Le communiqué

Le lieu historique national Cartier-Brébeuf verra son aménagement complété dans le cadre de la renaturalisation de la rivière Lairet. Les travaux incluent l’ajout d’un kiosque, d’un élément d’interprétation, de mobilier urbain et d’une piste cyclable pavée. Il s’agit de la phase finale de ce projet, débuté en 2008, qui aura bénéficié d’un appui total de 4,0 millions de dollars do gouvernement du Canada.

Par ailleurs, le projet de rénovation du lieu historique national du Canada de la Maison-Maillou permettra de préserver cette ressource culturelle irremplaçable. Les travaux qui y seront effectués incluent la réfection de la toiture, des portes et des fenêtres ainsi que des ouvrages de maçonnerie. Grâce à cet investissement, cette prestigieuse habitation, comptant près de 300 ans d’histoire, demeurera un élément architectural important au cœur de l’arrondissement historique du Vieux-Québec.

Le lieu historique Cartier-Brébeuf

Le lieu historique de la Maison Maillou

La Commission de la capitale nationale du Québec dévoilera en 2009 un programme commémoratif visant à rendre hommage aux grands créateurs, d’ici et d’ailleurs, ayant séjourné dans la capitale.

Leur présence à Québec sera soulignée par le biais d’un élément visuel incrusté au sol, dans un lieu significatif de leur séjour.

Ce programme s’inscrit dans le cadre de la mission de promotion de la capitale que poursuit la Commission. À cet effet, cette dernière a mis sur pied de nombreux projets commémoratifs qui se sont traduits par la réalisation de fresques, de plaques, de monuments et par la publication de nombreux volumes consacrés à la cité de Champlain.

Ce programme commémoratif sera lancé en août 2009.

Source

Source : Véronique Demers, Québec Hebdo, le 19 février 2009

Les étudiants en deuxième année du baccalauréat en architecture de l’Université Laval ont imaginé, dans le cadre d’un projet d’étude, de quoi aurait l’air le Palais épiscopal de Québec s’il était revampé.
Une exposition des maquettes du Palais épiscopal a lieu jusqu’à lundi à l’école d’architecture au 1, rue de la Fabrique, local 1106. Les futurs architectes ont dû respecter quelques contraintes tout en laissant libre cours à leur génie créatif.
Les étudiants ont dû trouver dans leur projet un moyen de contourner les appartements privés de l’évêque pour permettre l’accès des invités à leur chambre. «J’ai demandé aussi aux étudiants d’améliorer la qualité lumineuse de la cuisine. Je leur ai posé une autre difficulté, soit de la rendre accessible aux personnes à mobilité réduite», ajoute Tania Martin, professeure ayant supervisé les travaux des étudiants. Ceux-ci ont imaginé des fonctions communautaires au bâtiment, en plus des fonctions protocolaires et résidentielles.

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Source: Régys Caron, Journal de Québec, 11 février 2009.

Après avoir essuyé deux échecs en sept ans, le propriétaire de l’église Saint-Coeur-de-Marie présente à la Ville de Québec une nouvelle demande de modification au règlement de zonage pour obtenir un permis d’y tenir des réceptions, des concerts, des bals et des vernissages avec service de restauration et de bar. Le parolier et metteur en scène Luc Plamondon s’intéresse au projet.

La dernière messe de l’église Saint-Coeur-de-Marie fut célébrée en 1997. Le temple fut désacralisé la même année avant d’être acheté en 2002 par un Américain de la Virginie du nom de Alex Ramhi pour être rebaptisé «Le Palais des Arts».

Depuis, l’organisation à but non lucratif tente de trouver une nouvelle vocation à l’église de style romano-byzantin située au coin de la Grande-Allée et de la rue de L’Amérique française.

«C’est un gros défi de réutiliser les anciennes églises pour en faire des activités viables», soupire l’architecte Marc Bouchard, partenaire dans le projet avec le gérant Yvan Cloutier. (…)

La suite. Aussi, entre autres billets: Église Saint-Coeur-de-Marie: Un projet qui se fait longuement attendre.

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 11 février 2009.

Québec cherche bel et bien à aménager une scène extérieure permanente sur l’emplacement du défunt Manège militaire. Le maire Régis Labeaume a confirmé hier que son administration présenterait un tel projet à l’occasion de la consultation publique sur l’avenir du bâtiment rasé par les flammes en avril dernier.

Le Soleil révélait vendredi dernier que la Ville consulterait la population d’ici quelques semaines sur la possibilité d’aménager une scène extérieure permanente à l’arrière du Manège militaire. La question doit être abordée dans le cadre du plan d’avenir du secteur de la colline parlementaire que Québec est à élaborer. Dans sa livraison d’hier, Le Journal de Québec indiquait qu’une firme de Montréal, Sceno Plus, a soumis à la Ville un tel projet qui préserverait la façade du bâtiment, une solution évaluée à 35 millions $. (…)

Depuis plusieurs semaines, le maire a écarté toute idée de reconstruire à l’identique, devant les coûts faramineux d’une telle solution. «Ça peut facilement jouer entre 200 et 300 millions $. C’est trop», a-t-il encore répété hier. (…)

La suite. Aussi, entre autres billets: L’avenir du Manège militaire.

Pourquoi ne pas plutôt engager les fameux architectes Croft et Pelletier, créatifs auteurs de l’incomparable nouvelle bibliothèque de Charlesbourg [billet] pour nous concocter sur le site un immeuble à la fois « économique », intégrateur, « évocateur », multifonctionnel et de facture contemporaine dont tous les Québécois seront fiers?

Bref, ma position rejoint passablement celle de Martin Dubois…

Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 7 février 2008.

Depuis qu’il a été presque complètement détruit par un incendie en avril dernier, le Manège militaire est toujours dans le même état. Tout à coup, la question se pose : que faire avec le reste du bâtiment? Pour discuter de l’avenir du bâtiment, nous avons réuni en studio trois personnes aux points de vue diamétralement opposés sur la question: Marcel Junius, architecte et urbaniste à la retraite, Martin Dubois, chargé de cours à l’École d’architecture et Pierre Larochelle qui a été professeur titulaire à l’École d’architecture de l’Université Laval.

Le reportage radio (env. 22 min.). À consulter, entre autres billets: Manège militaire: les Voltigeurs ne veulent pas d’une bâtisse de 250 M $.

« Québec) Principal lieu de rassemblement pour les grands spectacles, les plaines d’Abraham pourraient bientôt accueillir une scène permanente. C’est du moins l’une des idées que la Ville de Québec soumettra sous peu à la population lors d’une consultation publique, a appris Le Soleil.

À l’aube des Fêtes du 400e, l’administration Labeaume lançait, en mars 2008, une réflexion sur l’avenir du secteur de la colline parlementaire, qui s’étend des remparts du Vieux-Québec jusqu’au Musée des beaux-arts. Dans un rapport déposé récemment à la Ville, une firme d’urbanistes recommande, entre autres, un important réaménagement du site accueillant les grands spectacles du Festival d’été. » (…)

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Source: Le Soleil Pierre-André Normandin 6 février 2009

 » (…) mise en lumière du clocher de la chapelle de la Maison Mère-Mallet, située au 945, rue des Sœurs de la Charité, à Québec. (…)

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Source: Commission de la Capitale Nationale

« (Québec) Homme de confiance du maire Régis Labeaume et responsable du dossier de l’aménagement du territoire, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Québec, le conseiller François Picard, estime que le projet de restauration de la façade de l’église Saint-Vincent-de-Paul, jouxtant un hôtel de 300 chambres, au haut de la côte d’Abraham, «aura de la difficulté à passer» à la Commission d’urbanisme de la Ville.

Complètement en désaccord avec le ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Christine Saint-Pierre, qui voit, dans les esquisses soumises par le promoteur Jacques Robitaille, «une solution de conservation tout à fait originale», M. Picard se range plutôt du côté de sa collègue et architecte, la conseillère Anne Guérette, pour qui le concept proposé représente un «hôtel standard dans un environnement exceptionnel».«On est très tatillon dans l’arrondissement historique» et «ça prendra un immeuble costaud, exceptionnel» si le promoteur tient à obtenir une autorisation de construction, affirme M. Picard » (…)

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Source: Le Soleil Claude Vaillancourt 2 février 2009