Aux prises avec des dépôts à neige qui débordent et un autre 25 à 35 cm attendus pour le week-end, la ville pourrait cesser de déneiger les trottoirs pour le reste de la saison froide.(…)

Source: Le Journal de Québec 07/03/2008

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Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 5 mars 2008.

Un premier coffret-souvenir des 400 ans d’histoire de Québec vient de sortir sur le marché québécois. Le DVD Vu du Château, produit et financé par Imavision, fouille la mémoire de la ville avec l’aide des archives de l’Office national du film et portera le sceau officiel de la Société du 400e de Québec.

«Je vais en apporter plusieurs dans ma valise pour les remettre aux personnes que je rencontrerai à Boston et en France», a affirmé mercredi le maire de Québec, Régis Labeaume, lors du lancement de ce coffret. Au total, les quatre DVD offrent neuf heures de visionnement sur les grands moments de l’histoire de Québec, dont un documentaire de 48 minutes produit par Pierre Paquet et réalisé par Roger Otis. (…)

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Comme les « mononc' » et « matantes » en devenir parleront vraisemblablement des suites de la fin de semaine qui s’en vient dans 20, 30 ou 40 ans, j’ai pensé, en attendant, vous présenter cette autre scène de notre hiver exceptionnel immortalisée ce matin!

Justement, ce fait d' »hiver »: Abondance de neige: Évacuation à Laval (Radio-Canada)…

À consulter, ce billet: Beautés et p’tites… (11).

Parler de fleurs dans la tempête nous changera peut-être ne serait-ce qu’un peu les idées :-)

Québec, le 6 mars 2008 – Dans le cadre de sa campagne Décoration florale 2008, la Ville de Québec lève le voile sur la fabrication des mosaïques florales qui embelliront le territoire de la mi-juin au début de novembre prochain.

Les structures d’acier de quatre de ces œuvres, qui sont produites localement, sont quasiment terminées. Il s’agit de :

– La Valise (en lien avec l’exposition « Passagers/Passengers », conçue par Patrice Sauvé et présentée à Espace 400e), au parc Roland-Beaudoin (arrondissement de Sainte-Foy–Sillery);
– La Bouteille (en référence à la devise de Québec « Don de Dieu feray valoir »), près de l’étang de la Côte (arrondissement de Beauport);
– Le Peuple de la terre (inspiré du spectacle « Le chemin qui marche », conçu par Oliver Dufour dans le cadre de la programmation des Fêtes), sur la rue Racine (arrondissement de La Haute-Saint-Charles);
– La porte Hope (reconstitution fleurie de l’ancienne porte) enjambant la côte de la Canoterie (arrondissement de la Cité).

Les structures des trois autres mosaïques (L’envol des colverts, sur le pont Drouin dans l’arrondissement de Limoilou; La truelle et l’arrosoir, au parc nautique de Cap-Rouge dans l’arrondissement Laurentien et Les pots de fleurs, près de la bibliothèque de Charlesbourg) sont empruntées à Mosaïques Internationales de Montréal. (…)

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… Oui, le symbolique chiffre « 400 » (cm) est maintenant dépassé. Et foi d’amateur météo depuis des lustres, une tempête historique pourrait s’abattre sur nous, samedi! ;-)

Autres photos dans MétéoCentre. À lire, cet article (Radio-Canada). À consulter aussi, ce billet: Beautés et p’tites… (10). Enfin, en rappel, mon dossier sur la Tempête du siècle.

Source : Julie Lemieux, Le Soleil, le 2 mars 2008

Samuel de Champlain gagne en popularité depuis quelques semaines. Si l’aspect historique des Fêtes du 400e n’a pas soulevé beaucoup d’engouement au cours des dernières années, il semble que de plus en plus de gens aient désormais envie d’entendre parler du fondateur de Québec à l’approche du temps fort des festivités.

La comédienne et chanteuse Gaëtane Breton a elle-même constaté ce changement de cap de la population. Cette artiste originaire de la Beauce travaille depuis cinq ans à la réalisation d’un spectacle pour les enfants sur l’histoire de Champlain. Au cours des dernières années, elle a frappé à bien des portes sans succès. «C’était difficile de vendre l’idée d’un spectacle sur Champlain. Il fallait convaincre les gens de l’importance de ce personnage», explique-t-elle au Soleil.(…)

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Il est temps que Champlain fasse son apparation en cette année 2008. C’est d’ailleurs lui qui aurait dû inagurer le spectacle du 31 décembre. Daniel Gélinas nous promet d’ailleurs que des personnificateurs seront bientôt dans les rues pour rendre hommage, ne nous le cachons pas, au véritable héros de l’année. Bienheureux pour cette dame que les choses évoluent dans la bonne direction pour elle.

Samedi 1 mars, Pétons-nous les bretelles sur l’ancien site de l’Îlot Fleurie!

Toute la famille est invitée à venir fêter l’hiver dans le quartier Saint-Roch à l’est des bretelles de l’autoroute Dufferin-Montmorency.

Dès 14h, les citoyens pourront venir admirer les sculptures sur neige réalisées par des artistes émergents. Jeux dans la neige, musique, soccer, soupe populaire, feux de camp urbain seront au programme ! En soirée, une projection de films sur une des sculptures restantes de l’Îlot Fleurie sera suivie d’une prestation de Slam poésie sur des thèmes de l’espace citoyen dans la ville et de l’écologie. La fête se poursuivra jusqu’à 20h, avec de la musique d’ambiance pour faire bouger la foule.

Le collectif Éco-Quartier du Centre Jacques-Cartier, qui opère un site de compostage communautaire sur le terrain depuis près de trois ans, a collaboré avec la coalition EnGrEnAgE* de Saint-Roch, le collectif Sekoïa, le Conseil de quartier de Saint-Roch et le café-bar l’AgitéE pour créer cet événement unique.

A cette occasion, les groupes et les citoyens veulent lancer un message clair concernant la future vocation de l’espace de l’ancien Îlot qui demeure floue à la Ville de Québec. Ce lieu doit être animé comme il l’a été pendant plusieurs années avant les travaux de démolition des bretelles par la présence du parc artistique et communautaire de l’Îlot Fleurie. Il doit répondre aux préoccupations des citoyens et des citoyennes du quartier. Chose certaine pour l’année 2008, le lieu restera vide.

Pour avoir plus d’information, contactez Gabriela Jakubovits, Éco-Quartier: 523-4580

À consulter aussi, ce billet: L’Ilot Fleurie à bout de souffle.

Je vous propose de prendre connaissance d’un article fort intéressant paru dans la revue Contact, publiée par l’Université Laval. Plusieurs autres textes dans le même numéro sont à lire également.

En voici un extrait : « Ramener les banlieusards en ville, alors? «Les rurbains, comme nous appelons les résidants des banlieues lointaines, ne reviendront pas massivement vers les quartiers centraux, répond Mme Després. S’ils vivent où ils sont, c’est qu’ils aiment cela.» Certes, avec le ralentissement démographique, l’étalement ne pourra se poursuivre indéfiniment. Mais rien n’indique que l’appétit pour la rurbanité et pour la voiture va s’atténuer. L’augmentation de 15% de la circulation sur les autoroutes de l’agglomération entre 1996 et 2000 (dernier portrait disponible) est assez éloquente à cet égard.

Au moins, on ne devrait plus construire de nouvelles autoroutes, prévoit Marie-Hélène Vandersmissen: «Pour des raisons d’environnement entre autres, ce n’est plus dans les cartons des décideurs.» Témoins le récent prolongement de l’autoroute Robert-Bourrassa (ex-Du Vallon) en boulevard urbain et le boulevard Champlain complètement remanié en une artère conviviale. » (…)

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Bonne lecture :)

La Ville de Québec ouvrira un deuxième dépôt à neige temporaire

Québec, le 22 février 2008 – Le maire de Québec, M. Régis Labeaume, se prévaut de son pouvoir d’urgence pour autoriser le Service des travaux publics à louer un terrain en vue d’y établir un deuxième dépôt à neige temporaire. Ce pouvoir est conféré au maire par l’article 573.2 de la Loi sur les cités et les villes.

Assurer le dégagement sécuritaire des artères et trottoirs constitue une priorité pour les autorités municipales. Compte tenu que la ville a reçu plus de 348 centimètres de neige depuis le début de l’hiver et que la région pourrait recevoir encore plus de 100 centimètres dépendamment de la météo, cette mesure s’avère nécessaire.

Les dépôts à neige de la Ville sont remplis en moyenne actuellement à 87% et au moins trois dépôts ont atteint leur capacité maximale. De plus, dans plusieurs arrondissements, des circuits de transport temporaires ont du être mis en place pour acheminer la neige des zones où elle était normalement soufflée sur les terrains.

Localisation du terrain et modalités de l’entente

Le terrain loué est situé sur le site de l’ancienne carrière de la compagnie Ciment Saint-Laurent et permettra d’y entreposer éventuellement un volume maximal de 1 000 000 de m3 de neige.

L’entente est établie à prix unitaire et le coût total dépendra de la quantité de neige réellement transportée au site. Les coûts d’accès, par voyage, sont établis à 14 $ pour un camion standard et à 20 $ pour un camion semi-remorque.

Source: Communiqué de la ville de Québec

Le vélo étant mon principal moyen de transport, ce sujet m’est particulièrement « sensible ». D’ailleurs, je me suis exprimé à plusieurs reprises sur l’ignorance de nos élus en matière de cyclisme utilitaire.

Après Madame Boucher, le maire Labeaume… Certes, l’idée de cette piste cyclable est tout à fait louable, mais Cibole, installer des « ascenseurs » à vélo (au prix d’une étude de faisabilité sur le tramway?), c’est quoi, ça!! En rappel, donc, tirée de mon billet en date du 25 octobre 2006, ma proposition à la fois bon marché et des plus écologiques: « La perspective de suer en montant en haute-ville freine votre ardeur d’utiliser ce mode de transport convivial, économique, excellent pour la santé et ce, un bon huit mois par année? Faite comme moi à l’exemple de ce brave type [ci-haut]: grimpez les côtes à pied! » ;-)

Décidément, je m’ennuie d' »un » maire L’Allier…

Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 22 février 2008.

C’est mon choix à moi. Il faut que le legs de la Ville soit utile pour très longtemps. Je pense que ça prend une piste cyclable permanente qui traverse Québec en son centre. C’est anormal qu’une ville moderne n’ait pas de piste cyclable qui traverse. C’est mon projet et je pensais que c’était simple. Mais on m’a fait des présentations hier et c’est éminemment compliqué», a affirmé le maire, hier, lors d’un point de presse.

Cette piste pourrait passer sur la Grande Allée, le boulevard René-Lévesque ou le chemin Sainte-Foy et réunir ainsi l’Université Laval au Vieux-Québec. Mais il semble que l’idée pose de gros problèmes au plan technique. (…)

M. Labeaume a toutefois précisé que la construction de cette piste cyclable ne constituait qu’une des hypothèses analysées. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Plan du réseau cyclable vu par les cyclistes urbains.