Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…

Baisse de la construction résidentielle dans la région métropolitaine de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juillet 2011 3 commentaires

Source : Diane Tremblay, Journal de Québec, le 11 juillet 2011

La construction résidentielle est en baisse dans la région métropolitaine de recensement de Québec. Selon les plus récentes données compilées par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), 1 777 unités ont été mises en chantier entre avril et juin 2011 contre 2 050 durant la même période l’an dernier.

Les deux segments de marché qui ont connu une baisse au cours du deuxième trimestre de 2011 sont les habitations en propriété absolue (21 %) et les logements locatifs (43 %). Du côté des copropriétés, le niveau d’activité est en hausse (37 %). Dans l’ensemble, la SCHL observe une diminution de 13 % au cours de cette période.

« Ces résultats sont conformes à nos attentes et il faut se rappeler qu’en 2010, l’activité avait atteint un sommet inégalé au cours des 23 dernières années », commente Mme Élisabeth Koulouris, analyste principale de marché à la SCHL.

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Le marché de l’habitation garde le rythme à Québec.

Voir aussi : Condo, Logement locatif ou social, Québec La cité, Résidentiel.

Miel urbain

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 juillet 2011 Commentaires fermés sur Miel urbain

* Une autre initiative des urbainculteurs de Québec

QUÉBEC, le 11 juillet 2011. Le Centre des congrès de Québec, les Urbainculteurs et la Miellerie de Champlain sont heureux d’annoncer leur partenariat pour l’installation de deux ruches sur le toit du Centre aujourd’hui même. Celles-ci complètent le projet « Miel urbain » lancé fin mai qui visait l’installation de 10 ruches réparties sur plusieurs toits de la ville de Québec dont des toits-jardins. Cette initiative, d’ampleur inédite au Québec, fait écho à d’autres projets similaires dans le monde par exemple à Paris, New York ou Hong Kong, villes qui comptent chacune plusieurs centaines de ruches. Le projet « Miel urbain » s’inscrit dans le contexte mondial de pertes massives de colonies d’abeilles. Il vise plusieurs objectifs, notamment l’implantation de ruches loin des zones où se trouvent insecticides, OGM et monocultures ; l’éducation par rapport au rôle essentiel des abeilles et l’urgence de leur protection ; l’augmentation de la pollinisation des jardins urbains ; l’implantation de nouvelles ruches au Québec (la province n’en compte plus que 36 000 contre 100 000 par le passé) et la production de miel local (au Québec, 75 % du miel est importé). Les initiateurs du projet tiennent à souligner que les abeilles ne sont ni dangereuses ni agressives contrairement aux guêpes avec lesquelles elles sont souvent confondues. Les abeilles ne sont pas attirées par les poubelles et les boissons sucrées mais uniquement par les fleurs.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Conférences / évènements, Environnement, Lieux magiques.

Condos et coops à l’îlot Irving: Compromis ou compromission?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 juillet 2011 14 commentaires

Nicolas Lefebvre Legault
l’Infobourg

Plusieurs personnes opposées au projet de l’îlot Irving accusent le Comité populaire à mots à peine couverts de s’être fait acheter dans ce dossier. En gros, le Compop aurait accepté de se la fermer en échange d’un nanane, à savoir une coopérative d’habitation. Un intervenant a même accusé le comité de « s’être baissé les culottes ». Alors, compromis ou compromission?

Dans le passé, en 2000 pour être plus précis, le Comité populaire s’était opposé frontalement et radicalement à un projet de condos de six étages sur le site de l’îlot Irving. On disait déjà, à l’époque, que la nouvelle construction allait boucher la vue. La hauteur était un argument, mais ce qui avait vraiment motivé l’opposition du Compop, c’est que le projet s’était fait sans consultation. Celui-ci ne répondait pas aux besoins des gens du quartier (locataires à plus de 80 %) et il allait en plus aggraver l’embourgeoisement du Faubourg. Qu’est-ce qui a changé dix ans plus tard ?

Coops vs condos

Contrairement à ce que certains pourraient penser, la coopérative La face cachée n’a pas qu’une existence virtuelle, il ne s’agit pas seulement d’une idée. Depuis deux ans, le Comité populaire anime un groupe de locataires en chair et en os qui veut fonder une nouvelle coopérative d’habitation. C’est l’été dernier, dans le cadre de représentations auprès de la Ville que le Comité a appris que l’îlot Irving avait changé de main et que le nouveau promoteur voulait y construire des condos. Toujours aussi convaincus qu’un immeuble de six étages de condos de luxe serait néfaste pour la trame sociale du quartier, nous avons tenté de voir s’il n’y avait pas une ouverture pour un projet mixte. À notre grande surprise, GM Développement s’est montré ouvert à céder environ le quart du terrain à une coopérative… en échange du droit de construire plus haut que ce que permet le zonage (neuf étages au lieu de six).

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo, Logement locatif ou social.

Une nouvelle salle de spectacles dans Saint-Roch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 juillet 2011 11 commentaires

On apprend dans Québec Hebdo que l’église Notre-Dame-de-Jacques-Cartier au coin de la rue St-Joseph et Caron deviendra une salle de spectacle.

Dès l’automne, l’église Notre-Dame-de-Jacques-Cartier connaîtra un deuxième souffle, a appris Québec Hebdo. Après avoir acquis le statut de coopérative en janvier dernier, elle accueillera une salle de spectacle, dont la musique diffusée se veut complémentaire aux autres salles de spectacles du quartier Saint-Roch.

via Véronique Demers de Québec Hebdo.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Commercial.

Ville et vinyle

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 juillet 2011 16 commentaires

François Bourque
Le Soleil

(Québec) Il était une fois trois petits cochons.

Le premier construit sa maison en paille, le deuxième en bois, le troisième en brique.

Vous connaissez la suite. Le loup se pointe, souffle et souffle, la maison de paille s’envole, puis celle de bois.

Seule la maison de briques lui résiste et lorsqu’il veut se glisser par la cheminée, il tombe dans la marmite, pousse un grand hurlement et s’enfuit en forêt.

Vous avez noté qu’il n’y a pas de rôle dans l’histoire pour le petit cochon payeur de taxes qui construit sa maison en vinyle ou avec un autre matériau bon marché.

Le vinyle n’était pas bien vu à l’époque. Il ne l’est toujours pas.

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* En passant, une chronique de M. Bourque fort bien écrite …

Voir aussi : Architecture urbaine, Québec La cité.

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