrain qui abritait le Garage Viateur Beaulieu, à des fins de logement social ou abordable. Depuis, le garage du 2055, boulevard Montmorency, a été démoli.
Près de deux ans plus tard, un projet devrait aller de l’avant, avec la construction à venir d’un édifice de quatre étages, comptant 31 logements. Ceux-ci seront destinés aux femmes qui souhaitent sortir de l’itinérance et éviter qu’elles y retournent.

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La bâtisse de l’ancien Saint-Hubert du boulevard Hamel laissé à l’abandon depuis 8 ans tombe présentement sous le pic des démolisseurs. Il fera la place à un complexe de 227 logements pour juillet 2027.

Source et Crédits : le Soleil, Olivier Bossé. Pour lire l’article.

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Le projet 649 Kirouac avec les prix demandés.

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Olivier Bossé
Le Soleil

La séance d’information sur l’îlot Dorchester a davantage servi de «défoulement» aux nombreux résidents présents, qui dénonçaient être mis devant le fait accompli qu’une tour de 17 étages poussera dans le quartier Saint-Roch, à Québec. Qu’ils le veuillent ou non.

Ça va se construire au cours des prochaines années.

Les travaux de l’important projet immobilier évalué entre 200 et 300 millions de dollars par le promoteur Trudel doivent s’amorcer en septembre et s’achever à la fin de l’année 2028.

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* Merci à un fidèle lecteur (Franks) qui nous a fourni l’illustration

Simon Bélanger
Monsaintroch

Une nouvelle étape importante sera franchie le 10 avril prochain, alors que le projet de développement du groupe Trudel sur l’îlot Dorchester fera l’objet d’une assemblée publique de consultation, organisée par la Ville de Québec.

Cette rencontre est obligatoire, en raison du type de modification à la réglementation d’urbanisme. En effet, plusieurs dérogations au Plan particulier d’urbanisme (PPU) pour le secteur sud du centre-ville Saint-Roch sont demandées par le promoteur Trudel.
L’événement, qui se tient en mode hybride, se tiendra le jeudi 10 avril, à l‘École nationale d’administration publique (ÉNAP), située au 555, boulevard Charest Est.

Une opposition mobilisée

Depuis la séance d’information tenue en octobre dans le quartier Saint-Roch, au cours de laquelle le promoteur avait présenté sa version du projet, qui comptait alors un bâtiment de 20 étages, une mobilisation citoyenne s’est mise en branle.

Celle-ci, qui s’est concrétisée à travers la création de la Coalition Dorchester, dénonce notamment la hauteur du plus haut bâtiment qui, abaissé à 17 étages, est quand même 7 étages plus haut que ce qui est prévu au PPU. Elle déplore notamment l’impact sur les percées visuelles, notamment depuis le quartier Saint-Jean-Baptiste.

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Tous les détails sur la consultation

Le Brave

Un article de Radio-Canada

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Des photos de l’immeuble précédent qui a été démoli

L’histoire de cet immeuble

Un changement de zonage pour permettre l’ouverture d’une galerie d’art sur Grande Allée Ouest Olivier Alain (Monmontcalm)

* Ces deux photos ont été prises du Musée national des beaux-arts du Québec grâce à la collaboration d’un fidèle lecteur (Franks)

Émilie Pelletier
Le Soleil

Un microquartier d’unités modulaires pour héberger des itinérants verra le jour en juin dans le secteur D’Estimauville pour une durée d’au moins deux ans, a appris Le Soleil.

La Ville de Québec va de l’avant avec un projet pilote de minimaisons. À compter de juin, le terrain municipal voisin du Parc-O-Bus D’Estimauville, sur le boulevard Sainte-Anne, verra apparaître quatre unités modulaires «d’hébergement transitoire» pour loger jusqu’à six individus.

Un centre de recrutement des Forces armées canadiennes se situe tout juste à côté, alors que les nouveaux bureaux du siège social de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) se trouvent de l’autre côté de la rue, sur l’avenue D’Estimauville.

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Bonjour Québec en parle mais le site internet du projet n’est pas encore activé

* Merci à un très fidèle lecteur (R. Pelletier)

Mise à jour: Le Terminus Hotel est un appart-hôtel proposant 26 studios et appartements entièrement équipés où le voyageur retrouvera les mêmes comodités qu’à la maison.

À proximité : • Restaurants : 100m • Parcs : 500m • Vieux Québec : 1km • Centre des congrès : 1km • Événements majeurs 1,5km

Construit en 1958, l’immeuble abritait à ses tout débuts la Gare centrale d’autobus de Québec. Véritable pôle pour les voyageurs de la province, l’esprit du voyage l’habite encore aujourd’hui. Entre 2024 et 2025, des travaux d’envergure ont eu lieu dans l’immeuble afin d’y aménager le Terminus Hôtel. Faisant à la fois écho à l’époque de la Gare par son élégance et son chic, le style de l’hôtel demeure moderne pour le plus grand confort de ses invités.

Que ce soit pour se retrouver, faire une pause ou simplement profiter du trajet, le Terminus Hôtel offre un espace inspiré par le passé, mais bien ancré dans le présent, où le temps semble suspendu, juste assez pour reprendre son souffle avant de repartir vers sa prochaine destination.

Dans cet esprit de modernité, le Terminus Hôtel prône des valeurs contemporaines (Le site internet). Loin de se contenter de revisiter son héritage historique, l’établissement s’inscrit dans une démarche responsable. Ainsi, une attention particulière est portée à l’approvisionnement local, privilégiant les fournisseurs de la région. De plus, la priorité a été accordée aux sources d’énergie renouvelables et aux équipements à faible consommation. Enfin, une gamme complète de produits écoresponsables, allant des articles d’hygiène aux produits d’entretien, a été soigneusement sélectionnée, reflétant ainsi un souci constant du respect de l’environnement.