Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Chez Temporel: Saint-Germain-des-Prés à Québec…

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 octobre 2008 2 commentaires

Des vocations d'écrivains sont nées Chez Temporel, entre ses murs patinés par le temps. Le Soleil, Jean-Marie-Villeneuve

Bien content de lire cet article portant sur un mythique café où j’ai traîné des soirées, lorsque j’étais étudiant en géographie. Faut croire qu’il y a encore de la relève! ;-)

Source: Stéphanie Bois-Houde, Le Soleil, 24 octobre 2008.

(…) Routards babas cool, flâneurs aux pieds fatigués, amoureux non déclarés et étudiants se rencontrent, depuis 1974, au 25, rue Couillard, notre parcelle de Saint-Germain-des-Prés à Québec… Il fut une époque où des poètes comme Gaston Miron s’y réunissaient pour des récitals. Le Vieux-Québec s’appelait alors le quartier latin. Des vocations d’écrivains sont d’ailleurs nées entre ses murs patinés par le temps. Avant la «naissance» de Maud Graham, la romancière Chrystine Brouillet y coulait des expresso réfléchissant, j’imagine, à Paris où elle s’en irait écrire… (…)

La suite. À consulter entre autres billets: Voici mes “cafés cultes�. Et vous, quels sont les vôtres?.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Les commerces de ma ville, Qualité et milieu de vie.


2 commentaires

  1. Eric Alvarez

    25 octobre 2008 à 10 h 30

    Une place en effet charmante! Il est à souhaiter qu’il puisse se maintenir dans ce quartier qui semble de plus en plus voué au tourisme.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  2. Maciel

    18 novembre 2008 à 12 h 44

    Un endroit sympathique mais dont le service laisse sérieusement à désirer, en tous cas les deux fois où j’y suis allé. Lors de mon premier passage, notre gentille serveuse a mis un temps interminable à nous amener le plat, nous offrant il est vrai dessert et café en compensation.

    Une attitude commerciale totalement absente la seconde fois, certainement la plus déasagréable. Tout à la dégustation d’une tasse à moitié vide et totalement tiède de chocolat « chaud », j’ai eu le malheur d’entamer discrètement le bout d’une baguette de pain achetée chez Paillard. Erreur fatale! La jeune serveuse du jour m’a aussitôt sommé de cesser immédiatement cette activité, insistant lors de mon passage en caisse sur la nature illégale de mon geste. Une leçon de morale déplacée, pas nécessairement méchante mais suffisamment énervante pour me passer le goût d’y revenir. Dommage !

    Signaler ce commentaire

     ou annuler