Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 10 octobre 2006.

N’entrera plus qui veut à l’hôtel de ville de Québec. La Ville dépensera 7 millions $ pour le sécuriser et finir de réaménager les locaux, faisant grimper le coût total de la rénovation de la « maison du citoyen » à plus de 16 millions $.

La réfection de l’hôtel de ville de Québec a déjà coûté 9,3 millions $ depuis la fusion municipale en 2002. C’est trois fois plus que l’estimation de départ.

Après avoir climatisé l’édifice bâti en 1896 et bâti plusieurs locaux, l’administration veut maintenant rendre l’hôtel de ville plus sécuritaire, a appris Le Soleil.

La suite.

Bonjour,

Mélomanes et musiciens

Tel est le titre de la longue missive que je viens de recevoir, dont voici l’introduction. J’ai pensé qu’il était tout à fait pertinent de la reproduire dans son intégralité en regard de ce récent billet… et pour l’amour de la musique à Québec!

Bonjour Monsieur Cazes,
voici un texte d’opinion co-signé par une vingtaine d’employés/musiciens concernant la fermeture du Café-Bar. Nous l’avons fait parvenir aux principaux médias écrits francophones, mais croyons qu’il est susceptible de vous intéresser puisque vous avez précédemment abordé la question sur Québec Urbain.
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Source: David Desjardins, Voir Québec, 24 août 2006.

Les boutiques dans le Vieux-Québec, c’est un peu comme le câble auquel je suis abonné pour la télé. Une cinquantaine de possibilités, presque toutes des merdes, à quelques exceptions près.
Si on prolonge l’analogie, admettons que, demain matin, on vous dit que, je ne sais pas moi, on met la clé dans la porte de la boutique TVA avec Louise-Josée Mondou et, du coup, on tente de vous convaincre que c’est épouvantable, que c’est toute l’histoire de la télé qui s’en trouve ébranlée.

Allez-vous vous mettre à brailler?

C’est pourtant bien ce qu’on a tenté de provoquer comme effusion, il y a quelques semaines, transformant la fermeture de la boutique La Corriveau en un événement de force majeure, la preuve que rien ne va plus dans le merveilleux monde de Disney qu’est le Vieux-Québec. (…)

La suite. Aussi, cet autre billet.

Problèmes de « consommation » de la clientèle, difficultés à rétribuer les musiciens, dit-on… Les vieux nostalgiques comme moi risquent-ils de perdre bientôt un autre lieu culte de Québec au même titre que le Foyer, La Cour ou l’Après-Onze du temps du cégep?

Pour le jazz, il restera vraisemblablement le Largo [billet], rappelle la chroniqueuse du Soleil…

Un toast à la survie du jazz (Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 17 août 2006.)

(…) Il y a de fortes chances que le Clarendon cesse bientôt de présenter ses célèbres soirées de jazz, qui sont pourtant une véritable tradition dans la capitale.

(…) Le directeur de l’hôtel, Alan Murphy, m’a confirmé qu’il songeait sérieusement à cette possibilité. Aucun spectacle n’a été planifié pour l’hiver, aucun artiste n’a été embauché à partir du mois d’octobre.

(…) Le problème, c’est plutôt que les clients consomment beaucoup moins de boissons qu’auparavant. (…) Depuis cinq ou six ans, les recettes dégringolent à un point tel que le bar ne parvient pas à faire ses frais et à payer les musiciens sans tomber dans le rouge, explique M. Murphy. (…)

(…) Alan Murphy admet qu’il songe avec cette idée [payer à l’entrée]. Et ce n’est pas moi qui vais l’en dissuader. Il me semble que c’est normal de payer quelques dollars pour voir un spectacle de qualité. (…)

Les panneaux annonçant le « Port-Royal hôtel & suites » sont de retour aux abords du stationnement du l’Inox! Présenté sous une forme différente, ce projet a fait l’objet d’un billet de Francis Vachon dans Québec Urbain en juillet 2004.

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 27 juin 2006.

(…) Le restaurateur [du Portofino] fait remarquer qu’au fil des années, il a construit 16 logements dont huit au-dessus du Portofino. « On les a construits dans des anciens bâtiments de l’Hôtel-Dieu de Québec qui n’étaient plus utilisés, raconte M. Monti. Si ce n’était du Portofino, un promoteur aurait sûrement transformé les espaces en condos, vendus au plus offrant. »

Ci-haut, l’immeuble en question, construit il y a quelques années, qui a suscité à l’époque des critiques en raison de sa hauteur.

La suite. Voir aussi cet autre billet

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 26 juin 2006.

L’habitation dans le Vieux-Québec est d’une grande fragilité, dit la Ville de Québec. Après avoir souvent dit oui par le passé, la municipalité veut maintenant durcir le ton et faire la vie dure aux hôtels illégaux et aux commerces agrandis sans permis. (…)

La suite. Voir aussi cet autre article (cas du Saint-Amour).

Intrigantes, ces concrétions calcaires d’une vingtaine de cm de longueur, dont certaines présentent une forme typique en draperie (photo ci-haut), se sont apparemment formées (ou plutôt, reformées) en quelques années à peine sous la porte Kent (rue Dauphine).

Source: Jean Pascal Lavoie, Québec Hebdo 23 mai 2006

Les préparatifs vont bon train à la Société du 400e. S’il reste encore plusieurs ficelles à attacher, les grandes lignes de la programmation sont déjà tracées et les arrondissements ne seront pas laissé de côté. Des enveloppes ont été prévues afin que chaque arrondissement puisse souligner comme il se doit cet événement.

Répondant à une demande des élus municipaux qui désiraient être mis au fait de l’avancement des préparatifs en vue des célébrations, Serge Allen, commissaire aux Fêtes, et Josée Laurence, directrice principale exécutive de la Société du 400e, ont tracé un portrait de ce qui attend la population dans deux ans. (…)

Voir autres billets. 1 2 3 4 5 Et bien d’autres encore dans les archives.
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