Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 24 novembre 2007.

Le 20 juillet 1897 est inauguré dans la Basse Ville de Québec la première ligne de tramway électrique. Pendant plus de trois quarts de siècle, ce moyen de transport collectif favorisera le développement et l’expansion géographique de la ville de Québec. La première ligne de tramway fait le lien entre le marché Champlain et la rue de l’Aqueduc dans le quartier Saint-Sauveur. Horace Beemer, Le promoteur de ce projet, est un homme d’affaires fortement impliqué dans l’industrie ferroviaire. En juin 1895, il signe une entente avec la ville et le maire Simon-Napoléon Parent, qui permet à sa compagnie la Quebec District Railway d’obtenir un monopole. L’arrivée du tramway électrique permet ainsi de mettre au rancart les vieux chars urbains tirés par des chevaux.

Le reportage radio de Réjean Lemoine (9 min.). À consulter aussi, ce billet, d’où est tirée la photo ci-haut: Voyage dans le temps: Place D’Youville (fin des années 1940).

Année après année, depuis 2003, l’édifice du 2, rue des Jardins à Québec est en constante évolution. Les travaux de rénovation de l’hôtel de ville de Québec, qui auront totalisé 14 millions $ et qui auront duré cinq ans, prendront fin au début de 2008. (…)

Source: Canoe Dominique Salgado 23/11/2007

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Un nouvel « incontournable » à offrir dans le temps des Fêtes!

« (…) Cet ouvrage passionnera non seulement les amoureux du Vieux-Québec mais aussi tous les autres qui découvriront un des quartiers les plus riches en histoire et en couleurs de tout le Québec. Des plans vous permettront de vous guider et d’aller voir sur place tout ce qui fait la richesse historique du quartier. Ce livre recèle autant de plans qu’il y a d’époques à retracer. Vous pouvez donc établir votre propre circuit du Vieux-Québec. »

L’histoire du Vieux-Québec à travers son patrimoine

de Jean Provencher (Commission de la capitale nationale)
2007, 288 pages
255 photos et illustrations

Prix de détail : 39.95$
ISBN 978-2-551-19780-4

À consulter aussi, le billet suivant: Nouvelle publication: “Mémoires d’un piéton�, de Jean Cimon (éditeur Septentrion).

Source : Claude Vaillancourt, Le Soleil, 19 novembre 2007

La Ville de Québec a renoué avec son histoire quand des archéologues ont ouvert, lundi, la boîte de plomb qui avait été insérée dans le socle du monument de Samuel de Champlain, il y a de cela plus d’un siècle.

Du même coup, elle a invité les jeunes de toutes les écoles de l’arrondissement La Cité à entrer dans l’histoire en écrivant leur vision «du présent et de l’avenir de Québec» dans un message qui sera inséré à nouveau sous la statue du fondateur de la ville, à l’occasion des festivités du 400e anniversaire de Québec.(…)

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Bon évidemment, tous et chacun y ira de sa suggestion à mettre dans la prochaine cassette qui sera fort probablement ouverte dans 100 ans. Bien plate qu’on ne puisse y placer un DVD, çà serait vraiment un bel héritage a laissé alors que les gens du futur pourraient visionner l’an 2008, tel que vécu à Québec et évidemment voir à quoi ressemblait Québec. Il faudrait toutefois y enfouir aussi un lecteur DVD…avec probablement le manuel d’instructions.

Source : Julie Lemieux, Le Soleil, 15 novembre 2007

La So­cié­té du 400e de Qué­bec ten­te de convain­cre le grou­pe Sim­ple ­Plan de par­ti­ci­per au ­coup d’en­voi des fes­ti­vi­tés, le 31 dé­cem­bre, à la pla­ce D’You­ville. Une of­fre que pour­raient ac­cep­ter les mem­bres du grou­pe si cet­te da­te se li­bè­re ­dans ­leur ca­len­drier char­gé.

­L’agent de spec­ta­cles de Sim­ple ­Plan au Qué­bec, Guillau­me Le­mieux, a confir­mé ­hier au So­leil que des dis­cus­sions ont eu ­lieu en­tre la So­cié­té du 400e et le grou­pe qué­bé­cois. ­Mais ­pour l’in­stant, au­cun ­contrat n’a été si­gné puis­que la for­ma­tion ne ­peut confir­mer sa dis­po­ni­bi­li­té le ­soir du 31 dé­cem­bre.(…)

La suite, à lire aussi ce billet

N’étant pas un adepte du groupe Simple Plan, je ne peux dire si cela créera un engouement substantiel si ils se présentent à Québec. Toutefois la suite nous dit que des groupes d’envergure internationale et aussi des groupes à saveurs locales sont déjà engagés et que certains avec plus de notoriété que Simple Plan. Je ne demande qu’à être surpris et je crois que c’est le cas de la majorité de la population de la ville de Québec. Reste à voir si Dame Nature et l’affluence nous contraindrons à regarder les premiers coups du 400e au chaud dans le confort de notre foyer… 

Dans l’ordre: vue rapprochée sur le secteur Maizerets (Limoilou) et les tours Saint-Pie-X [billet]; vue rapprochée sur le secteur Limoilou; porte Saint-Louis (autre vue rapprochée); gare du Palais, vue en direction N.

À consulter aussi, ce reportage photo: Scènes urbaines: l’automne coloré… (6).

Source : Julie Lemieux, Le Soleil , 6 novembre 2007

Paris offrira elle aussi un legs à Québec pour son 400e anniversaire. La capitale française illuminera la façade ouest de l’hôtel de ville de Québec de façon festive et pérenne afin de donner plus de couleurs aux événements spéciaux qui se déroulent régulièrement dans les jardins. Un cadeau d’une valeur de 100 000 euros (135 000 $CAN).

Au départ, la Ville de Paris et le gouvernement français devaient aussi illuminer la place de l’Hôtel-de-Ville et la devanture du Centre de la francophonie. Mais des restrictions budgétaires et les coûts plus élevés que prévu de la rénovation du Musée de l’Amérique française les ont forcés à donner un peu moins d’ampleur à leur cadeau. L’éclairage sera donc concentré sur la façade de l’édifice longeant la rue Sainte-Anne.(…)

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Bon choix d’emplacement à bonifier. Utilisé entre autres par le festival des musiques militaire comme scène, peut-être qu’en embelissant, d’autres types de spectacles s’y produiront. Les travailleurs qui y prennent leur diner seront aussi heureux d’avoir un plus bel environnement. Je ne sais pas si on pourra avoir un revêtement meilleur que le ciment pour s’y asseoir ou on ne touchera pas aux « estrades ».

Cette photo (qui aujourd’hui, aurait comme sujet dominant en arrière-plan le Château Frontenac) est reproduite au revers du récent essai du sociologue et urbaniste à la retraite Jean Cimon [billet].

En avant-propos, l’auteur fait cette description très sensible de la scène d’époque:

« La deuxième photographie de Louis-Prudent Vallée (…) nous transporte dans la basse-ville portuaire au pied de la terrasse Dufferin vers l’année 1890, soit peu de temps avant la construction de l’hôtel Château Frontenac. Au premier plan, les caléchiers et l’omnibus font le plein de passagers qui viennent tout juste de débarquer du traversier de Lévis. Vallée excelle dans la description instantanée de cette scène urbaine et on a envie de courir pour ne pas rater l’omnibus dont les deux chevaux piaffent d’impatience bien qu’ils soient dissimulés par l’état de la machande de fruits et légumes.

À consulter aussi, ce billet: La folie des grandeurs, ça ne date pas d’hier….

Pour ceux qui n’ont jamais vu ce parc fait à la place du chemin de Bitume banal qu’il y avait anciennement.

« Il était 7h00 du matin, le vent était doux et venait de l’est. Nous sommes partis de Sainte-Pétronille à l’île d’Orléans et avons traversé la ville dans le sens du boulevard de la Capitale pour atterrir à l’aéroport de Québec.

Quelle merveilleuse aventure! À 3000 pieds, Québec était tout simplement impressionnante à voir… » – P. B.

Merci à Pierre Bédard pour nous avoir proposé de magnifiques images « aériennes » de Québec!  À consulter aussi, le site de Québec Montgolfière ainsi que le billet suivant: Une vue de Québec du haut de l’édifice Price .