Le long de l’avenue D’Estimauville…
À consulter, ce billet: Scènes urbaines: beautés et p’tites misères de l’hiver québécois, saison 2007-2008 (16).
Le long de l’avenue D’Estimauville…
À consulter, ce billet: Scènes urbaines: beautés et p’tites misères de l’hiver québécois, saison 2007-2008 (16).
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Environnement, Météo, Scènes urbaines.
Oui, la misère existe à Québec; elle est plus répandue qu’on ne le pense, et l’immense majorité de ceux et celles qui en souffrent ne l’ont pas choisie. Même les ignorants, et surtout les minables qui se font du crédit sur le dos des démunis ne sont pas à l’abri de la pauvreté et de la maladie…
Source: Moisson Québec.
Depuis quelques mois déjà, nos bénévoles préparent activement la Grande Collecte. Dès le 24 avril, 2 500 bénévoles prendront place dans les 77 supermarchés participants de la grande région de Québec et ce, jusqu’au 26 avril. Cette cueillette de denrées non périssables est importante pour Moisson Québec qui approvisionnent 25 000 personnes chaque mois par le biais de 160 organismes accrédités. (…)
À consulter entre autres billets: Pauvreté: Limoilou de plus en plus pauvre.
Voir aussi : Geste de solidarité & communautaires, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Ci-contre, un coin très laid de mon quartier: boulevard des Capucin, face au nouvel Intermarché [billet]…
Source: François Bourque, Le Soleil, 22 avril 2008.
(…) Les panneaux-réclames sont un «élément détériorant inutile», plaide le directeur général adjoint de la Ville, Serge Viau. Sans doute a-t-il raison. Mais si l’affichage est inutile, pourquoi tant d’entreprises continuent-elles à payer pour s’afficher aux abords des autoroutes et des grandes artères? On parle d’une centaine de grands panneaux à Québec seulement.
La réalité est que l’affichage extérieur rejoint chaque semaine 95 % des citoyens du Canada. Vous pouvez parier que le lobby des panneaux-réclames s’opposera au projet de la Ville. (…)
Je vous relance la question. Quelles sont les pires laideurs à Québec? Disons, à part la neige de ce sale printemps et les vêtements de camouflage de vos policiers. Les laideurs chroniques, celles qui se sont incrustées dans la ville.
La façade éventrée de l’église Saint-Vincent-de-Paul, l’édifice Marie-Guyart (complexe G), les piliers d’autoroute, le boulevard Hamel, les stations-service, l’architecture criarde des fast-food, les boîtes de tôle insipides des magasins grande surface, la rouille du pont de Québec, les stationnements de surface ou empilés, la cheminée de l’incinérateur de papier Stadacona, la raffinerie Ultramar, le spectre de Rabaska, les vitrines moches des commerces moches. Ce ne sont pas les sujets qui manquent.
Le pire? Je dirais le vide. Les espaces vacants ou à l’abandon, les murs aveugles. Ces lieux de la ville où on déteste marcher parce qu’ils ne donnent rien à voir ni à vivre. Ces lieux qui empestent l’ennui. (…)
La suite. À consulter aussi, ce billet: Les panneaux publicitaires bannis à Québec.
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Remstar, nouveau propriétaire de TQS, a rencontré les employés des stations de Québec et Montréal ce matin pour leur annoncé que TQS ne produirait plus de nouvelle à partir du 1er septembre.
La moitié des employés affectés à la production de ce bulletin perdraient leur emploi dès le 1er juin alors qu’un bulletin écourté sera produit cet été.
Après la réunion, enveloppe de mise à pied à la main, les employés sont sortis dans la rue. Des « Bugs Bunny » sont au menu de TQS à l’heure du bulletin de nouvelle ce soir.
Le maire de Québec Régis Labeaume s’est adressé aux employés. Visiblement secoué, le premier magistrat a donné son appui aux journalistes, caméramans et monteurs de la station et a mentionné que la ville allaient utiliser la voix des tribunaux pour tenter de briser la décision de Remstar. La licence présentement détenu par TQS oblige sont propriétaire à produire un bulletin télévisé.
Le journaliste vedette de TQS Gérard Deltell a vigoureusement défendu la production locale de nouvelles en entrevue
Le caméraman Martin Beaulieu est un des « chanceux » qui conservera son emploi jusqu’au 1er septembre. Martin est avant tout pour moi un vieil ami du secondaire, un « chum » depuis pratiquement 15 ans.
Voir aussi : Reportages photo.
Je les croise souvent dans mon quartier. Un peu comme les enseignants, les brigadiers font un travail méprisé et pourtant, honorable. Et je lis de plus qu’ils doivent subir la violence verbale d’adultes et celle, j’imagine, d’une horde d’enfants rois que déresponsabilisent des parents surprotecteurs…
Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 19 avril 2008.
Au lendemain de son arrivée à la mairie en décembre, Régis Labeaume s’était publiquement indigné d’apprendre que les brigadiers gagnaient un salaire horaire de 16,96 $, lui qui pensait voir des bénévoles aux intersections. Depuis, ces employés sont fréquemment pris à partie par des citoyens, selon la présidente syndicale, Francine Bédard.
Une brigadière a même récemment porté plainte à la police après avoir été bousculée par un piéton dans le quartier Saint-Jean-Baptiste. L’homme aurait assené un coup d’épaule à la dame qui tentait de faire traverser la rue à un groupe d’écoliers. «On se fait donner des doigts d’honneur. Une brigadière s’est fait traiter de grosse vache. Ce n’était jamais arrivé avant (la sortie du maire)», déplore Mme Bédard. (…)
Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Source: Radio-Canada, 22 avril 2008.
Les 1500 cols bleus de la Ville de Québec sont en conflit ouvert avec le maire Régis Labeaume. (…)
Loin de renier ses propos, le maire persiste et signe. Il affirme que c’est abuser du système que de prendre 18 jours de congé de maladie payés à 100 % comme, dit-il, le font la moyenne des membres de ce syndicat. « Ça monsieur le président, ça coûte au total à la Ville de Québec 12 millions de dollars par année, et c’est plus possible, ça ne peut plus exister, merci ! », a lancé le maire. (…)
La suite. À consulter aussi, ce billet: Les négos à la ville : les hostilités sont lançées.
Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Installation de la grue à tour, le lundi 21 avril 2008.
À consulter, ce billet: État des travaux: agrandissement de Place Sainte-Foy (1).
Merci à Benoît Lortie pour cet autre envoi de photos. Notre collaborateur souligne de plus que « le projet Cominar [billet], il SERAIT accepté à 23 étages »…
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.
Source : Éric Moreault, Le Soleil, le 22 avril 2008
Québec servira de laboratoire à un important projet novateur de véhicules hybrides à batteries rechargeables haute performance. Ces véhicules constituent un élément-clé de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, a-t-on soutenu hier lors du dévoilement à l’Université Laval.
EnerSys, le plus important producteur mondial de batteries industrielles, a développé cette technologie qui possède deux particularités. La première est que la batterie au lithium-ion peut être branchée et rechargée à partir d’une prise de courant domestique. La deuxième concerne le faible coût de ces batteries en comparaison avec celles qui sont commercialisées actuellement.
Pour les fins de l’étude de quatre ans, on a d’abord remplacé la batterie d’une Prius hybride par le prototype lithium-ion, qui lui assure une autonomie de 70 km et une faible consommation de 2,2 litres au 100 km.
Le choix d’EnerSys s’est porté sur Québec en raison du faible coût de l’électricité, qui assure une rentabilité financière plus aisée au concept; du climat quatre saisons parfois extrême; de ses particularités routières ainsi que de sa grande réceptivité aux idées environnementales.(…)
la source, et cet article sur l’auto électrique et celui-çi sur les efforts de la ville en la matière
Bon, si nous pouvons du coup marier environnement et développement économique de la ville quel beau coup çà serait. Déjà que Québec est une ville dotée de quantité astronomique d’arbres si on pouvait diminuer la pollution automobile à son strict minimum. Mais çà, çà prendra des dizaines d’années. La ville fait son effort avec sa flotte de véhicules, on commence à se dégêner à la RTC mais le plus gros morceau restera les automobiles des particuliers. Mais bon au moins çà avance…
Voir aussi : Environnement, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie.
Bon. En « vieux mononc’ grincheux », il m’arrive souvent de critiquer les nouvelles technologies. Le plus bel exemple en est le ?&!!@grr de cellulaire: pas la « bébelle » en tant que telle, mais plutôt l’usage de plus en plus intolérable qu’en font trop d’utilisateurs dans les lieux publics [billet]…
Je dois par contre avouer que je suis le premier à profiter des progrès « au-delà de mes espérances » de la photographie numérique! ;-)
À consulter, ce billet: État des travaux: élimination… (8).
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Reportages photo.
Je cite ici un imprimeur en « lock-out » qui vient de s’exprimer sur les ondes de Radio-Canada: « On a changé un peu la face de Québec (…) »…
Source: MédiaMatin Québec (édition spéciale), 22 avril 2008.
La dignité survit
Une richesse ne s’évalue pas avec un compte en banque. Dans les joies et les peines, des hommes et des femmes font la démonstration depuis un an dans les rues de Québec que la barbarie n’emportera jamais une chose: leur dignité. (…)
Les lockouté ont manifesté ce matin en face des locaux du Journal de Quebec pour « célébrer » ce premier anniversaire.
Denis Bolduc, porte-parole des employés en lock-out (Photo Francis Vachon)
Pierre Péladeau et son fil PKP… (Photo Cindy Boily)
Le journaliste Michel Hébert (Photo Francis Vachon)
À consulter entre autres billets: Information régionale: Un autre service de nouvelles menacé.
Voir aussi : Geste de solidarité & communautaires, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.