Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Agriculture urbaine »

Terres des Sœurs de la Charité: Groupe Dallaire croit toujours à son projet à Beauport

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 novembre 2019 5 commentaires

Jean-Michel Genois Gagnon
Journal de Québec

Groupe Dallaire croit toujours à l’importance de son développement sur les terres agricoles des Sœurs de la Charité et le promoteur va continuer à faire ses devoirs. La semaine dernière, le ministère des Affaires municipales a rejeté la dernière version du Schéma d’aménagement de l’agglomération de Québec qui prévoyait le démontage d’une partie des terres agricoles. «Honnêtement, nous ne nous attendions pas à cette décision. Nous avions l’impression qu’il y aurait une nouvelle étape de franchie. Il faut maintenant relever nos manches et recommencer», indique au Journal le président du Groupe Dallaire, Michel Dallaire.

Ce dernier prévoit s’asseoir au cours des prochains jours avec les Sœurs de la Charité pour discuter du projet. Il n’écarte pas la possibilité de dévoiler prochainement les détails à la population de son développement sur ces terres de Beauport.

Le lendemain du refus du Schéma d’aménagement, la Ville de Québec a confirmé qu’elle renonçait à inclure les terres agricoles dans sa prochaine demande. Bien qu’elle croit toujours au projet du Groupe Dallaire, elle préfère mettre cette requête sur la glace afin que les autres dossiers avancent.

Philanthropique

Selon le Groupe Dallaire, il est toujours pertinent de développer ces terrains. La direction rappelle qu’il s’agit «d’un projet philanthropique», dont les profits de la vente d’unités iront à différentes œuvres caritatives. En 2014, cela devait représenter un chèque d’environ 150 millions $.

«La réalité, c’est qu’il y a des besoins de construction et il n’y a pas beaucoup de terrains. On peut dire qu’on va densifier et que les gens vont aller dans des tours, mais dans la vraie vie, cela ne marche pas comme ça. Si nous ne développons pas de nouveaux sites, les développements vont se faire dans les secteurs en périphérie de Québec», avance le président.

«Projet plus vert»

«On vise toujours un projet plus vert. Nous avons travaillé sur un concept de mini-villages qui tournent autour de l’agriculture urbaine», poursuit M. Dallaire, ajoutant qu’il analyse aussi la possibilité d’utiliser l’énergie solaire pour les résidences.

En 2014, lors du dévoilement du projet, le promoteur immobilier souhaitait construire environ 6500 unités d’habitation incluant des maisons de ville et en rangée, des condos et des appartements. Des espaces commerciaux, une école et un centre communautaire étaient également dans les plans.

M. Dallaire espérait livrer les premières unités d’ici 2030.

Par ailleurs, Groupe Dallaire se dit ouvert à répondre aux nouvelles demandes du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, notamment concernant la présentation du projet à la Commission de protection du territoire agricole du Québec afin d’obtenir son autorisation.

Les terres agricoles de Beauport sont la propriété à parts égales de la Fondation Famille Jules-Dallaire et des Sœurs de la Charité. La société en commandite Terre d’Espérance a déboursé 39 millions $ pour faire l’acquisition du site.

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Voir aussi : Agriculture urbaine, Arrondissement Beauport, Densification, Résidentiel.

Terres des Soeurs de la Charité: la Ville de Québec essuie un nouveau revers

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 novembre 2019 5 commentaires

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

La Ville de Québec vient de se faire servir une nouvelle fin de non-recevoir par le gouvernement Legault qui rejette sa demande visant à développer les terres agricoles des Sœurs de la Charité à Beauport.
La ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, a confirmé en après-midi, mardi, le rejet de la nouvelle version du Schéma d’aménagement et de développement (SAD) présentée par la Ville de Québec il y a plusieurs mois.

«Au niveau des terres des Sœurs de la Charité, on n’a pas accepté le schéma d’aménagement. Par contre, moi, je suis intéressée de continuer à travailler avec l’agglomération de Québec, on va travailler ensemble, il y a des solutions à avoir mais pour l’instant, il y avait trop d’empiètement sur les zones agricoles», a déclaré la ministre lors d’une mêlée de presse à l’Assemblée nationale.

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Voir aussi : Agriculture urbaine, Étalement urbain.

Terres agricoles des Soeurs de la Charité: deux visions s’opposent toujours

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 novembre 2019 Commentaires fermés sur Terres agricoles des Soeurs de la Charité: deux visions s’opposent toujours

Judith Desmeules
Le Soleil

Le dossier des terres agricoles des Soeurs de la charité est loin d’être réglé. Le ministère des Affaires municipales doit bientôt approuver ou refuser un troisième schéma d’aménagement pour le projet immobilier que veut construire le Groupe Dallaire.

Ce schéma se veut une nouvelle mouture plus écologique pour le développement du terrain.

«Dans ce schéma d’aménagement, on prévoit toujours le dézonage de près de 600 hectares de terres agricoles», déplore Monique Gagnon, porte-parole pour Voix Citoyenne. Un événement «Sauvons les terres des Soeurs de la Charité» avait lieu dimanche soir, au restaurant Tam Tam Café.

Le schéma d’aménagement en est à sa troisième version. Le dossier perdure depuis 2016.

«Il y a suffisamment d’espace dans le périmètre urbain actuel pour loger le projet. Il faut éviter le dézonage. On n’est pas seuls à le dire. On n’a pas besoin d’agrandir, il y a moyen de densifier la ville, de construire mieux. On va continuer de se faire entendre», défend Mme Gagnon depuis plusieurs années maintenant.

Lors de l’annonce du projet, en 2014, le Groupe Dallaire souhaitait initialement construire sur le terrain à l’ouest de Beauport situé entre l’avenue Saint-Samuel et Bourg-Royal environ 6500 unités d’habitation incluant des maisons de ville et en rangée, des condos ainsi que des appartements.

Le développement prévoyait aussi des espaces commerciaux, une école et un centre communautaire.

Plusieurs citoyens et organisations, comme l’Union des producteurs agricoles, avaient dénoncé haut et fort la disparition des terres agricoles sur ce site, s’opposant au dézonage.

En octobre 2018, ils ont remporté une première victoire lorsque le Schéma d’aménagement et de développement proposé par l’agglomération de Québec, qui prévoyait le dézonage de 567 hectares de terres agricoles, a été refusé par le gouvernement du Québec.

Quelques jours après cette annonce, le maire de Québec, Régis Labeaume, avait toutefois réitéré son appui pour le projet du Groupe Dallaire.

Deux visions s’opposent toujours : les défendeurs des terres agricoles soutiennent que la Ville a suffisamment de place disponible dans son périmètre urbain actuel pour accueillir les 33 000 nouveaux ménages attendus d’ici 20 ans et la Ville croit que le dézonage ne ferait qu’accentuer l’étalement urbain.

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Voir aussi : Agriculture urbaine.

Événement: les terres des Soeurs de la Charité

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er novembre 2019 10 commentaires

GARDONS VIVANTES LES TERRES DES SOEURS DE LA CHARITÉ

Événement festif et culturel
Dimanche 3 novembre de 15 h 30 à 18 h
Tam-Tam Café (421 Boulevard Langelier, Québec, QC G1K 3E3)

RÊVONS les terres des Sœurs de la Charité pour préserver un patrimoine agricole, naturel et de proximité, assise de notre sécurité alimentaire et du maintien de notre lien essentiel avec la Terre.

Art visuel, musique, écriture, des artistes exprimeront ce que leur inspire ce patrimoine vivant que représentent ces terres cultivées sans interruption depuis 350 ans. Immortalisons ce lieu « alimenTerre » largement reconnu pour sa grande valeur et situé au coeur même de Québec.

Prestation musicale et poétique en compagnie de Michel Côté, Hélène Matte, Agnès Riverin, Alice Guéricolas-Gagné et Richard Joubert pour la lecture de quelques textes.

La librairie Laliberté tiendra une table avec des parutions qui traitent de la thématique.

Pour signaler vote participation ou pour partager

Rappelons que la vocation agricole de ces précieuses terres demeure toujours menacée mais il est encore possible de les sauver de l’urbanisation ! Par cet événement artistique, Voix citoyenne persiste à vouloir influencer la décision imminente du gouvernement Legault qui a la responsabilité d’approuver ou non le Schéma d’aménagement révisé de l’agglomération de Québec, qui prévoit une demande de dézonage agricole pour 567 hectares de terres protégées, dont les 204 hectares des terres des Sœurs de la Charité.

*Voix citoyenne est un regroupement informel né au moment où l’on apprenait que les terres des Soeurs de la Charité à Beauport (Québec) devaient être converties en développement immobilier. Notre réaction a été de proposer des conférences en vue de favoriser le savoir et le débat sur de grands enjeux de société, d’organiser des activités de sensibilisation, de produire des mémoires lors de consultations publiques et d’alimenter en continu l’opinion publique pour accroître la mobilisation citoyenne.

Un article de Radio-Canada Les Soeurs de la Charité de Québec cèdent à la Fondation Famille Jules-Dallaire leur vaste terrain de l’arrondissement de Beauport dans le secteur de Giffard afin de permettre le développement de 6500 unités résidentielles.

Voir aussi : Agriculture urbaine, Conférences / évènements.

Un potager chez vous

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 juin 2019 Commentaires fermés sur Un potager chez vous

Ville de Québec

Si vous souhaitez aménager un potager en cour avant, sachez qu’il est possible de le faire en respectant les normes applicables, comme la superficie maximale et la hauteur d’une structure amovible.

Pour être autorisé, un potager en cour avant doit respecter certaines conditions notamment être à une distance minimale de 0,5 m d’un trottoir, d’une bordure de rue, d’une piste cyclable ou d’une ligne latérale de lot.

La superficie autorisée des potagers est établie en fonction de la surface de la cour avant.

Plus de 300 m2 : la superficie du potager est limitée à 50 %;
De 100 m2 à 300 m2 : la superficie du potager est limitée à 75 %;
Moins de 100 m2 : aucune limite de superficie.

Les structures amovibles (tuteurs) pour soutenir les végétaux seront également autorisées du 1er mai au 1er novembre de la même année. La hauteur de ces structures et des plantations ne devra pas excéder 1 m sur une distance de 2 m mesurée à partir d’un trottoir, d’une bordure de rue ou d’une piste cyclable.

Pour en savoir plus

Aucun permis n’est requis pour l’aménagement d’un potager en cour avant, sauf si votre propriété est située dans les bassins versants des prises d’eau de la Ville. Consultez alors ce document puisque des exigences spécifiques doivent être respectées.

Voir aussi : Agriculture urbaine.

Le plus grand potager sur toit à Québec en 2020

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 mars 2019 1 commentaire

Marie Maude Pontbriand
Radio-Canada

Il a 28 ans et il s’apprête à mettre sur pied le plus important projet d’agriculture sur toit au pays et probablement au monde. À compter de l’été 2020, l’entreprise de François Saint-Pierre fera pousser des légumes sur trois hectares de toiture dans le nouvel Espace innovation Chauveau, un parc industriel en construction à Québec.

Quand le jeune entrepreneur a reçu l’appel de l’homme d’affaires Michel Dallaire, il était pantois.

« C’est certain que quand M. Dallaire nous invite à un rendez-vous, on essaie de se libérer. Il a dit : « Es-tu disponible jeudi, à 9 h? » « Oui je suis disponible jeudi, à 9 h, je vais être là! » »

C’était le début d’une grande collaboration. Le chef de la direction du Groupe Dallaire ne planche pas uniquement sur le projet du Phare en ce moment. Il développent aussi un immense parc industriel à l’angle de l’avenue Chauveau et de l’autoroute Henri-IV.

La première phase représente un investissement de 110 millions de dollars et prévoit la construction de 10 bâtiments d’une superficie totale de plus de 8 hectares.

Parce qu’il a envie de bâtir différemment, M.Dallaire a choisi de s’associer avec François Saint-Pierre et sa jeune entreprise de production maraîchère en milieu urbain Du toit à la table.

Quand le promoteur immobilier a contacté le jeune agriculteur, c’était pour lui proposer de mettre en culture ses nouvelles toitures.

« C’est une jeune entreprise. C’est sûr que quand j’ai parlé de ça, ils ont trouvé ça gros. Je leur ai clairement dit : « Regardez votre modèle d’affaires. On regardera pour vous aider financièrement, pour que ça réussisse. » »

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Voir aussi : Agriculture urbaine.

Quebec City’s Disappearing Agricultural Land

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 janvier 2019 6 commentaires

Tracy Lindeman
Citylab

In his 65 years, Denis Bédard has watched a city grow up around his Quebec City family farm.

Beauport used to be a rural area home to dozens of vegetable farmers. “There was no urbanization at all,” says Bédard, owner of Ferme Bédard et Blouin. “The 1960s is when it all started.”

That’s when developers began snapping up lands owned by aging farmers. In the decades that followed, Quebec City sprawled into Beauport. More buildings sprang up. Traffic clogged the main street. The number of farms dwindled. But there were always a few holdouts that anchored the area in its agricultural roots, chief among them a congregation of nuns called les Soeurs de la Charité (Sisters of Charity). The sisters owned 500 acres of land that, for more than 100 years, was used primarily for grain and seed production.

That is, until 2014, when the nuns sold their land for an astronomical CDN $39 million (plus $14 million in built-in interest) to Michel Dallaire, a private developer who intends to use part of the land to build 6,500 housing units—many of them single-family homes and townhouses. The city, which is in the process of creating a new urban development plan, has endorsed the Beauport project and is working with Dallaire’s company, Groupe Dallaire, to make it happen.

“That was the trigger,” says Monique Gagnon, spokesperson for Voix Citoyenne (“Citizens’ Voice”), a grassroots advocacy group opposed to housing development on these lands. The city has since used the Dallaire opportunity to request the dezoning of at least 1,000 acres of agricultural land in Beauport and another 400 acres west of the city, in St-Augustin, in order to grow its urban perimeter.

Beauport ‘a hole that must be filled’

Quebec City, metro population 800,000, believes that it will need an additional 28,200 households between now and 2036 if it wants to keep pace with divorce rates and immigration. This oft-cited figure is fundamental to the reasoning for the Beauport project—but it’s only part of the story.

With 382,000 existing housing units, Quebec City actually has an oversupply of housing—particularly condos—which has caused real estate prices to stagnate in recent years. It also has a low birth rate and an aging population. “We’re probably at the end of strong growth, and are probably going toward stagnation or small growth unless there’s massive immigration,” says Érick Rivard, an architect, urban designer, and university professor based in Quebec City.

With a population density of just 608 people per-square-mile, the city also has a notable sprawl problem (for reference, New York City has a density of 27,000 people per-square-mile). The city’s proposed urban development plan looks to maintain this land-use ratio, and it has every incentive to do so. Because the city gets most of its money from property taxes, the more high-value real estate development it greenlights the easier it is to fill its coffers.

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Voir aussi : Agriculture urbaine, Arrondissement Beauport.

Les terres des Soeurs de la Charité: le rêve américain et les terres agricoles

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 novembre 2018 1 commentaire

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / Le gouvernement a rejeté pour la seconde fois cet automne, le projet de schéma d’aménagement de Québec qui prévoyait le dézonage de 567 hectares de terres agricoles, l’équivalent de plus de cinq fois les Plaines d’Abraham.
Dans une lettre au maire Régis Labeaume, le ministère des Affaires municipales indique que ce projet n’est «pas conforme» aux orientations» du gouvernement et renvoie la ville aux planches à dessin.

Les terres des Sœurs de la Charité, le long de l’avenue Bourg-Royal à Beauport, comptent pour plus du tiers (211 hectares) des espaces agricoles convoités par Québec.

Le promoteur Michel Dallaire et l’administration Labeaume y projettent un nouveau quartier résidentiel de 6500 unités d’habitation dont les profits iraient à des causes communautaires.

Le schéma rejeté prévoyait aussi le dézonage d’autres terres du secteur Bourg-Royal (194 hectares) et de Saint-Augustin (162 hectares).

Ce qui est moins connu, c’est que la Ville en a d’autres dans sa mire dans l’ouest de Beauport, à Charlesbourg et à Val-Bélair, marquées en rouge sur la carte avec la légende «secteur en évaluation».

Loin de s’essouffler, la pression sur les terres agricoles de Québec risque d’aller en s’amplifiant.

(…)

* C’est la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ) qui aura le dernier mot sur les projets de dézonage de Québec.

Elle n’a encore reçu aucune demande pour les terres des Sœurs de la Charité ou de Saint-Augustin.

Un critère essentiel pour un dézonage est qu’il ne doit pas y avoir d’autres espaces appropriés disponibles. On voit venir le débat.

Il peut arriver «dans certaines circonstances», que le gouvernement se saisisse d’une demande à la place de la CPTAQ, prévient son président Me Stéphane Labrie. On parlerait alors d’une décision politique qui bulldozerait les règles de protection des terres agricoles. Ce ne serait pas souhaitable.

(…)

Il ne semble pas logique de dézoner les rares terres agricoles de qualité en pleine ville au moment où l’intérêt augmente pour l’agriculture urbaine, les productions locales et la réduction des «kilomètres alimentaires».

La Ville de Québec y est elle-même sensible. Elle soutient par exemple des jardins de voisinage et envisage de permettre la culture en façade des résidences.

Elle dépense aussi des millions pour un grand marché à ExpoCité. Imaginez le plaisir et le beau message si on pouvait aller acheter à ce marché des légumes qui auraient poussé trois kilomètres plus loin, sur les terres des Sœurs de la Charité.

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Voir aussi : Agriculture urbaine, Étalement urbain.

Prix du public des Mérites d’architecture 2016

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 octobre 2016 1 commentaire

Québec, le 7 octobre 2016 – La Ville de Québec et le ministère de la Culture et des Communications du Québec invitent les citoyens à voter pour la réalisation architecturale qui les séduit le plus parmi les finalistes du Prix du public des Mérites d’architecture 2016.

En prime, les participants courent la chance de gagner les prix suivants :
• Un forfait évasion pour deux personnes au Capitole de Québec (une nuitée, un souper et un petit-déjeuner)
• Une série des trois certificats-cadeaux échangeables contre une paire de billets pour une des trois dernières productions de la saison 2016-2017 du Théâtre La Bordée
• Une série de trois paires de billets pour des spectacles de la programmation hiver 2017 de la salle Albert-Rousseau

Il existe deux façons de voter :

Par bulletin électronique
• Par coupon de participation, disponible dans les bureaux d’arrondissement et les bibliothèques.

Le vote se déroule du 8 octobre au 13 novembre 2016. Le lauréat du Prix du public et les gagnants des prix de participation seront dévoilés lors de la soirée de gala qui se tiendra au Pavillon Pierre Lassonde du Musée des beaux-arts du Québec le 8 décembre 2016.

Cette année, les Mérites d’architecture peuvent compter sur la collaboration des partenaires suivants : Le Soleil, Le Capitole de Québec, le Théâtre de la Bordée et la salle Albert-Rousseau. Cet événement est rendu possible grâce à l’Entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Québec et le ministère de la Culture et des Communications

Les finalistes

Voir aussi : Agriculture urbaine, Conférences / évènements.

Un potager pour sortir le Grand Théâtre de sa « camisole de béton »

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 juillet 2016 Commentaires fermés sur Un potager pour sortir le Grand Théâtre de sa « camisole de béton »

Valérie Gaudreau
Le Soleil

(Québec) Consciente de l’architecture imposante et un brin austère du Grand Théâtre de Québec dans son voisinage, la direction de l’institution veut «humaniser» le bâtiment. Et ça commence par le verdissement et un lumineux potager urbain dans la cour intérieure du Conservatoire de musique.

«Ça permet de sortir de notre camisole de béton», illustre le président et directeur général du Grand Théâtre de Québec, Gaétan Morency. Mercredi, ce dernier a rencontré Le Soleil à travers les 50 pots installés par les Urbainculteurs sur une surface de 65m2. Pas moins de 80 variétés de petits fruits, de légumes, de fines herbes et de fleurs y poussent. La peinture verte fluo de l’allée où se trouvent ces pots en géotextile agit comme une touche vitaminée dans cet océan de béton.

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Un billet précédent en … 2009 sur les Urbainculteurs

Voir aussi : Agriculture urbaine.