Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les autobus de l’Avenir !

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 octobre 2010 24 commentaires

La STM et la STL sont en projet d’étude pour l’expérimentation de certaines technologies comme l’autobus biberonné et l’implantation de différent moyen de transports alternatifs, comme le trolleybus et le tramway. Le Centre National des Transports Avancés (CNTA) a joué un rôle majeur pour promouvoir le potentiel de cette nouvelle technologie (autobus biberonné) auprès de ces deux sociétés de transport (via des mandats de consultation).

Voir le site du colloque en électrification des transports
Et aussi celui d’Hydro-Québec

De plus en regardant sur le site Internet d’Hydro-Québec, on semble expliquer que celui-ci collabora de différentes façons aux études de faisabilités ou de façons financières !

Est que le RTC peut aller chercher ce genre d’appui de la part d’Hydro-Québec ??? Est-ce le genre de technologie qui peut être implanté à Québec ? Il y aura t’il une ouverture des citoyens de Québec pour ces types de transports alternatifs ?

Information reçu de Pierre Langlois

Voir aussi : Environnement, S'inspirer d'ailleurs, Transport en commun.


24 commentaires

  1. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    9 octobre 2010 à 21 h 34

    J’arrive d’un voyage où on a utilisé à tous les jours le transport en commun (métro, tramway, autobus) sans oublier le TGV à l’occasion. Et c’est évidemment extraordinaire, quand il n’y a pas un « mouvement social » aussi appelé « grève » chez nous.
    On aura évidemment le même phénomène de « mouvement social » ici dès que le transport en commun aura une place plus grande que celle occupée actuellement.
    Une question: Qu’êtes-vous disposé à payer (prix du titre de transport) ? Avec une clientèle évidemment moindre qu’en Europe. Je ne parle pas du TGV. Mais du tramway de Québec.
    Que j’espère ardemment voir le jour d’ici 10 ans. Que ce serait utile ! :)

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    • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

      10 octobre 2010 à 11 h 05

      Quand on parle de « mouvement social », on parle évidemment de la France ;) Mais sachez que d’autres pays ont des systèmes de transport en commun plus développé et ils n’ont pas de problème de grève pour autant, je pense en autre à la Suisse. Faire la grève, c’est un sport national en France, alors je ne pense pas qu’on va se retrouver avec le même problème ici.

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    • Manu

      10 octobre 2010 à 21 h 49

      Si on clarifiait un peu la notion de « service essentiel » dans notre société, on règlerait peut-être ce problème. Il suffirait, en gros, de dire qu’un service « essentiel » offert par l’état doit toujours être offert au moins à 95%, peu importe les moyens de pression. De toute façon, il existe toujours un moyen de pression efficace lorsque les revendications sont raisonnables : la menace de démission. Pas besoin de droit de grève pour ça. En contrepartie, si un service n’est pas jugé « essentiel », rien n’oblige qu’il soit offert par l’état de toute façon, alos compagnies privées, syndiquées ou pas, pourraient les offrir.

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  2. Sim

    10 octobre 2010 à 01 h 44

    Qu’est-ce qu’un autobus biberonné??

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  3. lacapitaleblogue.com | links for 2010-10-09

    10 octobre 2010 à 02 h 01

    […] Les autobus de l’Avenir ! La STM et la STL sont en projet d’étude pour l’expérimentation de certaines technologies comme l’autobus biberonné et l’implantation de différent moyen de transports alternatifs, comme le trolleybus et le tramway. (tags: lcb transports 2010-10-09) […]

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  4. J.

    10 octobre 2010 à 03 h 09

    Il y a un bel outil qui s’appelle Google. Il suffit d’écrire l’expression dont on ne connaît pas le sens et il nous ouvre les portes: Autobus biberonné: Avec l’avènement des batteries à recharge très rapide au titanate de lithium, depuis 2007, il est désormais possible d’avoir des autobus électriques biberonnés. Ces autobus vont faire le plein d’électricité à intervalles réguliers, le long de leur trajet, en se connectant à des postes de recharge rapide pendant moins d’une minute à tous les 5 km.

    L’avantage du biberonnage est qu’on n’a pas besoin de fils aériens au-dessus des rues, comme pour les trolleybus, ni de rails comme pour les tramways.
    Source:http://electronvert.blogspot.com/2009/02/les-autobus-electriques-biberonnes-un.html

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  5. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    10 octobre 2010 à 12 h 34

    Un grand absent le monorail suspendu mu à l’électricité de moteurs roues. Pourtant ce système ne nécessite moins de place pour s’insérer dans la trame urbaine et ainsi n’enlève rien au réseau actuel. Il pourrait très bien passer sur René-Lévesque sans nuire aux commerçants. C’est un compromis acceptable que plusieurs auraient intérêt à regarder surtout dans une économie en crise car l’argent ne pousse pas dans les arbres même s’ils sont verts.

    http://trensquebec.qc.ca/?Les_co%FBts_de_construction

    Il ne faut pas oublier que le rapport sur la mobilité durable fait la projection de 100,000 personnes de plus dans la région et de 73,000 véhicules automobiles de plus.

    Penser qu’un tramway qui enlève deux voies de circulation sur les artères d’accès à la ville est une amélioration au bouchonnage actuel est de la pensée magique. Car même si on a un tramway qui ne peut être convivial quand aux parcours que tout le monde va abandonner leur voiture est un non sens. Avec une augmentation de 100% du transport en commun on atteint que 20% du trafic journalier sur nos voies de circulation. On ne fait que contrecarrer l »apport des 73,000 véhicules arrivants rien de plus. Avec deux voies de moins sur Laurier, Charest, De la Couronne, La Canardière, ect… on vient d’augmenter l’embouteillage remarqué actuellement car il n’y aura pas moins de voitures mais des accès réduits.

    Le modèle européen où tout est densifié car les pays ont peu d’étendue est catastrophique pour le phénomène des îlots de Chaleur observé dans les villes fortement densifiées.

    Moi aussi je souhaite des améliorations dans le transport en commun surtout en périphérique, l’oubliée de tous les plans même le dernier, Il ne faut pas oublier que le RTC vient de se lancer dans l’achat de 110 autobus hybrides. Alors demain n’est pas la veille. Pour plusieurs, il est temps revenir au Québec sur-endetté et de proposer des solutions à la mesure de nos moyens. Un monorail qui coûterait trois fois moins qu’un tramway en plus de ne pas handicaper davantage le réseau routier serait une solution plus réaliste…

    Enfin je note que l’AMT a fait partie du débat et que les trains de banlieue sont absents du débat ici à Québec. Pourtant actuellement il gruge 80% du budget du gouvernement du Québec dans les transports collectifs et nous avons des ails de moins ne moins utilisées surtout que l’ultra train qui emprunte le pont de Québec deux fois par jour sera remplacé par un oléoduc et que dans l’est la navette du massif sera en opération l’an prochain. Faudrait pas faire la bêtise du corridor des cheminots deux fois.

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    • julien Utilisateur de Québec Urbain

      10 octobre 2010 à 15 h 54

      Par rapport au Monorail suspendu, d’après le reportage qui était diffusé à CPAC dernièrement, le projet est encore à un stade très sommaire. D’après ce que j’en comprends, ils en sont à trouver du financement dans le but d’établir un prototype avant de pouvoir voir si c’est rentable… Le concept est théoriquement très intéressant, par contre, on est encore loin de la réalisation.

      Et, malgré tout, les poteaux du monorail suspendu doivent avoir une certaine circonférence…Si un tel monorail circulait sur René Lévesque, cela enlèverait aussi une voie sur René-Lévesque (ce qui est mieux que deux j’en conviens)

      Par contre, il semble qu’ils n’ont pas encore déterminé la grosseur des poteaux requis, ni à quelle fréquence ils doivent être plantés…

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    • Pierre-Luc Auclair Utilisateur de Québec Urbain

      11 octobre 2010 à 13 h 53

      Pour être allé aux conférences dudit M. qui pousse pour cette « technologie », honnêtement le gars ne fait pas sérieux et ça n’inspire pas confiance… difficile d’investir dans le R&D dans ces conditions. Qu’il nous sorte des plans, des évaluations crédibles et on verra rendu là.

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      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        11 octobre 2010 à 15 h 58

        D’ailleurs, le site ne fait pas du tout confiance. Niveaux design et structure, on voit que le site n’a pas été fait par des professionnels : c’est laid et mal construit.

        Au niveau du contenu, les arguments ne tiennent pas la route. Par exemple, ils disent que le TGV coûte cher en autre à cause qu’il faut construire des viaducs, alors que leur projet est ni plus ni moins qu’un viaduc sur toute sa longueur.

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      • fernand Utilisateur de Québec Urbain

        12 octobre 2010 à 12 h 03

        Yvan fait du fernandbashing comme toujours. De la part d’un prof d’université écolo c’est pas très noble ni gratifiant pour lui.

        Une étude de faisabilité d’un monorail par une firme d’ingénieurs reconnue est attendue prochainement. Selon vce que j’en sais, on confirme les économies entre le tramway et le monorail et les avancés du vidéo du Trensquébec.

        Il faut comprendre qu’au début, ce projet de Trensquébec était poour concurrencer le TGV et on a compris qu’il faut commencer par le commencement et faire valoir la technologie à plus petite échelle et la décision du tramway est une bonne occasion. Il demeure que les vidéos que j’ai produit démontre que ca existe et que ca marche depuis des années daqns plusieurs villes et le H-Bahn est semblable à la technologie du Trensquébec.

        J’irai plus loin, Monaco a un projet de monorail suspendu qui sera électrifié par des stations photovoltaîques. J’ai des images de ce projet du Prince Albert II.

        Quant au financement, un travail est fait et est latent…

        Quant à moi, je projette de m’inscrire au registre du lobby pour ce groupe car je crois que la technologie est efficace et peu coûteuse. Si ca nous coûte 500 millions (il y aura des ajouts de parcours à ce prix= Navette avec l’aéroport et prolongement dans Charlesbourg) au lieu d’un millard et demi, on va disposer d’un milliard pour les olympiques ou d’autres projets de la longue liste de Labeaume car les gouvernements auront une limite raisonnable à débourser et vont couper court à la liste d’épicerie. Je crois que les gouvernements seront plus enclin à privilégier le monorail que le tramway dans cette perspective d’économie. Faut pas oublier que la technologie de Bombardier n’est pas en service nulle part et le projet PRIMOVE est loin d’avoir passé les rudes hivers québécois car on parle d’électricité par induxction entre des bornes soiuterraines et le tramway comme le système d’aimant.

        http://www.bombardier.com/files/en/supporting_docs/BT-ECO4-PRIMOVE.pdf/primove-catenary-free-operation

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      • François Magellan

        12 octobre 2010 à 13 h 06

        Mon cher Fernand, ton lien ne fonctionne pas, comme ton idée de monorail électrique suspendu ; ce que les personnes comme toi ne comprennent pas, ou vivent dans les ornières de leurs idées, c’est que le flux automobile doit diminuer. À Québec, les automobilistes ont assez de terrains de jeux, et il en restera suffisamment. Il est venu le temps d’opérer un changement en faveur du tramway. Mais qu’on ne veuille pas du tramway, soit, je peux m’en accommoder. Pour des raisons de coûts, techniques. Alors qu’on conserve les autobus, mais qu’on leur accorde la priorité dans plusieurs secteurs de la ville : des voies réservées en tout temps, des sites propres, voies réservées sur les autoroutes, et qu’on me fasse la démonstration que ce sera bénéfique. Or, le rapport des coûts et des bénéfices se calcule non seulement en termes d’argent, mais en terme environnemental et des capacités de déplacement, notamment, si on choisit ceux-ci . mais une question : quand monorail électrique suspendu, quels secteurs et quelle étendue couvrirait-il et comment s’intégrera-t-il dans le milieu urbain ?

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  6. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    11 octobre 2010 à 16 h 07

    J’emets beaucoup de doute sur la technologie du trolleybus. Pour moi, le temps qu’on développe l’idée, qu’on installe le tout et qu’on l’utilise en vrai, on risque de se retrouver avec une technologie vite dépasser par les batteries. On ne sait pas à qu’elle vitesse va se développer ce domaine, mais de plus en plus d’entreprise travaille à produire de meilleurs batterie et d’ici 10 ou 20 ans on aura probablement de quoi faire de très potable.

    Sinon, on peut toujours améliorer le projet en donnant des voies réservés aux trolleybus, des priorités aux feux. Mais tant qu’à faire ça, pourquoi ne pas simplement avancer quelques millions de plus et implanter un tramway ? Mais peux-être 25% plus cher, mais c’est plus confortable et augmente considérablement la capacité de la ligne.

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    • Pier Luc

      11 octobre 2010 à 21 h 51

      Moi je pense que ça vas prendre moins de 10 ans pour qu’on aie des piles qui font aussi bien qu’un réservoir de diésel actuel. Avec toute l’argent qui est investi là dedans et le fait que ce soit rendu à la mode (juste à voir la publicité des constructeurs d’automobiles), ce n’est plus de la science-fiction.

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      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        12 octobre 2010 à 20 h 48

        Une technologie potentiellement intéressante serait la technologie zinc-air qui utiliserait le zinc comme électrode et l’oxygène comme autre électrode. Bref, ce serait un genre de pile à combustible, l’avantage c’est que l’oxygène est disponible et n’a pas besoin d’être stocker par la batterie, on peut donc augmenter la densité d’énergie de la batterie. Le hic, c’est que c’est du de rendre la batterie rechargeable (mais pas impossible).

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      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        12 octobre 2010 à 20 h 52

        Pour le reste, les technologies au lithium s’améliore, de mémoire c’est d’environ 10% par année. C’est bien, mais peut-être pas assez.

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      13 octobre 2010 à 16 h 20

      @Francis

      Moi, au contraire, je suis très en faveur du trolleybus, car c’est une technologie éprouvée et les coûts d’entretien assez restreint vu la simplicité de sa mécanique.

      Ta logique n’est pas mauvaise en soi, sauf que les bus à batterie resteront avec un problème: la batterie! C’est vrai qu’un trolleybus oblige à implanter l’électrification à fort coût, mais c’est aussi très avantageux d’être pluggé sur un fil à haute tension alimenté directement des barrages hydroélectriques au lieu de dépendre d’une batterie. Leur seul problème c’est qu’on ne peut pas électrifier les autoroutes, du moins pas à ma connaissance, ce qui limite leur utilisation.

      Sincèrement pour avoir fréquenté des trolleybus à quelques reprises, ce fut une expérience agréable.

      Le best est probablement d’avoir un mélange intelligent de tous ces modes. Les bus à batterie, hybride ou a biberon, c’est super pour les parcours à basse fréquence où l’électrification par fil ne serait pas rentable, par contre, pour des parcours comme le métrobus et le 7, ce serait tout à fait justifiable. D’ailleurs ca pourrait carrément être les fils du trolleybus qui serviraient de biberon à des bus à batterie empruntant partiellement les mêmes parcours. Au lieu de faire un arrêt artificiel de 1 minute aux 5 km, il se rechargerait en marche.

      Il est à noter toutefois qu’à ma connaissance, trolleybus et tramway moderne avec prise de courant aérienne ne sont pas compatibles. Ils peuvent probablement se croiser moyennant quelques petites containtes, mais emprunter le même axe me semble totalement impossible. Le gros patin du tramway courcircuitrait les 2 fils du trolleybus.

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  7. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    12 octobre 2010 à 21 h 40

    @Francois Magellan il va y avoir avec l’apport de 100,000 nouveaux arrivants 73,000 voitures de plus. C’est pas parce qu’on a un trameway qu’on va diminbuer de moitié les autos actuelle. Tourt au plus on va annuler l,apport des 73,000 nouvelles voitures. Si on occupe deux voies sur les principaux accès on va se retrouver avec des bouchons plus gros .

    Quant au monorail il fonctionne è Wuppertaler depousi 1901, à Dusseldorf. è Dortmund trois villes allemandes. A Shonan et Chiba deux villes japonaises.
    Il a été en démo à World Fair de New-York en 1964 et il existe dans une centre commercial de Rochester. Il existe aussi au Brézil.

    Ce que tu ne comprends pas c,est qu’àa Bordeaux pour laisser croire que le flux automobile a diminué. on a construit 2,100 stationnements souterrains ^rès des stations de métro pour faire du parking incitatif. Le projet de Québec n’est a pas aucun. Pire è D’Estimauville ce qui existe disparait et on amène dui monde uy compris 700 fonctionnaires fédéraux. Ils vont mettre leur auto où les fonctionnaires pour venuir travailler quand il y en a qui aprtent de Portneuf. Le tramway ne se rend pas là…

    Je penses plut^to que certains rêves en couleur. À Montréal est-ce que le Métro empêche les bouchons de circulation, je penses que non. Car il sort très peu de l’ile. Ce qu’il faut comprendre c’est que les nouveaux arrivants vont se ramasser principalement en périphérie et le tramway y va pas…

    J’ai critiqué le rapport sur la mobilité durable et je suis capable de maintenir mes dires sur n’importe quelle tribune.

    http://fernandtrudel.blogspot.com/2010/09/le-plan-de-mobilite-durable-nen-est-pas.html

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    • François Magellan

      12 octobre 2010 à 21 h 54

      Des bouchons plus importants, c’est le lot des grandes villes. Avec le sentiment des gens de Québec de vouloir faire de leur ville une grande ville, ils composeront avec ça. Et merci, d’ailleurs je comprends très bien ; je considère l’offre routière à Québec suffisante, qu’elle peut encore absorber un débit supplémentaire, que la congestion est inévitable, que les gens apprennent à se déplacer autrement tout comme à se localiser autrement. Soit, le transport en commun ne peut tout régler, mais dans la majorité des déplacements pendulaires résidence – lieu de travail, la population devra s’adapter. Sinon, ils n’auront qu’à blâmer eux-mêmes.

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