Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « 0 – Revue de presse »

Bientôt plus compliqué de passer de la Basse à la Haute-Ville à pied

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 juillet 2024 Commentaires fermés sur Bientôt plus compliqué de passer de la Basse à la Haute-Ville à pied

Émilie Pelletier
Le Soleil

Marcheurs de Québec, soyez avertis que gravir les escaliers reliant la Basse-Ville à la Haute-Ville pourrait s’avérer plus complexe à compter de l’an prochain. Des travaux sur différentes structures du centre-ville sont planifiés jusqu’en 2027.

D’ici trois ans, la Ville de Québec a dans sa mire de réaliser des travaux de réfection sur cinq escaliers, tous situés dans l’arrondissement de La Cité-Limoilou.

Les escaliers des Franciscains, du Faubourg, Frontenac, Lépine et de la Chapelle seront tous passés au peigne fin dans les mois à venir afin de déterminer les interventions nécessaires pour les garder en bon état. La construction de ces derniers remonte aux années 1880 à 1990.

(…)

ESCALIERS CIBLÉS POUR LES TRAVAUX À VENIR

Escalier des Franciscains (1944) : bois, 178 marches entre Montcalm et Saint-Sauveur. Travaux prévus en 2025

Escalier du Faubourg (1931) : fer, 99 marches entre Saint-Roch et Saint-Jean-Baptiste. Travaux prévus en 2025

Escalier Frontenac (1976) : béton, 115 marches dans le Vieux-Québec—Cap-Blanc—Colline parlementaire. Travaux prévus en 2027

Escalier Lépine (1883) : acier, 118 marches entre Saint-Roch et Saint-Jean-Baptiste. Travaux prévus en 2026
Escalier de la Chapelle (1993) : bois et béton, 80 marches entre Saint-Roch et Saint-Jean-Baptiste. Travaux prévus en 2026

Escalier de la Chapelle (1993) : bois et béton, 80 marches entre Saint-Roch et Saint-Jean-Baptiste. Travaux prévus en 2026

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Le prix des propriétés croît plus à Québec que partout ailleurs au pays

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juillet 2024 1 commentaire

Louis Gagné
Radio-Canada

La vigueur du marché immobilier ne semble pas à la veille de ralentir dans la région de Québec, où la valeur des propriétés au deuxième trimestre a connu la plus forte progression au Canada.

Selon l’Étude sur le prix des maisons publiée jeudi par Royal LePage, le prix médian des maisons et des condos a augmenté de 10,4 % à Québec au cours des mois d’avril, mai et juin par rapport à la même période l’an dernier, passant de 350 500 $ à 387 000 $.

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Des logements à la place de l’ancien St-Hubert sur Hamel

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juillet 2024 1 commentaire

Chloé Pouliot
Le Soleil

Voilà près de sept ans que le terrain du St-Hubert sur le boulevard Wilfrid-Hamel est laissé à l’abandon. Un projet de complexe résidentiel pourrait toutefois faire disparaître les dernières traces de l’ancien restaurant, a appris Le Soleil.

Septembre 2017. Le St-Hubert au coin du boulevard Wilfrid-Hamel et de la rue Bourdages met la clé sous la porte. Depuis, il ne reste que le squelette de l’enseigne, qui a roulé pendant 37 ans.

Une pancarte «À louer» est apparue sur le bâtiment. Quelques graffitis également.

Il aura fallu attendre 2021 pour que le terrain change de mains. Le promoteur montréalais Oktodev Développement immobilier en a fait l’acquisition dans l’espoir de pouvoir le développer.

Un achat chiffré à 1,9 million, selon l’historique des transactions du Registre foncier du Québec.

«On a vu un potentiel dans ce secteur-là en fonction des axes de transport en commun et des besoins en logement», indique Dominic Chaîné, vice-président et partenaire opérationnel chez Oktodev, au téléphone avec Le Soleil.

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Stationnement : bilan des premières journées du Festival d’été de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 juillet 2024 7 commentaires

Québec, le 8 juillet 2024 – La Ville de Québec informe les citoyens que diverses mesures ont été mises en place depuis le début du Festival d’été de Québec afin de faciliter la vie de l’ensemble des usagers de la route.

Dans l’objectif de libérer les voies de passage, d’optimiser la fluidité de la circulation et d’assurer la sécurité des citoyens, des agents sont déployés sur le terrain afin d’optimiser le contrôle du stationnement. Pendant les événements, le nombre d’agents augmente et est même doublé afin de leur permettre de pouvoir agir de façon proactive.

De plus, le respect des riverains et de leurs espaces de stationnement privés est primordial et en ce sens, la Ville demande aux automobilistes de porter une attention particulière à la règlementation et à la signalisation en vigueur.

Constats d’infraction et remorquages depuis le début du FEQ

Pour la période comprise entre le jeudi 4 juillet et le dimanche 7 juillet inclusivement, le bilan des contraventions et des remorquages dans l’Arrondissement La Cité-Limoilou est le suivant :

· Constats d’infraction : 1 257

· Remorquages : 172

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Crise du logement: «On va régler ça», affirme Bruno Marchand

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 juillet 2024 2 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Avec 80 000 unités d’habitation de plus prévues d’ici 2040 à Québec, le maire Marchand a bon espoir de juguler la crise du logement, mais il avise les citoyens qu’il y aura de la construction partout en ville, de Cap-Rouge à Beauport.

«Québec ne deviendra pas une ville de tours à condos dans les quartiers. Elle va rester une ville de qualité de vie», assure Bruno Marchand, dans une entrevue accordée au Journal. «On n’est pas en train de se montréaliser et on ne veut pas démolir les quartiers», ajoute-t-il.

(…)

Le plan de construire 80 000 logements d’ici 2040 répond à un besoin largement exprimé par les citoyens. «Presque tout le monde à Québec nous dit qu’il faut construire du logement, qu’il y a urgence, mais pas dans ma rue, pas dans mon quartier, pas dans le boisé, pas dans les milieux humides.»

Récemment, des projets de construction d’édifices de logements sociaux et abordables dans des quartiers résidentiels ont provoqué une levée de boucliers dans le voisinage. Rue de l’Hôpital, à Loretteville, et Rue Antonin-Marquis, dans Duberger, par exemple.

«On ne peut pas régler la crise si on ne construit rien», résume M. Marchand, qui parle de «densification douce» et «respectueuse».

(…)

La Ville de Québec allège les règlements de sa Commission d’urbanisme pour accélérer la délivrance de permis et la construction de nouveaux logements.

Le comité exécutif a adopté le 12 juin une modification à son règlement sur la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec (CUCQ). On veut alléger la tâche de la Commission, afin de réduire le temps d’obtention de permis. Pour ce faire, on choisit de limiter les travaux de rénovation qui lui sont assujettis, et ce, dans certains secteurs de la Ville. Dorénavant, dans sept secteurs, des travaux accessoires qui n’affectent pas la valeur patrimoniale n’auront plus à être autorisés par la CUCQ. On parle, par exemple, d’un escalier ou d’une galerie arrière, d’un bâtiment secondaire ou d’éléments qui sont peu visibles de la rue.

Ces allègements ne s’appliquent pas aux secteurs à haute valeur historique comme les quatre sites patrimoniaux dans la ville.

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* Merci au Lecteur Assidu qui nous a souligné cet article

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Projet de 19 logements au 163 chemin Sainte-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 juin 2024 1 commentaire

Thomas Verret
Monmontcalm

Un projet de 19 logements comprenant un commerce de proximité se réalisera au 163 chemin Sainte-Foy, à l’intersection de la rue de Candiac, sur un terrain qui s’étend jusqu’à la rue Dumont. Le bâtiment existant sera agrandi et s’élèvera désormais à 13 mètres. Il inclura aussi un stationnement souterrain de 11 cases.

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Chers automobilistes, coûtez-vous trop cher ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 juin 2024 3 commentaires

Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse

Avertissement : ceci n’est pas une chronique contre vous, chers automobilistes.

Vous aimez votre voiture. Vous n’êtes pas seuls : les Montréalais font 56 % de leurs déplacements en auto, ce puissant symbole de liberté dans l’imaginaire collectif nord-américain depuis les années 1950.
Sauf que ce sentiment de liberté a un coût énorme. Pour le portefeuille de l’automobiliste. Pour les finances de l’État. Pour la société en général.

Un professeur d’économie, David Benatia, et deux étudiantes de HEC Montréal, Muriel Julien et Gabrielle Beaudin, ont voulu savoir combien exactement coûtait à la société chaque mode de transport dans l’île de Montréal⁠1. C’est la première fois qu’un tel exercice est fait de façon aussi exhaustive au Québec⁠2.

Leur conclusion : quand on calcule tout, l’automobiliste montréalais coûte environ trois fois plus cher à la société que l’utilisateur du transport collectif. L’écart est encore plus grand avec le vélo et la marche.

(…)

Quand on lui parle de transport collectif, pour justifier le fait qu’il n’a autorisé aucun nouveau projet d’envergure depuis 2018 (le tramway de Québec a été autorisé par le gouvernement Couillard), le gouvernement Legault répond souvent que les projets sont très chers.

Or, par usager, les routes coûtent à peu près aussi cher à l’État que le transport collectif. Un automobiliste montréalais coûte 2595 $ par année à l’État, un usager du transport collectif, 2543 $.
Ces sommes comprennent toutes les dépenses gouvernementales directes (amortissement de la construction des routes et des réseaux de transport, coûts d’entretien annuels, déneigement, coûts de fonctionnement du transport collectif, etc.)⁠3.

Un cycliste ne coûte presque rien en dépenses gouvernementales directes : 786 $ par an. Un piéton, seulement 210 $.

(…)

Conclusion ?

En tout, le coût social total d’un automobiliste est d’environ 9014 $ par an pour la société.
C’est énorme en comparaison avec un utilisateur du transport collectif, qui coûte 2449 $ par an à la société.

Pour les cyclistes et les piétons, les bénéfices sur la santé sont plus importants que tous les autres coûts. Un cycliste rapporte 338 $ par an à la société et un piéton, 28 $.

Vous trouvez qu’il serait plus juste de ne pas tenir compte de la valeur de l’espace consacré aux routes ? Dans ce cas, le coût social total de l’auto est d’environ 7000 $.

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Les rails du tramway sur la Saint-Jean, en 1947

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 juin 2024 Commentaires fermés sur Les rails du tramway sur la Saint-Jean, en 1947

Jean-Simon Gagné
Le Soleil

À la demande générale, Le Soleil, en collaboration avec les Archives de la Ville de Québec, présente une nouvelle série consacrée à des facettes disparues de la ville de Québec. Chaque semaine, elle rappellera le souvenir d’un immeuble, d’un commerce, d’un secteur ou d’un boisé disparu. À partir d’une image ancienne, un montage vidéo vous amène jusqu’à notre époque.

En 1947, les jours du tramway sont comptés. Il disparaîtra pour de bon l’année suivante. Au fil des ans, la ville n’a pas cessé de s’étendre. Le tramway n’a jamais vraiment réussi à suivre le rythme. À la fin des années 40, les autobus semblent offrir une solution plus malléable…

À l’époque, la rue Saint-Jean s’impose comme la grande artère commerçante de la haute-ville. À l’intérieur des murs, on y trouve 11 restaurants, 10 magasins de vêtements, six dentistes, quatre épiceries, trois librairies, deux tavernes et une pharmacie.

Les voitures stationnées sur les trottoirs semblent sorties d’un film de gangsters. À gauche, on remarque le fleuriste McKenna, dont la boutique restera ouverte jusque dans les années 80. Notez aussi le Palace-Billard, un lieu très prisé par les étudiants de l’Université Laval, qui est située tout près.

La partie nord du Vieux-Québec est alors surnommée le «Quartier latin». Une référence au quartier situé autour de l’université de la Sorbonne, dans le 5e arrondissement de Paris. En toute honnêteté, il faut admettre que les cafés et les bistros sont moins nombreux à Québec…

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Dents de dragon : que veut dire cette signalétique qui va arriver en France ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 juin 2024 Commentaires fermés sur Dents de dragon : que veut dire cette signalétique qui va arriver en France ?

Journal du Geek

En créant une illusion d’optique, cette signalétique au sol composée de triangles blancs contribue à faire ralentir les conducteurs. Après une expérimentation réussie en Espagne, ce marquage pourrait désormais arriver en France.

Les autorités espagnoles ont lancé ces dernières années une initiative relativement innovante en matière de signalisation routière baptisée “dents de dragon” en français. Ce marquage au sol vise à renforcer la sécurité dans les zones urbaines qui sont fréquentées par les piétons et les cyclistes. Mais en quoi consiste cette signalisation, et quels résultats a-t-elle produits jusqu’à présent ?

En regardant l’évolution de la signalisation routière au fil des années, les méthodes se sont adaptées pour répondre aux nouveaux défis de sécurité. Du simple panneau de signalisation aux systèmes de radar avancés, chaque innovation vise à protéger les usagers de la route – qu’il s’agisse de conducteurs, de passagers ou encore de piétons. Les “dents de dragon” s’inscrivent dans cette tradition d’innovation et leur impact serait “significatif” sur la sécurité routière.

Comme vous pouvez le voir sur les visuels, les “dents de dragon” sont constituées de grands triangles blancs placés sur les côtés de la voie de circulation, créant une illusion d’optique où la route semble se rétrécir. Cette perception visuelle incite les conducteurs à réduire assez naturellement leur vitesse car une voie plus étroite est perçue comme moins sécurisante à grande vitesse.

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* Merci au Lecteur assidu

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Le triomphe des banlieues

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 juin 2024 7 commentaires

Gabriel Béland
La Presse

Les urbanistes s’inquiètent depuis des décennies de l’étalement urbain. Pourtant, la banlieue continue de croître à la vitesse grand V, beaucoup plus vite que le cœur des villes. Le Canada est une nation banlieusarde, concluent les travaux d’un chercheur. Oubliez la société distincte… le Québec l’est aussi ! Et les politiciens l’ont bien compris. Un dossier de Gabriel Béland

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