Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Qualité et milieu de vie »

Problèmes avec les nouvelles ampoules DEL à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 juillet 2016 7 commentaires

Source : Annie Morin, Le Soleil, le 19 juillet 2016

(Québec) La Ville de Québec a cessé l’installation massive d’ampoules DEL dans ses lampadaires. Bien qu’elles soient plus économiques, leur lumière est si blanche qu’elle pourrait nuire au sommeil des citoyens.

La Ville avait pour objectif de remplacer 32 000 des 50 000 luminaires (têtes de lampadaires et ampoules) sur son territoire d’ici l’automne 2018. Leur conversion aux diodes électroluminescentes (DEL), une technologie beaucoup moins énergivore, laissait présager des économies substantielles.

Dans le bulletin municipal de novembre 2015, les autorités mettaient également de l’avant l’argument de la sécurité, puisque «la lumière produite par les luminaires DEL est beaucoup plus blanche et procure un éclairage nettement supérieur à celui des luminaires traditionnels».

Des études de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et une récente position de l’American Medical Association (AMA) mettent toutefois en garde contre les effets négatifs sur la santé de ce type d’éclairage. Celui-ci contient trop de bleu, une couleur qui perturbe la production de mélatonine et donc le cycle du sommeil. D’autres problèmes de santé, comme la dépression et le diabète, peuvent en découler.

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An LED Light Display Takes Over an Avenue in Quebec City.

LED : Québec devrait-elle emboîter le pas ?

À consulter de la même source et crédit : Des gradateurs québécois pour diminuer la lumière des lampadaires DEL.

Voir aussi : Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Des passerelles sur la rivière Saint-Charles

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 juin 2016 Commentaires fermés sur Des passerelles sur la rivière Saint-Charles

Source : Martin Dubois (Contact, 22 juin 2016)

Le parc linéaire de la rivière Saint-Charles nous fait découvrir de grands espaces verdoyants, des lieux historiques, des sous-bois paisibles, des eaux calmes et des chutes vives, des secteurs urbains et d’autres plus sauvages. Il comprend des sentiers, des belvédères et des aires de repos qui rendent possible l’observation de la faune et de la flore et met ainsi en valeur les écosystèmes riverains. L’ajout de passerelles reliant les rives du cours d’eau a également permis de réunifier les quartiers adjacents tout en améliorant la mobilité de leurs résidents.

Je veux surtout m’attarder aux passerelles, qui sont des lieux privilégiés pour admirer la rivière et prendre contact avec elle, en plus d’admirer des oeuvres d’architectes de talent. Saviez-vous que, tout au long de son parcours marqué par de nombreux méandres, plus de 35 liens permettent de relier les 2 côtés de la rivière? Mises à part les 4 traversées d’autoroute et les 17 traversées d’axes routiers importants 1, c’est une quinzaine de passerelles exclusivement piétonnes et cyclables qui sont aménagées au-dessus de la rivière.

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Voir aussi : Lieux magiques, Parc, Qualité et milieu de vie.

La ville propriétaire du terrain de la future usine de biométhanisation

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mars 2016 Commentaires fermés sur La ville propriétaire du terrain de la future usine de biométhanisation

Source : Patricia Cloutier, Le Soleil, le 4 mars 2016

(Québec) La Ville de Québec a conclu une entente à l’amiable avec la compagnie Evonik Degussa Canada qui lui permet de mettre la main sur le terrain qui accueillera son usine de biométhanisation.

Ce terrain de 71 000 mètres carrés qui donne sur le boulevard Henri-Bourassa est situé dans l’arrière-cour du port de Québec. La Ville avait entamé des procédures judiciaires d’expropriation du propriétaire actuel en 2011. À l’époque, Evonik Degussa Canada, une multinationale de produits chimiques, estimait que son terrain valait davantage que son évaluation, alors fixée à 1,2 million $.

Dans le sommaire décisionnel publié jeudi par la Ville, il est indiqué que la compagnie exigeait au départ 2,3 millions $ à titre d’indemnité globale. Les deux parties se sont finalement entendues pour un montant global et final de 850 000 $, ce qui met fin au litige devant les tribunaux.

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Un pas de plus en vue de l’usine de biométhanisation

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

Le SRB et l’eau en tête des priorités des habitants de la ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 février 2016 2 commentaires

Source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 26 février 2016

Les citoyens de Québec appuient Régis Labeaume dans deux projets nécessitant des investissements majeurs: le service rapide par bus et la protection des sources d’eau potable.

Le projet de service rapide par bus (SRB) recueille l’appui des trois quarts des répondants d’un sondage Léger, réalisé pour le compte d’Équipe Labeaume et dont Le Journal a obtenu copie.

C’est dans les arrondissements centraux où le projet de 1,1 milliard $ recueille la plus large adhésion, alors que dans les banlieues nord, l’appui, bien que majoritaire, est moins fort.

Le SRB rallie davantage la population que le tramway au coût de 2 milliards $, qui recueillait l’appui de 65 % de la population en 2011. «Le SRB apparaît peut-être plus réaliste dans l’esprit des citoyens. Ce qu’on comprend aussi, c’est que les citoyens veulent de l’amélioration dans le transport en commun. Il y a un signal qui dit qu’on doit trouver une façon d’améliorer ce service. Le SRB apparaît pour eux comme une solution potentielle», indique Caroline Roy, vice-présidente de Léger à Québec.

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Des immeubles menacés de disparition par le projet de corridor du RTC

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Tramway à Québec.

Amélioration de la St-Charles : ce n’est pas fini

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 février 2016 Commentaires fermés sur Amélioration de la St-Charles : ce n’est pas fini

Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil, le 8 février 2016

(Québec) Régis Labeaume a révélé en décembre vouloir redonner la rivière Saint-Charles aux citoyens en s’attaquant ces prochaines années aux sédiments qui empêchent des activités comme le kayak, la pêche ou le patin sur le cours d’eau au coeur de la basse ville. Le maire de Québec a assuré qu’il existait une solution «naturelle» pour régler ce vaste problème. Laquelle? L’hypothèse privilégiée pour l’instant: ouvrir grandes les vannes du barrage Joseph-Samson et utiliser les marées du fleuve pour nettoyer le tout. Une solution «porteuse», mais qui comporte certaines limites.

«Il est temps que les gens jouissent de la rivière», a déclaré le maire de Québec au Soleil lors d’une entrevue de fin d’année le 17 décembre. Mais avant toute chose, il faudra contrer l’envasement actuel des berges et les sédiments qui remplissent le fond de la rivière à la hauteur des quartiers Saint-Sauveur et Saint-Roch.

Un problème notoire, connu des experts de la Ville et des chercheurs depuis des années. Et que M. Labeaume s’est mis en tête de régler une fois pour toutes. Mais comment?

Le maire s’était bien gardé de dévoiler la méthode envisagée pour libérer le cours d’eau de ses tonnes de vases et d’autres substances. Mais, avait-il assuré, la Ville pourrait aller de l’avant sans avoir besoin de permis du ministère de l’Environnement.

«On n’aura pas besoin de permis. Attendez un peu, mais quand je serai prêt, vous allez voir que la nature fait bien les choses», avait avancé M. Labeaume.

Dans ce contexte, le scénario le plus plausible – le seul, en fait – est celui d’ouvrir plus souvent le barrage Joseph-Samson et de laisser entrer temporairement l’eau du fleuve.

À la Ville de Québec, on a testé sporadiquement l’ouverture des vannes depuis 2011. «On a fait des projets expérimentaux de l’utilisation des marées. Ça a donné des résultats concrets, mais ce n’est pas assez», note toutefois le porte-parole de la Ville, Jacques Perron.

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Canot et kayak sur la St-Charles

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

La passerelle cyclo-piétonne sur la rivière Saint-Charles maintenant accessible

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 novembre 2015 1 commentaire

Jean Cazes, Monsaintsauveur.com, 25 novembre 2015

Même si son inauguration n’aura lieu qu’au printemps 2016, la passerelle des Trois soeurs, dont le nom évoque la longue histoire amérindienne de la Saint-Charles, est accessible depuis lundi matin.

Outre son aspect utilitaire, la nouvelle passerelle offre sur la rivière une vue magnifique aux piétons et cyclistes qui pourront maintenant l’emprunter à l’année.

Article et photos

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Sauveur, Message d'intérêt public, Parc, Qualité et milieu de vie.

Design urbain: révéler le potentiel des endroits «ordinaires»

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 octobre 2015 Commentaires fermés sur Design urbain: révéler le potentiel des endroits «ordinaires»

Source : Jean-Manuel Téotonio, Québec Hebdo (publiée de 7 octobre 2015)

Quoi de plus banal qu’une rue de banlieue ou qu’un vaste stationnement? Des étudiants à la maîtrise en design urbain de l’Université Laval ont eu la mission de révéler le potentiel de ces endroits à l’aide d’installations urbaines, une façon de rendre l’ordinaire un peu moins terne.

Ainsi, à titre d’exemple, une équipe a investi un vaste stationnement pour y installer un pouf, incitant les passants à prendre une pause tout en mettant un peu de couleur à ce grand «désert urbain». Une autre a décidé de travailler à une halte routière, un endroit dont la banalité écrase souvent le «magnifique» du lieu, souligne Mme Vachon. Des étudiants ont tenté de mettre un peu de vie sur une rue de banlieue des plus banales alors que certains ont choisi d’installer de simples chaises dans une rue du quartier Saint-Jean-Baptiste, permettant aux passants de s’installer confortablement à un endroit qui faisait partie de leur quotidien et qu’ils ne remarquaient peut-être même plus.

Ce concours s’inscrit dans une mouvance prenant de plus en plus de place à Québec qui consiste à donner une nouvelle vocation à des espaces publics, comment en font foi la Plaza Limoilou, la placette avec un piano public sur la 3e Avenue ou le travail de différents collectifs qui organisent l’installation de mobiliers éphémères un peu partout en ville.

«À Québec, il y a de plus en plus un engagement des architectes, de citoyens et aussi de la Ville à intervenir autrement sur l’espace public», estime Mme Vachon.

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Voir aussi : Qualité et milieu de vie.

1000 raisons pour revenir vivre à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 octobre 2015 1 commentaire

https://youtu.be/dObQgwhrWw8?list=PLVPENy-kcC2_jO1uXvijFsk2nJ3H1mRMb

Yves Therrien
Le Soleil

(Québec) Une campagne de promotion des 1000 raisons pour revenir vivre à Québec, ce n’est pas une dépense, mais un investissement, affirme le ministre responsable de la région de Québec, Sam Hamad, qui a lancé cette idée du retour des talents il y a quelques mois.

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1000 raisons de revenir à Québec

Voir aussi : Message d'intérêt public, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Piétonnier : Bruxelles en voie de « barcelonisation »

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 août 2015 2 commentaires

Jonas Legge
La Libre.be

Le lancement du piétonnier a entraîné des débats passionnés. Rarement les Bruxellois s’étaient tant empoignés sur une question de développement urbain. La politique de la ville, initiée par les autorités politiques, est également accaparée par les citoyens. LaLibre.be a interrogé deux sociologues spécialisés en urbanisme, qui livrent leur analyse sur cet ambitieux projet à travers différents aspects : appropriation, commerces, insécurité et rayonnement. (…)

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Voir aussi : Art de vivre en ville, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.